Beaucoup connaissent Pierre de Châtillon, du site incapable-de-se- taire. Le texte que vous allez lire, écrit en 2012, ne s’adresse pas qu’aux québécois, il peut être généralisé à l’ensemble des pays. Vous pourrez y reconnaître le mode d’emploi, pour vous faire accepter d’être « les dindons de la farce », avec bonne conscience et en toute bonne foi. Partagez!! Merci Pinpin.
Le syndrome du dictateur.
Serions-nous victimes d’un plan qui ne nous appartient pas, un vulgaire stratagème utilisé contre le peuple?
Voici comment ils fraudent les élections au Québec, au Canada, ainsi que dans tous les pays du monde.
Le stratagème.
Sous l’emprise d’une menace latente occasionnant tension et frayeur, tout membre d’une communauté tendra toujours à se rallier à l’autorité la plus despote, celle ayant recommandé les mesures les plus fermes et les plus sévères, sans égard aux conséquences à long terme.
Cette irritabilité sociale est plus importante à l’automne qu’à tout autre moment de l’année, qui est aussi le moment où culminent la plupart des crises importantes dans le monde.
Dès que ces tendances furent connues, il ne restait plus à un gouvernement qu’à être restrictif en surfant sur les crises. Guerre, crise économique, révolte, terrorisme, épidémie, toute crise suffisamment importante pour engendrer une nervosité sociale engage ce mécanisme.
Grâce aux médias, toutes les crises de la planète se produisent dans notre cour.
En donnant beaucoup d’espace et d’attention aux crimes extrêmes, en répétant fréquemment, en sélectionnant des crimes impliquant des victimes plus vulnérables ou des criminels plus invincibles et en démontrant un pessimisme rampant à propos du système de justice, les médias offrent une perception tordue de la société et jouent sur un équilibre délicat de la perception publique sur son propre environnement, instaurant dans la société un climat de peur conduisant mêmes les préférences des choix de politiques publiques sur le crime. Selon Michael O’Connell, un chercheur irlandais qui a tenté de répondre à ces questions en 1999, bien que l’Irlande possède un taux de criminalité relativement bas à cause du traitement médiatique tendancieux, les Irlandais se perçoivent eux-mêmes au coeur d’une crise de la criminalité.
Exit le sens critique. Muni d’une vérité de pacotille qui ne dépasse pas celle des sondages et de la richesse des commanditaires, sous la férule d’un chef de pupitre menant les claques pour sa cohorte toute nouvelle d’ex-politiciens, avocats, policiers et autres collaborateurs tout acabit, ils sont devenus des spécialistes à montrer l’odieux des uns et le professionnalisme des autres sous toutes les coutures, tous les angles avec toute la gamme d’émotions, distillant longuement le venin. La médiatisation criarde des évènements diffusés en boucle 24 heures sur 24, parsemés d’éditoriaux extrémistes sur la base d’anecdotes, entraîne une charge émotive d’insécurité dans la population qui redirige son choix de gouvernance en fonction d’un encadrement plus ferme.
Les évènements
L’effet physiologique conditionnant cette frayeur est déterminant dans les 20 jours et son action persiste plusieurs semaines. L’art du métier consiste à planifier l’élection au plus près de cette crête d’évènements et entre-temps de démontrer une main de fer, tout en encourageant un crescendo de frayeurs grâce aux médias.
Il y a des crises générales et d’autres locales. Il y a des crises qui se produisent au hasard et d’autres qui n’en sont pas. Ils possèdent une préconnaissance des crises à venir. Pour ceux qui ont soif du pouvoir et ils sont nombreux, attendre la vague n’est pas suffisant. Lorsqu’elle n’arrive pas, ils la créent.
