Les USA ne doivent pas être des plus tranquilles, il y a des missiles qui partent dans tous les sens en ce moment, et même si ce ne sont que des tirs de test, ils n’ont rien de rassurant tout de même… Cela à commencer par la Corée du Nord avec 6 missiles de tirés (4 le 27 février, 2 le 3 mars), et cela continue avec la Russie et la Chine (en bas d’article).
Cet essai intervient cinq jours après le début de l’occupation de la province ukrainienne de Crimée par les forces russes. La Russie procède régulièrement à des tirs d’essai de missiles. Le dernier tir d’essai d’un Topol-M avait été effectué avec succès en octobre dernier.
Photo d’archives AP
Née en novembre de la volte-face du pouvoir, qui a renoncé à un rapprochement avec l’UE pour signer un accord avec Moscou, la contestation ukrainienne s’est depuis muée en révolte contre le président Ianoukovitch. Une crise qui plonge l’Ukraine au bord de la guerre civile, alors que les affrontements entre opposants et forces de l’ordre ont fait des dizaines de morts et des centaines de blessés. »
La Russie avait prévenu à l’avance les États-Unis qu’elle allait procéder à un tir d’essai de missile balistique intercontinental (ICBM) Topol, intervenu mardi en pleine période de tensions américano-russes sur l’Ukraine, a déclaré un responsable américain de la Défense.
«On nous avait prévenu de ce test plus tôt cette semaine, ce n’est pas inattendu», a confié à l’AFP ce responsable s’exprimant sous couvert de l’anonymat. Interrogé sur la signification de ce test en pleine crise ukrainienne, il n’a pas souhaité faire de commentaire.
«Ce test de routine d’un ICBM a été notifié à l’avance», a de son côté fait savoir la Maison-Blanche, selon laquelle cette notification est une disposition prévue par le nouveau traité Start de désarmement nucléaire, conclu en 2010 entre la Russie et les États-Unis.
Ces notifications «sont destinées à apporter de la transparence, de la confiance, de la prévisibilité et à aider les deux parties à éviter les erreurs de jugement», a fait valoir la porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC), Caitlin Hayden dans un communiqué.
La Russie a procédé mardi avec succès au tir d’essai d’un missile ICBM, Topol RS-12M, depuis la région d’Astrakhan (sud), a indiqué un responsable du ministère russe de la Défense. L’ogive d’entraînement — non nucléaire – a détruit sa cible située au Kazakhstan, selon ce responsable.
Le Topol RS-12M (code Otan: SS-25 Sickle) a une portée de 10 000 km et une masse au décollage de 45,1 tonnes. Il peut être équipé d’une ogive nucléaire de 550 kilotonnes. Facile à manier, le projectile peut être lancé à l’aide de rampes mobiles stationnaires.
La Russie procède régulièrement à des tirs d’essai de missiles. Le dernier tir d’essai d’un Topol-M avait été effectué avec succès en octobre dernier.
Cet essai intervient cinq jours après le début de l’occupation de la province ukrainienne de Crimée par les forces russes. Le chef de la diplomatie américaine John Kerry a accusé mardi Moscou de chercher un «prétexte» pour «envahir» l’Ukraine. Les États-Unis ont rompu lundi toute coopération militaire avec Moscou et menacent la Russie de nouvelles sanctions.
Même au plus fort de la Guerre froide, pendant la crise des missiles de Cuba en octobre 1962, États-Unis et URSS avaient poursuivi leurs essais nucléaires, les Américains en ayant conduit quatre ce mois-là, les Soviétiques deux, selon l’Organisation pour l’interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO).
Source: Lapresse.ca
Et donc, après la Corée du Nord et la Russie, la Chine qui montre elle aussi ses « gros bras »:
© militaryparitet.com / image illustrative Dongfeng-41 missile
Les agences de renseignement des États-Unis confirment que la Chine a mis au point un nouveau missile balistique à portée intermédiaire appelé Dongfeng-26C (DF-26C).
Il est estimé que le nouveau missile a une portée d’au moins 3500 km, permettant aux forces militaires chinoises de mener des attaques contre des installations militaires américaines en Guam , île du Pacifique occidental rattachée à l’Amérique du Nord.Le nouveau missile aurait pour objectif de contrôler les eaux de l’Asie-Pacifique et d’empêcher l’entrée des militaires de plusieurs archipels américains situés le long de la côte de la Chine , selon un article publié sur le site Beacon gratuit .
Il utilise du combustible solide et le transfert est relativement simple, il peut être caché dans des installations souterraines, suivant le site.
Source: Russia Today
http://french.ruvr.ru/2014_03_02/Pourquoi-les-forces-de-fusees-strategiques-optent-pour-des-systemes-mobiles-5547/
Tzarpoutine ne joue pas les gros bras.
La guerre des gros kikis volants!