« Les enfants doivent tous dépendre de l’éducation nationale, car celle-ci est en place pour leur apporter un apprentissage les préparant à l’avenir de la meilleure manière, en leur proposant un programme adapté, et en les orientant au mieux vers le monde de demain« . Dans les discours, ce sont les principales idées qui en ressortent, mais dans les faits, dans la réalité, il en est tout autrement… Car il faut bien également que ces mêmes enfants deviennent de parfaits petits consommateurs, ce n’est peut-être pas pour cela que Microsoft s’est payé l’éducation nationale, mais cette vente à bas prix passe quand-même assez mal. Il faut leur apprendre également des choses importantes, pas certaines grandes figures de l’histoire considérées maintenant comme peu utiles, comme Jeanne D’Arc, Charles Martel qui fait quand-même partie de l’histoire de France lui aussi, ni Napoléon, Clovis, Saint Louis, François Ier , Henri IV, Louis XIV, le programme doit aller au delà, même à leur donner la possibilité d’apprendre diverses langues dès le CP, l’anglais, l’italien, l’allemand, l’arabe…
Mais le véritable problème à l’heure actuelle pour le gouvernement, c’est « l’enseignement en famille« , une alternative dont mes enfants ont bénéficié passé un moment, et qui peut s’avérer beaucoup plus enrichissante. Mais certains de nos politiques pensent autrement, et souhaitent que plus aucun enfant n’échappe à l’enseignement scolaire « de la république », formatage oblige.
C’est avant toute chose le Collectif pour la défense de l’IEF (Instruction En Famille) qui tente au travers d’un communiqué de se faire entendre, car ce projet de loi qui date déjà de quelques mois risque de contraindre nombre de parents à laisser l’éducation nationale faire un travail aux résultats parfois plus que discutables…
La liberté d’instruction de nouveau menacée
En France, contrairement à une idée très répandue, l’école n’est pas obligatoire : seule
l’instruction l’est !
Nombre de personnes sont surprises de constater que des familles gardent leurs enfants à la maison pour les instruire elles-mêmes, au lieu de les confier à l’école de la République…
Ce droit à l’instruction en famille (IEF) est pourtant aujourd’hui menacé, comme beaucoup de libertés en ce moment dans notre pays !
Pourquoi le choix de l’IEF ?
Il faut arrêter de croire que les familles qui instruisent leurs enfants, sont des cas isolés, ou des marginaux, bien au contraire !
De plus en plus de parents de nos jours choisissent une éducation bienveillante choisissent tout naturellement l’option la mieux adaptée à l’éducation de leurs enfants : cours par correspondance, en école privée ou au CNED, enseignements personnalisés, libres et adaptés aux enfants.
Les raisons ayant poussées les familles à faire le choix de l’IEF sont très diverses mais
certaines raisons en particulier, reviennent plus que d’autres :
- le harcèlement physique et/ou moral ! 12% des écoliers et 10% des collégiens sont victimes de harcèlement. Dans les cas les plus graves le harcèlement peut conduire au décrochage scolaire, à la dépression et comme on le voit de plus en plus souvent dans les médias au suicide ! Le climat à l’école est devenu violent et le mal-être de beaucoup d’écoliers, bel et bien présent.
