Une crevette vivant dans une eau à 450°C découverte dans la mer des Caraïbes..et..

Si petite et elle ne cuit pas?? étonnante nature….

Cette crevette, découverte dans la mer des Caraïbes, vit à des températures proches de 450°C. AFP

Elle vit au dessus du cratère d’un volcan sous-marin…

La mer des Caraïbes abrite une espèce de crevette qui a étonné les biologistes: à 5.000m de profondeur, dans des eaux chargées en minéraux émis par un volcan sous-marin, une espèce de crevette vit dans des eaux à environ 450°C, rapporte le Dailymail.

Cette toute petite crevette presque transparente vit en colonies qui peuvent atteindre 2.000 individus par mètre carré. Elle n’a pas d’yeux mais des capteurs de lumière sur son dos qui l’aident à naviguer dans les eaux profondes. Les biologistes britanniques l’ont appelée Rimicaris hybisae, du nom du sous-marin qui l’a découverte. Ils mènent une étude sur la vie sous-marine au dessus des cratères des volcans sous-marins, dont les premiers résultats ont été publiés dans le journal scientifique Nature Communications.

A.C.

Une grenouille, plus petit vertébré connu à ce jour sur la planète, sur une pièce d'un cent américain Christopher Austin afp.com

Le plus petit vertébré connu à ce jour sur la planète est une grenouille mesurant en moyenne 7,7 millimètres qui vient d’être découverte en Nouvelle-Guinée, ont annoncé mercredi des biologistes américains.Cette minuscule grenouille, appelée Paedophryne amauensis, qui appartient à une espèce jusqu’alors inconnue, détrône le poisson d’Indonésie, Paedocypris progenetica, qui était jusqu’alors considéré comme le plus petit vertébré du monde avec une taille moyenne d’un peu plus de huit millimètres.

Chris Austin, conservateur du département d’herpétologie (étude des reptiles et des batraciens) du musée d’histoire naturelle de Louisiane (sud) et professeur de biologie, a fait cette découverte avec d’autres chercheurs lors d’une expédition de trois mois en Nouvelle-Guinée, la plus étendue et la plus élevée des îles tropicales.

« Cela n’a pas été facile de repérer cette grenouille étant donné sa taille réduite et aussi le fait que le mâle a un cri d’insecte durant la période des amours », explique Chris Austin, principal auteur de l’étude publiée dans la revue américaine PLoS ONE datée du 11 janvier.

« Mais cette découverte est formidable », ajoute-t-il, soulignant que « la Nouvelle-Guinée est un haut lieu de la biodiversité et tout ce que nous y découvrons fait avancer notre compréhension générale de la manière dont est générée et maintenue la biodiversité ».

Avec une taille moyenne de 25 mètres, la baleine bleue est le plus grand animal parmi les 60.000 espèces de vertébrés connues.

Certains biologistes pensaient que les extrêmes dans les tailles chez les vertébrés devaient être l’apanage des espèces aquatiques, l’eau paraissant propice au développement de mensurations très petites ou très grandes.

Cette hypothèse a été remise en question avec la découverte de ces grenouilles minuscules qui vivent sur la terre ferme.

« Nous pensons que ces créatures se sont pas une bizarrerie biologique mais qu’elle appartiennent à une famille écologique jusqu’alors inconnue car elles occupent un créneau d’habitat que nul autre vertébré n’habite », explique Chris Austin.

Cette recherche a été financée par la « National Science Foundation » américaine.

© 2012 AFP

Le plongeur Laurent Ballesta a rencontré le coelacanthe, le plus vieux poisson du monde. Laurent Ballesta

Le biologiste et plongeur Laurent Ballesta a rencontré le coelacanthe, un poisson préhistorique vieux de 400 millions d’années…

Rencontrer le plus vieux poisson du monde, c’est possible ce mercredi soir à l’Institut océanographique de Paris. Le cœlacanthe ne sera pas là en personne, mais sera «représenté» par Laurent Ballesta, biologiste, plongeur et photographe sous-marin. Ses plongées au large de la côte sauvage d’Afrique du Sud lui ont permis d’entrer dans l’intimité du cœlacanthe, que l’on croyait disparu depuis le crétacé. Il racontera sa rencontre mercredi, à 19h30, dans le cadre des mercredis de l’Institut océanographique de Paris.

