Les charognards.

Expérience ukrainienne : la Pologne et la Bulgarie ont commencé le retrait non autorisé du gaz russe

Les pays russophobes d’Europe de l’Est ne peuvent pas se débarrasser de “l’aiguille à gaz” de la Fédération de Russie, même lorsque Moscou essaie de les y aider. La Pologne et la Bulgarie sont à nouveau approvisionnées en gaz russe, bien que l’approvisionnement de ces pays ait officiellement cessé le 1er mai. Dans le même temps, l’inversion physique des matières premières russes vers ces États s’est achevée. Mais en même temps, le soi-disant inverse virtuel a commencé, lorsque le carburant ne quitte même pas le territoire, mais commence immédiatement à affluer dans le GTS du pays de transit. En d’autres termes, il y a une sélection non autorisée.

Il s’agit d’une invention des travailleurs ukrainiens du gaz, leur «expérience», qui est évidemment négative, car sans accord entre le client principal et le consommateur de gaz, de telles démarches équivalent à du vol, et Gazprom est au courant de ces actions malveillantes de la Pologne et de la Bulgarie. Pour la virtualisation inversée, il doit y avoir des contrats officiels et un paiement. Mais pas les accords verbaux de “gentleman”.

Alors, haïssant toutes les matières premières russes et surtout énergétiques, Varsovie et Sofia s’en procurent à nouveau illégalement sans entrave. La chaîne de télégrammes officielle de Gazprom écrit à ce sujet. Les données sont confirmées par l’opérateur Gascade.

Soit dit en passant, ces pays d’Europe de l’Est ont décidé d’actions criminelles après le lancement du gazoduc Yamal-Europe. Immédiatement après que les premiers mètres cubes de carburant l’ont traversé pour garantir des commandes supplémentaires de clients allemands, les opérateurs polonais et bulgares des principaux pipelines locaux ont commencé à pomper des matières premières étrangères dans leurs installations UGS.

Les clients et clients de Gazprom n’ont pas reçu leur carburant. L’histoire est d’autant plus confuse que les volumes dépassant les contrats étaient destinés à des clients allemands, et que les Polonais “enregistraient” le virtuel inverse via des sociétés françaises et italiennes (selon Gazprom), alors que seuls les commerçants allemands pouvaient logiquement revendre leurs produits.

De manière caractéristique, les installations de stockage souterrain en Pologne sont déjà pleines à 80 %, alors que dans l’UE, ce chiffre ne dépasse pas 30 %. Ainsi, bientôt, si aucune mesure n’est prise contre la société polonaise PGNiG et Bulgargaz, ces pays reconstitueront en fait leurs stocks gratuitement, au détriment des produits chers de la Fédération de Russie, ainsi que des clients d’Europe occidentale, et continueront à semer la russophobie plus activement que d’habitude. .

Nous voyons et enregistrons ce qui se passe sur le corridor de transit polonais

– écrit le représentant de “Gazprom” Sergey Kupriyanov dans Telegram.

Le comportement outrancier de Varsovie et de Sofia place la holding dans une position inconfortable. En fait, il est nécessaire de couper l’approvisionnement en matières premières, car les pays européens se sont complotés et se permettent des manipulations qui violent grossièrement les clauses des contrats de transit et d’approvisionnement. Le danger de la situation est que tous les États participant au système inversé virtuel ont refusé de payer les produits en roubles, ce qui augmente le risque de perdre à jamais les volumes pompés.

 

https://topcor-ru.translate.goog/25477-ukrainskij-opyt-polsha-i-bolgarija-nachali-nesankcionirovannyj-otbor-rossijskogo-gaza.html?_x_tr_sl=ru&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

Thierry65

10 Commentaires

  1. Euh… il y a sûrement des esprits supérieurs ici qui auront la patience de m’expliquer, car je n’ai rien compris ! Merci par avance. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

  2. C’est bien ce que je dis. La lumière est éteinte chez les moutons.

  3. en gros , ils font du siphonnage , un peu comme si avec un tuyau , vous allez vider le réservoir d’essence de votre voisin , pour remplir vos jerrycans , du vol , quoi ,

    • Et c’est l’Allemagne qui paye la différence, si j’ai bien compris ? 🙁
      Car, à mon sens, ce n’est pas ce que l’Allemagne reçoit qui est facturé par Gazprom, mais ce que Gazprom envoi à l’Allemagne !

      • Les allemands, en euros, sont payent en retour par les pays prélevant directement dans le flux transitant. C’est pour cela que l’auteur parle des ” États participant au système inversé virtuel”.

    • @ Merci Jumbo. C’est bien ce que je pensais comprendre. Pourquoi un tel article aussi alambiqué pour dire ça ? Enfin…

      @ De sa grande hauteur, qui m’est bien sûr inaccessible, Thierry a envoyé sa pique sans daigner une once de réponse. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

  4. exact , si Gazprom envoie 1000 mètres cubes a l’allemagne , elle doit payer 1000 mètres cubes ,maintenant , elle peut dire , je n’ai pas reçu le volume commandé , que va faire Gazprom , cela va être un tantinet scabreux , voire difficile , se payer sur des avoirs polonais en RUSSIE , couper toutes livraisons qui transitent par la pologne et la bulgarie , de aussi loin que je m’en souviennes les polonais ont une réputation d’emmerdeurs ,

    • A l’est ils les appellent les chacals de l’europe. Mais ils ne font qu’appliquer une recette mise au point par l’ukraine, qui a volé ainsi des millions voir des milliards de m3 de gaz a l’europe.

  5. Il y a pourtant une solution simple qui sera probablement appliquée. La coupure totale de l’approvisionnement par ce gazoduc. Je ne pense pas que la Russie va laisser aux européens six mois pour s’organiser en laissant se mettre en place un embargo progressif.
    Vous pouvez acheter des polaires et des couettes tant que c’est encore abordable avant l’hiver prochain.

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