Beaucoup de sites parlent de nutrition, de vitamines, de régimes. Se nourrir est un acte essentiel, bien se nourrir demande de l’attention et, un changement dans la façon de s’informer sur les besoins nutritionnels, selon que nous sommes sportifs ou sédentaires. Mais il y a aussi, des idées reçues à propos des protéines, dont les produits bien présentés par la « pub » sont à la pointe des achats. Qu’en est-il vraiment ? N’étant pas assez informée sur ce sujet, j’attends les avis de nos amies Graine de Piaf et Akasha. En attendant, voici les explication de Res Communis.
Depuis quelques années, la mode des protéines a fait son bout de chemin jusqu’à en devenir un phénomène d’hystérie collective. Partout, on entend qu’il faut en manger. Le refrain est désormais bien rodé. Alors que les ventes de suppléments protéinés et autres barres céréalières crèvent les plafonds, il est bon de comprendre que cette surconsommation protéinique est scientifiquement infondée. Explications…
A quoi servent-elles ?
Les protéines sont au cœur de la croissance des tissus. De même, elles permettent leur renouvellement (afin de réparer leur usure normale). En revanche, elles ne figurent qu’au second plan du point de vue énergétique. En effet, leur utilisation comme apport énergétique ne peut s’opérer qu’en cas de carence à la fois en glucides et lipides.
Une composition chimique assez particulière
Très simplement, les protéines sont un agencement, plus ou moins long, de structures simples appelées « acides aminés ». La tâche principale de ces derniers consiste à assurer le transport optimal ainsi que le stockage optimisé des substances nutritives (macro- et micro-nutriments).
Au cours de la digestion, les protéines sont fragmentées en ces acides aminés. Une fois isolés, ces derniers sont assimilables et s’introduisent ensuite dans les processus métaboliques.
En d’autres termes, la vie ne serait nullement possible sans acides aminés. Comme vous l’avez compris, ils gèrent l’ensemble du métabolisme de base. Pour rappel, le métabolisme désigne l’ensemble des réactions chimiques permettant à un être vivant de se maintenir en vit, de croître et de perdurer.
Le corps recycle 90% de ses protéines
Bilan récapitulatif : pas d’acides aminés = pas de vie.
Or, il serait fou de penser que le corps laisse à la charge de l’être vivant d’apporter quotidiennement l’ensemble des éléments nécessaires à sa survie. Non, non, le corps se suffit à lui-même. Il recycle, effectivement, la totalité de ses protéines.
…/…
Source Res-Communis
Voir aussi:
Cuisson: l’art de rendre les aliments toxiques pour l’organisme
**Note: Pour tout ce qui concerne la santé, rien de vaut l’avis d’une autorité reconnue. Avant d’entreprendre un régime consultez. Ce qui est bon pour les uns, ne l’est pas forcément pour tous. Les informations données n’engagent que leur auteur. **
Bonjour Volti,
Tout d’abord, merci. Ensuite, pourrais-tu corriger une petite chose, stp ? Il n’y a qu’un seul « i » dans Res Communis. Toi, tu as écris « Reis Communis ». Merci d’avance.
Bien à toi,
Res Communis (http://www.rescommunis.net)
Corrigé!! scuse me 😉
Merci
Bonjour,
Tout dépend des activités de chacun, un sportif aura bien plus besoin d’un apport protéique élevé qu’un sédentaire travaillant dans son petit bureau pour donner une image claire.
D’ailleurs les boissons et autres barres protéinées sont exclusivement réservée aux sportifs, il est inutile pour un sédentaire d’en absorber il ira les chié sur le pot (rires). Son organisme sera incapable de synthétiser un apport aussi important de protéine, ça se terminera en déchets difficile à évacuer qui donneront des résidus dans le colon et la vessie et même les reins.
Tandis qu’un sportif qui aura créé un stress musculaire important et vidé ses réserve de glycogènes musculaire en aura grandement besoin pour la récupération et réparer toutes les micro-lésions dans la fibre musculaire.
Un sportif assidu doit compter plus ou moins selon les cas (consulter un nutritionniste), 1.6 à 1.9 gr par kg du poids du corps. Privilégiez des sources maigres et qui ont un profil biologique élevé, ce qui signifie qu’ils possèdent une chaine d’acide aminé assez complète à complète.
Les œufs par-exemple on un profil biologique de 100%
– Valeur biologique des protéines et assimilation
Orné
Bonjour,
Le problème avec ce que vous dites est que ce n’est pas factuel. Si vous connaissez le lieu de digestion des protéines, à savoir l’estomac, alors il est aisé de comprendre qu’un sportif ne doit absolument pas manger de protéines le jour J d’une compétition.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle tant de sportifs de haut niveau se blessent.
Hyper-acidifiantes pour l’organisme et absolument indigestes, les protéines sont le meilleur moyen d’être non-performant le jour d’une compétition. Vous parlez des oeufs, c’est le pire des exemples ! En effet, dans la mesure où aucun suc digestif n’est en mesure de digérer le blanc d’oeuf (i.e. l’albumine), il faut par-dessus tout éviter leur consommation.
Enfin, dans l’espoir que vous ayez lu notre article (ci-dessus), le mythe des protéines en prend clairement un coup lorsque l’on analyse la « vraie » littérature scientifique. Le terme « vraie » est mis entre guillemets en référence au 1er article publié sur le site Res Communis (http://www.rescommunis.net/grand-nombre-de-publications-scientifiques-incorrect/)
La focalisation sur les protéines est complètement surfaite, et il n’existe à ce jour aucun argument en leur faveur. Il y en a dans tous les aliments, notamment les fruits et légumes crus, ce qui suffit très largement aux besoins corporels.
