J’ai toujours refusé à mes enfants les promenades à cheval et poney dans les fêtes foraines, les ballades en calèches dans les fêtes diverses, une question de respect envers l’animal qui est ainsi exploité pour des raisons uniquement financières. Où se trouve la poésie lorsque l’argent entre en jeu? Et c’est malheureusement quelque chose qui vient de me donner raison de la manière la plus triste, la plus tragique. Un plein Barcelone, un cheval a agonisé durant deux heures en pleine rue faute de soin, épuisé par la chaleur et les efforts à répétition pour promener les touristes.
Jeudi soir, un cheval utilisé pour tracter les touristes à travers Barcelone est mort d’épuisement, en plein centre-ville. Victime d’un coup de chaud, l’équidé s’est écroulé au sol, alors que sa calèche était encore occupée, rapporte L’Indépendant.
Allongé sur le flanc, le cheval pouvait encore être sauvé. C’était sans compter sur l’avarice de son propriétaire. Il a refusé de faire appel à un vétérinaire, ne voulant débourser le moindre sou pour son « employé ». L’agonie de l’animal aura duré près de deux heures.
Source et fin de l’article sur Ledauphine.com
Plusieurs grandes villes ont déjà interdit l’exploitation des chevaux à des fins touristiques, la dernière en date étant New York au niveau de Central Park:
Hiver comme été, elles sont là. Incontournables du circuit touristique des quelque 50 millions de visiteurs qui se pressent à New York chaque année, les calèches de Central Park sont vouées à disparaître. À la place, les touristes pourront déambuler dans toute la ville à bord de voitures électriques de style rétro. C’est en tout cas l’une des premières mesures que souhaite prendre le maire démocrate Bill de Blasio, entré en fonction le 1er janvier 2014.
Si plusieurs villes comme Paris, Toronto, Londres ou Pékin ont déjà aboli ce type d’attraction, pour la Big Apple, la partie – opposant les défenseurs de la cause animale aux conducteurs de calèche – semble loin d’être gagnée… Au coeur du débat : les conditions d’exploitation des chevaux que les premiers jugent inhumaines, ce que réfutent farouchement les seconds. “Nous ne sommes pas contre le travail des chevaux mais plutôt contre les chevaux qui travaillent dans les rues de New York, encerclés de toutes part par des bus, des taxis et un trafic très dense. Les calèches ne sont plus, et n’ont même jamais été, quelque chose de pittoresque ou romantique”, explique Matthew E. Bershadker, président de l’organisation américaine ASPCA, l’équivalent de la SPA française.
Article en intégralité sur Planete.blogs.france24.com
Mais il y a encore du travail, trop de chevaux sont ainsi exploités juste pour le plaisir momentané de certains touristes, dont dans la station de ski de Megève en Haute-Savoie, une pétition a même circulé pour faire interdire cette « attraction touristique »:
A Megève, célèbre station de ski française de Haute-Savoie (74), tout n’est pas rose pour tout le monde ! (English version below)
Les chevaux sont exploités du matin au soir pour tirer les vacanciers dans des traîneaux ou des calèches avant d’être expédiés à l’abattoir quand ils sont trop usés pour servir.
Certains d’entre eux, âgées ou très fatigués, sont blancs d’écume, visiblement maltraités par des cochers insensibles à leur peine.
Quand on s’en émeut, voici leur réponse : « Eh bien on l’enverra à l’abattoir ! »
De fait, il y a un abattoir à Megève, la si belle station de ski : http://www.societe.com/societe/abattoir-monts-et-vallees-533272431.html !
PROTESTEZ AUPRES DE LA MAIRIE DE MEGEVE : DEMANDEZ LA SUPPRESSION DES CALECHES ET LA FIN DE L’EXPLOITATION DES CHEVAUX !
Source+coordonnées sur Change.org
une forme d’esclavagisme et du rendement jusqu’à l’usure .. personne est à l’abri encore moins ces malheureux exploiter !
C’est une honte cet homme devrait partir en justice pour maltraitance.
