Une étude révèle l’imposture de la chimiothérapie

Tout n’est qu’arnaque, tant qu’il y a de l’argent à prendre… Le nombre de cas de médecins qui ont rencontré des soucis après avoir trop bien soigné voire guérit ses patients ne se compte plus, pressions, coupure des subventions, tous les moyens sont bons de ce côté là pour que les traitements continuent à être vendus avec de gros bénéfices à la clé.

Faire une chimio pourrait aggraver votre cancer

(NaturalNews) Une équipe de chercheurs de l’état de Washington a récemment ont poussé un mémorable  »oups ! » quand elle a découvert par hasard la vérité mortelle sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Comme on le constate, en réalité la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, selon les découvertes de l’étude, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée.
On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l’industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, est, selon l’étude un fiasco total, mais elle est au complet détriment du malade cancéreux. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. L’action combinée de la destruction de cellules saines et la promotion de cellules cancéreuses fait techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer qu’un protocole de traitement cancéreux, par définition, fait qui devrait retenir l’attention de quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-même en ayant un cancer, soit parce qu’il connaît quelqu’un d’autre qui en est affecté.

Quand le WNT16B (la protéine) est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte à laquelle  »il ne s’attendait pas du tout. »  »Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour… peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.
Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé, suggère la recherche

Cela signifie qu’à tous égards la technique toute entière de la chimiothérapie est totalement sans valeur, et qu’elle est en fait au complet détriment du patient cancéreux. Celui qui cherche vraiment à guérir fera en d’autres mots tout pour éviter la chimiothérapie, et recherchera une voie alternative. Laquelle peut comprendre les traitements alternatifs du Dr Gerson ou des aliments et nutriments anti-cancer comme le bicarbonate de soude, le curcuma, de fortes doses de vitamine C et la vitamine D.

 »Toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui tue les patients au bout du compte, » a admis le Dr Raghu Kalluri, auteur d’une étude similaire publiée l’année dernière dans le journal Cellule cancéreuse. Cette étude particulière a conclu que les drogues anti-cancer, qui sont habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des métastases.
SOURCE

Traduit par Hélios pour le BBB.
Lire aussi l’article du Dr JacquesLacaze (cancérologue),  »Rapport accablant : 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes ».

http://bistrobarblog.blogspot.com/2013/01/limposture-de-la-chimiotherapie.html

Via leschroniquesderorschach.blogspot.fr

Allez, une petite  info en plus sur le sujet:

Chimiothérapie : le scandale une nouvelle fois mis à nu !
Cette fois, par une étude parue dans Clinical Oncology…. !!!
Des taux de réussite autour de… 2,2 % !

Une étude qui devrait faire du bruit. À condition bien sûr d’en parler… On apprend ainsi, que le taux moyen de succès des chimiothérapies tourne autour des 2,2 pour cent !