A cet effet, je vous invite à vous tourner vers notre Ebook intitulé « De l’aliment au nutriment » disponible sur notre site (http://www.rescommunis.net/ebook-de-l-aliment-au-nutriment/) ou sur Amazon (https://www.amazon.fr/dp/B071RRJXCG/ref=sr_1_1?s=digital-text&ie=UTF8&qid=1493729516&sr=1-1&keywords=de+l%27aliment+au+nutriment)
Bien à vous.
Res Communis
Bonjour,
Pour le jour d’une compétition, ça je ne dis pas le contraire. Mais en préparation physique, s’en est une autre.
Sur ce que je préconise, c’est basé sur mon expérience personnelle. J’ai bon être devenu Vegan pour X raisons, à l’époque où j’étais encore omnivore, je n’ai jamais eu aucun soucis avec les œufs. La digestion est même plutôt légère en comparaison aux viandes surtout les rouges qui sont le plus dure à digérer et qui selon moi laisse le plus de résidus notamment dans le colon.
C’est surfait la légende des œufs dificile à digérer et dépassé, on peut en consommer journellement, mais ils doivent être cuit et consommé avec des sucres lent pour une parfaite assimilation et de préférence le matin voir en post entrainement.
C’est lorsque qu’il est consommé cru qu’on parle d’albumine dificile à désagréger dans l’appareil digestif.
Je suis le premier à me focaliser sur les aliments crus et végétal mais les protéines sont indispensable au fonctionnement humain. Malgré que je suis Vegan je pèse actuellement 77 kg pour 1 M 69 sans gras bien sûr, ce serait impossible sans un apport en protéine. mais j’ai l’intention de redescendre à 72 kg, l’hiver lorsqu’on fait beaucoup de sport, surtout en muscu, on prend assez bien du poids.
Je vais lire ce que tu proposes car en tant que nutritionniste sportif, ça nous intéresse.
Orné
C’est exactement la même chose en préparation sportive. Ayant une expérience de plus de 10 ans en cellule de sport de très haut niveau, les propos tenus ont été vérifiés et aussi mis au point à travers une pratique ultra-intensive du sport.
Pour les œufs, il n’y a rien de surfait. Justement, ils passent sans être digérés puisque aucun suc digestif n’est en mesure de digérer le blanc d’œuf. Au passage dans les intestins, les blancs font beaucoup de mal aux villosités intestinales. Si quiconque désire manger des œufs, il faut séparer le blanc du jaune au préalable. L’albumine, même cuite, demeure indigeste. De surcroît, un aliment cuit est mort … donc encore moins digeste.
Peut-être qu’instantanément après leur consommation, vous n’en avez pas eu [de problèmes]. Mais couplé avec des produits animaliers (viandes et autres), et avec la répétition, il arrive un stade où le corps surcharge beaucoup trop. Cela crée, par la suite, des blessures de fond, douleurs musculaires, douleurs articulaires, tendinites, déchirures, fractures et autres…
De même, une grande lucidité est perdue du fait d’une telle alimentation car la concentration est mise de côté au profit d’une digestion permanente.
Personne n’a prétendu que les protéines n’étaient pas indispensables à l’humain. Comme expliqué dans l’article, elles, et plus précisément les acides aminés, sont absolument vitaux pour notre survie. Toutefois, les protéines d’origine alimentaire sont, quant à elles, non nécessaires à notre vie.
Pour preuve, voici un extrait de notre article sur les protéines :
« Bilan récapitulatif : pas d’acides aminés = pas de vie.
Or, il serait fou de penser que le corps laisse à la charge de l’être vivant d’apporter quotidiennement l’ensemble des éléments nécessaires à sa survie. Non, non, le corps se suffit à lui-même. Il recycle, effectivement, la totalité de ses protéines. »
Comme déjà indiqué dans des commentaires, Res Communis a pour but de mettre au service des autres des compétences acquises sur le terrain, par des lectures intensives et par une logique dédié à l’art de la nutrition.
Faire ce qui n’a jamais été fait en matière d’alimentation, tel est notre but. Pour cela, il nous faudra du soutient et de l’abnégation.
Bien à vous,
Res Communis.
Franchement ça me semble intéressant votre approche, en tout les cas ça éveille notre curiosité, bien le merci.
orné
Merci de l’intérêt que vous manifestez.
Si le coeur vous en dit, n’hésitez pas à nous envoyer un e-mail … de sorte à ce que nous puissions garder contact.
Le cas échéant, voici notre adresse mail : rescommunis@ntymail.com
Bien à vous,
Res Communis
La meilleure source de protéines (et pas que) : l’ortie!!!! Je ne ferais jamais assez l’éloge de dame ortie, un véritable trésor pour notre santé, et en plus elle nous fait la grâce d’être gratuite, il suffit de …….. d’aller la cueillir. Elle nous apporte l’ensemble des protéines sous une forme très assimilable, de nombreux minéraux, des vitamines (plus riche en vit C que ce foutu citron qui ne bouffe les muqueuses), des anti oxydants, de la silice, etc, etc. Elle se sèche très bien pour faire ses réserves pour l’hiver.
Mais ce n’est pas assez cher, et çà pique à la cueillette, il suffit de mettre des gants, par expérience les meilleurs gants, ce sont ceux en polaire, ou en cuir. C’est incroyable cette croyance enracinée via le lavage de cerveaux par la presse and co qu’il faut payer pour avoir de la qualité. En matière de végétaux, les meilleurs sur le plan nutritionnel sont les plantes sauvages, il suffit juste de savoir les identifier correctement.
Bonsoir Idu5,
Oui, et on s’en est souvenus, on l’a inclus dans notre stratégie alimentaire et il est vrai qu’on a eut de bon résultat et puis culinairement parlant lorsque c’est bien préparé c’est étonnamment très fin.
Un grand merci à toi.
