Petit billet d’humeur (mauvaise) pour cause de temps (dans tous les sens du terme) exécrable ; bien fait pour vous, fallait pas m’escagasser. Nous aurons beau râler contre toutes les mesures prises par les Déviants*, toutes les mesures passeront. L’une après l’autre ; tôt ou tard, et tôt plutôt que tard.
Pourquoi et comment ? Parce que c’est trop facile. « On » commence par envoyer chez les merdias des ballons d’essais via des Déviants* nov’langateurs aux discours bardés de ces trop fameux éléments de langage dégoulinants de fange. « On laisse reposer » après la huée généralisée : « Pas contents ! Pas contents ! » « On » passe à autre chose ; « On » fait plutôt semblant.
« On » lance par la suite une campagne de pub anodine pour sensibiliser l’opinion en mettant en scène des enfants prescripteurs-moralisateurs arguant du bien-fondé de la mesure proposée auprès de parents crétinisés à outrance et Hop ni vu ni connu j’t’embrouille et l’affaire est classée en deux coups de cuillère à pot d’ingénierie sociale de base au ras des pâquerettes parce que trop facile… Ouf je reprends ma respiration !
Puis deux/trois signatures corrompues plus tard sur quelque texte validé par les Déviants* au détour d’un mois estival et re-Hop. La mesure est actée mais prendra effet plus tard. C’est ici la sous-technique de manipulation que je nomme « Technique de Ah Madame Michu ça ne vous concerne pas directement maintenant », connue aussi sous le nom de Report de la mesure.
On laisse ainsi le moyen terme (Futur plus ou moins (pas trop moins) proche) s’installer.Le Futur +/- proche devient Présent. Les enfants ont depuis grandi tranquillement en ayant été Lavagés progressivement du cervÔ… lent. Et la dite-mesure devient effective (les enfants devenus grands ont-ils su un jour seulement qu’avant, c’était bien différent ?). Et par la suite « On » peut resserrer encore plus le dispositif, au détour d’un mois de vacances d’été par exemple. Et re-re-re-Hop, au suivant !
Toujours cette satanée histoire de la grenouille et de la marmite. Et s’il y a réticences ? Boaf alors pour faire parler Madame Michu dans la chaumière de sa voisine : « On » sort plusieurs petites histoires de Cul étalées et tartinées à outrance dans tous les merdias. De la merde en tartine. Ou alors, encore mieux, d’une pierre deux coups :
« On » en profite pour régler des comptes avec l’étalement merdiatique géant d’une seule Grande Histoire de Cul concernant une personnalité (cf l’affaire Weinstein mis en pâture pour l’exemple par l’équipe de Trump pour recadrer le Tout-Hollywood qui « vent-deboutait » contre sa nomination à la Présidence des States et qui s’est empressé de se remettre bien droit en honnissant à l’unisson ledit Sieur en question).
Vraiment trop fastoche ; m’enfin comme disait l’autre. Ça marche dans la majorité des cas. Et si vraiment ça couine, alors « On » vous pond par exemple et au choix un référendum, qui sera validé ou non en fonction des besoins, quel que soit le résultat qui n’est qu’un détail.
Et voilà qu’enragés ou pas, je tu il/elle nous vous ils/elles bêle bêles bêle bêlons bêlez bêlent sans réelle rébellion. C’est faux ? C’est n’importe quoi ? Alors retournez-vous et regardez derrière-vous. Ah ben et oui ça piquait, parce que c’était déjà dedans…
Texte écrit ce jour en codes couleurs Hexa #FFFF00 ou rgb (255,255,0). Comprenne qui pourra. * Déviant : terme remplaçant aujourd’hui des mots tombés en désuétude comme Homme/femme politique, Elite, gouvernant, gouvernement, ministre, sénateur, député, etc etc etc.
Post-scriptum : petite blaguounette vue sur internet que je pique (grand merci et pardon à l’auteur) mais qui résume assez bien le phénomène de déliquescence dans lequel « On » nous a engagé pour détourner les regards de ce qui nous est destiné dans ces temps futurs dystopiques.
Il a neigé toute la nuit. Du coup, ce matin, j’ai fait un bonhomme de neige devant la maison ! 09:00 : mon bonhomme de neige est terminé.
