Je suis à cours d’inspiration pour vous présenter ce qui suit tant je suis écœurée. Comme le dit Pierre Rabhi, ce n’est plus « bon appétit » mais « bonne chance » qu’il faudra se souhaiter avant de passer à table. Je vous conseille la lecture intégrale de l’article pour mesurer le degré de l’alerte, et d’être encore plus attentifs à ce que vous achetez pour vous nourrir vous, et vos enfants. Merci Nicko …
En février dernier, le volet sur la sécurité alimentaire du rapport de la Cour des comptes avait fait grand bruit. Il ne représentait pourtant qu’une petite partie du rapport original, resté confidentiel. Le Télégramme a pu le consulter. Son contenu est explosif.
Des contrôles en baisse, des sanctions insuffisamment nombreuses et trop rarement contraignantes et dissuasives : en février dernier, dans un volet de 25 pages inséré dans son rapport annuel, la Cour des comptes mettait en lumière « des anomalies graves » dans la mission de sécurité sanitaire des aliments conduite par le ministère de l’Agriculture. Aucune explication de fond n’était en revanche apportée. Pour cela, il fallait avoir accès au rapport original de 179 pages, confidentiel, rendu sept mois plus tôt, en juillet 2013.
La pédagogie pour les resquilleurs : un échec
Dès les premières pages, ce relevé d’observations provisoires pose le problème suivant : est-il sain de confier deux missions susceptibles d’entrer en conflit (sécurité alimentaire et développement économique) à une seule et même structure, la direction générale de l’alimentation (DGAL) du ministère de l’Agriculture ? Réponse de la Cour : « Le développement économique semble être un objectif aussi important, sinon primordial, pour la DGAL, et ce, même dans l’exercice de sa mission de protection de la sécurité sanitaire des aliments (…) La DGAL a tendance à privilégier l’accompagnement des professionnels plutôt que la sanction des écarts ». Une politique dont la Cour des comptes constate l’échec, également signalé dans un audit interne du ministère de l’Agriculture de février 2013. La Cour en reprend les termes : « Lorsque l’approche pédagogique vis-à-vis des opérateurs, qui a été la règle au cours des trente dernières années, ne donne pas les résultats attendus, il faut avoir recours à la contrainte ».
Pressions sur l’emploi frilosité des parquets…
La DGAL affiche bien, depuis 2011, une politique plus répressive, note la Cour. D’ailleurs, elle dispose, pour les affaires les plus graves, d’un bras armé : la brigade nationale d’enquêtes vétérinaires et phytosanitaires (BNEVP). Mais celle-ci ne compte qu’une dizaine d’enquêteurs (10 équivalents temps pleins), quand son équivalent à la DGCCRF, le Service national d’enquêtes (SNE) en aligne 65 (près de la moitié des effectifs sont concentrés sur l’alimentaire), et la gendarmerie, au sein de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp), 70.
La BNEVP sait pourtant être redoutable (lire par ailleurs). Oui, mais ces enquêtes demeurent « confidentielles » et ne sont « remises qu’au DGAL », regrette la Cour des comptes (leurs résultats servent aussi en interne, soutient la DGAL, et sont aussi « présentés, en externe, aux fédérations professionnelles concernées »). Surtout, la Cour déplore que cette politique répressive ne soit, sur le terrain, « pas appliquée ». Pourquoi ? Les explications ne manquent pas : « réticence des agents » à verser dans la répression, « défaillance de la hiérarchie à tous les échelons », avance la Cour des comptes. « Agressivité et détresse des agriculteurs », en particulier chez les viticulteurs ou les céréaliers « qui, pourtant, ne représentent pas les exploitants les plus en difficulté économique », consigne la Cour. La DGAL évoque aussi « l’échelon local, fortement soumis à la pression sur l’emploi », ou encore les procureurs, qui « hésitent souvent à engager des procédures pénales, et renvoient les services vers des suites administratives ». La Cour des comptes confirme et évoque un « faible taux de poursuites qui décourage les agents »…….
l’alimentaire à l’image du reste (medecine , environnement, politique…..)
déja que des produits du type surimi , nuggets, charcuterie industriel, plats cuisiné sont franchement mauvais pour la santé et au gout, alors si en plus c’est sanitairement non conforme…..
je travaille en restauration dans une collectivité, ou j’ai moins 1.50 euros pour prepaprer un repas equilibré……je vous laisse imaginer la qualité des produits: viande reconstituée = proteine de tres mauvaise qualité
legumes frais= bonjour les pesticides
légumes appertisé= bonjour les phtalates et bisphenol A
légumes surgelés= importé de? on sait pas c’est pas toujours marqué (espagne, chine)= rebonjour les pesticides.
oeufs: poules alimenté au mieux avec du grain ogm, au pire avec du granulé à base de grain ogm + les antibiotiques.