Orné
Beaucoup de sportifs de très haut niveau sont végétariens, leurs apports protéinés sont apportés par leur alimentation.
Avant la guerre de 40 peu de personnes mangeaient de la viande à tous les repas, elle était plutôt réservée au dimanche ou aux jours de fêtes.
La guerre étant passée par là avec ses privations en tous genres notamment alimentaires, il a été nécessaire de donner plus de forces à ces organismes très éprouvés donc la viande en quantité plus importante a été nécessaire pendant un temps, mais voilà tout le monde y a pris goût et pour finir, au fil du temps, a exagéré sa consommation.
Maintenant, elle n’est absolument plus nécessaire, l’alimentation végétarienne apporte tout ce qu’il faut en protéines pour peu que l’on sache quoi manger ce qui est loin d’être le cas de tout le monde. Et puis un steak retourné vite fait dans une poêle cela va plus vite que concocter un vrai repas équilibré !
Orné et Akasha ce n’est pas à vous bien sûr que je m’adresse.
Bonjour Graine de Piaf,
Oui je le sais bien aucun soucis (sourires). Ici j’ai parlé en générale histoire de m’adresser à tous. Mais il est évident qu’il est tout à fait possible d’apporter son ratio protéique journalier rien qu’avec des végétaux. pour faire court l’astuce consiste de faire des liaisons de différentes sources de protéines, genre fruits à coques et tofus, etc…
Ce qui est bien aussi c’est qu’il existe des boisson protéiné d’isolat de protéine, c’est à dire qu’elles sont dépourvue de lactose et passe de plus directement dans le sang, elles ne nécessitent aucune digestion. Mais encore une fois c’est réservé aux sportifs exigeants et un avis d’un nutritionniste est souhaitée.
Orné
Bonjour,
@Graine de Piaf : la notion de « repas équilibré » est aujourd’hui une expression fourre-tout, qui contribue justement à perdre les gens. A la base, il s’agit d’une expression réservée à la diététique (ou macro-nutrition) faisant référence à proportionner les macro-nutriments dans l’assiette. Plus simplement, cela définit X% de lipides, Y% de glucides et Z% de protéines.
Or, baser une alimentation là-dessus est absolument contre-productif et épuise complètement le corps. A bon entendeur.
@Orne et Akasha : c’est exactement ce qu’il ne faut pas faire, au risque qu’un des aliments entrave la digestion de l’autre. En faisant des associations telles que vous les mentionnez, vous vous retrouverez avec plusieurs problèmes : 1) faible digestion ; 2) faible assimilation ; 3) oxydation ; 4) production de « déchets » ; 5) acidification du terrain ; 6) déminéralisation du corps
Pour comprendre plus en profondeur les réelles implications de ce que nous mangeons, nous vous invitons une nouvelle fois à vous rapprocher de notre Ebook « De l’aliment au nutriment » (voir lien dans notre précédent commentaire).
Bien à vous,
Res Communis
Bon je ne dis pas qu’on a la science infuse, il y a tellement de programme différent en nutrition, c’est complexe et différentes écoles dont chacune pense détenir la vérité par rapport à l’autre. Et il me serait vain de te répondre sans même avoir connaissance de tes propres recommencions, je vais donc un peu lire tout ça, comme je viens de le dire si haut.
Mais je tiens à préciser que Akasha et moi on se repose sur plus de 20 ans d’expérience dans le domaine et nous sommes nos propres cobayes, il n’y a pas si longtemps que nous recommandons nos connaissances aux autres, et jusqu’à présent ça se passe très bien, on compte dans un futur proche en faire notre principale activité, avec coaching et prise en charge. Akasha ajoutera le relooking aussi.
Orné
Il suffit de voir les résultats réellement navrants des différentes « écoles », aussi appelés « dogmes ».
Avec Res Communis, la nutrition n’a rien de dogmatique. S’adapter à la condition de chacun, voilà ce qu’aucun régime à la con (désolé mais il n’y a pas d’autres mots) ne fait.
D’ailleurs, nous avons en horreur le terme de « régime ». Nous lui préférons, très largement, le terme « alimentation » ou de « nutrition ».
Notre but n’est pas d’instaurer un DIKTAT alimentaire. Ainsi, vous ne trouverez pas des recommandations du style : « manger tel aliment à 10h, puis un tel autre à 13h, etc… ».
Au contraire, nous prônons une diffusion suffisamment importante des connaissances liées à la nutrition … de sorte à ce que chacun développe ce qui nous est cher : une intelligente nutritionnelle.
Dans un futur relativement proche, des formations seront proposées à la vente sur notre site, afin d’accompagner encore plus en profondeur (et plus individuellement aussi) les gens désirant s’en sortir avec l’alimentation.
L’expérience sur soi-même est, en nutrition, très importante.
Je vous souhaite que votre projet fonctionne.
Bien à vous,
Res Communis
Bonjour, il est important de signaler que la surconsommation de protéines, en plus d’être inutile, est même néfaste pour les reins.
Je sais de quoi je parle, mon petit dernier ayant des problèmes de reins depuis avant la naissance.
Son pédiatre néphrologue nous a clairement recommandé de limiter la consommation des protéines dont l’excès est éliminé par les reins afin de ménager ceux ci.
Bonjour,
Ce que vous dites est juste, à ceci près que les protéines animales sont aussi néfastes pour le système digestif. N’oubliez pas que les toxines déchargées dans les urines émanent de la digestion des aliments.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter par mail : rescommunis@ntymail.com
Bien à vous, et bon courage pour votre enfant.
Res Communis
Il est vrai que, vu les circonstances, nous nous sommes focalisés sur les reins mais il me semble évident que d’autres organes sont également affectés.
Nous essayons, pour toute la famille, de limiter notre consommation de protéines et de manger sainement en général.