09:10 : une féministe passe et me demande pourquoi je n’ai pas fait une bonne femme de neige. 09:15 : je fais aussi une bonne femme de neige.
09:17 : la nounou des voisins râle parce qu’elle trouve que la poitrine de la bonne femme de neige est trop voluptueuse.
09:20 : le couple d’homosexuels du quartier grommelle que ça aurait pu être deux bonshommes de neige.
09:25 : les végétariens du n°12 s’indignent de la carotte qui sert de nez au bonhomme. Les légumes sont de la nourriture et ne doivent pas servir à ça.
09:26 : les deux lesbiennes du quartier d’à côté me demandent pourquoi je n’ai pas plutôt construit deux femmes de neige ?
09:28 : d’autres me traitent de raciste car le couple est blanc.
09:31 : les Musulmans de l’autre côté de la rue me demandent d’ajouter un foulard à ma bonne femme de neige.
09:37 : des gilets jaunes débarquent, ils menacent de tout faire fondre si je n’enfile pas un gilet jaune à tout ce beau monde. Par peur d’inonder le quartier je m’exécute.
09:39 : une cohorte désordonnée et »bruyante » de jeunes tente de mettre le feu à mes hommes et femmes de neige. Trop de culture accumulée, ils ne savent pas que la neige ne brûle pas…
09:40 : quelqu’un appelle la police qui vient voir ce qui se passe.
09:42 : on me dit qu’il faut que j’enlève le manche à balai que tient le bonhomme de neige car il pourrait être utilisé comme une arme mortelle. Les choses empirent quand je marmonne : mouais, surtout si vous l’avez dans le…
09:45 : avec toute l’agitation, l’équipe de TV locale s’amène. Elle me demande si je connais la différence entre un bonhomme de neige et une bonne femme de neige. Je réponds : Oui, les boules. Je suis alors traité de sexiste.
09:52 : mon téléphone portable est saisi, contrôlé et je suis embarqué au commissariat.
10:00 : mon histoire est annoncée sur les radios. On me suspecte d’être un terroriste profitant du mauvais temps pour troubler l’ordre public.
10:10 : tout le monde s’accorde pour dire que j’ai des complices.
10:29 : un groupe djihadiste inconnu revendique l’action.
Il n’y a pas de morale dans cette histoire… C’est juste le monde (les gens quoi, et merde je fais partie des gens) d’aujourd’hui, enlisé dans la superficialité alors que les AFFAIRES continuent.
Montet
PS1: La blagounette n’est pas de moi
Salut à tous les moutons…blacks…blancs…beurs ou beurrès
Wow Montet,
Ce fut un plaisir de lire ton histoire qui dècrit parfaitement la situation actuelle …
À quand le rèveil des masses abruties par les futilitès de la vie,alimentès par une bouffe industrielle tels des cochons et lobotomisèes par les merdias
Merci Norbert
…Surtout qu’il trouve « un plaisir », juste ce que tu n’as pas écrit.
wow…
ah !!avant c était bien différent ????je me demande si vous avez bien connu avant ????où si tu ne travaillais pas tu ne bouffais pas et tes gosses non plus…
que si il y avait la guerre on t envoyait au front ,et si tu voulais pas on te passait aux armes ….
que tu t occupais de tes vieux ,si tu voulais pas qu il crèvent de froid et de faim ..
@predateur, Tout dépend de quel » avant » tu parles … si c’est de la féodalité ou de l’après guerre de 14/18 ou 39/45 !
Tout ce que nous avons comme amélioration dans notre vie aujourd’hui et le résultat des luttes des générations des années fin1800 à 1950 environ … et nos dirigeants pervers sont en train de détruire tous nos acquis et de nous ramener au temps de la féodalité .
Actuellement , il y a une progression technologique et une régression sociale .
Pour faire court , tu seras un serf ,un crève la faim même en travaillant …mais tu auras un smartphone !
il y a une progression technologique et une régression sociale
faut se demander pourquoi ???parce que la machine est devenu plus fidèle à son utilisateur ,que l ouvrier à son emploi ….
d ailleurs pour vouloir embaucher faut être sado maso
Salut prédateur.
j’apporte donc des précisions sur le mot « avant » en ressortant un texte écrit en ces lieux il y a quelques jours.
