Nous avons eu la « sodomacronite », préparez-vous à connaître la suite qui s’annonce mémorable!

Cela pourrait être le nom d’une maladie, c’est pourtant un mal nettement pire, il ne s’attaque pas directement à vous ou vos enfants, il s’attaque au système dans lequel nous vivons chaque jour, et ses protections disparaissent les unes après les autres. La « sodomacronite » est une loi imposée grâce à l’article 49.3 de la constitution, cette même constitution qu’ils ne respectent pas lorsque cela la plupart du temps. Cet article bien pratique ressorti 3 fois pour faire passer la-dite loi scélérate est ici comparable à une plaquette de beurre dans son intégralité, et c’est passé sans-même que l’ensemble des français en soient réellement informés.

Cette sodomacronite est expliquée plus en détail ici, elle permet de faire sauter nombre de verrous protégeant les travailleurs français, grâce aux 1000 amendements contenus dans cette loi fourre-tout, et sur les 1000, il y a de tout, il y en a pour les notaires, il y en a pour les petits ouvriers, il y en a même pour les fêtes religieuses, certains fêtes chrétiennes devraient disparaître pour laisser place à des fêtes issues d’autres religions. Bien sûr, il y a de bonnes idées comme la réduction des délais d’attente pour le permis de conduire, en transformant les postiers en examinateurs par exemple, mais les bonnes nouvelles sur cette loi sont relativement peu nombreuses…

poids-du-code-du-travailSource de l’image: Je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr

Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que cette loi Macron fait partie de la mise en place du TAFTA, afin qu’au final la France puisse être totalement intégrée et digérée par l’Union Européenne. Les protections ayant sauté, la réforme du code du travail peut maintenant commencer, quitte à détruire l’emploi dans le pays, autant le faire à fond

, et cette réforme risque d’être encore plus douloureuse que la loi Macron qui étrangement, n’a pas trop été dénoncée par les médias français même si des manifestations de protestation sont organisées, comme celle de demain à Strasbourg

Car ce qui nous est expliqué, par Bruno Lemaire entre autre, c’est que le code du travail créé du chômage, et qu’il faut réduire le nombre de pages de ce code de 3700 pages à 150 pages! Ce ne sont ni l’incompétence volontaire de nos politique ni l’accord TISA qui sont responsables du chômage, non, c’est le nombre de pages en trop dans le bouquin, dingue non? Et au passage, comme l’explique cet article de Reuters, ils vont pouvoir en profiter pour baisser le coût du travail sur demande des grands patrons, ou encore pour faire disparaître le CDI comme le demande l’OCDE (ceux à l’origine du TAFTA). Rappelez-vous que la baisse des salaires est avant tout une demande de la Goldman Sachs, demande reprise plus tard par Bruxelles, et que cela a été annoncé dès 2012.

Juste pour le petit rappel, cela date de Juin 2013, et c’est en partie ce que la loi Macron impose:

  • D’envoyer valdinguer ce qui reste de souveraineté dans les grandes entreprises franco-françaises
  • Alléger les charges des patrons, et surtout des grands patrons qui n’ont aucun souci réel pour ces « contributions »
  • Simplifier la loi sur les heures d’ouverture des magasins
  • supprimer les tarifs réglementés sur le gaz et l’électricité, attention à vos factures, là on va nous proposer du lourd…
  • introduire la concurrence sur le rail et l’énergie
  • la question du salaire minimum, et c’est là que le cela devient délicat…

Le pire, c’est que ce code du travail, on vous explique en plus que oui, vous êtes d’accord, vous souhaitez qu’il soit réformé au nom de la lutte contre le chômage:

Selon cette enquête publiée ce jeudi 3 septembre pour « BFM Business », « Challenges » et Aviva Assurance, 75% des personnes interrogées se disent pour « une réforme du code du travail » et 64% à « la création d’un contrat de travail plus flexible ». Ils jugent à 57% que rendre plus flexible le contrat de travail faciliterait la création d’emplois.