Merci également pour vos encouragements, même si les premiers mois ont été très difficiles, notre fils même maintenant une vie tout à fait normale, il fait juste l’objet d’une surveillance accrue.
Exactement Libertaire, c’est valable pour chacun.
J’ajoute que les eaux en bouteilles contenant trop de résidus à sec de minéraux + de 50mg sont aussi toxiques pour les reins, or beaucoup trop de gens en font une grande consommation.
A part celles connues comme « rosée de la Reine » ou autres dont je n’ai pas les noms en tête, et qui sont généralement chères car vendues en maisons de régime et bio, il y a celle vendue principalement à Carr*four – sans vouloir faire de publicité pour cette chaîne – « eau de source d’Auvergne » qui est conforme pour les reins et pas chère, soit en bouteilles soit en bidon de 5 litres.
Bien sûr il y a toujours l’inconvénient du contenant, mais à choisir mieux vaut celle-là que les autres beaucoup trop chargées en minéraux ! (conseils d’urologues)
Graine de piaf
Montcalm, Monts Roucous
merci d’avoir complété Mata Hari !
Ce ne serait pas plutôt Mont Roucoulou en Auvergne, il y a aussi Volvic celle qui contenait le moins de résidus à sec (métaux lourds) .
Les autres sont polluées par les pesticides à cause des cultures intensives
Pour résumer les sources d’Auvergnes sont les plus saines !
C’est la source Grand Barbier l’eau est pompée à 1 700 m.
Bonjour,
Concernant les eaux en bouteilles, ce que vous dites est vrai mais il semble que vous ne compreniez pas vraiment les mécanismes sous-jacents à la malabsorption des minéraux contenus dans l’eau.
Il est vrai que les deux meilleures eaux du commerce sont la Rosée de la Reine et la Montcalm, mais encore faut-il que vous puissiez en comprendre la raison. Le problème, c’est que ni les urologues ni les médecins ne savent l’expliquer car ils ne l’ont jamais étudié de leur vie.
Comme de partout, il s’agit d’une société du spectacle. Cela signifie que l’on s’attarde sur les conséquences, au lieu de s’intéresser aux causes sous-jacentes.
C’est d’ailleurs les raisons pour lesquelles Res Communis a publié 3 E-books : « De l’aliment au nutriment » (vision d’ensemble de la nutrition et de l’eau) ; « L’eau, cet élément vital et pourtant tant négligé » (ouvrage plus poussé sur l’eau et sa consommation) ; « Les vaccins : une escroquerie aux innombrables victimes et interminables mensonges » (le titre parle de lui-même).
Les 3 ouvrages sont disponibles sur le site et le seront bientôt tous sur Amazon (formats papier et e-book).
Si cela vous intéresse, voici le lien vers nos 3 ebooks : http://www.rescommunis.net/category/boutique/
Bien à vous,
Res Communis
Qu’il est agréable de parler de l’excès de protéines…
Boarfff !!!
Nous chions bien ensuite ces protéines dans de l’eau potable…
Et bien en fait nous les pissons plutôt que nous les chions mais effectivement ça fini au même endroit
Bonjour Fenrir et Libertaire22170,
Oui, on peut dire cela comme ça
Cependant, le problème est l’incroyable décharge de toxines que le corps a dû gérer avant que cela termine aux toilettes. Dérèglement de l’organisme, fatigue accrue, douleurs articulaires et musculaires etc… en découlent.
En fait, si vous oubliez que le terme de « protéines » existe, vous ne vous en porterez que mieux.
En espérant vous revoir, très bientôt, sur http://www.rescommunis.net
Bien à vous.
Res Communis
Merci de vos commentaires très instructifs qui me confortent dans ma façon de m’alimenter actuelle. Il y a bien des années que j’ai réduit de moitié ma consommation de viande (eh non, je ne suis pas végétarienne ). Je consomme beaucoup de légumes pour la plupart en provenance directe de mon jardin. Les marques d’eau minérale que vous indiquez sont celles que je consomme (très peu minéralisées) pour remplacer celle du robinet qui pue la javel à plein nez. Mon noyer me fournit les noix nécessaire à ma consommation journalière (5 ou 6 par jour). Est-ce suffisant pour être en bonne santé ? Je n’en sais rien mais, si je n’économise pas mon temps pour travailler au jardin, j’économise sûrement mon argent pour tout ce que je n’achète pas
Bonjour,
Ce que vous faites est un bon début, mais loin d’être suffisant pour envisager la bonne santé. Un tel constat n’est pas fait pour vous décourager ou vous vendre quoi que ce soit, mais bien parce que c’est la réalité.
Si, à terme, votre objectif est de trouver la pleine santé, veuillez nous contacter par email à l’adresse suivante : rescommunis@ntymail.com
Dans un premier temps, voici les liens d’un de nos ouvrages … intitulé « De l’aliment au nutriment » : http://www.rescommunis.net/ebook-de-l-aliment-au-nutriment/ (lien vers Res Communis)
ou
https://www.amazon.fr/dp/B071RRJXCG/ref=sr_1_1?s=digital-text&ie=UTF8&qid=1493729516&sr=1-1&keywords=de+l%27aliment+au+nutriment (lien Amazon)
Notre passion, qui est aussi notre travail et notre champ de connaissances, est de guérir par la nutrition. Le but est de permettre à quiconque de s’occuper de tout type de maladie et de devenir, en ces termes exactement, son propre médecin.
Nulle promesse utopique en cela.
Bien à vous,
Res Communis
Bonjour le moutons !
J’ai un chien depuis 3 ans et à force de lui couper 3 ou 4 viande en petits morceaux à congeler pour sa soupe, j’ai fini par arrêter d’en manger moi-même, écœurée par tout ce sang???