Une controverse sociale est montée en épingle et portée sur tous les écrans. Toujours sous le drapeau des droits et de la société de justice, le gouvernement réagit par l’élaboration d’une loi restrictive qui crée de l’insatisfaction dans une frange en marge de la population qui engage aussitôt des protestations et des manifestations. Naturellement, l’opposition parlementaire qui s’insurge des méthodes draconiennes, prend une position diamétralement opposée à celle de la gouvernance, et se retrouve ainsi coincée dans une position paradoxale, à mi-chemin entre la paix sociale et le support aux opposants du pouvoir. S’ensuit une série de provocations par des gestes et des clichés jetés à la volée qui exacerbent la situation, avant que les injonctions, lois ou ultimatums ajoutent à l’insulte et provoquent une lourde confrontation avec sang et prison, le tout dans un portrait présenté par des commentateurs médias au ton solennel et au souffle court.
Personne d’autre n’existe. Dès que cet arc-boutement de la population est en place et que les griffes sont sorties, la polarisation est complète et divise la société de haut en bas. Il n’y a plus que le parti et les opposants du parti.
Le syndrome du dictateur se sert des peurs inhérentes à notre nature même.
Le Québec
Tout y est. C’est la même histoire adaptée à la saveur du moment, les mêmes acteurs dramatiques, le même lancement de méga projets, le même bradage des ressources, les mêmes accointances à saveur mafieuse, le même patronage éhonté, les mêmes amis et associations d’amis, les mêmes controverses sociale divisant inutilement la population, les mêmes créations de commission d’enquête bidon qui n’en finissent plus de finir, les mêmes lois restrictives, les mêmes manifestations, la même contention sociale, les mêmes violences, le même sang, les mêmes prisons, bientôt les mêmes morts d’hommes, la même armée et le même résultat d’élection que partout ailleurs.
- Le 19 septembre 1962, Jean Lesage alors premier ministre libéral, annonce des élections pour le 14 novembre 1962. Le 14 octobre, la crise des missiles cubains débute et se termine le 28 octobre, quand Krouchtchev renonça à ses missiles. 18 jours plus tard, Jean Lesage est élu.
- Le 8 avril 1966, les policiers de la Sûreté du Québec se syndiquent. Le 18 avril, Jean Lesage alors premier ministre du gouvernement libéral, annonce des élections générales pour le 5 juin. Le 25 avril, les policiers de la SQ entament leur première grève qui se termine le 1er mai. Le 5 mai une bombe felquiste explose et le 3 juin, une charge de dynamite saute sur les lieux du dernier rassemblement libéral de la campagne. 48 heures plus tard, l’Union nationale de Daniel Johnson, ceux qui furent nommés les vieux bleus, remporte les élections.
- Le 27 avril 1970, les médias annoncent que 9 camions de transport de devises de la Brinks remplis de valeurs mobilières et gardés par 30 policiers armés ont quitté le siège social de la Trust Royal pour Toronto. Un évènement qui a occasionné beaucoup d’émoi. Suivant ce qui fut appelé le coup de la Brinks, Robert Bourassa et les Libéraux remportent l’élection haut la main le 29 avril, 48 heures plus tard.
- Le 26 septembre, Robert Bourassa alors premier ministre et chef du Parti libéral annonce des élections pour le 29 octobre. Le 6 octobre 1973 démarrait la guerre du Yom Kippur, le 16 octobre l’OPEP décide d’augmenter le prix du baril de pétrole unilatéralement de 17 % tout en diminuant la production. Le 19 octobre, c’est l’embargo pétrolier, un évènement qui perturba la planète entière. 10 jours plus tard, Bourassa remporte les élections haut la main.
- Le 28 juin 1989, les infirmières de la FIIQ rejettent l’entente de travail négociée avec le gouvernement. Le 9 août 1989, Robert Bourassa alors premier ministre du parti libéral annonce des élections générales pour le 25 septembre. Le 5 septembre, les infirmières de la FIIQ commencent une grève. Le lendemain, Québec fait adopter un décret qui dit qu’elles perdront un an d’ancienneté par jour de grève. Le 14 septembre, 200 000 employés de la fonction publique se mettent en grève. Le 25 septembre, 15 jours plus tard Bourassa remporte les élections générales.