Sur ces réformes, les clivages partisans ne sont pas très marqués : ainsi 74% des sympathisants de gauche et 77% des sympathisants de droite sont pour une réforme du code de travail. L’idée de créer un contrat de travail plus flexible rencontre l’approbation de 58% des sympathisants de gauche et de 71% des sympathisants de droite.

En revanche, 57% des Français se montrent opposés à « la possiblilité pour les entreprises d’embaucher et de licencier plus facilement ». Sur ce point les préférences partisanes sont plus sensibles (65% sont contre à gauche, seulement 46% à droite). Pour mener des réformes économiques et sociales efficaces en termes d’emploi, une forte majorité de Français (66%) fait davantage confiance à la négociation entre syndicats et patronat qu’à l’Etat et au Parlement.

Article complet sur Boursorama.com

Nous nous devions alors de proposer ce billet de Charles Sannat sur le sujet, à faire tourner sans modération (comme l’article en intégralité tant qu’à faire…):

« Hallucinant ! Le PS fossoyeur du droit du travail ! » L’édito de Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

Voyez-vous je pense et je l’avais déjà écrit dans un article intitulé « la bataille de l’emploi est déjà perdue » et publié par le l’un des plus gros médias belge en 2012, que réduire le coût du travail, alléger les charges, ou réduire le droit, supprimer le SMIC, tout cela n’a aucun sens économique sinon que de nous amener dans une spirale déflationniste mortifère et c’est une évidence.

L’emploi de masse bien payé est déjà mort !

Entre les délocalisations, les pays à main-d’œuvre low cost, les progrès de l’informatique et l’arrivée de la révolution robotique l’emploi salarié tel que nous l’avons vécu et connu au 19ème et 20ème siècle est mort.

Souvenez-vous de la révolution industrielle, des luttes des camarades pour arracher de haute lutte à un patronat sans foi ni loi quelques avantages, souvenez-vous de l’arrivée du droit social plus connu sous le vocable droit du travail.
La gauche n’y est pas étrangère évidemment, en particulier les « communistes » des différentes époques.
Ni pour ni contre, telle n’est pas la question mais le constat historique. Essentiellement la gauche a permis aux masses de passer du « salaire de subsistance » au salaire de confort. Les travailleurs sont devenus des consommateurs solvables soit dit en passant aussi pour le plus grand profit des entreprises.

Terra Nova, le think-tank qui pense une nouvelle ligne Maginot…

Et dire qu’à gauche nous n’avons plus d’audible, en terme d’idée, qu’un think tank du nom de Terra Nova dont la dernière trouvaille consiste à croire que le « prôôôgrès » (car Terra Nova se défini comme progressiste ce qui veut dire l’exact contraire) c’est détruire le droit du travail en espérant lutter ainsi contre le chômage.
On ne luttera pas contre le chômage de cette façon-là car très bientôt de toutes les façons, même avec un salaire faible les robots seront plus rentables que les hommes et nettement moins pénibles à gérer. Regardez l’exemple de cette usine Foxconn (oui celle qui fabrique tous vos i-machins et autres i-bidules) et bien Foxconn remplace avec constance 1 million de ses ouvriers par 300 à 400 000 robots…

Le grand principe du rapport Terra Nova ? La loi est inutile… or la loi fonde un Etat!

Ce sera au niveau de l’entreprise que les règles du droit du travail seront fixées. La loi ne doit plus avoir qu’un rôle secondaire…

D’ailleurs la loi « ne sert à rien » (ironique évidemment). Comprenez-moi bien, la loi sert à protéger le faible contre le fort.

Lorsque les entreprises veulent, militent, corrompent pour imposer les traités qui consacrent les tribunaux privés d’arbitrages c’est pour s’affranchir des lois et des juges qui protègent les pauvres, les faibles.

Qui sont les faibles ?

