Droit de Réponse des auteurs du film L’Éveil de la Permaculture à Sylvain Rochex.. …

Suite à la critique du film L’Éveil de la Permaculture par Sylvain Rochex sous le titre : Permaculture ! La corruption du meilleur engendre le pire, les auteurs ont tenu à lui répondre..

“La permaculture En Marche ! Business et Scolarisation !”* Récupération ou paranoïa ? A propos des critiques sur la perma.

*D’après S. Rochex et son site “Déscolarisation”.
Nous avons trouvé de beaux détracteurs !! Ce ne sont pas les seuls bien entendu, mais on va en profiter pour lever le voile sur les critiques qui montent autour de la permaculture depuis quelques années en France.
Ils n’en sont d’ailleurs pas à leur premier essai sur le sujet, ils sont aussi à l’origine d’un sketch qui dénonçait la permaculture commerciale et c’est assez marrant à vrai dire !
Tout d’abord, merci à eux d’avoir pris une heure d’émission pour parler du film ! Sans parler du temps à rédiger un article et à détourner l’affiche !

LIBERTÉ D’EXPRESSION OK, LIBERTÉ DE NUIRE NON ! C’est pourquoi on a décidé de répondre à leur émission de radio – et de nuancer voire démentir un certain nombre de leurs propos.

Même s’il faut l’avouer, et cela fait souvent l’objet des discussions post-projection, ils mettent le doigt sur des vérités, et on va en profiter aussi pour leur donner raison sur certains points.

