Selon Romain Gherardi, spécialiste des maladies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor, oui, l’aluminium des vaccins est dangereux!

Mais arrêtez de vous faire injecter n’importe quoi si vous savez qu’il existe des risques conséquents! maxresdefaultC’est le cas avec les vaccins contenant de l’aluminium comme adjuvant, puisque celui-ci est reconnu comme étant nocif et peut avoir de lourdes conséquences. Le souci, c’est que ceux censés travailler pour notre santé ne tiennent pas compte des études et recherches, pire, ils les condamnent, ce qui est arrivé avec le Professeur Joyeux qui s’est fait radier de l’ordre des médecins suite aux critiques totalement justifiées qu’il a émises sur la vaccination dans le pays.

Romain Gherardi se bat contre l’aluminium contenu dans certains vaccins, sachant que des alternatives plus qu’intéressantes existent mais comme cela arrive très souvent, elles sont abandonnées. L’aluminium utilisé en adjuvant est dangereux, et cette fois-ci, c’est un spécialiste des maladies neuromusculaires qui l’explique, il en faut plus pour refuser de se faire vacciner dans l’avenir? Il semblerait que oui, puisque suivant certains, il n’y a aucun problème avec l’aluminium contenu dans les vaccins: “La plupart des informations suggérant que les vaccins présentent des dangers sont des impostures scientifiques. Vous avalez bien plus d’aluminium avec vos capsules de café qu’en vous faisant vacciner!

Le professeur Romain Gherardi publie ce mercredi un ouvrage où il retrace ses recherches qui l’ont mené à lier une pathologie émergente aux sels d’aluminium dans les vaccins…

 

« Je veux des vaccins plus sûrs », insiste Romain Gherardi. Ce spécialiste des maladies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil), publie Toxic Story (Actes Sud) ce mercredi, où il retrace son « chemin de croix » pour prouver le danger de l’aluminium dans les vaccins. Le professeur détaille étape par étape ses questionnements sur une maladie émergente, la myofasciite à macrophages. Puis ses expériences qui le mènent à lier cette pathologie aux sels d’aluminium présents dans certains vaccins.

Polémique sur les sels d’aluminium

Une découverte qui va lui coûter cher. Dans son livre, le professeur explique comment les portes se sont fermées une à une. Et combien ses recherches ont crispé le milieu médical. « Mais il y a six équipes de chercheurs dans le monde qui lient le syndrome de fatigue chronique aux sels d’aluminium, se défend le directeur de recherche à l’Inserm. « Mes recherches contredisaient un dogme qui stipulait que l’aluminium était rapidement éliminé par les urines. Mais le monde du vaccin répétait tel un moulin à prières que ces adjuvants étaient inoffensifs. Il existe des collusions entre le monde médical et les industries pharmaceutiques. Les agences médicales, qui devraient protéger les patients, s’intéressent surtout aux intérêts de l’industrie », attaque le professeur. Finalement, après bien des déboires, le ministère lui octroie 150.000 euros pour poursuivre ses recherches en 2012. « J’espère sortir du conflit avec les agences sanitaires, reprend le professeur. Mon travail prouve qu’il existe des facteurs génétiques qui expliquent les liens entre sels aluminiques dans les vaccins et cette pathologie. Ces patients ont une difficulté spécifique à digérer les adjuvants aluminiques qui persistent et se promènent dans leur organisme. On pourrait détecter par des tests génétiques ces individus à risques. A condition d’accepter qu’il existe un problème avec les adjuvants aluminiques. »

Débat sous tension

Ce qui est loin d’être le cas. Romain Gherardi semble bien seul face au discours officiel rassurant. « Il y a un excès de critiques contre les vaccins dans les médias, regrette Jean-Marie Cohen, épidémiologique et responsable d’Open Rome (Réseau d’Observation des Maladies et des Epidémies). La plupart des informations suggérant que les vaccins présentent des dangers sont des impostures scientifiques. Vous avalez bien plus d’aluminium avec vos capsules de café qu’en vous faisant vacciner ! » Un argument avancé également par l’Académie de médecine, qui soulignait en 2012 que la quantité contenue dans les injections reste bien plus faible que celle que nous ingérons via l’alimentation. Deuxième argument : les adjuvants sont nécessaires pour favoriser une réponse immunitaire efficace. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) assure que « au site d’injection, la présence d’aluminium favorise le recrutement de cellules de l’immunité, favorisant ainsi la réponse immunitaire adaptée. L’ajout d’adjuvant dans les vaccins permet, par ailleurs, de diminuer la quantité d’antigènes par dose vaccinale, et de réduire le nombre d’injections. » Et l’ANSM de souligner que la communauté scientifique a eu le temps depuis 1928, introduction de l’aluminium dans les vaccins, d’évaluer sa toxicité : « Les sels d’aluminium figurent parmi les adjuvants les plus utilisés dans le monde avec un recul d’utilisation de 90 ans en termes de tolérance, en nombre de personnes vaccinées (centaines de millions) dans le monde entier et en termes d’expérience sur des dizaines d’années. »