Le cœlacanthe a une histoire presque mythique, pourquoi?

Ce poisson a vécu il y a 400 à 65 millions d’années, sa famille a disparu en même temps que les dinosaures. On a retrouvé des traces fossiles du cœlacanthe au 19e siècle, son empreinte dans la roche est un élément clé du passage de la vie aquatique à la vie terrestre. Ses nageoires sont des amorces de pattes. En 1938, surprise, un cœlacanthe est retrouvé dans le filet d’un pêcheur en Afrique du sud. C’est comme si demain on trouvait un tyrannosaure en foret de Rambouillet! Le second cœlacanthe a été trouvé en 1952 aux Comores et on s’est rendu compte que les Comoriens le connaissent depuis la nuit des temps. C’était même un poisson sacralisé, à cause de sa drôle de gueule de dinosaure. A partir de ce moment, les chercheurs ont voulu en capturer mais c’est un animal fragile que l’on n’arrive pas à garder vivant en captivité.

Comment avez-vous rencontré le cœlacanthe?

En 1985, un Allemand a réussi à les filmer au fond d’une grotte aux Comores, grâce à uns sous-marin. A l’époque, j’étais étudiant et je rêvais de plonger pour aller l’observer mais il vit dans des profondeurs inaccessibles. Par la suite, les techniques de plongée ont progressé et en 2000 on a identifié un nouveau lieu de vie des cœlacanthes à «seulement» 120m de fond. Ma pratique de la plongée avait progressé, et en janvier 2010 on a pu plonger et faire les premières vidéos et photos en Afrique du sud, tout près du Mozambique. C’était difficile car sur cette immense côte sableuse il ya une houle et un courant permanent de deux nœuds, des vagues qui empêchent de mettre les bateaux à l’eau…

C’est donc un exploit d’avoir réussi à approcher le cœlacanthe?

Deux plongeurs avant moi étaient morts en essayant de les filmer. Le danger fait partie de mon métier, je sais à quel point cette plongée est épuisante, elle demande une énergie énorme. Malgré cela, c’est de loin mon plus beau projet, qui demande toutes mes compétences en plongée, en photographie et une vraie démarche scientifique.

Que peut apprendre le cœlacanthe aux scientifiques?

Il fait partie des animaux qui semblent ne pas évoluer. Selon la théorie de l’évolution, toutes les espèces qui n’évoluent pas disparaissent, même l’homme a changé en l’espace de 2.000 ans, mais cet animal semble échapper au règne des mutations. Il a gardé une morphologie identique à sa famille ancestrale et intéresse donc énormément les généticiens car il y a très peu d’exemples de la sorte, surtout parmi les vertébrés. Et puis son squelette est l’amorce des os des animaux terrestres. Quand on le regarde, on peut dire: ça va devenir un fémur, un tibia, un cubitus… S’il y a bien un animal qui peut accepter l’oxymore de «fossile vivant», c’est bien le coelacanthe!

Propos recueillis par Audrey Chauvet

22 Commentaires

  1. Je remercie tout ces chercheurs pour leurs découvertes, bravo !! C’est incroyable ce que les espèces peuvent nous révéler…..

  2. La grenouille est posée sur une pièce de 10 cents (une « Dime », comme on dit).
    En ce qui concerne le coelacanthe, ce n’est pas la seule espèce à avoir très peu changé. Il y a la tortue, le requin, le crocodile, … C’est comme avec cette histoire de gène préhistorique réactivé chez une fourmi : on dirait une copie de sauvegarde.
    Comme si la Nature prévoyait de recommencer l’évolution en cas de catastrophe planétaire, à partir de matériel génétique mis « à l’abri » ? Vu où le Coelacanthe habite et qu’il n’a pas besoin d’évoluer, on peut supposer que l’espèce n’aurait pas trop de mal à survivre à un météore « tueur de dinaosaures », et pourrait repeupler les océans ?

  3. Le dernier pararaphe me fait bien rire!!! Tu m’étonnes que ce poisson ne semble pas avoir evolué, puisque la theorie de Darwin a ete refutée il y a bien longtemps! Suffit d’avoir les yeux en face des trous et de se documenter au lieu d’avaler tout ce que les medias et le systeme educatif corrompu inculque avec force.
    (« l’histoire est écrite par les vainqueurs », Dieudo.)