Film promotionnel, de propagande… Non il ne s’agit pas d’un film de propagande, mais d’un documentaire. Qui d’ailleurs tente de nuancer son propos en critiquant justement la formation trop universitaire façon “école des perroquets”, le manque de pratique, en évoquant les limites de la permaculture (l’accès au foncier, la formation à outrance, le problème de la main d’œuvre)… François Léger, ingénieur agronome, un des intervenants du film, évoque d’ailleurs “le business” de la permaculture. Certains vendent de la permaculture, se revendiquent de la permaculture, car c’est leur activité, comme d’autres peuvent vivre de la vente de la production issue d’une agriculture inspirée de permaculture… C’est un fait !
Ils scandent : “On a l’impression que la permaculture se définit à travers des cours de formation de permaculture”. C’est bien la proposition ! Profiter des formations pour découvrir les éthiques et les principes qui structurent la permaculture. Aussi, le début et la fin du film le rappellent, la permaculture ne se réduit pas à la formation (fort heureusement !), des fermes axées exclusivement vers la production émergent sans compter les innombrables lieux tournés vers l’autosuffisance…
On les invite à se rendre sur le site du film qui explique comment ce projet est né, à savoir lors d’une formation en permaculture : http://leveildelapermaculture-lefilm.com/le-film/intention/. Nous avons choisi de définir les concepts clés de la permaculture en nous servant de ces formations. Ça nous a permis une approche pédagogique, en y mêlant extrait de cours, description de techniques et dessins animés explicatifs. Et bien sûr, donner la parole aux acteurs du mouvement et qu’ils puissent nous raconter leurs histoires et leurs parcours de vie. Ce film est avant tout un documentaire sur le mouvement de la permaculture en 2014-2015, c’est à dire que nous avons voulu représenter le mouvement tel que nous le percevions lorsque nous sommes rentrés dans l’univers de la permaculture, par la formation. Il s’agit d’un choix. Un choix d’auteur, pris en toute indépendance, sans subir de pression de la part de quiconque. On aurait pu aborder le sujet d’une autre façon, nous avons choisi de le faire sous cet angle là.
S’il y a autant de formations à l’écran – et des prises de note ! – , c’est donc surtout parce que c’était le reflet d’une certaine réalité à cette époque : toute la visibilité du mouvement se faisait à travers les formations, quant aux fermes qui se revendiquaient de la permaculture, il n’y en avait pas pléthore !
Reprenons quelques thématiques abordées dans l’émission :
1/ Le refus de l’idée du design alors que c’est pourtant le concept opérationnel de base en permaculture. On vous renvoie vers les ouvrages de B. Mollison et D. Holmgren présentés sur le site : http://leveildelapermaculture-lefilm.com/agir/ressources/. Alors oui cela fait appel au bon sens paysan, à l’intuition même. Certains diront que l’on peut se passer de plan, très bien. C’est selon les sensibilités, mais la permaculture propose une réflexion autour de la conception, de la création, de l’aménagement d’un lieu. Quoi de mal à cela ?
Soit disant on cherche à complexifier en employant le terme “design” (on aime pas les anglicisme ici en France, ça sert à “impressionner l’auditoire”) mais c’est pourtant proposer une méthodologie structurante qui va aider à canaliser savoir et créativité. On cherchait justement à faire rentrer la complexité de la nature dans un cadre lisible et simplifié ! Ok pour traduire “design” par “pensée” ou même “projet”…
Attention, on confond souvent ces deux idées :
  • Permaculture (B. Molisson, D. Holmgren)
  • Agriculture Naturelle (M. Fukuoka), dont on rappelle les 4 principes :
    • Ne pas cultiver, c’est-à-dire ne pas labourer ou retourner la terre.
    • Pas de fertilisant chimique ou de compost préparé.
    • Ne pas désherber, ni mécaniquement, ni aux herbicides.
    • Pas de dépendance envers les produits chimiques.
La permaculture intègre ces notions d’Agriculture Naturelle mais ne saurait s’en contenter !
2/ L’autre point d’accroche : la permaculture peut aussi se pratiquer sur de grandes propriétés. Eh bien tant mieux, on peut l’appliquer en effet à toutes les échelles. On peut pratiquer la permaculture sur 20 hectares (Ferme du Bec Hellouin), sur 40 hectares (Ferme des Darlington) car on y mêle diverses activités, maraîchage, arboriculture, élevage (pour pratiquer du pâturage tournant il est bien pratique d’avoir plusieurs hectares de façon à déplacer les parcs…). Cela serait justement simpliste de penser que l’on doit se cantonner à quelques hectares. Ça serait justement poser une limite inhibitrice dans le cadre d’une permaculture nourricière pour tous. D’autant plus que toutes les parcelles ne se valent pas, et il serait bien difficile d’installer un agriculteur sur les côteaux secs des Darlington alors que leurs brebis y sont clairement adaptées.
Ces propriétaires profitent de leur savoir et de leur terrain pour développer des chantiers participatifs dont ils seraient les seuls bénéficiaires. Alors il est vrai que cet aspect féodal de la permaculture peut-être préoccupante – les pauvres seraient toujours amenés à travailler pour les plus riches sans marge de progression – , mais dans les faits, les chantiers sont très souvent réciproques et on finit toujours par avoir un retour, du moment que l’on acquiert un terrain – ce qui est d’ailleurs facilité par le réseau ainsi constitué…
