Il y a comme cela des articles qui passent inaperçu alors que finalement, ils sont intéressants. J’ai trouvé celui-ci étonnant au vu de son contenu, enfin étonnant…N’oublions pas la politique à deux faces dans le pays, d’un côté le sur-protectionnisme des minorités visibles, et de l’autre côté ça commence à balancer, les tensions sont évitées d’un côté, et de l’autre côté, une fois de temps en temps, on charge un peu, on titille pour exacerber un peu les opinions, bref, le jeu du gouvernement actuel dans toute sa splendeur.
Maintenant, si un français dit de souche raconte une vérité qui dérange, il sera considéré comme raciste, mais si c’est un réfugié qui le dit, alors c’est toléré, pourtant ce sont les même mots, les même idées, seul la couleur de peau change, si je puis me permettre. Mais je fais du hors sujet, voici l’article en question, juste pour avoir l’opinion de voltigeur qui a la virulence aussi belle que la sagesse!
Les associations dénoncent les conditions de vie inhumaines des familles polygames et regrettent la défaillance des pouvoirs publics.
« Il n’y a pas de foyer polygame heureux. » Jean-Marie Gallo connaît hélas trop bien le sujet pour mâcher ses mots. Arrivé aux Ulis (Essonne) en 1997, cet ancien athlète de haut niveau originaire du Mali a fondé l’association Nouveaux Pas pour favoriser l’intégration des familles immigrées. « La polygamie n’a rien à voir avec la culture africaine. Elle n’a aucun rapport non plus avec la religion. C’est juste une coutume qui permet à l’homme de profiter sexuellement des femmes et des structures françaises. Dans les pays où il n’y a pas d’allocations familiales, vous ne trouverez pas de polygamie », assène Jean-Marie, lui-même élevé dans un foyer polygame. Il sait que les séquelles sont lourdes. « Mon père a épousé ma mère par amour, mais ensuite d’autres femmes lui ont été offertes comme un bouquet de fleurs pour remerciement des services rendus. J’ai vu peu à peu la santé mentale et physique de ma mère se dégrader. Elle est presque devenue folle lorsque mon père a “reçu” une troisième femme de 18 ans alors qu’il avait 65 ans. C’était pratiquement du viol. » Jean-Marie Gallo ne pensait pas être confronté aux mêmes situations en France. Dans les cités HLM, il découvre que certaines familles vivent jusqu’à 40 par appartement : trois ou quatre femmes, une trentaine d’enfants et un époux, entassés dans un F4.Une promiscuité dévastatrice
Les conditions de vie sont effroyables. « Les enfants sont obligés de manger à la main, debout, autour de la table car il n’y a pas de place ni d’assiettes pour tout le monde. Ils ne peuvent pas faire leurs devoirs à cause de l’agitation permanente et du bruit de la télévision. Quand on vit à 30, c’est impossible de prendre une douche, sauf si on se lève à 5 heures du matin. Sans parler de la promiscuité sexuelle, désastreuse pour les enfants. C’est violent et déshumanisant. Comment voulez-vous que les jeunes se construisent correctement ? », s’interroge Jean-Marie Gallo. Pour éradiquer la polygamie, son association a organisé la décohabitation d’une dizaine de familles installées aux Ulis : « On ouvre un compte bancaire aux femmes pour que les allocations familiales leur soient directement versées. Si elles sont illettrées, on leur offre une alphabétisation et une formation. On les reloge et on les informe de leurs droits. » C’est là que le bât blesse. Sans ressources, la plupart des femmes ne parlent pas français. Leurs papiers ont souvent été confisqués par leur mari dès leur arrivée. Certaines ne savent même pas que leur situation est interdite en France. Très en colère, Jean-Marie Gallo considère que les autorités ont démissionné. « On a laissé pourrir la situation. Pour rester dans le politiquement correct, les gouvernements successifs ont maintenu un tabou sur le fléau de la polygamie. La preuve, c’est que personne n’est capable de se mettre d’accord sur les chiffres. Il est urgent de légiférer. »
Source: francesoir.fr