Source Réseau International
par Nicolas Bonnal.
Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial – alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.
Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :
« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »
Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul – à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.
Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :
« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’Etat (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »
Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’Etat est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :
« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »
Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Evidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :
« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, « réjouit le cœur de l’homme ». Malheureusement, il ne fait pas que cela; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »
Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :
« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »
Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :
« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »
Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment mais à un niveau mondial.
« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants – les Gros les ont dévorés. A mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’Etat – c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »
Et Huxley de mettre les points sur les I :
« Dans une démocratie capitaliste comme les U.S.A., elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Elite du Pouvoir. »
Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…
Nicolas Bonnal
Sources principales :
Néo-totalitarisme : les prévisions d’Aldous Huxley en 1957
De Platon à Packard : de la gestion du troupeau humain par les élites
Dostoïevski et la prophétie du Nouvel Ordre Mondial
https://inventin.lautre.net/livres/HUXLEY-Retour-au-meilleur-des-mondes.pdf
À propos de « Soma ».
On trouve une profonde signification physiologique et psychique dans toutes les légendes sexuelles.
Ainsi, une allégorie représente Soma (germe fécondant de l’homme) par la lune ; il est produit par le « barattement » de l’océan de vie à une époque très ancienne où les Rishis trayaient la Terre dont le veau était Soma ou la lune.
Il est évident que Soma représente le pôle sexuel, donc inférieur de l’homme, et que c’est la polarisation sexuelle masculine qui en est la cause, et cette polarisation avait pour principe l’action de la lune sur l’arbre embryon.
Rappelons que dans tous les Mystères on enseignait la Loi morale.
En Grèce, nous trouvons deux mots qui la résument : le Nectar et l’Ambroisie.
L’Ambroisie est la nourriture des « dieux ».
Le Nectar (Soma) est le plaisir des hommes. Il a une tout autre signification : il donne la mort, et de son nom on fait nex, nekros (mort), necare (tuer).
Mais quand on dit que le Nectar/Soma versé par les hommes est le plaisir qui tue, il faut entendre par là : qui tue l’âme seulement, non le corps qu’il fortifie, au contraire.
Dans les Mystères on expliquait, d’abord, que l’homme qui se « nécrose » en éprouve une réaction amère ; on appela cette réaction « Pikros » (amère).
C’est du mot pikros (amère) que l’on fit le mot « péché ».
Le péché est mortel, il tue l’âme.
Le Nectar/Soma est appelé « goudron des morts ».
Le mot « Nicaragua » vient de Necker (mort) et æghe (île).
Hindous et Perse : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/perseethindous.html
bonjour, je ne trouve pas le texte sur Sitra et le 666, pouvez-vous reposter le lien?
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2021/08/02/pas-de-vaccin-pas-de-cash-comment-ursula-et-la-societe-sitra-depassent-le-666-apocalyptique/
merci
Des camps pour les antivax ont été construits dans plusieurs pays.
‘Cinq Yeux’ : Canada, États-Unis, Grande-Bretagne, Australie et Nouvelle-Zélande.
L’Australie et la Nouvelle-Zélande, c’est commencé pour le cauchemar.
Le Canada cache des informations sur des camps en constructions.
États-Unis avec ses camps FEMA qui attendent depuis longtemps apparemment.
Grande-Bretagne, je ne sais pas.
Je me demande si en fin de compte, les camps ne seront pas utilisés pour y mettre les vaccinés super propagateur ?
Ou, pour y mettre les pourris qui ont vendu leur âme, permettant l’empoisonnement en vaccinant contre une poignée de fric ?