    Les scientifiques ont ete jusqu’a creer des preuves pour nous endoctriner.

    Neandertal man: presenté en 1856 / refuté en 1960

    Piltdown man: presenté en 1912 / refuté en 1953
    ( pour celui ci le scientifique sans scrupules Charles Dawson avait ajouté une machoir d’une espece d’orang outang en voie d’extinction au crane humain…. Trop fort. Seulement les experts sont passé par là)

    Zinjantrophus: presenté en 1959 / refuté en 1960

    Ramapithecus: presenté en 1964 / refuté en 1979

    Nebraska man: presenté en 1822 sous forme de dessin….. Dessin parti d’une dent de neanderthal retrouvée…. Les scientifiques ont ébauché un dessin estimant que l’homme de neanderthal ressemblait à ca : http://www.strangescience.net/enlar/en_nebrtooth.jpg

    Et il s’est en fait revelé que cette dent appartenait à un cochon!

    Le probleme c’est que malgré tout, l’evolution de l’homme (et intrinsèquement des especes) n’est pas prouvée parce qu’elle est fausse, et que le chainon manquant tant rêvé par Darwin ne risque pas d’exister non plus puisque sa theorie c’est du vent. Rien de plus. Juste UNE THEORIE.

    Et L’éducation nationale qui rend obligatoire l’apprentissage de cette théorie à l’ecole…… Vous avez raison, le meilleur moyen d’endoctriner nos chers petites tête brunes est de leur apprendre ce genre de choses dès le plus jeune âge…. Ca rentre mieux et la contestation devient difficile par la suite.

    Un exemple de reportage ( il y en a beaucoup sur le net, mais on ne les verra jamais à l’ecole…)
    http://www.dailymotion.com/video/x6a4kt_les-fossiles-refutent-la-theorie-de_tech

    Il reste très peu de scientifiques qui croient en la théorie de l’evolution, vous ne trouvez pas ca bizarre que malgré tout on nous tanne avec ça??? Ces exemples de crânes, ou d’os retrouvés et qui sont de fausses preuves ( voir au dessus)
    Pourquoi sont-ils encre utilisés en exemple ou en illustrations dans des magazines tels que Discover, National Geo, Focus…..

    La verité est ailleurs…. ( ou plutot sous notre nez depuis le debut….)

    Wake up! : )

  4. V pour Vendeta

    Me piaché 

    Oui il y a les preuves de l’absurdité de la théorie du rêveur Franc Mac Darwin 

    Le Livre : le mystère de la race des Géants, de Laurent Glauzy

    C’est un catalogue de toutes les traces dans le monde : fossiles, ossements, outils, construction….. avec descriptif anciens de la présence de géants sur terre  : des hommes ayant mesuré 6 a 7 m de haut

    EN Amérique du Nord : les Indiens auraient eu a combattre ces géants, ils étaient Roux

    Ces géants auraient transporter par onde sonores les statue de l’île de Paques, cela vous faire rire… La NASA y a cru, elle a dépenser des crédits pour effectivement faire déplacer un objet d’environ quelques kilo en lévitation par ondes sonores….

    • Le mystère de la construction des pyramides dévoilé ?

      • la construction des pyramides

        C’était du béton, coulé sur place ; analyse fine des constituant des pyramides le prouve, puisque la silice est celle du sable du désert alentour….

        les Égyptologues et autres expert autoproclamés pour avoir des crédits, il leur faillaient de la notoriété, dans articles dans la presse.

        Pour obtenir des articles dans la presse tout les moyens sont bons, donc toutes les théorie les plus inversemblables, plus c’est gros, plus tu as de la notoriété :

        Les extras terreste sont venue bosser avec les Égyptiens en 3/8 j’ai trouvé leur pistes d’atterrissage, les femmes extraterrestre, sexy, des super bon coup, gentille, aimante……

        le mythe des Égyptiens inventeur des pyramides est balayé sur You tube Civilisation Mû

  5. C’est la premiere fois que j’entends parler de ces geants. Tres intriguant!
    Et interessant!

  6. hey, comment on va cuisiner ca ?

  7. @poke: je t’ai envoye mon adresse mail en mp sur le forum ; )

  8. il y en a qui ce les gel elle  la crévette elle crie ouille ouille sa bouille les c…. si c est un mal bien entendu

Les commentaires sont clos.