- Le 12 mars 2003, Bernard Landry alors premier ministre du Québec, déclenche les élections pour le 14 avril. Le 15 de mars, environ 200 000 personnes à Montréal et 20 000 à Québec manifestent contre le déclenchement d’une guerre en Irak, 2 mois après le reste de la planète. Le 19 mars, la guerre en Irak commence avec l’invasion de l’Irak. Le 14 avril, 25 jours plus tard, John James Charest, alors chef du parti libéral remporte les élections.
- Au mois de mai 2008, nous apprenions d’un témoin identifiable, que le financier Paul Desmarais lui confiait la venue d’une crise financière pour l’automne 2008. Le 3 octobre 2008 démarre la crise financière planétaire dont les reprises se sont poursuivies des mois. Le 5 novembre 2008, John James Charest annonce des élections générales pour le 8 décembre, soulignant à quel point le Québec avait gagné sous leur présence et à quel point il pourrait gagner encore plus, dans la mesure ou « il pouvait avoir les deux mains sur le volant», signifiant par là qu’il espérait être en mesure de former un gouvernement majoritaire. Le 8 décembre 2008, 55 jours plus tard, il remporte l’élection générale dite « les deux mains sur le volant ». Le 25 février, 70 jours plus tard, la Caisse de dépôt et placement annonce une perte globale de $39,8 milliards pour 2008, pratiquement la moitié de sa valeur. Le premier ministre Charest dira : « Je n’en savais rien »
Vous croyez que c’est différent ailleurs? Vous vous trompez.
- Le 24 juillet de 1967, de Gaulle lance son fameux « Vive le Québec libre ». Le 14 octobre de la même année, René Lévesque fondait le mouvement de Souveraineté association. Devant la montée nationaliste du Québec, l’empire décida qu’il avait besoin d’un guerrier. Incidemment « Just-Watch-me Trudeau » était là. Le 14 décembre, Lester B. Pearson annonçait qu’il allait quitter le parlement au début de l’année suivante. Le 20 avril Trudeau devient premier ministre canadien non élu. Le Front de Libération du Québec, qui s’attaquait depuis quelques années déjà aux symboles de l’establishment comme la tour de la Bourse, l’Université Concordia ou des résidences de Westmountois influent, fut infiltrés d’agents provocateurs qui propulsèrent les actions spectaculaires de ce groupe en fournissant des moyens, jusqu’à la fête de la Saint Jean Batiste du 24 juin 1968, où Trudeau, à l’invitation du maire de Montréal de l’époque Jean Drapeau, fit l’affront de venir provoquer et fut alors hué. Ce fut le fameux lundi de la matraque qui se solda avec 290 arrestations et 125 blessés, raflant du coup les plus grands opposants au pouvoir en place, tout en garantissant la réélection de Trudeau 24 heures plus tard comme premier ministre du Canada. Just-Watch-me
- En dépit du fait qu’ils décident de modifier les élections canadiennes en 2006 afin qu’elles tombent dorénavant à date fixe, Stephen Harper chef du parti conservateur Canadien et premier ministre du Canada décide d’outrepasser sa propre loi pour rapprocher les élections de deux ans au 14 octobre 2008. Harper et les conservateurs sont réélus à peine 11 jours après le début de la crise financière, 48 heures après les menaces ayant conduit à l’explosion d’un pipeline de Colombie Britannique
- Un nouvel épisode du FLQ se développa en 1970 avec les enlèvements de Cross et Laporte. Invoquant un état d’insurrection appréhendé, c’est le 16 octobre que le premier ministre Canadien Trudeau décrète l’imposition de la loi des mesures de guerre au Québec garantissant du coup la réélection du maire de Montréal Jean Drapeau, qui avait réclamé ces mesures de guerre, aux élections qui se déroulèrent 9 jours plus tard.