- les classes surchargées où l’enseignement ne peut pas être adapté aux enfants en difficultés, ou qui nécessitent plus d’attention, comme ceux, entre autres, atteins de dyslexie, TDH, etc…
- les phobies scolaires que beaucoup d’enfants développent suite à des expériences traumatisantes qu’ils ont connues à l’école. Certains enfants en viennent ainsi à perdre le sommeil, l’appétit et même leur joie de vivre, développant des maladies psychosomatiques à des degrés divers par rejet de l’école tout simplement…
- enfants en situation de handicaps divers, dont certains nécessiteraient un accueil adapté qu’il est alors difficile à trouver car les structures existantes sont déjà débordées, et trop peu nombreuses…
- l’inquiétude des parents face à la baisse du niveau et de la qualité de l’enseignement en France. On ne peut plus se voiler la face plus longtemps, force est de constater que le nivellement par le bas est bel et bien un fait (tests PISA ; rapport de la cour des compte ; rapport de l’OCDE)
Le nombre de familles ayant fait ce choix est en constante augmentation, et les
déscolarisations s’enchaînent, ce qui semble inquiéter le ministère de l’Éducation Nationale qui préfère encore une fois restreindre les droits et les libertés de ces familles au lieu d’obliger son personnel à respecter et à appliquer les lois déjà existantes… et ce alors que ces 10 dernières années, la France a vu le niveau de ses écoliers baisser de façon régulière, comme le montrent les chiffres officiels : en mathématique, le niveau de nos écoliers français se hissait en effet, difficilement, à la 22éme place en 2009, pour chuter encore à la 25éme place en 2012 (sur 65 pays), au classement Pisa mondial. En lecture, les écoliers français sont relégués à la 21éme place.
Malgré son rang de 5éme puissance économique mondiale, la France semble avoir énormément de mal à assurer aux enfants, qui lui sont confiés, un niveau d’instruction correct.Voilà qui semble très paradoxale, pour un ministère de l’éducation qui tient pourtant la première place dans les dépenses publiques !
Un nouveau décret :
Très récemment, le ministère a fait savoir qu’un nouveau décret allait sortir en juin 2016 et qu’une circulaire, remplaçant celle de 2011, verrait le jour pour la rentrée 2016, afin de durcir la surveillance des familles en IEF.
Le ministère souhaite en effet, désormais imposer les différents cycles du nouveau socle commun et soumettre les enfants instruits en famille à des tests de niveau, dans un lieu inconnu et avec des personnes inconnues. Non seulement ces changements ne respectent pas la liberté pédagogique des parents mais ils placent les enfants en situation de stress (certains se rendent malades et perdent le sommeil des jours avant le contrôle) et fait peser sur leurs épaules le risque d’un retour à l’école si jamais ils échouaient aux tests.
Il s’agit d’un comportement discriminatoire puisque les enfants scolarisés ne sont jamais testés par des inconnus, ou en dehors de leur classe et ne passent pas d’examens avant la fin de la 3me. De même, lorsqu’un enseignant est contrôlé (et là on est loin du contrôle annuel subit par les familles), ses élèves ne sont jamais testés par l’inspecteur.
Le but premier des contrôles prévus par la loi est de vérifier que les enfants reçoivent une instruction, et cela peut se faire sans tester les enfants : en discutant avec les parents, en regardant les supports utilisés et en consultant les productions des enfants, comme c’est déjà le cas dans de nombreux départements depuis des années.Modification législative par amendement :
Le ministère prévoit de modifier également une partie législative par amendement afin de pouvoir imposer le lieu du contrôle. Alors que jusqu’ici la loi prévoyait que le contrôle se déroule dans un lieu où l’enfant reçoit son instruction, le ministère voudrait ainsi pouvoir refuser les demandes des familles souhaitant que l’enfant soit contrôlé à domicile dans un milieu rassurant pour lui. Ce contrôle permet également de constater la diversité des supports qui sont souvent si nombreux qu’il est impossible aux familles de tout emmener lorsqu’elles doivent se rendre dans les locaux de l’inspection académique.Pourquoi l’IEF fait-il si peur à nos dirigeants ?
Si la menace de la radicalisation avait été évoquée au départ pour justifier ce remaniement, il n’en est aujourd’hui, étrangement, plus du tout question !Il semble en effet, que ce soit les chiffres de déscolarisation en constante augmentation, d’une part et le nombre de famille IEF faisant appel à la justice pour cause de non respect de la loi par le personnel de l’EN, qui inquiète le ministère, qui voudrait pouvoir continuer tranquillement à formater nos enfants, à les faire entrer dans le moule de futurs travailleurs et électeurs dociles, comme tend à le prouver l’appauvrissement des nouveaux programmes scolaires !Pourquoi les familles en IEF refusent ces nouveaux changements ?
