C’est la panique parmi les utilisateurs du logiciel Snapchat, puisque des pirates informatiques auraient mis la main sur près de 200 000 photos (suivant l’IBT, 100 000 suivant Les échos), soit 13 gigabits de photos dont certaines peuvent être très compromettantes. En effet, ce logiciel permet d’envoyer des clichés sur d’autres terminaux mobiles, comme des SMS, sauf que les images snapchat s’effacent au bout de quelques secondes. Le souci, c’est que non seulement certains logiciels permettent de faire une copie non-limitée dans le temps, mais qu’une simple combinaison de touches sur le téléphone permet également de faire une capture d’écran. Et si cela ne se limitait qu’à cela… La grande majorité des utilisateurs ont moins de 17 ans, et certains d’entre eux ont une pudeur toute relative, d’où l’inquiétude…
Des pirates informatiques sont parvenus à publier en ligne un grand nombre d’images et de vidéos de la messagerie éphémère Snapchat, nourrissant des craintes sur ces messages sensés disparaître quelques secondes après leur envoi.
Les hackers ont commencé à mettre en ligne jeudi soir des copies de messages (images et vidéos) en provenance d’applications tierces de Snapchat.Environ la moitié des utilisateurs de Snapchat ont moins de 17 ans, ce qui suscite des inquiétudes sur la possibilité que des images à caractère sexuel de ces jeunes aient été publiées sur internet, qui pourrait être associé à de la pédophilie.Snapchat a assuré vendredi dans un communiqué que ses serveurs n’avaient pas été piratés, ni ceux de l’application à l’origine de la fuite. Les utilisateurs de Snapchat sont « victimes » de l’utilisation d’applications externes permettant d’envoyer ou de recevoir des « snaps », une pratique interdite par l’entreprise basée en Californie (ouest).
Une application mobile utilisée pour envoyer des photos ou des vidéos vers Snapchat a collecté des copies de ces envois depuis des années, ce qui a permis aux pirates de constituer une bibliothèque de quelque 13 gigabytes, selon le site d’informations Business Insider.
Article complet sur 7sur7.be
Fallait pas être Einstein pour savoir que cette applic serait la cible de maître-chanteurs