La fluoration de l’eau est une idée fantastique soit disant pour nous protéger des caries dentaires, c’est beau de savoir qu’ils pensent à notre santé, pourtant, nous avons toutes les raisons d’être contre une telle fluoration, et plus précisément 50 bonnes raisons qui sont réunies dans l’article ci-dessous. En voulant sauver nos dents, ils nous empoisonnent encore plus, étrange concept…
Publié en français sur Presse Libre Internationale
Par le Dr. Paul Connett, professeur de chimie à l’université de St- Lawrence, New York.
1) Le fluorure n’est pas un aliment essentiel. Aucune ma- ladie n’a jamais été liée à une insuffisance de fluorure. Les humains peuvent avoir les dents parfaitement saines sans fluorure.
2) La fluoration n’est pas nécessaire. La plupart des pays d’Europe occidentale ne sont pas fluorés et ont éprouvé le même déclin dans l’affaiblissement dentaire que les USA.
3) Le rôle de la fluoration dans le déclin de la décom- position dentaire est sérieusement douteuse. La plus grande étude jamais conduite aux USA (plus de 39 000 enfants de 84 villes) par l’Institut National de la Recherche Dentaire (NIDR) a montré peu de différence de la carie dentaire chez les enfants dans les villes fluorées et non-fluorées. Selon les chercheurs de NIDR, l’étude révèle qu’une différence moyenne de seule- ment 0,6 DMFS (Decay Missing and Filling Surface) dans les dents permanentes des enfants âgés entre 5 à 17 ans, résidant dans des secteurs fluorés ou non- fluorés. Ce qui donne une différence de moins d’une surface de dent! Il y a 128 surfaces de dent dans la bouche d’un enfant. Le résultat de cette étude n’a pas été considéré comme étant significatif !4) Dans les villes où la fluoration a été discontinuée, au Canada, dans l’ancienne Allemagne de l’Est, à Cuba et en Finlande, l’affaiblissement dentaire n’a pas aug- menté mais a réellement diminué.
5) Un des premiers essais qui a aidé à lancer la fluora- tion a eu lieu à Newburgh, NY, et Kingston, NY. Après 10 ans de cet essai (qui a été méthodologiquement biaisé), on a remarqué une grande diminution de carie dentaire dans la communauté fluorée comparée à la communauté non-fluorée. Cependant, quand des en- fants ont été examinés à nouveau dans ces deux villes en 1995 (50 ans après que l’expérimentation a com- mencé), il n’y avait pratiquement aucune différence dans l’affaiblissement dentaire dans les deux commu- nautés. Même que les dents non fluorées à Kingston étaient légèrement plus saines. À Boston, Cincinnati et New York, villes fluorées depuis 20 ans, des études prouvent que la relation entre les caries dentaires et le revenu familial est plus important que le niveau de fluor.
6) Une recherche moderne prouve que les taux de caries dentaires chutaient avant début de la fluoration et ont continué à diminuer même après que ses avantages auraient été optimales. Beaucoup d’autres facteurs influencent la carie dentaire. Les études en Inde et à Tuczon (Arizona) ont même prouvé que la carie den- taire était réellement plus importante à mesure que la concentration de fluorure dans l’eau augmentait.
7) Des chercheurs dentaires reconnus et les Centers for Disease Control and Prevention reconnaissent mainte- nant que le mécanisme des avantages du fluorure sont principalement topique (qui n’agit pas à l’endroit où il est appliqué) et non-systémique. Ainsi, vous ne devez pas avaler le fluorure pour protéger des dents. Car les avantages du fluorure (s’ils en existent) sont topiques, et les risques sont systémiques (relatifs à un système considéré dans son ensemble). Il semble plus raisonna- ble, pour ceux qui veulent prendre les risques, d’ap- pliquer le fluorure directement à la dent sous formede pâte dentifrice. Puisque l’ingestion du fluorure est inutile, il n’y a aucune raison de forcer des personnes (contre leur volonté) à boire du fluor présent dans leur eau potable.
8) Massivement, le programme de fluoration des USA n’a pas atteint un de ses objectifs principaux, c.-à-d. abaisser l’affaiblissement dentaire ou renforcir l’émail. Le but des premiers instigateurs de la fluoration était de limiter la fluorose dentaire (sous sa forme plus légère) à 10% des enfants. Le pourcentage des enfants souffrant de fluorose dentaire dans des secteurs fluorés est jusqu’à HUIT FOIS supérieur. Une vaste étude publie que 30% des enfants de villes fluorées sont affectés par la fluorose sur au moins 2 dents (et d’autres études ont trouvé 80%). La York Revue estime que 48% des enfants dans les villes fluorées souffrent de fluorose dentaire sous toutes les formes et jusqu’à 12,5% sous des formes graves.