3/ Dernier point qui cristallise la frustration : l’argent… les formations sont payantes et c’est mal !
Les “leaders charismatiques” du film dispensent en effet des formations payantes (on vous invite à aller voir sur leur site le prix des formations pour vous faire une idée – de 500 à 1500 euros les 12 jours de formation. Là on voit bien qu’il y a un problème, pourquoi de telles marges entre les différents formateurs ?). Formations qui nécessitent de l’expérience sur le terrain de la part des formateurs (de nombreuses années en l’occurrence), du temps de préparation, du temps de présence etc. De la logistique – on est nourri et logé-. Il y a l’investissement aussi de plusieurs intervenants spécialisés qui viennent animer des modules. Faire sans argent aujourd’hui, dans ce cadre là, c’est illusoire ! La plupart des organisateurs que nous avons rencontré offrent des places sur leur stage pour les personnes réellement nécessiteuses. Aussi on sort du cadre hiérarchique, de la subordination maître/élève, et naissent des relations fortes, d’amitiés… Et il y a précisément des moyens d’apprendre la permaculture en se passant d’argent ; trois de ces moyens sont évoqués dans le film : les chantiers participatifs (gratuits!), le wwoofing (gratuit!) ou même les rencontres nationales de la permaculture. Ces moyens sont compris dans l’économie du don. N’oublions pas non plus toutes les vidéos gratuites qui foisonnent sur internet ! A contrario les cours de spécialisation en permaculture ne savent pas encore se passer d’argent.
Nos détracteurs sont aussi en désaccord avec le mode d’enseignement “Cours de Design en Permaculture” ou “PDC”, et en même temps contre l’institutionnalisation de la permaculture; ce qui pour nous est un paradoxe.
Le Cours de Design en Permaculture n’est pas né de la dernière pluie. Élaboré par Bill Mollison et Holmgren eux-mêmes, il est dispensé dans le monde entier. C’est un programme universel de 72h, et qui évolue au fil des années, puisque la permaculture intègre aujourd’hui par exemple aussi des notions d’économie.
Il pose un cadre pour définir ce que doit être pris en compte lors de la transmission du savoir permaculturel. Aussi si l’on ne veut pas que la permaculture s’institutionnalise à la manière de l’agroécologie et ne se résume plus qu’à des techniques agricoles, il faut conserver l’enseignement de la permaculture comme un ensemble de disciplines complémentaires qui permettent d’acquérir une vision holistique.
Ces cours n’ont jamais été dispensés gracieusement… cela viendra peut-être avec le temps.
L’Université Populaire de Permaculture – l’UPP – a été mise en place pour s’assurer de la qualité des cours délivrés, de l’expérience de l’enseignant et justement pour éviter les déviances.
Ces stages sont aujourd’hui insuffisants pour répondre à la demande croissante du public, désireux d’amorcer des changements de vie. Au lieu de dézinguer les quelques formateurs compétents en France, faisons plutôt en sorte d’en faire émerger de nouveaux !! Ceux-ci s’efforceront de diffuser leur savoir le plus largement et le plus massivement possible.
Arguments de mauvaise foi !
Les protagonistes ont investi de l’argent dans le film => FAUX ! Merci de respecter les auteurs du film et leur indépendance. Deux années de travail pour proposer au public ce film. Du financement participatif, des fonds PROPRES, un film 100% indépendant. En aucune façon l’un des intervenant du film n’a financé ou influencé l’écriture du film. Il ne s’agit ni d’un film de propagande ni d’un film de commande.
Les définitions sont données par ces personnes autoproclamées détentrices du savoir de la permaculture => FAUX ! Les définitions données par les permaculteurs ou par la voix off du film sont basés sur les définitions et les écrits de Mollison et Holmgren, fondateurs de la permaculture. Qui eux-même se sont basés sur les écrits de P.A. Yeomans, M. Fukuoka et bien d’autres. Comment remettre en question des décennies de recherches et d’expérimentations !
On voit apparaître les fondations d’une institution (label…) => FAUX ! A aucun moment il n’est évoqué un quelconque label. Le PDC, comme dit plus haut, est intrinsèquement et historiquement lié à la permaculture. L’Université Populaire de Permaculture existe depuis déjà plusieurs années et fonctionne d’une façon horizontale, mise en réseaux de la formation dans le monde francophone…
Plus les gens ont un grand domaine et plus ils demandent cher pour leur stage (référence à Andy et Jessie Darlington qui possèdent 40ha) => FAUX ! Aucun rapport entre la taille du terrain des enseignants et les prix proposés, la majeure partie du temps le cours est d’ailleurs animé chez un hôte qui souhaite initier un projet ou améliorer l’existant.
Esprit de contradiction…