Les particuliers par opposition aux entreprises.
Les salariés dans un monde de chômage de masse par opposition aux patrons.
Les pauvres sans éducation par opposition aux riches biens formés.
Les malades par opposition aux biens portants…
Le vieux retraité par rapport au jeune actif…
Et vous, nous, moi, eux, nous serons tous faibles à un moment de notre vie et dans un monde injuste la loi (aussi critiquable soit-elle) permet de s’extraire de la loi du plus fort.

Je cite ce passage édifiant de la Tribune

« En d’autres termes, Cette/Barthélémy veulent que chaque entreprise puisse bâtir son propre droit du travail et ce n’est qu’en l’absence d’accord que la loi ou le règlement serait applicable dans l’entreprise.

Des accords qui s’imposent aux salariés

Mieux, cet accord d’entreprise serait également imposable au salarié qui ne pourrait plus arguer que son contrat de travail contient des dispositions plus avantageuses pour refuser son application, sauf s’il s’agit vraiment d’un « élément substantiel absolu » du contrat (la qualification par exemple).

Si un salarié refuse l’accord, il pourra alors être licencié sans aucune autre motivation à fournir par l’employeur. Il s’agirait d’une « rupture sui generis » qui permettrait cependant de s’inscrire à l’assurance chômage mais qui ne donnerait aucun droit en matière de reclassement comme cela existe lors d’un licenciement économique. Cette et Barthélémy imaginent même que l’indemnité de départ servie au salarié pourra être prévue par l’accord collectif d’entreprise…

Le salarié licencié ne pourra donc pas revendiquer l’indemnité conventionnelle fixée par la branche, voire l’indemnité légale fixée par le Code du travail… »

Vous devez comprendre que c’est la fin de toute protection sociale et la fin du salariat

J’aurais l’occasion de revenir très longuement et de façon très spécifique sur les stratégies de protection personnelle à mettre en place dans les plus brefs délais pour vous adapter à la période de changements majeurs qui s’ouvre devant nous.

Le monde change, que cela nous plaise ou non. Nous pouvons lutter, expliquer que cela ne changera rien au taux de chômage, cela nous sera imposé car la démocratie que nous connaissions, sans tambour ni trompette s’est effacée dans le silence assourdissant des pantoufles pour laisser la place au totalitarisme marchand.

C’est à chacun de nous de choisir si nous en serons une victime consentante, ou si nous résisterons en utilisant des moyens qui vont permettre d’assurer notre liberté individuelle.

Et la première chose à faire, ce n’est pas de se lamenter.

C’est de réfléchir à ce que je ferai demain si je perdais mon travail ?

Comment assurer mon employabilité ?

Comment investir dans ma personne ?

Comment avoir plus de valeur sur cet immense marché impossible du travail ?

Comment, être un intermittent du spectacle capitaliste qui ne soit pas misérable et condamné à un salaire de subsistance ou aux minimas sociaux et sans espoir d’en sortir ?

En attendant, préparez-vous, il est déjà trop tard !

Charles SANNAT

Source: Insolentiae.com

Tout est lié, le TAFTA va pouvoir être mis en place, en toute tranquillité, et avec l’aide de nos politiques qui sont pourtant censés nous défendre!

15 Commentaires

  1. je n’ai plus de mots pour exprimer ma colère
    et que dire de ce silence …. assourdissant des français ?

    • Assourdissant est bien le mot. Mais nos compatriotes croient toujours les beaux parleurs (il suffit de constater leur attitude lors des élections !) et ont perdu depuis longtemps le sens du raisonnement et de l’analyse. Ceux qui ont un emploi cherchent à le préserver en faisant profil bas, les autres pour peu que leurs indemnités de chômage soient à peu près correctes attendent la suite en silence. Et ceux qui ne l’ont plus, n’ont plus la force de protester et subissent plus ou moins en silence la situation. enfin, tout ce monde écoute attentivement les merdias à qui ils ont délégué leur pouvoir de penser et de s’indigner.
      Triste époque, mais il n’y a pas de miracle, nous avons tous ce que nous méritons, depuis longtemps des sonnettes d’alarmes ont été tirées… en vain, et ceux qui les agitaient traités de pessimistes et de cracheurs dans la soupe.

