Plusieurs milliers de macareux retrouvés morts au large de l’Alaska..

Quelle tristesse que ces beaux oiseaux soient morts de faim. Si on rajoute toutes les nouvelles concernant la biodiversité, il n’y a plus de doute possible, la planète va très mal. Les baleines et autres cachalots, tortues, qui meurent avec des kilos de plastique dans l’estomac, démontrent que nos océans se meurent. La pêche intensive avec ses bateaux usines n’arrangent rien, ils raflent tout sans distinction, les poissons n’ont plus le temps de se reproduire et de grandir. Partagez ! Volti

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Source Thomas Boisson pour TrustMyScience

Si l’augmentation du niveau des mers et du taux de CO2 atmosphériques font partie des conséquences les plus médiatisées du réchauffement climatique, d’autres dommages collatéraux concernant des biotopes localisés méritent également la plus grande des attentions. C’est le cas d’un événement de mortalité massive ayant touché la population de macareux au large de l’Alaska et entraîné la mort de plusieurs milliers d’oiseaux. 

Les habitants de l’île Saint-Paul, au large de la côte de l’Alaska, sont habitués à trouver des oiseaux de mer échoués sur le rivage. Mais jusqu’à récemment, les macareux morts étaient rares, surtout pendant les mois d’hiver. À la fin de janvier 2017, le nombre de carcasses d’oiseaux avait atteint des centaines, leur corps émacié laissant présager une rupture dans la chaîne alimentaire de la mer de Béring.

Une étude publiée dans la revue PLOS One et menée par des chercheurs américains a révélé que le nombre élevé de cadavres découverts par des volontaires ne constituait que la partie émergée de l’iceberg, ce qui représente un événement de mortalité énorme pouvant atteindre 8800 oiseaux. Les membres de la communauté des Aléoutes de St. Paul travaillent depuis longtemps avec le programme de science citoyenne de l’équipe d’observation des côtes et d’observation des oiseaux de mer (COASST) de l’Université de Washington.

Chaque mois, les volontaires enquêtent sur les restes d’oiseaux et de débris marins laissés sur les plages de l’île, fournissant aux chercheurs une mine d’informations sur la santé écologique de la mer de Béring. Le nombre d’oiseaux de mer morts échoués de la fin de l’automne à l’hiver n’est généralement pas si élevé. Parmi ceux-ci, les macareux touffus ne représentent que 1% des oiseaux trouvés.

Des milliers de macareux morts d’inanition au large de l’Alaska …/…

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Source TrusMyScience

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4 Commentaires

  1. Et pendant ces temps de désastre les jeunes et gentils idiotnéoécolosbobos tourneront encore et encore en rond dans les rues, bien accompagnés comme des gentils toutous en laisse qui font leur popo là où on leur dit de faire leur popo, en criant « Pas contents ! Vilains Méchants pollueurs ! »
    Et leur devoir accompli, après avoir soudainement été fibrés Ecolo ils voteront comme il se doit, c’est-à-dire comme des moutons manipulés.
    Leur Grand Devoir Bien Accompli (c’est celui-là le principal, comprenez bien les enjeux) ils retourneront ensuite se pencher la tête sur leur phonemachin, se gaveront de fastfood et de pâte Nutelltueusedeforêts, prendront l’avion X fois dans l’année pour leurs vacances et weekends. En un seul décollage ils contribueront ainsi au « réchauffement » climatique plus que je ne le ferai en un an avec ma voiture bardée de tous les dispositifs anti-pollution (appelés aussi taxes).
    Ils attendront le cerveau éteint la prochaine manipulation des masses pour aller pleurer dans la rue.
    Je vais leur en montrer moi de la vraie écologie, celle sur le terrain, du sévère et du sérieux, à tes frais, pas payé grassement par une ONGbidon avec sherpas et grouillots à ta disposition. Celle où on braque sur toi une VRAIE arme dans des zones sans foi ni loi pour te dissuader.
    Fô vraiment se sortir les doigts. Et là ils se diront « Oups c’est fatigant et dangereux… et très salissant… Oh ! ya pas de réseau ».
    Marre des bobos ScientificoBFMisés donneurs de leçons.
    Et pendant ce temps la catastrophe continue. Tant que nos « représentants » seront les serviteurs de la City, rien ne changera.
    Le dernier rhinocéros mâle de Sumatra est décédé cette semaine en Malaisie. Où sont passés nos gentilidionéoécolobobos qui tournicotaient il y a peu dans les rues pour renverser le monde ?
    C’était mon CdG de la matinée.. Je vais de ce pas aller tourner en rond dans ma rue pour changer le monde…

    • Moi j’ai tourné toute la matinée dans mon jardin pour changer une petite partie du monde. Quel plaisir de voir et d’entendre la faune qui s’agite comme pour te remercier de préserver leur biotope, leur petit coin de paradis. Oiseaux, insectes et lézards à profusion, grenouilles et libellules qui occupent la mare. Un véritable orchestre symphonique 🙂

      Pour ceux qui ne savent pas quoi faire pour participer à la sauvegarde de notre monde, faite un geste essentiel : plantez un arbre, fruitier de préférence pour nourrir celui qui passera à proximité ! N’importe où, en bordure d’une route ou d’un champs, en lisière de forêt, dans une prairie sauvage … du moment qu’il ne risque pas d’être fauché ! N’achetez pas un arbre en jardinerie, réalisez une belle bouture. Encore plus simple, plantez un noyau à l’automne …

      M.G.

  2. Mon ex macareux aussi est mort, paix à son âme (si tant bien il en avait une).

    AkasHa.

  3. Pour info l’article de TrustMyScience est basé sur une étude américaine et l’article suivant : profitez en il est libre d’accès. Surtout qu’il y a pas mal de liberté d’interprétation malheureusement

    https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0216532

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