Serons-nous surpris de constater que la période des présidentielles Françaises de 2012 a eu lieu à peine un mois après la cavalcade du tueur toulousain Mohammed Merah.
C’est comme ça partout dans le monde!
Je pourrais en ajouter des dizaines. Et je redoute en trouver des milliers. Un stratagème. Un plan vicieux qui se dessine de la même façon chaque fois que l’establishment place ses marionnettes au pouvoir. Ils sèment la zizanie dans le peuple pendant qu’ils se repaissent et se partagent le bien de tous.
Êtes-vous à même maintenant de réaliser les raisons pour lesquelles quantité de pays qui comme le Canada, ont modifié le calendrier des élections pour les placer à date fixe à l’automne? Ou encore la quantité d’élections présidentielles, fédérales, provinciales, communales, municipales, qui ont eu lieu dans le monde dans les semaines suivant les attaques du 11 septembre 2001 et qui se sont retrouvées propulsées dans les mains d’une gouvernance restrictive?
Comme les élections se répètent généralement aux quatre ans, tout ce qui s’est fait élire à l’automne 2001 devait se faire rafraîchir en 2004 pour conserver l’initiative de la droite dans le monde.
C’est précisément ce qui s’est produit le 7 novembre 2004, alors que les troupes américaines lançaient un assaut majeur sur la ville de Fallujah en Irak, cinq jours après que George W. Bush ait été réélu au pouvoir et que le Néerlandais Theo Van Gogh ait été assassiné, un évènement qui fut alors présenté comme un complot terroriste.
En 2008, ce fut la crise financière qui servit ce même usage de catalyseur.
Perspective
Le premier ministre John James Charest n’a jamais voulu résoudre la crise des étudiants. Il ne souhaite pas museler la crise étudiante par des lois, il souhaite au contraire provoquer une véritable crise avec violence qu’il utilisera pour enserrer le peuple du Québec dans un carcan de lois et peinturer l’opposition dans le coin, en se garantissant encore les deux mains sur le volant, qui viennent de fait avec un mors dans la bouche.
Le parti québécois possède une structure interne plus difficile à corrompre et ce fut un soulagement de constater que c’était le seul parti qui n’avait jamais participé à ce crime. C’est pour cette raison que le Parti Québécois représente un grave danger à l’hégémonie recherchée.
De façon à profiter de cet effet au maximum, les tenanciers de la stratégie se sont manufacturé un poteau de support, un parti centriste offrant une position à mi-chemin entre le despotisme libéral et l’anti pouvoir du Parti Québécois. La CAQ, qui est sous l’emprise de ces mêmes tenanciers de la piastre, vise à récupérer toute une frange de la population qui souhaite des mesures moins radicales sans pour autant être associée à une opposition à la société de droit et justice, reléguant le Parti Québécois sur le banc arrière pour longtemps et garantissant un support inopiné à l’élaboration des politiques libérales. Ce qu’ils n’obtiennent pas avec un parti, ils l’obtiennent avec deux.
Ce n’est pas la première fois que ça se produit au Québec. Duplessis imposa la loi du cadenas en 1937, qui fermait arbitrairement tout ce qui avait l’air trop bolchevique. Elle fut déclarée inconstitutionnelle en 1957 par la Cour Suprême du Canada. 20 ans, durant laquelle elle fut abusive et occasionna beaucoup de malheur. Un processus d’abus temporaire comme le sera la loi 78. Ce ne sont pas des lois, mais un dispositif permettant la mise en place de mesures d’exception à longue portée.