9) La fluorose dentaire signifie qu’un enfant a reçu une overdose de fluor. Tandis que le processus par lequel l’émail est endommagé n’est pas définitivement connu, il est évident que la fluorose peut être le résul- tat des enzymes bénéfiques détruites sur les dents en croissance, ou par l’interférence du fluor sur la glande thyroïde. Une étude au Mexique a montré la corréla- tion entre la fluorose dentaire sévère et la fréquence de fractures d’os chez les enfants.
10) Le niveau du fluorure de l’eau du robinet traitée de 1 ppm (partie par million) est jusqu’à 200 fois plus élevé que celui trouvé naturellement dans le lait maternel (0,005 à 0,01 ppm). Il n’y a aucun avantage (seule- ment des risques) à des enfants d’ingérer ce niveau élevé de fluorure à un âge si jeune (âge où la vulnéra- bilité aux toxines environnementales est particulière- ment élevée).
11) Le fluorure est un poison cumulatif. En moyenne, seulement 50% du fluor ingéré chaque jour est excrété par les reins. Le reste s’accumule dans nos os, dans la glande pinéale, et dans d’autres tissus. Si les reins sont endommagés, l’accumulation de fluor augmentera, ainsi que le danger.
12) Le fluorure est biologiquement très actif, même à de basses concentrations. Il interfère avec les liaisons d’hydrogène qui sont primordiaux à la structure et à la fonction des protéines et des acides nucléiques. Ainsi, le fluor perturbe des processus métaboliques, au coeur même de la vie.
13) En laboratoire, dans des tubes à essai, le fluorure empêche les enzymes de se développer. Plusieurs de ces bactéries sont primordiales dans la cavité buccale, dans la dent en croissance, dans les os et autres tissus.
14) Le fluor s’est avéré mutagène, endommageant les chromosomes. Son interférence avec les enzymes impliquées de la réparation d’ADN d’une variété de cellules et tissus a été prouvé par des études scientifiques.
15) Le fluor administré à forte dose à des animaux, ravage leur système reproducteur – il rend le sperme infertile et augmente le taux d’infertilité. Une étude récente aux USA a trouvé une augmentation du taux d’infertilité parmi des femmes vivant dans les villes ayant une concentration de fluor de plus de 3 ppm dans l’eau du robinet (en plus de la consommation de dentifrice). Deux études ont révélé un niveau réduit de testos- térone chez les hommes vivants dans des régions fortement fluorées.
16) Le fluor forme des composés avec un grand nombre de métaux, incluant les métaux qui sont nécessaires en corps (comme le calcium et le magnésium) mais aussi avec des métaux qui sont toxiques (comme le plomb et l’aluminium). Ceci peut causer une variété de problèmes : ex., le fluor interfère sur les enzymes responsa- bles du métabolisme où le magnésium est un impor- tant cofacteur, et il favorise la fixation de l’aluminium 18) Lorsque le fluor s’associe avec l’aluminium (fluorure d’aluminium) il affecte les G-protéines. Le fluorure d’aluminium interfère avec plusieurs signaux hormo- naux et les neurochimiques.
17) Les rats soumis pendant une année à de l’eau double- ment distillée et désionisée, avec une concentration en fluorure de 1 ppm (fluorure de sodium ou fluorure d’aluminium), ont eu des changements morphologi- ques à leurs reins et à leur cerveau. On a retrouvé un niveau beaucoup plus élevé que normal d’aluminium dans leur cerveau ainsi que la formation de dépôts de beta-amyloïde qui sont associés à la maladie d’Alzheimer.
18) Lorsque le fluor s’associe avec l’aluminium (fluorure d’aluminium) il affecte les G-protéines. Le fluorure d’aluminium interfère avec plusieurs signaux hormo- naux et les neurochimiques.
19) La Environmental Protection Agency et la National Institute of Environmental Health Sciences ont été récemment soumis le fluorure d’aluminium à une étude par le National Toxicology Program. Selon l’EPA et le NIEHS, le fluorure en aluminium est actuellement «une recherche en santé primordial» due à sa «toxicité neurologique reconnue». Lorsque le fluor est ajouté à l’eau qui contient déjà de l’aluminium, des composés encore plus toxiques de fluorure d’aluminium se forment.
