Une Soirée Étymologie à Chambéry le 30 avril 2018…

Sous la houlette de Sylvain Rochex de Déscolarisation.org, une soirée originale.  Chacun vient avec ses trouvailles étymologiques. + propos sur l’étymologie (apologie, et en quoi elle est fondamentale pour lutter contre la propagande et l’aliénation).

Merci ! (Et n’oubliez pas de soutenir la ZAD de NDDL si vous aussi vous voulez changer de monde et avoir enfin le droit de VIVRE sur la terre).

Contact: sylvain.rochex@gmail.com

Autres infos sur Déscolarisation.org

7 Commentaires

  1. (Et n’oubliez pas de soutenir la ZAD de NDDL […] )

    Non.
    Enfin, si : ceux en situation légale.

    • Pourquoi tronquer la fin de la phrase ?

      (Et n’oubliez pas de soutenir la ZAD de NDDL si vous aussi vous voulez changer de monde et avoir enfin le droit de VIVRE sur la terre).

      Tu veux peut-être éluder le fait que tout le monde devrait avoir le droit de vivre sur la terre qui, je le soutiens, n’était originellement propriété de personne avant que certains décident arbitrairement de se l’accaparer pour en tirer profits …

      M.G.

  2. Sidérante cette sempiternelle dévotion absolue à LA LOI… Alors que nous venons d’un monde antique tragique où l’on trouve comme pièce de théâtre primordiale : ANTIGONE. Antigone qui nous place aux confins de la question politique afin que justement LA LOI ne puisse plus jamais être un absolu. La loi est un absolu pour CRÉON, mais il a face à lui : ANTIGONE qui exprime un tout autre point de vue et les deux points de vue se tiennent, forment un polémos essentiel, un polémos héraclitéen (c’est-à-dire primordial) !
    Mais quelle est la fin d’ANTIGONE ? Elle meure emmurée vivante ! Et la pièce de Sophocle ne s’appelle pas « CRÉON », ni « ANTIGONE ET CRÉON », elle s’appelle « ANTIGONE » ! Ainsi, le message de cette pièce antique est clair : à faire de la Loi un absolu, on tue les Antigone de ce monde… Je comprends cette tentation de faire des Lois un absolu (par besoin de sécurité et d’appuis), mais comment est-ce possible que des hommes et des femmes s’arrêtent à ça ? Comment réussissent-ils, par besoin de sécurité à stopper ainsi la pensée ? Car la pensée nous intime : qu’est-ce que la Loi ? Comment modifier les Lois ? Qui fait les Lois ? Y’a-t-il d’autres lois, non humaines qui seraient au dessus ? Pourquoi la loi du Coeur semble si souvent contraire aux Lois écrites ?
    Quand on écrit des Lois, sait-on être exhaustifs ? Arrive-t-on à penser à tout ? Et plus encore : Les Lois d’aujourd’hui que l’on prend pour un absolu, ne sont-elles pas nées de Lois non écrites brandies par des Antigones parfois au péril de leur vie ? Et plus encore : Notre loi elle-même, fort heureusement, intègre la non-loi puisqu’il existe la jurisprudence et la possibilité de modifier les Lois (en créant de nouvelles réalités qui mettent la pression sur la législation)… Et que fait-on de l’histoire de la désobéissance civile ? Et que fait-on des frontières où les Lois changent quand on les franchit (+ la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes) ? Pour toutes ces raisons et ces questions légitimes, comment peut-on dignement — à la moindre question politique — invoquer LA LÉGALITÉ de façon absolue et butée ?
    Et j’ajoute qu’en plus, les Lois actuelles, vu comment et par qui elles sont écrites concourent à une seule Loi, qui est la Loi de l’Argent… Alors de là à soutenir les Lois actuelles…

  3. Parce que, comme dirait l’autre… Qui vie ailleurs que sur terre

Les commentaires sont clos.