Petit à petit j’ai pratiquement arrêté de lui donner de la viande. J’ai ensuite lu sur internet un témoignage d’un chien végétarien toute sa vie qui est mort à 30 ans ! Maintenant il mange de la viande 1 fois sur 3 (parce que le boucher du marché me donne plein de beaux déchets.
Je cuisine pour lui (et la chatte aussi) des carottes, légumes verts, beaucoup d’orties car j’en ai bcp chez moi, des lentilles et du riz, levure de biere, huile d’olive.. Tous les 2 adorent la soupe, avec ou sans viande, je ne vois pas de différence dans la joie qu’il affichent. Sauf pour les croquettes, que je donne occasionnellement quand j’ai pas eu le temps de lui cuire la soupe, ou de la refroidir… Là, pas de réaction, il fait la moue…
La viande accumule les toxines dans le corps, que ce soit le nôtre ou celui de nos animaux.
La chatte, je sais qu’elle chasse alors je ne me préoccupe pas de la quantité de proteines que je lui donne. Car les chat ont besoin de taurine, uniquement dans la viande, non cuite.
Bonjour,
Les chiens et chats sont tous deux des carnivores. La structure des tubes respectifs de chacun est tout à fait différente de la notre. Il en va de même du point de vue des enzymes digestives sécrétées, ne serait-ce que du point de vue buccal. Sans parler de leur dentition !
Tous les carnivores sont faits pour chasser et manger directement leur proie. Il est évident qu’aucun des modes d’alimentation que nous leur contraignons à suivre n’est fait pour eux.
Bref, faire d’un carnivore un omnivore n’est pas ce qu’il y a de mieux. Toutefois, leur donner de la viande en conserve ou du boucher est loin d’être ce qu’il y a de mieux aussi. De fait, si ce que vous leur donner est de qualité (BIO, par exemple), alors ils n’ont aucune raison de vivre moins longtemps que d’autres chiens et chats (respectivement).
La faible durée de vie des animaux domestiques n’a jamais été due à autre chose qu’à une très mauvaise alimentation.
Un chien ou chat n’est pas, par nature, moins solide qu’un humain. Toutefois, cela est un autre sujet que celui faisant l’objet de notre réponse.
Bien à vous,
Res Communis
Res Communis comme je suis une grande curieuse, ce que vous me pardonnerez j’en suis sûre, j’aimerais bien connaître votre formation en diététique humaine, féline et canine .
La curiosité n’est pas un défaut si l’on en fait bon usage.
Mais avec plaisir : macro- et micro-nutritionniste, nutrithérapeute, conseiller en nutrition et ayant reçu deux formations non diplômantes en phytonutrition et trophologie.
Ayant également parcouru l’intégralité des meilleures œuvres de nutrition de la Grèce Antique, 19ème, 20ème et 21ème siècles ; la nutrition/physiologie nutritionnelle n’a désormais plus de secret.
Du point de vue animalier, c’est un plaisir personnel. Nous ne vivons pas seuls sur Terre, et comprendre ce qui nous entoure est vital pour comprendre qui nous sommes.
En espérant avoir comblé vos attentes.
Bien à vous,
Res Communis.
Je vous remercie pour votre réponse, c’est tout à fait ce à quoi je m’attendais en lisant vos commentaires.
Avec plaisir
1er mai 2017, date de l’entrée en vigueur du nouveau droit sur les denrées alimentaires en Suisse.
Les insectes, protéines du futur.
Va-t-on nous annoncer « moins mais mieux » ?
Bonjour,
Sommes-nous insectivore ? Il est certain que non. Qui plus est, il s’agira d’insectes OGM … alors ce n’est même pas la peine.
On nous annoncera ce qui arrangera le lobby de l’agroalimentaire à ce moment là.
Ne laissez pas des publicités et des pros du marketing vous dicter votre alimentation. Réfléchissez, documentez-vous et vous aurez les clés en main.
Bien à vous,
Res Communis
Perso, je suis végétarien depuis longtemps donc qu’ils veuillent manger des bovins ou des insectes, pour moi ça ne change pas grand chose (j’espère).
La problématique concerne la politique des protéines et le discours fait autour de de ces protéines. On nous parle souvent des carences en protéine mais quand est il des excès en protéines ?
Houla, beaucoup d’inepties dans les conclusions hâtives de Res Communis.
Désolé mais là, j’en reste pantois !
Que les protéines soient hyper-acidifiantes pour l’organisme, là on est d’accord.
Que les besoins en protéines soient largement inférieurs à ceux annoncés, je dis oui mais pas pour tout le monde !
Dites à un enfant, à un sportif, ou pire à une femme enceinte de ne pas consommer de protéines, et je crois que vous comprendrez vite que vous faites erreur.
Un bébé jusqu’à la fin de l’adolescence a besoin de protéines externes pour construire ces cellules, il ne peut pas les récupérer du peu qu’il possède. Pour la mère, si elle fait un transfert de ses propres protéines qu’elle doit dégrader pour construire le corps de son enfant, j’aimerai voir son état à la fin de la grossesse. Et pour un sportif, il brûle tellement de glycogène et les radicaux libres détruisent tellement de cellules qu’il doit bien compenser par un apport externe pour ne pas perdre sa masse.
Je suis donc choqué de lire vos conclusions.
En ce qui concerne les oeufs, c’est la protéine de référence au niveau mondial, car il renferme la totalité des acides aminés essentiels à la vie.
L’organisme peut recycler ses propres cellules jusqu’à un certain point. Tout ce qui est micronutriments dit « essentiels » doit être apporté par l’alimentation car nous ne pouvons pas les synthétiser nous-même. Sont inclus autant les 7 acides aminés essentiels, que les oméga 3, et la plupart des vitamines…
Pour l’œuf, vous dites qu’il n’y a aucun suc digestif en mesure de digérer le blanc d’oeuf (i.e. l’albumine). C’est faut ! Seule l’albumine non cuite (blanc d’œuf cru) est indigeste. L’albumine cuite est dégradée par une enzyme sécrétée par l’estomac qui est très commune puisqu’il s’agit de la pepsine. Le blanc d’oeuf cuit est donc tout à fait digeste.