Alors que la violence et les manifestations vont atteindre des sommets, les caméras des médias ne rouleront pas à l’avantage des manifestants, ni plus que les éditorialistes ou les commanditaires. Chaque épisode de violence deviendra à la fois un prétexte à resserrer encore plus les libertés et un appel à l’opinion publique en support à la répression. Les Libéraux feront tout pour associer le Parti Québécois au marasme qui secoue le Québec. Quelque part aux alentours d’octobre 2012 le gouvernement va lancer des élections pour la fin novembre. À une quinzaine de jours des élections, un évènement particulièrement insécurisant pour les populations comme une mort d’homme, ou une bombe, ou un appel à l’armée Canadienne, ou des actions militaires, ou une importante crise financière, sera propulsé sous les projecteurs, occasionnant une charge émotive telle qu’elle sera le moment ou le gouvernement libéral lancera une élection à très courte échéance.
Mais il faudra se l’avouer, les causes à controverse ne manquent plus au Québec. Depuis près de 10 ans maintenant que les Libéraux sont au pouvoir, ils ont eu le temps d’en semer une longue trace et ainsi de se préparer un siège au chaud pour nombres d’élections à venir.
Quel que soit votre pays, je vous suggère de porter une attention à ce stratagème électoral et son application dans votre propre pays. Il est connu depuis fort longtemps.
Analysé méthodiquement, il permet de connaître la nature et l’appartenance des individus qui nous gouvernent.
Qu’un groupe d’individus puissants aient décidés d’allier leurs efforts au maintien de leurs privilèges et dans la réalisation d’objectifs communs destinés à en retirer profit, est un crime de pouvoir qui n’a rien d’extravagant, dès que l’histoire peut prendre un peu de recul, il est possible de retrouver la signature de ces satrapes partout.
Establishment : Ensemble des gens puissants en place, attachés à leurs privilèges et au maintien de l’ordre établi.
Qu’ils le fassent au prix de notre paix sociale est un crime horrible!
Hurlons haut et fort, et réclamons la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Ils n’ont pas le droit de nous faire ça!
Diffusez largement. À l’automne, plus rien ne sera facile. Ne laissez pas les langues nous diviser, si vous pouvez traduire, faites le!
Mon nom est Pierre de Châtillon et nous sommes le premier juin 2012. Faites bien attention, car à partir de maintenant, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous.
Intéressant, mais pour Merah, comme pour l assasinat de la député britannique avant le Brexit, cela n a pas quand même réussi … sauf si le but était inverse !
Les moutons réfléchiraient ils plus ?
Le plan est que la société aille vers plus de restrictions peut importe si les électeurs votent ou non pour le candidat le plus autoritaire, celui qui remportera les élections mettra en oeuvre ce qui a été décidé. Notre président en est justement la preuve. Quand une orientation, un cap a été décidé par les décideurs de ce monde, ils ont plusieurs scénarios pré établi avant sa mise en oeuvre…« Peu m’importe de savoir quel pantin siège sur le trône d’Angleterre pour gouverner l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais.L’homme qui contrôle la monnaie de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire britannique, et c’est moi qui contrôle la monnaie. » ou encore http://youtu.be/hnIRVXIfNEo
« Comment faire accepter la dictature ? »
Tout simplement en répétant l’excellent slogan promût par nos oligarques :
« Votez ! Pour qui vous voulez (parmi celles et ceux que nous avons adoubés), mais VOTEZ ! »
En créant puis en gérant l’insécurité ,le pouvoir assure son avenir. Il se pose comme le dernier recours avant la barbarie totale et fait accepter au citoyen lamba l’inacceptable. Le troupeau est friand de sécurité. La liberté ne l’intéresse guère. Peu lui importe la longueur de la chaine pourvu que la pâtée soit bien grasse et abondante et que les coups de bâtons ne lui caressent pas trop les côtes. Ceci est une loi éternelle et ceux qui croient pouvoir la changer ne font que jeter des perles aux pourceaux. Pourceaux qui leur donneront le coup de pied de l’âne sans hésiter pour flatter leurs maîtres. En gouvernant par le chaos ,ceux qui détiennent les clefs du Système jouent pourtant un jeu dangereux. Aujourd’hui le golem musulman échappe à ses créateurs et risque de les détrôner.