Un petit texte reçu intéressant par e-mail, merci à son auteur. Que le débat soit ouvert sur le sujet!
Je suis aussi celui qui recherche dans ce monde parfaitement artificiel et qui dialogue avec ceux qui veulent être « calife à la place du calife » dans cette « démocrature ».
Réponse à certains d’entre eux :
Comment voulez-vous faire fonctionner des neurones complètement fatigués par le conditionnement que nous impose la politique politicienne que vous continuez à alimenter dans ce système de « recouvrance » ?
Ce ne sera pas tout le militantisme politique et ses mensonges, que nous vérifions après ces dernières élections, qui pourront contredire Ivan Illich ; une fois de plus, « le contre laisse supposer que le pour pourrait avoir raison. »
J’espère que vous aurez remarqué comment cette dernière mascarade de démocratie était faite uniquement pour sauver tous les partis politiques, « quel que soit leur courant », afin qu’ils persévèrent dans leur « incompétence » à gérer notre avenir.
Cette constitution nous transforme en esclaves.
Si chacun utilisait une petite partie de ses neurones pour analyser, très concrètement, cet esclave que nous devenons ;
Si chacun faisait sécession, par un « pas de côté »,
nous pourrions ensemble écrire une autre constitution, une constitution pour un bien-vivre ensemble.
QUI FAIT SÉCESSION DANS CE SYSTÈME ? QUI NE S’ISOLE PAS , MAIS NE VOTE PLUS ?
Allez, un peu de courage plutôt que de bavasser inutilement !
Comment replacer notre émancipation dans une réflexion sécessionniste ? PJ
Nous avons encore tout à construire ensemble pour nous sortir de cette maladie, « la croissance », qui engendre l’esclavage moderne, détruit nos neurones et notre environnement.
Nous proposons dans notre pays riche un traitement préventif : la DÉSACCOUTUMANCE À LA CROISSANCE. Tout le monde pourrait le prendre pour que les générations futures soient en meilleure santé politique et pour répondre à nos inquiétudes actuelles sur le climat et la dégradation de |’environnement.
Ne revenons surtout pas en arrière,soignons-nous,
nous avons assez fait de révolutions – que nous avons toutes ratées.
Localement et mondialement vôtre,
Bernard Bruyat OPDLM /MRIE
chercheur indépendant sécessionniste
La sécession ne doit pas se réduire à un mouvement auquel les individus pourraient s’identifier à travers la revendication d’une appartenance. Cette appartenance se manifeste par l’utilisation et la promotion du vocabulaire de » la pensée unique » dont usent et abusent les politiques au sein des « COMMUNAUTÉS TERRIBLES « (celles même qui prétendent combattre le communautarisme).Faire sécession doit permettre de rompre avec l’individualisme.La sécession n’est en rien une fuite irresponsable . Il ne saurait y avoir d’éthique des responsabilités sans convictions .La conviction dans la sécession est le contraire du destin ou de la carrière: la conviction c’est notre ligne d’émancipation , de libération.Faire sécession c’est aussi fuir les dispositifs de pouvoir , « l’assistante sociale qui veut nous réinsérer, le conseiller d’orientation et nos parents qui veulent nous aider à définir notre avenir, le syndicat qui veut nous encarter à la fin de la gréve sauvage, les parents qui veulent sauver notre mariage, la psychothérapie, les juges, les flics et moi même , lorsque je rédige mon CV et élabore mon projet de vie, ma carrière mon avenir » Simon RUPTUREFaire sécession exige la recherche du RÉEL dont nous sommes à tout moment détournés (avec notre consentement implicite) afin de le rendre VISIBLE : cela nous amène obligatoirement à faire des choix … pour cela nous devons renoncer à …Faire sécession est bien RUPTURE et ne doit pas une fois de plus n’être qu’une adaptation par certains courants politiques à des fins électorales:« une vraie rupture est une chose sur laquelle on ne peut pas revenir, qui est irrémissible parce qu’elle fait que le passé a cessé d’exister «Faire sécession n’est pas une fin en soi ce n’est qu’un outil de libération pour entreprendre la déconstruction de notre système de gouvernance .Partant de ce chantier bien d’autres pistes restent à rechercher et exploiter qui viendraient enrichir un travail de reconstruction .Faire sécession ne signifie pas prendre position contre des partis politiques ou des idéologies au service du pouvoir C’est refuser le langage commun du politiquement correct.La reprise d’une position politique ( gestion de la cité ) ne pourra se faire qu’après avoir fui tous ces prédateurs qui veulent nous encadrer dans des structures normatives et gestionnaires qui nous dépossèdent de notre expression directe et nous privent de nos capacités à rechercher notre émancipation .Faire sécession doit nous aider a nous réapproprier la chose publique par la dissidence qui nous est interdite par un système institutionnel dit démocratique qui nous écarte a tous moments et dans tous les domaines de nos désirs de réfléchir notre condition humaine.