Il faut bien savoir que les familles IEF sont déjà soumises à des contrôles très stricts, visant à constater qu’un enseignement est bel et bien donné aux enfants, avec pour objectif, l’acquisition du socle commun de connaissances pour leurs 16 ans. Ces contrôles sont effectués une fois par an, par des inspecteurs de l’Éducation Nationale, qui demandent bien souvent aux familles d’atteindre un niveau que les enfants scolarisés n’ont pas eux-mêmes, surtout dans les zones dites « sensibles ».
De plus ces contrôles coûtent cher à l’EN, alors que le ministère dit ne pas avoir les moyens de contrôler régulièrement tous ses enseignants en fonction !
Encore une fois, on demande aux parents et enfants en IEF, d’atteindre un niveau de perfection que l’Éducation Nationale est loin d’atteindre, puisqu’elle n’hésite plus, d’ailleurs, à recruter par exemple, des professeurs ou instituteurs, qui n’ont même pas obtenu la moyenne à leur examen, afin de combler le gouffre abyssale du manque d’enseignants dans certaines Académies…
Il ne fait aucun doute que le ministère de l’EN cherche le moyen de faire rentrer dans le rang ces parents qui osent exercer leurs droits en choisissant d’assurer eux-mêmes l’avenir de leurs enfants !
Pour finir, il ne faut pas oublier que la pratique de l’IEF a permis à beaucoup d’enfant de retrouver le sourire, la joie de vivre et le plaisir d’apprendre. Des études canadiennes notamment, montrent à quel point les enfants instruits en famille sont plus éveillés, plus sociables, et réussissent bien mieux au niveau de leur vie professionnelle !
De même, les plus grandes universités américaines (Stanford, Harvard, etc.) ont créé dès les années 80, des filières spécialisées pour les enfants issus de l’instruction en famille ; ces enfants étant réputés plus débrouillards et ouverts sur le monde, curieux et affirmés que les enfants qui ont suivi un cursus scolaire plus classique.
En France, au lieu de se remettre en questions et de respecter les droits des citoyens, on préfère restreindre encore et toujours leurs libertés !
Soutenez nous et demandez à l’Éducation Nationale de s’occuper en priorité des enfants qui lui sont confiés au lieu de perdre du temps et de l’argent à harceler les familles IEF !Collectif pour la défense de l’IEF
Notre page facebook : https://www.facebook.com/Collectif-pour-la-d%C3%A9fense-de-lIEF-490762107785869/
Et n’oublions pas qu’ils voulaient faire bien pire, en interdisant tout simplement l’école à la maison:
Projet de loi pour interdire l’école à la maison
Jusqu’à présent, 100% des terroristes islamistes de France sont issus des écoles publiques. Donc, pour lutter contre la radicalisation et l’islamisation, le député LR des Alpes-Maritimes Éric Ciotti vient de déposer un projet de loi visant à interdire l’école à la maison et à restreindre les conditions de création d’école hors-contrat. Si son objectif réel est d’éviter de nouveaux attentats en France, son projet de loi est complètement inapproprié. Sans vouloir faire de procès d’intention à ce député, l’objectif inavoué de ce projet de loi est peut-être autre, c’est-à-dire interdire la liberté pédagogique et accroître encore davantage le monopole de l’Éducation nationale.
En France, c’est l’instruction qui est obligatoire, non la scolarisation. Quelques parents choisissent, pour des raisons qui leurs sont propres, de faire eux-mêmes l’école à leurs enfants. Peut-être n’ont-ils pas envie que leurs enfants fassent partie des 30% d’heureux élus touchés par l’illettrisme. Ou bien que leurs enfants soient confrontés à la violence des autres enfants scolarisés ou des trafics qui gangrènent les écoles. Ou tout simplement qu’ils habitent loin d’écoles valables.