      • Bonjour@Graine de piaf,

        Tout à fait d’accord.

        Ayant l’habitude d’aller boire un petit café au bistrot du coin de temps en temps, près de chez moi, j’ai failli me faire agresser physiquement.
        Pourquoi ?
        Pour avoir voulu expliquer la connerie de nos dirigeants dans l’affaire des migrants, le chaos provoqué dans ces pays par nos agressions guerrières injustifiées, et où elle nous avait amené.
        Alors ? Demain ?
        Je la ferme et cogite très fort pour trouver « ma » solution pour partir de ce continent.
        Oui, « continent », qui est composé d’individus qui sont oppressé par un ensemble de règles(de l’ue) qui les frustrent et ne les comprenant pas, par incapacité d’analyser et s’informer correctement.
        La grande majorité se contente de la « messe » des merdias en la fermant et courbant l’échine, mais en défendant bec et ongles ces mêmes merdias.
        Pour d’autres, c’est le prétexte de laisser éclater la colère qui sommeille en eux.
        Une petite minorité essaie de s’informer et de trouver des solutions de survie.
        Sur le plan politique, ce n’est pas mieux.
        Ceux qui ne partagent pas la « bible » de l’ue, sont bâillonnés, et l’UPR qui en fait partie ne pourra atteindre un score significatif*, pouvant lui permettre d’avoir une parole publique que dans quelques années.
        Bien trop tard pour éviter les accords tisa-tafta et consorts.
        Dans tous les cas, la très grande majorité ne veux pas remettre en cause la « doxa »(but) générale, ne sachant par quoi la remplacer.
        Mais l’agressivité est latente ne demandant qu’à exploser.
        Alors ?
        C’est la fin des « haricots », et se sauve qui peut !

        *j’ai lu quelque part, il y a très longtemps, qu’il fallait atteindre les 5% de la population pour avoir une influence significative sur celle-ci.

    • quoi ? tu te moques du bébé syrien mort en Turquie alors ? et des autres enfants décapités par les musulmans dans leur califat ?
      tout ce qui te préoccupes c’est ton salaire a la fin du mois, ton niveau de vie …

    • Les français sont les premiers consommateurs de médicaments pour le cerveau (tranquillisants, somnifères, anti-dépressifs neuroleptiques, etc). Ceci explique peut-être en partie cela…https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_sad.gif

  2. Je pense qu’il va falloir nous habituer à vivre avec 450 euros par mois et nous démerder à côté pour notre survie. Avec la politique US TAFTA que l’on veut nous imposer nous allons vers de plus en plus de pauvreté en Europe.

    40 % de la population des Etats-Unis, les 40 % les plus pauvres, possèdent 0,3 % c’est à dire trois dixièmes de un pour cent, de la richesse des Etats-Unis, 20,5 millions d’Etasuniens ont des revenus inférieurs à 9 500 dollars par an, 6 millions d’Etasuniens ont comme seul revenu les tickets de nourriture, 20 % les plus riches possèdent 84 % de la richesse nationale, les classes moyennes en possèdent seulement 15,7 %.

    La destruction économique des Etats-Unis a profité aux méga riches qui possèdent maintenant des millions et des millions de dollars pour s’offrir tout ce que la vie peut offrir là où ça leur chante. Cette politique imposée à l’Europe n’est pas faite pour les petit gens mais pour le plus grand bien des plus riches.

    Mais soyons positif, celui qui n’a rien, n’a rien à perdre, mais gagne une chose essentielle, le sentiment de liberté que toutes les richesses du monde ne pourraient achetées en une vie.