Un article de trois professeurs australiens est paru dans la revue Clinical Oncology, sous le titre : The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies (*). Il étudie les données d’études cliniques avec chimiothérapie au cours des 20 dernières années en Australie et aux USA. Le résultat est tout simplement consternant.
En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux. Au total, ce sont les données de 72 964 patients en Australie et de 154971 aux USA, tous traités par chimiothérapie, qui ont été étudiées. Ici, personne ne peut plus prétendre qu’il ne s’agit que des données de quelques patients et, par conséquent, « insignifiantes »… Les auteurs s’interrogent, avec raison, sur le fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, ait dans le même temps connu un tel succès commercial. Et cela devient totalement incompréhensible, lorsque l’on considère, une par une, les différentes sortes de cancer. C’est ainsi qu’aux USA, depuis 1985, il y a eu exactement 0 % de progrès dans les cancers suivants : Cancer du pancréas, Sarcome des parties molles, Mélanome, Cancer des ovaires, de la Prostate, des reins, de la vessie, tumeurs cérébrales, Myélomes multiples. Pour le cancer de la prostate, par exemple, rien qu’aux USA, 23.000 patients ont été analysés. Mais au vu des  » taux de succès « , on ne peut que constater : ils étaient de 1,4 % pour le cancer du sein, de 1,0 % pour le cancer de l’intestin, et de 0,7 % pour le cancer de l’estomac. Et ceci au bout de 20 années de recherches intensives dans le domaine de la chimiothérapie et l’investissement de milliards provenant de fonds pour la recherche et de dons faits aux grandes organisations pour le cancer. Logiquement, tout un chacun devrait maintenant changer sa façon de penser. Mais à quelle réaction devons-nous nous attendre ? Tout porte à croire, que les pouvoirs publics continueront à affirmer sans la moindre retenue que « l’on a fait ce qu’il fallait » au cours des dernières décennies et que la recherche a englouti des milliards de dollars dans la bonne direction. Car dans le cas contraire, la perte de prestige serait immense et dévastatrice, et les conséquences économique et financière catastrophiques pour tous ceux qui vivent — et non meurent — du système ! Et tant pis pour le consommateur, pardon le patient, qui se trouve bien seul lorsqu’il n’a pas accès à l’information lui permettant de prendre conscience de cette autre réalité de la maladie, au moins autant physique que psychologique et spirituelle. On trouvera sur le site http://www.cancerdecisions.com, les chiffres des effets cytotoxiques de la chimiothérapie sur les cinq années de survie. Ce qui est remarquable, c’est la similarité des résultats entre les deux pays ! A travers ces chiffres, on peut mesurer les conséquences de ces traitements, acceptés le plus souvent au prix de terribles souffrances, dans l’espoir ultime d’une guérison, en réalité bien illusoire.

(*)  » The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies  » de la revue Clinical Oncology ; 16 : 549-560.

Cette information a été diffusée dans la revue Univers Spirale n°55 du printemps 2009.

Source: santeendanger.net

Voire cela aussi…

Faire une chimio pourrait aggraver votre cancer
Une étude du Fred Hutchinson Cancer Research Center montre que, sous certaines conditions, une chimiothérapie pourrait accélérer le développement et la métastase d’un cancer.

Ce sont les fibroblastes, des cellules qui jouent un rôle important dans l’élasticité de la peau en produisant du collagène et protègent contre les infections, qui seraient responsables : lorsqu’elles sont proches d’un cancer soumis à une chimiothérapie, une modification de leur ADN leur fait produire une protéine qui protège le cancer du traitement et facilite la métastase. La production de cette protéine peut, dans ces conditions, augmenter jusqu’à 30 fois.

Cette découverte permet de mieux comprendre pourquoi certains cancers se montrent résistants au traitement et les patients pourraient, après de plus amples recherches, pouvoir être traités avec des doses de médicaments plus faibles et moins toxiques.

6 Commentaires

  1. les tueurs …seulement pour l’argent …purééé..

  2. Le remède qui aggrave le mal, c’est capitalistiquement parfait !

  3. le système capitaliste est UNE IMMONDE IMPOSTURE !!!!!!

  4. La chimiothérapie, c’est du poison, et j’en sais quelque chose : mon père en est mort en 3 jours, après que son médecin lui ait administré un quatrième traitement, les 3 premiers le rendant tout rouge, et ultra-fatigué.

    NE TOUCHEZ PAS à LA CHIMIO, C’EST DE LA MERDE INTÉGRALE, vous êtes prévenus.

    Et des cas comme celui de mon père, vous en trouverez des milliers…

    • D’accord mais si tu touches pas à la chimio tu fais quoi puisque les remèdes miracles sont indisponibles.
      En attendant, une personne de ma famille a été sauvée grâce à la chimio.
      Et ton père avec tout le respect, il est sans doute mort de son cancer avant tout. Le traitement ayant précipité la chose. Mais l’absence de chimio ne l’aurait certainement pas fait aller mieux non plus.

  5. Bonjour à Tou(te)s
    C’est une nouvelle scientifique .. pas par des charlatans !

    A transmettre au Sénat, qui se réunit actuellement sur :
    Commission d’enquête sur les mouvements à caractère sectaire
    http://www.senat.fr/les_actus_en_detail/article/commission-denquete-sur-les-mouvements-a-caractere-sectaire.html

    et au Docteur (en médecine) Serge BLISKO, président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES).

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