On sait que la République se méfie de l’école libre, car l’école de la République est d’abord un projet politique qui a pour finalité non l’instruction des enfants mais le formatage des esprits. Le hors-contrat est dans le collimateur de ce gouvernement, qui a diligenté de nombreuses inspections aux mois de novembre-janvier dernier afin de les surveiller et d’accroître la pression sur ces établissements. L’école à la maison, qui ne cesse de se développer depuis quelques années, est-elle aussi vue avec inquiétude. Comme il est difficile d’avouer ouvertement que l’on restreint les libertés fondamentales, il faut bien trouver un prétexte qui puisse passer.
Ici, c’est l’islamisme. Car, c’est bien connu, toutes les écoles hors contrats sont des madrasas qui apprennent aux élèves à manier des kalachnikovs, et toutes les familles qui instruisent elles-mêmes leurs enfants sont des salafistes en recherche de radicalisation. Sauf que, jusqu’à présent, les terroristes sont les fruits de l’école d’Etat, non de l’école libre. Mais cette réalité, comme l’illettrisme et comme le coût exorbitant de l’école gratuite, doit être cachée.
Comme le rappelle une mère de famille qui pratique l’éducation à la maison :
Ne sait-il pas que les familles instruisant leurs enfants sont déjà contrôlées une fois par an par un inspecteur de l’Éducation Nationale et tous les deux ans par les services sociaux ?
Je suis contrôlée tous les ans depuis des années, quand les enseignants le sont en moyenne tous les 5 ans. Je connais des enseignants qui ont été contrôlés deux fois en plus de 25 ans de carrière !
Pour ma part, pour rassurer ces hommes politiques qui parlent sans connaître le détail du dossier IEF, je ne serais pas opposée à :• un contrôle de l’EN tous les ans pour tous les enfants qui ne sont pas scolarisés en présentiel
• un contrôle social tous les ans au lieu de tous les deux ans
• un test écrit obligatoire lire-écrire-compter à l’âge supposé d’entrée en 6e pour tous les enfants.On notera une des perles du projet de loi : « Les écoles doivent demeurer des lieux où se transmettent les savoirs et non les idéologies. » C’est effectivement tout à fait le cas des écoles publiques… Si ces députés étaient cohérents avec leur projet de texte législatif ils devraient dissoudre le Ministère de l’Éducation nationale.
On apprend par ailleurs dans ce projet de loi que l’instruction à domicile a augmenté de 54,6% en trois ans. « Ce phénomène a été rendu possible par les nombreuses lacunes dont souffre notre législation » dit le projet de loi. Il ne semble pas venir à l’esprit des rédacteurs du texte que ce phénomène puisse être la conséquence des errements de l’école d’État et de ses innovations pédagogiques désastreuses.
La liberté scolaire est toujours un combat.
Par Jean-Batiste Noé
Réagir
- Consulter le projet de loi.
- Pétition citizengo.org ou avaaz.org pour demander le retrait du projet de loi.
- Vous pouvez vous rendre sur son mur Facebook, son compte Twitter ou sur son site web. Vous pouvez aussi écrire à Monsieur Ciotti, le contacter par e-mail ou téléphone :Permanence Eric CIOTTI
15, quai des Deux Emmanuel, 06300 NICE
Téléphone : 04 92 14 59 00 – E-mail : e.ciotti@orange.frCommentaire pertinent (via sott.net)
Les politicards n’ont rien d’autre à faire que de nous pondre des mesures répressives plus délirantes les unes que les autres, c’est manifeste. Il faut dire que la lutte anti-terroriste, c’est un peu la manne des élus, du vrai pain béni qui permet de faire rentrer les récalcitrants dans le rang, comme ceux qui voudraient s’affranchir de l’inculture et de l’abrutissement propagées par l’Éducation Nationale. Quelle sera l’étape suivante ? Le passage légiféré des gosses devant une brigade scolaire assermentée pour savoir s’ils ne développent pas des schémas de pensée non désirables ? Des questionnaires obligatoires pour les parents avant toute scolarisation, pour justifier de la conformité de l’éducation dispensée à la maison ? N’en doutons pas une seconde : le mode de fonctionnement pathologiques de nos dirigeants nous réserve sans doute pire encore.
