Moi, Premier ministre, je tuerais un tiers des Portugais
Une telle chronique, aussi féroce de la part d’un journaliste, est intéressante. Bien sur nous en avons certains en France dont la plume peut se montrer relativement acide, mais là, j’ai l’impression qu’un sommet à été atteint. Maintenant, je suis persuadé que ceux qui s’informent un peu vont tout de…