Un homme moyen (60 kg) doit apporter par l’alimentation 55 % de glucides, 35 % de lipides et 15 % de protéines. Effectivement, on peut se poser la question de savoir quels types de protéines on devrait privilégier (végétales, animales, cuites, crues ?), mais dire que nous n’en avons pas besoin est un mensonge.
En Occident, les carences en protéines sont extrêmement rares (sauf chez les personnes âgées), car effectivement, nous en consommons beaucoup trop.
Par contre, il y a de nombreux pays où on se retrouve avec de graves carences protéiques engendrant diverses maladies. 6 millions d’enfants meurent chaque année à cause du marasme et du kwashiorkor, deux formes de malnutrition protéino-énergétiques.
Bonsoir,
Ah, compte-tenu de votre propos, vous venez certainement de la diététique. Le problème avec votre discipline est qu’elle a 100 ans de retard.
Là où vos propos sont assez risibles, tels tous ceux des diététiciens, c’est que vous êtes dans l’impératif sociétal pur et dur. Permettez-moi de vous montrer qu’aucun de vos propos ne tient la route :
* Concernant le nourrisson : « L’eau représente 88 % du lait maternel. […] La teneur en protéines du lait maternel est remarquablement faible, entre 0,8 et 1,2 g/L [soit de 0,8 à 1,2%]. On distingue les protéines solubles ou lactosérum (70 %) et les protéines insolubles ou caséines (30 %). Le lait de vache contient beaucoup plus de protéines et un rapport protéines solubles sur protéines insolubles inversé. La principale protéine du lait maternel avec un rôle nutritionnel est la lactalbumine. Dans le lait de vache, il s’agit de la
lactoglobuline, responsable d’allergies et de coliques. Les caséines du lait maternel sont différentes de celles du lait de vache. » (Source : « Le lait maternel : composition nutritionnelle et propriétés fonctionnelles » de M.Tackoen – Centre Néonatal CHU St-Pierre)
En diététique, il est vrai que vous n’avez toujours pas compris pourquoi les nourrissons développaient des allergies et de l’asthme très jeune, mais c’est à cause de vos conseils encourageant la consommation de protéines animales (et même végétales). Seules les protéines humaines sont compatibles avec l’Homme.
* Concernant le sportif : quel dommage ! Le sport de haut niveau ainsi que l’alimentation du sportif m’ont accompagné pendant plus de 10 ans. Alors oui, tous ceux qui avaient des diététiciens avaient effectivement plus de blessures que tous les autres … il en va de même pour les équipes nationales dans tous les sports.
Vous connaissez le lieu de digestion des protéines dans le corps, n’est-ce pas ? Si oui, ce qui n’est pas certain, alors vous comprendrez peut-être que la stagnation des aliments dans l’estomac est loin d’être adéquate pour un sportif. De plus, l’hyper-acidité résiduelle causée par les protéines va non seulement gêner le corps dans son fonctionnement, mais cela va aussi créer une déminéralisation du corps à des fins de neutralisation de ladite acidité. Sur du long-terme, vos régimes (ce ne sont rien de mieux) causent des atrophies tissulaires alors que des croissances musculaires sont générer dans un même temps … ce qui génère de la casse. Fractures, entorses, pertes de mobilités articulaires, arthrose, déchirures, etc… Et nous pourrions continuer ainsi pendant très longtemps !
Avant de poursuivre, j’aimerais revenir sur une idiotie assez grave de votre part. Vous dites : « Et pour un sportif, il brûle tellement de glycogène et les radicaux libres détruisent tellement de cellules qu’il doit bien compenser par un apport externe pour ne pas perdre sa masse. » Reprenons. Vous conseillez à quelqu’un faisant une activité sportive, entraînant donc naturellement une oxydation cellulaire et une acidification du terrain, de consommer des aliments protéiniques, qui sont eux aussi oxydants et acidifiants ? Si vous voulez détruire le corps d’un sportif sur du long terme, il n’y a pas mieux. De tels propos devraient passer dans le livre des conneries internationales !
* Concernant la mère allaitante : « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (A. Einstein). Nous sommes ici fasse à une loi élémentaire de la physique. Prenez-vous le corps pour un imbécile ? Croyez-vous vraiment que vous êtes l’acteur de vos réactions biochimiques et, donc, métaboliques ? Si c’est le cas, redescendez de votre nuage. N’avez-vous jamais entendu parlé de l’aspect régulateur, en ce qui concerne les protéines des mères allaitantes ? Quel dommage ! Comme on est gentil chez Res Communis, voici une explication.
« […] la composition du lait varie de façon continue depuis le colostrum vers le lait mature, ceci avec la fermeture des jonctions serrées intercellulaires des alvéoles mammaires et l’activation de la lactogenèse stade 2.
[…]L’état nutritionnel et l’alimentation de la mère n’influencent pas le volume de lait produit et n’influencent que très peu la composition du lait, à l’exception de la composition et de la quantité en acides gras et de la concentration en certains micronutriments (vitamines, iode et sélénium). » (Source : « Le lait maternel : composition nutritionnelle et propriétés fonctionnelles » de M.Tackoen – Centre Néonatal CHU St-Pierre)
* « Je suis donc choqué de lire vos conclusions » : peu importe que vous le soyez ou non ! De plus, ce ne sont pas « nos » conclusions, ce sont celles de l’école de médecine de Harvard et de l’université McGill. Nous savons tous que l’humilité n’est pas le fort des diététiciens, mais ce sont les conclusions qui prévalent et ce sont celles qui devraient être admises partout dans le monde tant elles sont justes.