20) Les expériences sur des animaux prouvent que l’exposition au fluor change le comportement mental. Les rats ont démontré un comportement hyperactif pré- natal et ces sujets postnataux, une hypoactivité. Des études récentes montrent que le fluor endommage leur cerveau, perturbent leurs comportement et l’apprentissage.
21) Les études menées par Jennifer Luc, ont prouvé que le fluor s’accumule dans la glande pinéale humaine à des niveaux très élevés. Dans sa thèse de doctorat (PhD), elle a également prouvé, par les études sur des ani- maux, que le fluor réduit la production de mélatonine et mène à une puberté précoce.
22) Cinq études de Chine montrent un abaissement du quotient intellectuel chez les enfants exposés au fluor. Une de ces études indique que même les niveaux modérés de consommation de fluor (par exemple 0,9 ppm) peuvent aggraver les défauts neurologiques et l’insuffisance d’iode. Ce qui incluent le retardement du développement du cerveau. Selon la CDC, l’insuffisance d’iode a presque quadruplé aux USA depuis les années 70, avec presque 12% de la population à présent déficiente en iode.
23) Dans la première moitié du XXe siècle, le fluor a été prescrit par un certain nombre de médecins européens pour réduire l’activité de la glande thyroïde chez ceux souffrant de l’hyperthyroïdisme (thyroïde hyperactive). Avec la fluoration de l’eau, nous forçons des person- nes à boire un médicament thyroïde-dépresseur, qui pourrait favoriser des niveaux plus élevés de l’hypothy- roïdisme (thyroïde sous active) dans la population, et tous problèmes reliés à ces troubles. De tels problèmes incluent la dépression, la fatigue, le gain de poids, des douleurs musculaires et articulaires, des niveaux élevés de cholestérol, et maladies du coeur.
On estime que les expositions élevées au fluor (dans les villes fluorées), diminuent le fonctionnement de la glande thyroïde. C’est un fait remarquable qui mérite certainement une plus grande attention, considérant le problème effréné et croissant de l’hypothyroïdisme en Amérique. En 1999, le deuxième médicament le plus prescrit était le Synthroid, une drogue de rechange: des hormones employées pour traiter une thyroïde hypoactive. En Russie, on a trouvé une diminutiondes fonctions de la thyroïde de personnes «en santé» buvant de l’eau ayant 2,3 ppm en fluor.24) Certains des premiers symptômes du fluorose squelettique (qui affectent des millions de personnes en l’Inde, en Chine, et en Afrique), imitent les symptômes de l’arthrite. Selon une publication (Chemical & Engineering News) : «puisque l’arthrite révèle des symptômes cliniques similaires, les deux premières phases cliniques du fluorose squelettique pourraient être facilement mal diagnostiquées». Peu d’études ont été faites pour déterminer l’ampleur de cette erreur médicale. Et que le nombre faramineux d’arthritiques (plus de 42 millions d’Américains en souffrent) soit relié à notre exposition croissante aux fluorures, est hautement plausible. Les causes de la plupart des formes d’arthrite (par exemple l’ostéo-arthrite) sont inconnues.
25) Quelques études démontrent que des doses élevées de fluor (en moyenne 26 g/jour) employées dans les expé- riences pour traiter des patients contre l’ostéoporose, dans le but de durcir leurs os et de réduire des taux de rupture, ont mené réellement à un nombre PLUS ÉLEVÉ de fractures, spécialement celles de la hanche.
26) Dix-neuf études depuis 1990 ont examiné la relation possible entre la fluoration et une augmentation de fractures de la hanche parmi les personnes âgées. Onze de ces études ont trouvé une association, huit aucune. Une étude a trouvé une augmentation du nombre de fractures de la hanche lorsque la concen- tration en fluor s’élevait de 1 ppm à 8 ppm.
27) La seule étude gouvernementale faite sur des rats masculins soumis au fluor montre une augmentation du nombre d’ostéo-sarcomes (cancers d’os). La con- clusion initiale de cette étude dit aussi qu’il y avait un accroissement de cancers de foie et de la bouche.
28) Deux études montrent une association possible entre le cancer des os chez des jeunes hommes vivant dans les villes fluorées. La NCI n’a pas conclu que la fluo- ration en était la cause et aucune autre explication n’a été donné pour justifier cet accroissement. Une étude au New Jersey a trouvé un taux de cancer 6 fois supérieur chez les hommes buvant de l’eau fluorée. D’autres études n’ont pas trouvé cette association.
