Un grand scientifique américain : Après deux ans de recherche, je n’ai aucun doute sur le fait que le COVID-19 a été créé dans un biolab américain.

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Une déclaration très remarquée a été faite par Geoffrey Sachs, directeur de l’Institut de la Terre de l’université Columbia aux États-Unis, sur le coronavirus SRAS-CoV-2 (COVID-19). M. Sachs a précédemment présidé une commission spéciale de la revue médicale respectée Lancet pendant environ deux ans.

 

Selon l’expert américain, il est convaincu que le coronavirus COVID-19 a été créé dans un laboratoire biologique américain. Jeffrey Sachs a fait cette déclaration retentissante lors d’une table ronde organisée par l’organisation espagnole GATE Centre.

Il convient de noter que Jeffrey Sachs n’est pas un scientifique ordinaire. Il est l’un des scientifiques les plus influents de notre époque. Ses travaux ont été publiés dans certaines des plus grandes revues du monde.

Geoffrey Sachs :

Je ne doute pas qu’il (COVID-19) soit sorti du biolab américain, et en aucun cas de la nature. Je dirai que nous avons passé deux ans à faire des recherches intensives sur la question. Tout indique qu’il pourrait s’agir d’une erreur biotechnologique grossière plutôt que d’une propagation naturelle. Les preuves sont nombreuses. Seulement maintenant, les États-Unis eux-mêmes ne veulent pas l’étudier. Ils ne veulent simplement pas apprendre les bases, regarder sous le tapis.

Il s’avère qu’un scientifique américain accuse ouvertement les autorités américaines de ne pas faire connaître à la communauté mondiale la vérité sur l’origine et la propagation d’un nouveau type de coronavirus. Il convient de rappeler les nombreux biolaboratoires américains, y compris militaires, qu’ils ont mis en place dans des dizaines de pays à travers le monde, dont des pays comme l’Ukraine, l’Arménie, le Kazakhstan et l’Asie de l’Est.

Auparavant, le ministère russe de la défense avait obtenu de nombreuses preuves que le département militaire américain avait financé l’étude de la propagation de maladies mortelles en Ukraine, notamment par les voies de migration des oiseaux migrateurs. Les virus des chauves-souris ont notamment été étudiés.

Source TOPWAR

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26 Commentaires

  1. Jclaude
    lundi 4 juillet 2022 à 11 h 36 min

    Il est chouette, ce trouduc américain : c’est un assassin tous azimuts, et quand il n’y a pas encore assez d’azimuts, il en invente. C’est d’ailleurs la seule chose qu’il sache faire. Si c’était UNE personne, elle serait soigneusement invitée dans une grande maison blanche d’où elle ne pourrait plus sortir ; mais là cela fait beaucoup de monde, dont les pulsions se renforcent par « brainstormings » : le résultat est, disons, intéressant. Un mélange de Landru, de Dr Petiot, de Mengele, de Jack l’Éventreur, de Barbe Bleue, de Madeleine Albright, de Killary Clinton, d’officiers comme Custer et Gibbon…..
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    A croire que « le peuple exceptionnel » se soit élevé pour détruire la vie sur Terre. Avec placidité et conviction.

  2. dario2
    lundi 4 juillet 2022 à 11 h 37 min

    étant donné que le virus n’existe pas, comment a-t-il été créé?

  4. dudababel
    lundi 4 juillet 2022 à 18 h 06 min

    cet article affirme que “J. Sachs n’est pas un scientifique ordinaire. […] Ses travaux ont été publiés dans certaines des plus grandes revues du monde.”

    J’aimerais savoir de quels travaux on parle.
    Selon mes recherches, cette personne est un économiste, inventeur revendiqué de “l’économie clinique” et membre de la comission Covid-19 pour The Lancet … c’est à dire pas un scientifique du tout !
    https://www.jeffsachs.org/

    • Volti
      lundi 4 juillet 2022 à 20 h 03 min

      Ça fait super plaisir que tu ne fasses pas partie des « suiveurs » qui lisent sans aller plus loin… J’espère que tu seras un exemple. La propagande est partout même à l’Est…

  6. Fioul
    lundi 4 juillet 2022 à 21 h 27 min

    Je ne crois pas qu il faut être un grand scientifique pour arriver à la même conclusion. Il a dû lire les LME

  8. xc
    mercredi 6 juillet 2022 à 19 h 40 min

    « Tout indique qu’il pourrait s’agir d’une erreur biotechnologique grossière plutôt que d’une propagation naturelle. Les preuves sont nombreuses.  »
    C’est contradictoire. S’il y a des preuves, il faut dire « qu »il s’agit ». Et si ce n’est qu’une hypothèse, il ne faut pas dire qu’il y a des preuves.
    Admettons qu’il y en ait: quelles sont-elles,ont-elles été publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture ? Qu’en pensent les scientifiques lecteurs ?

    Bon, comme le signale un autre commentateur, Geoffrey Sachs traite d’un domaine dans lequel il n’a aucune compétence.

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