« L’incertitude mine la confiance »

Si beaucoup de médecins regrettent que les polémiques à répétition sur les vaccins encouragent le public à se détourner de ces injections qui sauvent des vies, Romain Gherardi souligne que c’est par la transparence qu’on rétablira la confiance. « Je suis pour les vaccins, mais contre les adjuvants aluminiques, martèle le professeur. Si on veut que la population ne tourne pas le dos aux vaccins, il faut sortir de la langue de bois et expliquer que tout risque est traité. Et donc financer la recherche sur ces problèmes aujourd’hui niés. L’incertitude mine la confiance. » Car la méfiance vis-à-vis des vaccins est déjà installée.

Article complet sur 20minutes.fr

À chacun de faire ses choix, suivant ses convictions.

Benji

7 Commentaires

    • Petite remarque :
      très utile et informatif votre pdf en scanner, mais je vous indique qu’il est possible de compresser facilement par un facteur 10 à 50 son volume pour les photos (exemple irfanview gratuit ).

      Sinon étant souvent piqué par des épines pointues ( des centaines de fois ), je fais saigner fortement, ce qui avec l’oxygène du sang et de l’air et des antiseptiques, bloque les bactéries anaérobies et protège bien sur moi depuis des décennies sans vacciner contre le tétanos sans cesse ,

      • je suis du même avis. M’étant, il y a quelques années, enfoncé un piquet rouillé et plein de terre dans le muscle de la cuisse à la suite d’une chute, je me suis traitée avec de l’eau oxygénée dont je renouvelais l’application plusieurs fois par jour. J’ai marché trois mois avec une canne, en boitant mais nulle infection ne s’est manifestée. J’avais téléphoné à mon médecin, qui a été totalement d’accord avec ce traitement que je m’étais donné.
        D’ailleurs, le vaccin contre le tétanos ne vaut rien, car quelqu’un de vacciné pourtant peut très bien attraper la maladie peu de temps après.

  1. Les vaccins sont basés au départ, sur le fait que nous ne pouvons avoir qu’une fois certaines maladies, et donc si on subit cette maladie de façon atténuée, on en est protégé pour la vie .
    Pour la variole c’était efficace, il y a plus de 200 ans, mais avec une vaccination violente néanmoins, même si la plupart du temps, ce n’était rien par rapport à la variole elle même, sauf rares graves accidents, justifiés et acceptables parce que les épidémies de variole faisaient énormément de morts !

    Mais actuellement, les vaccins sont faibles inactivés sans danger à court terme, au point de ne pas vacciner correctement , et donc on ajoute un adjuvant pour stimuler ou secouer notre système immunitaire et lui faire considérer sérieusement ce vaccin pour nous immuniser.
    Ainsi tout adjuvant doit être violent, voire un poison, à faible dose, ce qui est le cas de l’aluminium.

    Mais tout autre adjuvant efficace va avoir des effets de poison différents, mais dangereux à long terme, car sinon en ne perturbant pas assez notre organisme, la vaccination est peu efficace.

    Aussi, toute vaccination présente des risques cachés surtout à long terme, et donc il faut bien peser le rapport avantages sur risques avec des études épidémiologiques sérieuses dignes de confiance.

    Les scandales passés détruisent cette confiance envers des lobbys qui sont de fait peu rendus responsables de leurs erreurs graves et mensonges, très difficiles et longues à prouver.

    Vacciner contre une maladie qu’on peut avoir plusieurs fois dans sa vie, est contradictoire avec le principe du vaccin et donc conduit à vacciner sans cesse de façon très peu crédible, car même vacciné, on attrape la maladie, mais la vaccination à répétition sans cesse est une pompe à fric idéale pour les lobbys !!

  2. Mais il est con ce monsieur Cohen ou quoi?
    Avaler l’aluminium avec les capsules ou se le faire injecter par intraveineuse c’est différent.

    Essayez de vous injecter de l’eau vous verrez la réacton de votre coeur, et pourtant on boit des litres sans que rien nous arrive.

    J’ai vécu le traitement de la tuberculose mais le diagnostique final a posé une silicose mineure. Le professeur spécialiste pneumologue m’avait dit que mon vaccin de la tuberculose était bien périmé depuis longtemps et qu’il pouvait être efficace que 10 ans. Il m’avait dit qu aussi les vaccins pour cette maladie ne servaient plus à rien vu l’évolution de celle-ci.
    Ce fut en 2007 avec le professeur Tschop.

  3. La relation vaccination et allergies alimentaire.
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/la-relation-vaccination-et-allergies-alimentaire.html

    Bien que beaucoup de gens sont conscients du lien entre les vaccins et les cas d’autisme chez les enfants, ce qui est pas si communément connu est le fait que les vaccins causent aussi des allergies alimentaires – et les Centers for Disease Control (CDC) a même corroboré le lien dans un de leurs propres études.

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