Et les viandes fraiches (volaille, porc….) qui vous crachent des litres d’eau quand vous les faites sautées dans l’huile bouillante = merci les polyphosphates (ca retient l’eau du coup ca pèse plus sur la balance).
même l’eau du robinet est pourrie (médicament, aluminium, métaux lourds….)
perso je fais mon jardin, j’essaie de nourrir ma ptite famille avec les fruits de mon labeur (mes produits phytosanitaire je les trouvent dans mon jardin :orties, prêle huiles essentielles…) mais même la pluie qui tombe doit etre bien pourrie (particule fine, fukushima….)
Il y a aussi le prolem des antibotiques qu’il donne au animaux d’élevages (les antibiotiques c’est automatiques chez les animaux).
Les animaux ne tiendraient pas dans se genre d’élevage, s’ils n’étaient pas bourré d’antibiotiques, qui pourrait vivre longtemps dans ses camps de concentration sans tomber malade.
Après il ne faut pas s’étonner si les antibiotiques n’ont plus d’effets sur les êtres humains, c’est un grave problem car des maladies ne pourront plus être soigner. C’est aussi une bombe à retardement.
L’idée que les industriels de l’agro-alimentaire pratiquent eux-mêmes les contrôles sanitaires sur leur production à la place des services de l’État est évidemment de nature à tenter d’éventuels fraudeurs.
D’autant plus que l’État a réduit au fil des ans ses propres moyens de contrôle.(l’etat fait des economies!)
En dix ans, le nombre de contrôleurs de l’alimentation dépendant du ministère de l’Agriculture a baissé de 19 % et celui de la Direction de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) du ministère de l’Économie a chuté de 15 %
Pourquoi appeler failles des omissions volontaires, ainsi que la mise en place délibérée de procédures ou les trous de reglementation sont tres étudiés pour faciliter les abus industriels?
l’alimentaire à l’image du reste (medecine , environnement, politique…..)
déja que des produits du type surimi , nuggets, charcuterie industriel, plats cuisiné sont franchement mauvais pour la santé et au gout, alors si en plus c’est sanitairement non conforme…..
je travaille en restauration dans une collectivité, ou j’ai moins 1.50 euros pour prepaprer un repas equilibré……je vous laisse imaginer la qualité des produits: viande reconstituée = proteine de tres mauvaise qualité
legumes frais= bonjour les pesticides
légumes appertisé= bonjour les phtalates et bisphenol A
légumes surgelés= importé de? on sait pas c’est pas toujours marqué (espagne, chine)= rebonjour les pesticides.
oeufs: poules alimenté au mieux avec du grain ogm, au pire avec du granulé à base de grain ogm + les antibiotiques.
Et les viandes fraiches (volaille, porc….) qui vous crachent des litres d’eau quand vous les faites sautées dans l’huile bouillante = merci les polyphosphates (ca retient l’eau du coup ca pèse plus sur la balance).
même l’eau du robinet est pourrie (médicament, aluminium, métaux lourds….)
perso je fais mon jardin, j’essaie de nourrir ma ptite famille avec les fruits de mon labeur (mes produits phytosanitaire je les trouvent dans mon jardin :orties, prêle huiles essentielles…) mais même la pluie qui tombe doit etre bien pourrie (particule fine, fukushima….)
Bonjour voltigeur,
Il y a aussi le prolem des antibotiques qu’il donne au animaux d’élevages (les antibiotiques c’est automatiques chez les animaux).
Les animaux ne tiendraient pas dans se genre d’élevage, s’ils n’étaient pas bourré d’antibiotiques, qui pourrait vivre longtemps dans ses camps de concentration sans tomber malade.
Après il ne faut pas s’étonner si les antibiotiques n’ont plus d’effets sur les êtres humains, c’est un grave problem car des maladies ne pourront plus être soigner. C’est aussi une bombe à retardement.
http://fr.sott.net/article/2768-Elevage-la-surconsommation-d-antibiotiques-chez-les-animaux-pointee-du-doigt
Salut! « Germes tueurs, le fléau de l’élevage intensif »: une enquête explosive signée Arte
http://youtu.be/YkEonxQM1nw
hello!
il y a tellement a dire sur le sujet,rentabilité comme toujours
ce petit article,extraits:
http://npa29.unblog.fr/2014/02/20/controles-sanitaires-sur-lalimentation-une-passoire-a-fraudeurs-lo-2/
L’idée que les industriels de l’agro-alimentaire pratiquent eux-mêmes les contrôles sanitaires sur leur production à la place des services de l’État est évidemment de nature à tenter d’éventuels fraudeurs.
D’autant plus que l’État a réduit au fil des ans ses propres moyens de contrôle.(l’etat fait des economies!)
En dix ans, le nombre de contrôleurs de l’alimentation dépendant du ministère de l’Agriculture a baissé de 19 % et celui de la Direction de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) du ministère de l’Économie a chuté de 15 %
Pourquoi appeler failles des omissions volontaires, ainsi que la mise en place délibérée de procédures ou les trous de reglementation sont tres étudiés pour faciliter les abus industriels?
J’ose même pas imaginer la catastrophe que ça sera, une fois l’Accord Transatlantique signé; …on va être obligé de quitter le pays quoi !