Mon expérience perso « d’avant » mais ce n’est que mon expérience.
Quand je suis revenu du service militaire (et quand je pense que les jeunes vont bientôt se faire couillonner en chœur en y retournant mais c’est un Ôtre débat) je n’avais qu’un BEP en poche… valeur bac+4 d’aujourd’hui… Nan je dec, Bac+3.
J’ai immédiatement Immédiatement travaillé en débutant au smic ! Travaillé. Pas besoin de passer par la case anpe assedics machin formation bidule etc.
J’ai remonté la pente en reprenant mes études en cours du soir. La Fac ? C’était gratos. Heureusement car ça m’a pris un peu de temps…
J’ai immédiatement acheté une voiture d’occasion qui était entretenue (à « l’époque » on pouvait tout faire soi-même à moindre frais.)
Mon véhicule d’alors me vaudrait de la prison aujourd’hui si je roulais avec.
J’avais les moyens de mettre de…. l’essence dedans… Et en jurant mes grands Dieux que si ça passait à 2 francs le litre j’arrêterai de rouler… (lol)
Elle était assurée.
Je louais un f2/ voire f3, un truc zarbi mais super dans un quartier calme sans que l’on m’ait demandé quelconques cautions, fiches de paye des quarante douze dernières années, profession des parents, déclaration de l’employeur, du fisc…
(Coloc? Quoi ? Céquissa?)
J’allais 2 fois par semaine après la fac en soirée à la salle de sport.
Je sortais les filles. Que je pêchotais aux cours de danse, salsa rumba tango rock etc (là les mecs je vous file un sacré tuyau ; c’est cadeau).
J’allais en vacances.
Mon appartement était équipé de tout le matos moderne d’alors (moui ok yavait pas internet encore, i phone machin… rien de toussa, mais visiblement on pouvait s’en passer ; presque tout à la manivelle).
Je pouvais mettre de l’argent de côté !
Je suis né trois ans après que mes parents ont mis le pied en France métropolitaine.
J’ai vécu en hlm de 15 étages toute mon enfance-adolescence. Donc je ne suis pas né avec une cuillère en argent dans la bouche.
Et je m’en suis sorti… mais pas sûr que ça continue longtemps à ce rythme.
C’est Mon « monde d’avant ». j’ai bossé pour et ça marchait encore. Les Déviants étaient encore tapis dans l’ombre
Alors, Montet, c’est donc à cause de toi ( ou du moins de ton arrivée en France ) que mes parents ont du rester dans leur taudis au premier étage, sans adduction d’eau courante ni écoulement des eaux usées (rien qu’une pompe à manivelle au bout de la rue) ,avec des seaux d’eau à trimballer deux par deux avant le travail de ma mère et mon départ pour l’école et l’eau sale à descendre le soir dans de lourds baquets jusqu’à la grille d’égoût la plus proche, le lavage du linge par ma mère (malade ) dans l’eau glacée de la rivière avant ou après le travail, de multiples transports de lourds baquets dans l’escalier et sur la brouette . On nous avait promis, comme à tous les mal logés de ma rue, un logement dans les nouvelles HLM en construction, mais , horrible déception, ces logements furent attribués aux nouveaux arrivants, les « rapatriés d’Algérie ». Comme nous vous avons haï !!! Nous avons donc terminé notre enfance dans nos taudis glacés ( aucun local à l’étage pour entreposer suffisamment de bois ou de charbon) sans l’eau courante ( mort de ma mère à quarante-deux ans, malade et épuisée ) jusqu’à ce que nous, les jeunes de ma rue, partions travailler (et nous loger) dans d’autres villes, d’autres HLM avec l’eau courante, le chauffage, et même une salle de bains, le rêve, quoi !!! Tant d’amertume de voir la municipalité ne se préoccuper que du bien-être des nouveaux arrivants avec le plus grand mépris pour les conditions de vie des familles pauvres originaires de l’endroit . Bonne journée, Montet, et sans rancune, car nous partageons aujourd’hui une vision similaire de ce contre quoi il faut lutter .
Raté mianne ! Conclusions actives.
Mes parents n’ont pas mis les pieds en Algérie et ont vécu les trois premières années de ma vie dans un taudis dont la description est parfaitement idoine aux conditions de confort que tu relates pour ta famille.