Pour finir si le film est fait de contradictions, c’est justement parce qu’il révèlent les ambiguïtés, les complexités de l’univers de la permaculture et évite de basculer dans la facilité ou le manichéisme. La permaculture est à portée de main, mais en même temps, on se rend bien compte qu’il faut être prêt à y consacrer beaucoup de temps et d’énergie et qu’en effet, il faut atteindre un certain niveau de connaissance pour pouvoir déployer la méthodologie de la permaculture. C’est pourquoi E. Escoffier parle à la fois de la permaculture comme d’une « ingénierie » et finit par dire que la permaculture s’adresse à tout le monde et que « c’est facile, c’est juste un choix » !
Une part de vérité…
Plutôt que de continuer à “lutter contre” profitons-en pour développer un point important que soulève cette critique :
La formation “business”.
Bill Molisson voulait créer une “armée de designers”, aujourd’hui on est en train de créer une “armée de formateur” !
Évidemment, on est beaucoup à avoir la sensation, et surtout en France, que la permaculture permet de dégager des revenus non pas grâce à la vente de produits, mais plutôt avec la commercialisation de stages, de formations, de gîtes écolos, etc. On connaît peu de maraîchers, arboriculteurs ou bien éleveurs en permaculture.
On pourrait répondre à la question en disant que la permaculture n’a jamais prétendu être une activité professionnelle, mais un cadre de pensée, une méthode de conception permettant de mettre en place des systèmes agraires, économiques ou sociaux durables. Certes. Mais ceci étant dit, si la permaculture est censée permettre l’aménagement de systèmes durables et viables avec un taux de succès honorables, on devrait pouvoir témoigner de cas concrets de réussites, au moins en proportion des projets qu’on voit émerger un peu partout…
Plusieurs éléments expliquent le fossé qui existe entre la magie de la permaculture sur le papier et le peu d’exemples de réussite concrets.
I. Le mar­ché est truqué
L’agriculture conventionnelle est qua­dru­ple­ment subventionnée :
1. par le pay­san qui tra­vaille comme un esclave et qui y laisse sa santé
2. par le ci­toyen qui paie des im­pôts pour les aides agricoles
3. par les ressources fossiles qui four­nissent l’énergie, les engrais et les produits phytosanitaires à petits prix
4. par la na­ture et le sol qu’on épuise comme des res­sources minières
Ainsi, un sys­tème agraire qui se passe de ces sub­ven­tions (ser­vi­tude, aides, in­trants, dé­gra­da­tion) part avec un han­di­cap ma­jeur. Or jus­te­ment un sys­tème permaculturel :
1. est censé ré­duire la quan­tité de tra­vail nécessaire,
2. n’est pas à priori sub­ven­tionné financièrement,
3. n’utilise pas d’énergies fos­siles (sauf peut-être au tout début),
4. et cherche à ag­gra­der le sol et res­tau­rer les écosystèmes.
II. Être pay­san est un vrai métier
Être paysan, c’est l’apprentissage de toute une vie, c’est une énorme masse de savoir-faire qu’il faut maîtriser si l’on imagine gé­rer des éco­sys­tèmes com­plexes de fa­çon suf­fi­sam­ment op­ti­male pour en ti­rer un revenu. Un BPREA, (Bre­vet Pro­fes­sion­nel Res­pon­sable d’Exploitation Agri­cole), c’est 1400h et à la fin, on est seule­ment chef d’exploitation, on n’est pas en­core pay­san, loin de là. La formation pour être « concepteur en permaculture », c’est un PDC, un « Per­ma­cul­ture De­sign Course », ins­ti­tué par les fon­da­teurs aus­tra­liens, et c’est 72 heures de théo­rie avec un peu de pra­tique.
III. Du design à la production, un fossé
La concep­tion per­ma­cul­tu­relle fournit une méthodologie et des idées sur la fa­çon d’agencer le pay­sage et les élé­ments pour qu’ils in­ter­agissent, pour que les dé­chets des uns soient la nour­ri­ture des autres, pour que rien ne soit ja­mais perdu, etc. Sur le pa­pier, tout est beau. Et comme les idées se basent sur l’observation mi­nu­tieuse du fonc­tion­ne­ment de la na­ture, on se per­suade qu’elles doivent fonc­tion­ner du pre­mier coup. Que nenni ! Les livres de per­ma­cul­ture sont pleins de jo­lis des­sins, mais il faut un peu les consi­dé­rer comme les des­sins d’engins vo­lants de Léo­nard de Vinci : tant qu’on ne les a pas vus vo­ler, ce ne sont que de jo­lis dessins.
Mais dans la réalité chacun doit adapter ces idées à son terrain et à son contexte, cela nécessite de consa­crer d’importants ef­forts à la dif­fi­cile et longue mise au point des idées is­sues de la phase de concep­tion, avec pro­ba­ble­ment beau­coup de dé­boires et de désillusions.
Alors, peut-on vivre de la permaculture ?
Ceci étant dit, on comprend pourquoi il est difficile de réellement « vivre de la permaculture». Mais si l’on a compris que la pro­duc­tion de nour­ri­ture de­vra opé­rer bien­tôt une des­cente éner­gé­tique, alors la permaculture sera indispensable. Si la permaculture aujourd’hui ne permet pas de « vivre de son exploitation », elle peut permettre, petit à petit, à plus de gens de vivre, tout simplement. Dans les pays dits développés, il n’existe encore que peu de permaculteurs qui vivent de leur passion, en donnant des cours et des conférences, en écrivant des articles et des livres.
Pour com­pen­ser le han­di­cap fi­nan­cier, on com­prend pour­quoi beau­coup de per­ma­cul­teurs trouvent des moyens de sub­ven­tion­ner leur ac­ti­vité d’une fa­çon ou d’une autre. A tra­vers des cours, des confé­rences, des livres, ou tout autre mé­tier connexe ou pa­ral­lèle. Et vu sous cet angle, c’est moins fa­cile de les critiquer…