29) La fluoration est non-éthique parce qu’on n’a pas de- mandé le consentement aux consommateurs (encore moins consulté leur dossier médical), ni ne les a-t-on au mis au courant des effets secondaires de ce médica- ment. C’est pourtant une technique normalisée pour tous les médicaments et c’est une des raisons du refus dans les pays européens. Comme un docteur a convenablement énoncé: «aucun médecin avec du bons sens ne prescrirait, pour une personne qu’il n’a jamais rencontrée, dont il ne connaît pas les antécédents médicaux, une substance qui provoque des changements corporels, en donnant sim- plement ce conseil: « prenez-en autant que vous voulez (car aucun contrôle sur la quantité bue), consommez- en toute votre vie parce que quelques enfants souf- frent de caries dentaires ».» C’est une notion absurde.
30) Tandis que les référendums sont toujours préférentiels aux politiques imposées du gouvernement central, il y a toujours le problème des différents droits des individus versus la majorité. Différemment dit: est-ce qu’un électeur a le droit d’exiger que leurs voisins ingèrent un certain médicament (même si il est contre la volonté de ce voisin) ?
31) Quelques personnes semblent être extrêmement sen- sibles au fluor comme l’a démontré plusieurs études. Ceci étant relié au fluor qui perturbe leurs niveaux d’hormones, incluant celles produites par leur glande thyroïde. Une étude faite durant 13 années démontre que 1% des patients recevant 1 mg de fluor chaque jour avaient des réactions négatives. Pouvons-nous en tant que société forcer ces personnes à boire du fluor ?
32) Selon l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR), quelques personnes sont particulière- ment vulnérables aux effets toxiques du fluor; ceux-ci incluent: les personnes âgées, les diabétiques et les personnes souffrant d’insuffisance rénale. Encore une fois, pouvons-nous, en toute bonne conscience, forcer ces personnes à ingérer le fluorure quotidiennement et durant toute leur vie ?
33) Sont également vulnérables ceux qui souffrent de malnutrition, par exemple, des carences en calcium, magnésium, vitamine C, vitamine D, une insuffisance d’iodure et les régimes faibles en protéines. De telles personnes sont les pauvres, qui sont, précisément, les personnes visées par les nouveaux programmes de fluoration. Les familles pauvres ne peuvent pas se per- mettre des mesures d’action pour éviter l’intoxication (achat d’eau embouteillée, par exemple, ou distillateur).
34) Puisque l’affaiblissement dentaire est plus concentré dans les communautés pauvres, nous devrions dépen- ser nos efforts à essayer de faciliter l’accès aux soins dentaires pour ces familles démunies. La vraie «crise de santé orale», qui existe aujourd’hui aux USA, n’est pas une carence en fluor, mais la pauvreté et la mau- vaise alimentation. Aux USA, 80% des enfants traités par les dentistes ne sont pas couverts par Medicaid.
35) La fluoration s’est avérée inefficace à empêcher, chez les enfants pauvres, les problèmes oraux sérieux, à savoir, décomposition de l’émail dentaire et la carie dentaire de l’enfant au biberon.
36) Une fois que le fluor est dilué dans l’eau des aqueducs, il est impossible de contrôler la dose quotidienne que chacun individu consomme. Certaines personnes (par exemple les travailleurs manuels, les athlètes et les diabétiques) boivent plus d’eau que d’autres. Et nous ingérons en plus du fluor en provenance de d’autres sources que l’approvisionnement en eau. Ces autres sources de fluor incluent la nourriture et les boissons fabriqués avec de l’eau fluorée, les produits dentaires fluorés, les viandes désossées mécaniquement et les résidus de pesticides sur la nourriture.
37) Malgré le fait que nous sommes exposés à bien plus de fluor en 2005 que nous l’étions en 1945 (début de la fluoration), le niveau «optimal» de fluoration est toujours fixé à 1 ppm, le même niveau déterminé optimal en 1945 !
38) Les études entreprises aux USA entre 1945 et 1955, qui ont aidé à lancer l’idée de fluoration massive, ont été fortement critiquées dans leur méthodologie. Selon Dr. Hubert Arnold, un statisticien de l’université de la Californie, les relevés de fluor «sont particulièrement riches en erreurs, de conception inexacte, où il y a une utilisation inadmissible des méthodes statistiques, et omissions de données contraires». En 2000, le York Review, du gouvernement anglais n’a pu donner une classification «A» au fluor, cela même après 50 ans de recherches !