Il a fallut attendre aussi pour avoir un peu mieux, puis un HLM.
C’était dans la rue St-Jean à Lyon qui était fort loin de ce qu’elle est devenue aujourd’hui. c’est-à-dire gentrifiée taille XXL au point qu’il y a là où ils ont vécu, un hôtel de luxe qui s’étend sur plusieurs n° de rue avec cours intérieure… voir google
Mais ce que tu dis me rappelle bizarrement quelque chose de plus contemporain…
Mais tu as raison la rancune c’est pas bÔ et ça gangrène l’âme jour après jour ou plutôt, nuit après nuit
quelques similitudes avec ce que j ai connu ,comparé à ce que connaissent mes enfants (nos enfants ) faut tout de même pas venir râler que c était mieux avant ….
Où est-il écrit que « c’était » mieux avant ?
La différence avant « avant », à moins d’être un Déviant, c’est que nul ne peut nier que si on se sortait les doigts, la « fameuse ascension sociale » était totalement possible alors que maintenant nos jeunes vont « tout droit dedans et à l’envers » et de surcroit dans un Monde se rapprochant toujours plus du totalitarisme.
Mon « ancien monde » était bien plus prometteur que celui d’aujourd’hui…
Fausses promesses ?
Oui et non.
Pour moi, il a basculé en deux étapes très rapprochées.
– La chute du mur de Berlin.
Les Déviants n’ont plus eu besoin de « nous » comme rempart.
Puis
– Le fameux « Responsable mais pas Coupable »
Nous nous sommes faits beaucoup de mauvais sang et nous leur avons fait comprendre que c’était « Open bar » sur nos vies sans que nous ne réagissions ou alors à la marge, un tout petit « pas contents ».
Et après vint la « technologie » pour parfaire les choses, mais ça c’est l’histoire d’aujourd’hui
le fameux ascenseur sociale ,ça ne s acquière pas avec des 35 heures,des rtt ,des arrêts maladie ,des congés maternité ……faut avoir la niaque ,et la foi
On est d’accord et sans cela je ne serais pas passé de « rien » à ce que je suis et vis aujourd’hui. toujours « s’accrocher »…
Pas de 35h, ni rtt, ni congés maladie, ni chèques resto ou vacances ; à titre perso mon statut me rend la chose quasi infaisable.
Mais là, accordons-nous à dire que l’ascenseur ne s’arrête plus à tous les étages, toujours pour imager, et que ce sont les escaliers qu’il faut emprunter pour s’en sortir. Et la rampe est haute ; et c’est moins aisé d’autant que la jeunesse deviendrait toujours plus obèse (toujours pour imager).
Tu connais l’histoire de la maman qui demande à sa petite fille d’appeler l’ascenseur pendant qu’elle ferme la porte à clés ?
Tandis qu’elle cherche les clés dans son sac elle entend derrière elle sa fille crier devant la porte de l’ascenseur : Ascenseur ! Ascenseur !
Ok je sors
C’est vrai, autrefois même en partant du bas de l’échelle, nous avions l’espoir . Les jeunes pouvaient s’en sortir en travaillant le jour et en étudiant la nuit . Aujourd’hui, les caissières d’hypers et les serveurs du Mac Do ne sont même pas certains que leurs diplômes durement acquis en jonglant sur leurs heures disponibles pour la fac et les formations par correspondance leur donneront un meilleur emploi . Il y a des requins qui se font des burnes en or sur ces pauvres jeunes en organisant des cours privés par correspondance et des stages hors de prix pour des préparations à des concours élitistes où ces jeunes qui survivent difficilement en exerçant plusieurs petits boulots ont peu de chances de succès . Les meilleurs emplois sont réservés aux époux, épouses, enfants, copains, amants, maitresses diplômé(e)s ou non, même incompétent(e)s des politiques au pouvoir ( souvent eux-mêmes incompétents) .
Et oui. C’est un autre résumé de la situation dégradée que connait la jeunesse…
Nous découvrons également une uberisation rapide de quasiment toutes les professions.
J’ai acheté mon premier duplex terrasse grâce à mes capacités rédactionnelles.
Je débitais des millions de mots à la minute pour différents secteurs de l’édition.