Source Adrien Bellay & Clément Fleith sur leur Page Facebook

 

6 Commentaires

  1. Ahmed moualek Survivalisme d’ER
    https://www.youtube.com/watch?v=rNg9hFXUZ80
    Ca coûte combien pour survivre? Ben ça dépend…

      • Je me demande pourquoi il s’excuse car sur ses autres vidéos on ne le comprends pas beaucoup mieux, il ne sait même pas s’exprimer correctement, incapable de synthétiser ce qu’il dit ou d’aligner deux phrases sans s’interrompre inutilement… C’est dans toutes ses vidéos qu’il devrait présenter des excuses, ce type est insupportable, bien contente qu’il est retourné dans l’anonymat qu’il n’aurait jamais du quitter.

        Akasha.

  2. Bien répondu de leurs parts !
    C’est vrai les pdc c’est trop cher je trouve mais on peut amasser sans rien payer une quantité énorme de savoir par internet.

    Et si on est mordu pour 100€ et des brouettes on peut avoir le designer manuel de Bill Mollison une ressource monstrueuse (voire même en pdf).
    Il ya également le pdc du fondateur de la permaculture© visible ici: http://www.networkearth.org/perma/culture.html (j’aime pas bcp ce ©, vaste sujet ^^ : voire le bouquin de Christophe-Gatineau http://www.lejardinvivant.fr/la-permaculture-livre-christophe-gatineau-2015/ )

    En passant en Belgique je fais un pdc étant payer et dispenser de recherches d’emplois par le chomage, la formation étant gratuite pour les demandeurs d’emplois. (cela dit je ne payerais jamais pour faire un pdc (excepter peu être des formations très spécifiques par exemple sur le lieu de Permaforet (dont le site est une mine d’info pertinente et fait partie d’un projet que je suis de près: http://permaforet.blogspot.be/)

    Désoler mais la vidéo d’origine de la critique est trufés de méconnaissance de la permaculture flagrante et décrédibilise sérieusement leurs propos.

  3. En effet, sur internet, on trouve tout sur la permaculture, car la permaculture est avant tout une philosophie de vie, et que celle ci engendre le partage…
    Mais ils y aura toujours ceux qui attendent des autres pour apprendre, ceux là iront faire des pdc….
    il en faut pour tout le monde!
    Et personne n’est obligé d’aller payer une formation 1000 euros

    • Je suis entièrement d’accord. LA permaculture c’est une philosophie de vie mais ca devient de plus en plus en business malheureusement…

Les commentaires sont clos.