C’est super de lire Bernard Bruyat sur ce blog. C’est un « voisin » et du coup tout cela me semble un peu moins virtuel. Joyeuses fêtes à tous!
C’est une erreur (typiquement française) de croire qu’on va créer une nouvelle société en rédigeant une nouvelle constitution. C’est l’inverse. C’est la nouvelle société qui va émerger, s’affirmer, qui rédigera sa nouvelle constitution. C’est toujours ainsi que ça se passe.
De mon point de vue, on a encore énormément de boulot pour y arriver. Il faudra encore, je pense, 2 générations. Je ne suis pas contre commencer la rédaction dans la mesure ou ce n’est pas une priorité, et ou ce n’est présenté comme un acte salutaire principal/obligatoire.
On doit reprendre le contrôle de la politique, mais aussi de l’économique, du moral, du spirituel, du physiologique, de l’agricole, etc…
Et la, vous êtes bien placé sur ce blog, pour savoir qu’on est loin du compte, parce que les forces « aliénantes », dont les moutons égarés ici même sont des victimes semi-conscientes, sont quand même hyper-puissantes, et loin de s’affaiblir, bien au contraire. Si vous pouviez comparer avec le monde d’avant, vous verriez à quel point nous avons régressé, et à quel point l’illusion d’informer/éveiller n’est qu’une vanité vaine.
Mais bon …
Avant d’éveiller une société, il faudrait commencer par s’éveiller soi-même et ce n’est pas en restant des schémas de croyance que cela va se faire. Effectivement, les forces d’aliénations sont fortes mais seulement parce qu’elles sont en places depuis un moment et beaucoup de choses sont programmés pendant l’enfance. Il y a encore pas mal de moyens de s’en échapper mais le vouloir est autre chose.
Je ne crois pas qu’un peuple endormi puisse faire autre chose que de défiler en disant « je suis charlie »…Les gens sont prêt à abandonner leur liberté pour leur illusion de confort. Partant de ce constat, on n’est pas sortie de l’auberge. La liberté de l’individu est la première chose à retrouver.
Je suis d’accord avec toi utoro, pour que les individus changent il faudrait d’abord qu’ils commencent par s’éveiller soi-même mais si une minorité y est parvenue il n’y a pas de raison que cet élan n’en entraine pas d’autre sur son sillage. Petit à petit les individus s’éveilleront car ils seront entrainés énergétiquement par ceux qui les ont précédé.
Nous sommes arrivé à une période charnière dans l’histoire de l’humanité, contrairement aux hommes du passé l’homme d’aujourd’hui à la capacité de se dissocier de la masse et de réfléchir par lui-même sans se laisser influencer par le conditionnement collective mais la plupart sont dans la paresse mentale et ne cherchent pas à voir plus loin que le bout de leurs nez, d’autre encore préfèrent nier l’évidence que de remettre en question le bien fondé du système dans lequel ils vivent souvent par culpabilité, pour ceux-là il n’y a rien à faire, il faut les laisser tourner en rond jusqu’à qu’il se fatigue.
Pour ma part je suis descendu du manège et grâce à ça, j’ai permis à des gens autour de moi de réfléchir et de prendre conscience, pour les autres, je me dis que la vie prendra soin d’eux mais qu’il ne sert à rien de fuir la réalité car la réalité finira par les rattraper un jour.
Il faut laisser le temps au temps, on ne peut pas forcer les gens à comprendre s’ils ne sont pas prêts mais je crois que d’ici les prochaines années beaucoup de chose changeront.
L’impossibilité d’une simple discussion avec ceux qui aiment le système.
http://lesavoirperdudesanciens.blogspot.fr/2015/08/limpossibilite-dune-simple-discussion.html
Je l’ai toujours dit qu’il faut commencer par arrêter de collaborer, trouver ses propres solutions pour compenser, et ensuite attendre de voir ce qui se passe ; …il se passera vite quelque chose, le jour où l’on sera suffisamment à le faire !