Aujourd’hui on propose 10 euros maximum pour des articles de 500 mots.
A ce tarif j’en serais encore à louer un 9 m2 sous les toits.
Le statut de micro-entrepreneur a eu cet effet pervers d’engendrer une course au moins-disant.
Tout porte à croire que pour « s’en sortir » il faudra désormais soit être bien né soit sombrer dans le business des trafics avec une activité « écran ».
bof l étudiant qui étudie la nuit et qui bosse le jour ,pour payer ses études,ça me fait marrer ,
il y a tout de même un gros pourcentage qui attérrissent en fac parce ce que ça fait super intelligent et qui ne finissent même pas la première année quand ce n est pas le premier mois
Merci Montet pour cette pointe d’humour savamment saupoudrée sur nos propres déviances. Que cela fasse mouche dans les esprits embrumés …
M.G.
Oui il faut à peu près 10 ans aux dirigeants pour nous faire avaler une réforme injuste.
On propose puis si la grogne se fait entendre dans les rues, on retire, puis doucement on fait en sorte que l’idée continue de se répandre dans les médias, puis on en remet une couche et là s’il ne se passe rien, c’est adopté car ça voudra dire que nous sommes à point pour nous soumettre.
Bien sûr que les politiques ont compris depuis longtemps comment ça fonctionné, cependant nous ne devons pas laisser nos acquis être réduis comme peau de chagrin pour qu’une poignée d’instigateur se partage la meilleure part du gâteau au détriment des autres.
Nos ancêtre se sont battus pour avoir les avantages que nous avons aujourd’hui, ils sont descendus dans les rues, ne laissons pas les dirigeants nous ramollir le cerveau et nous obliger à accepter l’inacceptable.
Certes il y aura toujours des inégalités mais nous devons résister pour que les richesses soient partagés afin que chacun puisse vivre décemment, chaque individu à le droit de vivre sur cette terre et non de survivre et ça il faut le leur répéter jusqu’à qu’ils comprennent.
L’égoïsme doit être remplacé par le partage et c’est une lutte de tous les instants, si nous relâchons le combat nous sommes mort car en haut lieux ceux qui tirent les ficelles se foutent pas mal de la morale, leur seul but est de faire toujours plus de profit et le reste ne les intéresse pas.
Merci à toi Montet et à l’auteur de cette petite histoire qui résume parfaitement la situation dans laquelle se trouve notre pays.
Et vu l’abrutissement de la majorité de la population , je me demande si on pourra s’en sortir avant que tout ne soit verrouillé par les déviants détenteurs du pouvoir .
Cette manipulation se nomme « la fenêtre d’Overton ».
Cette petite précision faite, un grand merci pour ce papier humoristique comme je les aime.
Merci à Toi Montet pour me faire passer un excellent moment à chaque fois que tu écris ici.
tu as parfaitement résumé la situation et avec beaucoup d’humour ce qui me réjouit malgré les circonstances évoquées et combien réelles.
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« que tu t occupais de tes vieux ,si tu voulais pas qu » ils crèvent de froid et de faim » dit Prédateur..
et tu crois que cela a beaucoup changé pour ceux qui ne peuvent leur payer un logement en EPAD ?
ah !!!parce que tu crois qu il n y a que les riches qui vont dans les EPAD ??
j en connais une(plus de 95 ans) qui est en EPAD depuis au moins quinze ans ,qui a vécu avec son jardin ses poules ,et 5/6 vaches , qui selon un de ses lointains cousins , ne perçoie que 550 euros de retraite par mois
Petit exemple de ce que je raconte ici.
Pour occuper les esprits et détourner les attentions du 5 décembre et consorts..
Bizarre ! un tel sujet à polémique qui sort en ces temps très troubles ? Sont-ils fous ? Pour mettre plus le feu ?
Non ! Au contraire ça va faire du temps d’antenne dans les merdias et bien nous occuper genre d’accord/pas d’accord.
Manque juste une nouvelle catastrophe avec les zexperts pour expertiser en continu.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/alcool-au-volant-le-ministre-de-l-alimentation-pour-le-0g-l-d-alcool-dans-le-sang_2107761.html
Merci, Montet , pour cette belle démonstration pleine d’ humour