Pour rappel, voici deux extraits cités dans notre article sur les protéines :
1) « Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles les cellules recyclent les protéines – le jeûne, qui cause une perte musculaire, la croissance et les modifications inhérentes au développement [du corps], et un renouvellement naturel visant à remplacer les anciennes protéines par des nouvelles, […] » (Université McGill, article intitulé « Votre corps se recycle lui-même – moment capturé en vidéo »).
2) « Le bon maintien des niveaux de protéines dans les cellules repose très largement sur un composant cellulaire appelé protéasome, qui dégrade les protéines non-nécessaires ou déficientes afin de recycler leurs composants pour un éventuel assemblage de nouvelles protéines. » (Ecole de médecine de Harvard, article intitulé « Aperçu du recyclage des protéines »)
* Les œufs : nous savons tous que vous sortez de la planète « bisounours », mais jamais les œufs n’ont été un aliment sain. Regardez les anglais, et vous comprendrez de suite. Blague à part, l’albumine n’est pas thermosensible … donc elle n’est pas détruite à la cuisson. Ainsi, elle reste indigeste, chauffée ou non.
Qui plus est, l’œuf cuit est encore plus mauvais que l’œuf cru pour des raisons enzymatiques. Mais là, ça ne peut que vous échapper. La pepsine ne peut rien sur l’albumine, encore moins à pH 2 … qui est l’acidité de l’estomac.
* « Un homme moyen (60 kg) doit apporter… » : arrêtez avec vos impératifs scolaires complètement infondés. Arrêtez de régurgitez vos cours d’Université sans même comprendre ce que vous dites. Un homme moyen ? Cela ne veut rien dire !
* « 55 % de glucides, 35 % de lipides et 15 % de protéines » : ahah, on rigole bien quand même. Mais que d’absurdités. Franchement, vous êtes le parfait mouton de la diététique. Donc vos aliments ne contiennent pas d’eau ? Non parce qu’on ne la voit pas apparaître dans vos proportions. On comprend mieux pourquoi vos patients souffrent de constipations et d’un mal-être permanent.
Si vous avez une bonne mémoire, vous vous rappellerez certainement que le lait maternel contient 88% d’eau et environ 1% de protéines. Bien. Maintenant, comparons trois aliments que Res Communis promeut par rapport au lait maternel :
Composition du lait maternel : Eau = 88%, glucides = 7,5%, protéines = 1,0%, lipides = 3,5%
Composition d’une pomme : Eau = 85,3%, glucides = 11,3%, protéines = 0,3%, lipides = 0,16%
Composition d’une orange : Eau = 87,1%, glucides = 8,32%, protéines = 0,95% , lipides = 0,26%
Composition d’une carotte : Eau = 89,4%, glucides = 6,6%, protéines = 0,80% , lipides = 0,26%
Composition des diététiciens : Eau = 0%, glucides = 55%, protéines = 15% , lipides = 35%
Oui, je crois que les chiffres parlent d’eux-mêmes. Entre ce que vous proposez et ce que Res Communis propose, c’est comme choisir entre la mort et la vie.
Regardez comme votre répartition est anti-physiologique ! De plus, elle ne peut être constituée que d’aliments morts. Chez Res Communis, on prône la vie et, donc, une alimentation physiologique.
Chers lecteurs, chers lectrices … si vous avez eu le courage de tout lire, alors immense bravo à vous. Res Communis tient à dire, en cet instant, que la diététique n’est certainement pas un moyen d’accéder à la pleine santé. Comme vous avez pu le constater tout au long de cette démonstration, point par point, aucun des arguments invoqués n’est en faveur de cette discipline complètement dépassée par les évènements.
Si vous voulez obtenir la pleine santé, lisez avec assiduité Res Communis, ses E-books et contactez-nous pour plus de renseignements.
@Moyome et @Graine de Piaf : vos arguments n’en sont pas, et ils n’en seront jamais. Ce n’est que de la régurgitation d’un programme de cours que tous les diététiciens acceptent sans même savoir pourquoi. Sachez que la corporation derrière le DUT de diététique/nutrition n’est autre que DANONE.
Bien à vous,
Res Communis
Je ne suis absolument pas nutritionniste, cet enseignement est de mon point de vue réducteur et manipulé par certains lobbies (notamment laitier). Pour autant, tout n’est pas à rejeter. Je connais en revanche parfaitement bien les problématiques d’allergie, d’asthme, d’eczéma…
« L’eau représente 88 % du lait maternel. […] La teneur en protéines du lait maternel est remarquablement faible, entre 0,8 et 1,2 g/L [soit de 0,8 à 1,2%]. »
Faux !
1 litre = 1000 ml ou 1000 mg, donc 1 % de protéines représentent 10 grammes par litre (et non pas 0,8 à 1,2 g/l) !
Un nourrisson d’un mois a besoin de 1,8 g/kg/jour de protéines. S’il fait 3 kg, il faut donc en théorie 5,4 g de protéines. Mais c’est surtout les graisses qui lui apportent de l’énergie (environ 45 g/l de lait).
Devinez combien de lait boit un nourrisson ? De 80 g le 1er jour, il augmente jusqu’à 540 g à la fin du premier mois.
Evidemment, on ne conseille pas le lait de vache puisqu’il contient 30 grammes de protéines par litre, et qu’un enfant ne doit pas grandir comme un veau ! Les laits maternisés, en poudre et issus de la vache sont donc corrigés en terme de protéines.