39) Le service de santé publique des USA a approuvé pour la première fois la fluoration en 1950, avant même que de simples études aient été accomplies! Ce ne peut pas être une coïncidence que dans la même année, la Sugar Research Foundation Inc. (soutenue par 130 sociétés) ait exprimé son intérêt dans la recherche dentaire «pour découvrir des moyens efficaces de contrôler la décomposition dentaire par des méthodes autres que la consommation réduite d’hydrates de carbone (sucre)».
40) Le programme de fluoration a été très mal surveillé. Il n’y a jamais eu aucune analyse détaillée des niveaux de fluor dans les os, le sang et l’urine des américains ou autres pays. Les services d’hygiène aux USA n’ont aucune idée du niveau requis en fluor dans les os ou dans le corps pour prévenir la carie dentaire.
41) Même si les docteurs prescrivent et les dentistes uti- lisent des produits fluorés, la FDA (US Food and Drug Association) n’a jamais approuvé la sécurité et l’effi- cacité d’aucun produit fluoré destiné à l’ingestion. Les suppléments fluorés sont conçus pour livrer la même quantité de fluor que la consommation quotidienne de l’eau fluorée.
42) Les produits chimiques utilisés dans l’eau de con- sommation fluorée aux USA ne sont pas de catégo- rie «pharmaceutique». Pire encore, ils proviennent directement des systèmes d’épuration de lavage des industries d’engrais de superphosphates. Ces produits chimiques (dont 90% sont du fluorosilice de sodium et de l’acide fluorosilicique) sont classifiées comme étant des résidus contaminants dangereux refermant des métaux toxiques et ayant même des traces d’isotopes radioactifs. Un relevé récent, faite par la National Sanitation Foundation, révèle que les niveaux d’arsenic dans ces produits chimiques sont élevés et significatifs.
43) Ces résidus dangereux n’ont pas été examinées largement. Le produit chimique habituellement utilisé dans les études scientifiques sur les animaux, est le fluorure de sodium de grade pharmaceutique, pas de l’acide fluorosilicique de catégorie industrielle (donc pas du tout ce dont on se débarrasse dans les aqueducs d’eau potable). On prétends qu’avant que ces déchets soient recueuillis, toute l’acide fluorosilicique est convertie en ions de fluor libres, et que les autres toxiques et isotopes radioactifs sont tellement dilués, qu’ils ne causent aucun mal, même avec une exposition durant toute la durée de votre vie. Ces prétentions n’ont pas été examinées soigneusement par des scientifiques, indépendants du programme de fluoration.
44) Les études par Masters et Coplan montrent une association entre l’utilisation de l’acide fluorosilici- que (et son sel de sodium) dans l’eau fluorée et une plus grande concentration de plomb dans le sang des enfants. En dépit qu’il est reconnu que la présence du plomb empêche le développement normal du cerveau de l’enfant, cette recherche est ignorée par les pays qui appliquent la fluoration.
45) Le fluorure de sodium est une substance extrêmement toxique – juste 200 mg (environ un quart de cuillère à café) d’ions fluorés, est suffisant pour tuer un jeune enfant. Les enfants (avalant des gels fluorés) et les adultes (accidents comportant le défaut de fonction- nement l’équipement d’application de fluorures et des filtres défectueux des machines de dialyse) sont morts de l’exposition excessive au fluor.
46) Certains des premiers adversaires de la fluoration étaient des biochimistes: au moins 14 ayant reçus le prix Nobel. Ils sont parmi les nombreux scientifiques qui ont émis leurs réserves au sujet de la pratique de la fluoration. Dr. James Sumner, qui a gagné le prix Nobel pour son travail sur la chimie d’enzymes, dit ceci au sujet de la fluoration: «nous devons aller lentement. Tout le monde sait que le fluor et les fluorures sont les substances très toxiques… que nous les employons dans la chimie d’enzymes pour empoisonner des enzy- mes, ces agents essentiels dans le corps».
47) L’union représentant les scientifiques aux quartiers gé- néraux américains (EPA) est opposée à la fluoration de l’eau et rejette l’approbation du gouvernement. L’EPA condamne l’utilisation de déchets industriels dange- reux fluorés liquidés dans l’approvisionnement en eau publique. Selon leur vice-président: «Nous considérons que la fluoration est un risque irraisonné. Vu que la toxicité reconnue du fluor est tellement grande et que ses avantages sont tellement infimes – s’il en existe – c’est un acte quasi criminel de la part du gouverne- ment que de forcer chaque homme, chaque femme et chaque enfant en amérique à ingérer du fluor.»