Les chevaux ont toujours servi les hommes dans de nombreuses batailles, pour le labeur, la communication, les courriers, sans avoir la reconnaissance qu’ils méritaient, sans même un mémorial en l’honneur de ceux qui sont morts dans les batailles.
Aujourd’hui ils ont mérité une vie de retraite et de reconnaissance, avec les nouvelles technologies nous n’avons plus besoin de les exploiter, qu’on les laisse tranquille gambader dans les champs.
Les fans de Napoléon veulent un mémorial pour les chevaux tués à Austerlitz.
http://www.ladepeche.fr/article/2008/10/07/480258-fans-napoleon-veulent-memorial-chevaux-tues-austerlitz.html
Âme sensible s’abstenir, c’est de l’humour noir norvégien en version originale, c’est horrible ; juste pour illustrer, les premières minutes…
http://www.dailymotion.com/video/x1pd5mo_hellfjord-2012-episode-1_shortfilms
En 1885, les exhibitions de phénomènes humains sont interdites en Grande-Bretagne car considérées comme immorales aux yeux de la société victorienne.
Joseph Merrick se produit alors en Europe continentale, tandis qu’en Belgique aussi, ce type d’exhibition est de moins en moins toléré. Dépouillé de ses économies par l’impresario autrichien qui l’exhibait sur le continent, il doit rentrer en Angleterre. C’est à la gare de Liverpool Street à Londres après avoir causé un attroupement de la foule, que la police prend contact avec le docteur Treves, qui le prend en charge.
Grâce à l’intervention du directeur de l’hôpital de Londres Francis Culling Carr-Gomm, qui fit paraître dans le Times une annonce pour recueillir des fonds afin de subvenir aux besoins et au logement de l’« Homme Eléphant », et au soutien de la reine Victoria, Joseph Merrick peut vivre ses derniers jours comme résident permanent de l’hôpital de Londres.
Il y est entretenu jusqu’à sa mort apparemment accidentelle à l’âge de 27 ans, le 11 avril 1890 : il est retrouvé à trois heures de l’après-midi inanimé, probablement mort d’étouffement après que sa lourde tête s’était renversée vers l’arrière comprimant ainsi la trachée. Ne pouvant dormir étendu, il devait d’ordinaire dormir la tête penchée vers l’avant.
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on peut juger une société à la manière dont elle traite ses animaux..
Bonjour à toutes et à tous
Comme toujours, il y a quelques imbéciles qui vont faire passer tous les meneurs d’attelage pour des brutes.
J’en ai vu aussi à Bruges. Par exemple, un petit poney Fjord qui tractait une calèche remplie à ras bord.
Cavalier moi-même, j’ai envisagé de faire visiter ma ville par le biais d’une calèche. Il ne me viendrait pas à l’idée de tuer un cheval à la peine.
On pourrait imaginer un service vétérinaire qui répertorierait les chevaux, sur base des puces par exemple. Après une visite préliminaire, une autorisation serait délivrée. La durée de travail du cheval serait limitée par jour. En cas d’infraction, l’accréditation du meneur serait supprimée.
Pourquoi vouloir mettre des puces sur les chevaux ?
Je passe mon temps à les éradiquer sur mes copines et copains à quatre pattes.
De tous temps, hélas, il a existé des homo-sapiens qui brutalisent les diverses espèces animales avec qui nous vivons.
Et d’autres qui se rapproche de « l’humain », en s’employant à travailler et vivre en collaboration.
Pour le bénéfice commun. Car, c’est bien beau de parler d’exploitation animale, mais faut aussi savoir qui fournit l’avoine, le picotin, le foin, la paille, le pansage, l’eau, l’écurie, etc.
le calvaires des ânes de Santorin
http://fromeuropewithlove.fr/2012/09/10/le-calvaire-des-anes-de-santorin/
Si vous y allez ne vous laissez pas tenter vous aurez les sandales crottées mais vous leur éviterez des souffrances inutile!
et en Thaillande en fait tout le sud est asiatique éviter les promenades a dos d’éléphants….
http://www.sethetlise.com/article-faire-de-l-elephant-en-thailande-ce-qu-on-cache-aux-touristes-123067764.html