    L’Amérique sombre dans la pauvreté – Les méga riches et les « bouches inutiles ».

    http://www.legrandsoir.info/l-amerique-sombre-dans-la-pauvrete-les-mega-riches-et-les-bouches-inutiles-counterpunch.html

  3. Bah maintenant au moins on sait pourquoi la gauche est passée…

    Ce genre de mesure aurait provoqué trop de remous si elle était venue de la droite, alors on fait de la pub pour la gauche, elle remporte les élections, et hop. Les gens de gauche qui auraient fait bien trop de vagues si la droite avait pondu une telle mesure râlent un peu, mais pas trop puisque c’est une mesure de gauche…

    Et en 2017, ils vont se dire « la gauche nous a trahi, votons à droite ». C’est marrant, mais j’ai comme une impression de déjà vu…

  4. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple… On peut proposer comme code du travail une simple phrase telle que :
    « Bosse et ferme ta gueule ! ».
    Le MEDEF (Mouvement Des Enfoirés Esclavagistes Friqués) et leur leader Gattaz en bavent depuis longtemps d’envie pleine et sincère !

  5. le toujours plus ! dans le fion !! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_sad.gif
    y’en a marre de cautionner cela .. comme un charlot apatride
    (sous merde)

  6. Et quand passerez vous a l’acte et sanctionnerez les responsables?

    Pour cela il faut vous former a une chose qui vous semblera assez retro. L’éducation populaire.
    http://www.vuncf.org/?p=2864

    Il y a un lecteur, n’hesitez pas a écouter

  7. Il y a déjà bien longtemps que le monde ouvrier ne défend plus ses droits et, par ignorance et par flemme de s’informer.Donc cela ne changera rien pour ces imbéciles heureux que j’ai rencontré en grand nombre durant ma carrière professionnel.
    Le code du travail pourrait faire un sacré régime qu’ils ne s’en apercevraient même pas!
    Les syndicats! ce n’est que de la politique avec les mêmes revendications d’une entreprise à une autre pour y foutre le bordel et récolté des adhérents. Ils signes des protocoles d’accord jamais respecté que tout le monde finira par oublié bien content de retourner derrière leurs machines qu’ils affectionnent.
    Tout le monde à peur pour son petit train train fait de week end de débauche en discothèque et d’achat inutile en tout genre. De temps en temps on s’enfile un rail de coc ou d’autre saloperie du genre et on se sent un surhomme prêt à niquer tout ce qui bouge.Bienvenue dans une société décadente qui construit des couards à la chaîne.
    Il ne faut donc pas s’étonner d’une population amorphe qui se laisse mener à l’abattoir sans rien dire en se disant jusqu’ici ça va…du moins pour MOI.

  8. C’est bien joli de ratiboiser le Code du Travail, mais c’est la clé de voûte du Droit du Travail : Tout ce qui aura été enlevé du Code, devra être renégocié au niveau des conventions collectives et autres accords de branche et d’entreprise.
    Et avec quels partenaires sociaux cela va-t-il se négocier ? Les syndicats ? Cette blague … Ils ne représentent plus qu’eux-mêmes, et pour ne citer que l’affaire des enveloppes de l’UIMM, on sait la confiance qu’on peut leur accorder.
    S’il n’y a plus de textes ni de syndicats pour encadrer les choses, non seulement ça va être l’anarchie, mais en plus les entreprises vont devoir dépenser plus au final; gestion des compétences, fidélisation des bons éléments (salariés on indépendants) par la rémunération, recrutement plus difficile si on a une mauvaise image sur les réseaux sociaux (connaissez-vous https://www.kwigr.com/fr/ ?), etc. Cette pseudo réforme de compétitivité est en fait un nid à « coûts cachés » …
    Le travail va devenir un produit de consommation qui se vend au lieu d’être un facteur de production qui s’achète, les gens ne se casseront plus le tronc pour garder leur place si l’effort est surdimensionné par rapport à ce qu’ils en tirent.

Les commentaires sont clos.