48) Beaucoup de scientifiques, médecins et dentistes qui ont parlé publiquement de cette question ont été soumis la censure et l’intimidation. Le Dr Phyllis Mul- lenix faut congédié du Chair of Toxicology au Forsythe Dental Center pour ses publications et découvertes sur la nocivité du fluor. Cette tactique ne serait pas néces- saire si ceux favorisant la fluoration étaient assurés du bien fondé de la fluoration.
49) Les instigateurs officiels à la fluoration refusent de participer à un débat public demandé par des organismes reconnus. Le Dr. Michael Easley, un des partisans pro- fluor, va jusqu’à dire que la controverse est une illusion puisqu’il n’y a aucune personne crédible supportant le mouvement anti-fluoration.
50) Quant aux polémiques entourant les produits chimi- ques toxiques, les personnes ayant d’énormes intérêts investis, font traditionnellement leur meilleur pour escompter les études sur faites sur les animaux et nourrisse la chicane sur des résultats épidémiologi- ques. Dans le passé, des pressions politiques ont mené des organismes gouvernementaux à traîner leurs pieds sur la régulation de l’amiante, du benzène, du DDT, des PCBs, fu plomb tétraéthylique, sur le tabac et les dioxines. Concernant la fluoration, nous avons cin- quante années de retard. Malheureusement, parce que les fonctionnaires du gouvernement ont mis tellement de leur crédibilité en ligne sur la défense de la fluo- ration, et en raison des responsabilités énormes les attendant s’ils admettent que la fluoration a causé une augmentation des ruptures de la hanche, de l’arthrite, des cancers d’os, des troubles de cerveau ou des problèmes de la glande thyroïde, il sera très difficile qu’ils parlent honnêtement et s’ouvrent au sujet d’une nouvelle discussion.
Ils doivent, non seulement protéger des millions de personnes contre le mal inutile, mais protéger la no- tion que la politique de santé publique est basée sur la science sans aucune pression économique.
Ils ont un outil avec lequel ils travaillent: ça s’appelle le principe de précaution. Simplement mis, ceci signifie: ils ont les mains liés et se protègent sur les documents favorables aux bailleurs de fonds politiques, soit les multinationales qui encaissent des fortunes tout en se débarrassant de résidus hautement toxiques qu’ils pouvaient difficilement rejeter dans l’environnement.
Est-ce que la plupart des pays européens qui ont banni la fluoration voient leurs enfants souffrir ? Non, la confiance même de leur public a été renforcée.
Pour ceux qui réclameraient d’autres études, nous disons très bien. Retirez le fluorure de l’eau du robinet d’abord et entreprenez ensuite toutes les études que vous voulez.
Cette folie doit finir sans autre retard.Source: Sott.net
Et pas que le fluor……….
Du poison dans l’eau du robinet: un reportage de FR3 de Mai 2010
http://www.notre-ecole.net/du-poison-dans-eau-du-robinet/
Comment peut-on faire confiance en nos dirigeants
« Faites ce que je dis pas ce que je fais »
depuis le temps que je dis qu’on mange de la m***e payée à prix d’or
il faut arrêter
je n’ai jamais donné à mon enfant le fluor qui m’était prescrit par le pédiatre
je pense que tout le monde ne né pas avec la même qualité de dent, de plus le statut social, l’alimentation, la digestion, tous ces phénomènes influent
dans certains pays ou les enfants sont pourtant sous-alimentés, ils ont des dents d’une blancheur et d’une qualité ….. à faire pâlir certains
y a t il eu une ville test en France, où l’on absorbe du fluor par l’eau du robinet? à ma connaissance la réponse est « non ». si vous pouvez me répondre, merci d’avance.
Une petite recherche sur internet porte parfois des résultats très intéressants, par exemple ceci:
La source se trouve ici: forums.france3.fr
Autre article sur la fluoration dans le monde, et enfin une page de la lyonnaise des eaux sur la fluoration qui montre bien qu’en France c’est bel et bien utilisé.
Et enfin, pour terminer, la fluoration de l’eau n’est peut être au final qu’un détail, un arbre qui cache la forêt si on repense au scandale de l’eau du robinet, un reportage fantastique initialement diffusé sur France3.
Merci pour toutes ces infos qui représentent beaucoup de travail. Je vous ai mis dans ma barre de signet. Très bon WE quand même.