Sources
- http://www.lopinion.fr/video/texto/loi-travail-eric-ciotti-lr-on-manip…
- http://www.laprovence.com/article/papier/3450612/eric-ciotti-2017-se-j…
- http://www.nice-premium.com/politique,3/le-patrimoine-des-hommes-polit…
- http://archives.nicematin.com/derniere-minute/eric-ciotti-fustige-le-s…
- http://www.revolutionpermanente.com/Tests-osseux-sur-les-mineurs-migra…
- http://www.liberation.fr/direct/element/eric-ciotti-demande-une-action…
- http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/021856442767-eric-c…
- http://www.jbnoe.fr/Projet-de-loi-pour-interdire-l
- http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/09/03/refugies-l-hypo…
Source Le-Veilleur
Question :
Combien d’enfants de nos ‘décideurs bien pensants’ sont en école publique ..???
Poser des bombes = terroriste…
Voyager en sirye, libye etc. = terroriste…
Musulman = terroriste…
Anti sioniste = terroriste…
Gréviste = terroriste…
Critiquer le gouvernement = terroriste…
Et maintenant, vouloir enseigner ses enfants dans le cadre familial et organiser sa vie pour cela = terroriste extremiste, createur de salafiste…???
En fait, seul les gouvernements et leurs amis sont les non terroristes…!!
Peut etre devrais je arreter de manger bio, je terrorise peut etre monsato…??!!
Apprendre a apprendre est le seul enseignement valable !! Apprendre a l’enfant a se documenter, a reflechir, a expérimenter, a critiquer constructivement et a se mefier des conditionements sont les seuls enseignements necessaires hormis la lecture, l’ecriture et la communication (en ce compris l’ouverture aux langues)..
Proverbe inventé que n’aurrai pas renié confusius :
» Apprend a un enfant les dates des grandes révolutions au nom des droits de l’homme, il pourra reciter les grandes évolutions du monde. Fais lui comprendre et expérimenter la liberte, l’egalite et la fraternite, et il fera partie de la prochaine..! »
Cette page vous donne les devoirs de l’école en matière d’information des parents.
Vous y trouverez des modèles de courrier pour demander à l’école la liste des intervenants extérieurs ainsi que des informations sur les sorties scolaires.
et bien plus encore
http://www.vigi-gender.fr/parents-eleves-information
L’article L. 111-1 du code de l’éducation pose un principe majeur selon lequel :
« Pour garantir la réussite de tous, l’école se construit avec la participation des parents, quelle que soit leur origine sociale. Elle s’enrichit et se conforte par le dialogue et la coopération entre tous les acteurs de la communauté éducative ».
Les parents, membres à part entière de la communauté éducative, bénéficient ainsi d’un droit à l’information et d’un droit d’expression leur permettant de participer à l’accomplissement des missions de l’école.
L’article L111-2 du code de l’éducation, qui décrit l’essentiel du contenu et de l’objet de l’enseignement scolaire, précise expressément que : « les familles sont associées à l’accomplissement de ces missions ».
Plus encore, cet article prévoit que « L’Etat garantit le respect de la personnalité de l’enfant et de l’action éducative des familles ».
Bonjour,
petite correction ! Le Collectif pour la défense de l’IEF (Instruction En Famille) n’est pas seul et tente de se faire entendre avec les autres associations de défense de l’instruction en famille. Ainsi, vous trouverez notamment sur le site de CISE (Choisir d’Instruire Son Enfant), leur communiqué de presse. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif Il me semble que les autres assos préparent le leur. Mais ce sont aussi les familles qui cherchent à se faire entendre en écrivant à leurs députés et sénateurs (voir les blogs). https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif Mais il faut souligner qu’ une alternative à l’EN fait peur et cela rend le dialogue extrêmement complexe tant ce mode d’instruction et les lois qui l’encadrent sont mal connues et incomprises.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif
http://cise.fr/
http://www.lesenfantsdabord.org/
http://laia.asso.free.fr/
Si les parents qui pratiquent l’instruction à domicile sont obligés de mettre leurs enfants à l’école, les enseignants vont pas rigoler tous les jours à être obligés de discuter avec eux 😀