Les besoins en protéines diminuent avec l’âge et se stabilisent autour de 0,8 g/kg/j, puisqu’effectivement on en a plus besoin pour grandir mais uniquement pour renouveler nos cellules, transporter des nutriments, fabriquer des enzymes…
Vous me parlez du lait de vache, mais ce n’est pas le sujet, si ? Parce que de mon point de vue, le lait de vache est toxique et source de la plupart des pathologies auto-immunes. mais mon point de vue, a priori, vous vous en foutez. Soit.
Un bébé prend 30 g de poids par jour alors qu’un enfant de 10 ans n’en prend plus que 5 g par jour.
Donc ensuite, vous me parlez de la mère allaitante, ok. Rien ne se perd, tout se transforme. Vous avez raison. Je connais des mères qui allaitent 5 ou 6 ans. Comme tout se transforme, elles ont de graves problèmes de chutes dentaires et d’ostéoporose précoce. L’allaitement étant pour ma part à privilégier absolument (6 mois minimum), il faut toutefois s’arrêter entre 1,5 et 2 ans.
Mais vous ne parlez pas de la femme enceinte. Elle ne nourrit pas sont fœtus de lait maternel, donc si elle ne consomme pas de protéines comme vous le stipulez, alors le bébé les trouve où ? Avez-vous vu des enfants et des mères dans les pays pauvres pour constater le résultat ? Honnêtement, ce n’est pas ce qu’on peut promouvoir !
Pour le sportif, vous manipulez mes propos. Un sportif a besoin de plus de protéines que la normale puisqu’il en dégrade plus que la normale. Effectivement, il y a un acidification du terrain avec un apport augmenté de protéines. C’est pour cela que les sportif de haut niveau font rarement du sport toute leur vie. Après 40 ans, ils ont de sérieux soucis d’inflammation, de problèmes intestinaux, de reins…
Pour compenser l’acidité des protéines, il faut équilibrer avec beaucoup plus de fruits et légumes frais, et d’aliments riches en antioxydants, ce que font très rarement les sportifs. Ils mangent souvent de la merde en poudre, du poulet, des œufs, et des pâtes ou du riz. Très peu de légumes… CQDF.
Juste pour terminer, le glycogène est issus des glucides (pâtes et riz) et non des protéines. Ils ont donc besoin de ces glucides qui vont se loger dans les muscles et servir de réserve énergétique lors de leur prochain exploit. Mais, les apports protéiques doivent aussi être augmenté car, à cause des radicaux libres, de nombreuses cellules sont détruites. Le phénomène d’ischémie/reperfusion ne permet par de recycler les cellules détruites qui sont alors éliminées.
j’ai écris : Un homme moyen (60 kg) doit apporter par l’alimentation 55 % de glucides, 35 % de lipides et 15 % de protéines. Et je confirme.
L’eau, cela dépend de la saison, de la dépense personnelle (sédentarité ou activité)… mais on va dire qu’elle doit se situer pour un homme moyen (j’insiste car c’est une base scientifique) autour de 1,5 à 2 litre par jour, et surtout faiblement minéralisée.
Pourquoi 60 kg ? C’est la référence internationale. Quand on donne des AJR, des AQR, ou des posologies, on les adapte selon le poids.
Donc, si je donne 1,6 g d’artichaut/jour à un homme de 60 kg, j’en donnerai 0,8 g pour un enfant de 30 kg. C’est bon pour drainer le foie, mais en cas de surdosage, c’est moyen pour le relargage de toxines avec maux de tête, fatigue…
« Maintenant, comparons trois aliments que Res Communis promeut par rapport au lait maternel : »
La pomme, l’orange, la carotte ! Si vous arrivez à faire avaler ça à un nourrisson et que ça croissance soit correcte, bravo. Si les femmes ont du lait systématiquement à la naissance de leur enfant, même si elles ne souhaitent pas allaiter, c’est qu’il y a une raison.
De plus, l’orange est extrêmement acidifiante et cause beaucoup de problème gastrique chez les enfants comme chez les adultes. Mais bon, vous, vous savez tout.
Pour le reste, vous continuez votre délire. Alors no comment.
Vous faites uniquement un article pour faire du buzz et vendre votre livre de 31 pages à 9,99 € ! Une honte.
Bonjour,
Effectivement, j’ai oublié le « c » devant le « l » de litre. Il s’agit donc bien de 1g/cl et non d’un 1g/l. Cependant, l’importance est relative et seule la proportion, en pourcentage donc, est intéressante.
Nous vous avons déjà démontré que tous vos arguments étaient de la poudre aux yeux, absolument infondés, et qu’ils ne témoignaient que de croyances pures et dures. Votre démarche n’a rien de structurée et vos propos reflètent un manque latent de connaissances concernant les réactions métaboliques.
Restez avec vos « références internationales » et avec vos AJR ou AQR, mais ce n’est jamais ainsi que vous guérirez quiconque. Là-dessus, il y a un monde d’écart entre votre vision propagandiste et la réalité du terrain, que vous ne connaissez manifestement pas.
Sur ce, et pour éviter de perdre notre temps à réduire une nouvelle fois vos arguments à ce qu’ils sont vraiment – de la poudre aux yeux -, nous allons vous souhaiter bonne continuation … tout en espérant que vous arriviez à enlever vos œillères.
Concernant le prix de notre E-book, « De l’aliment au nutriment » son prix est justifié par un contenu tellement enrichissant, pour celui qui saura lui apporter une lecture assidue. Comme on le dit souvent en littérature, « on ne juge un livre non pas sur sa couverture ou son apparence, mais bien sur son contenu ».
Bien à vous,
Res Communis
@ Moyome, tout à fait d’accord avec vos propos. c’est d’ailleurs pourquoi j’ai posé la question de sa formation à Res !
je trouve les post de RES très bien pas mal de chose que j’avais déjà rechercher pour transposer a mon l’alimentation
par contre mes recherche sur le lait maternel date et moi j’avais trouver que le lait est sucré au début puis devient très vite gras si la tété dure
pour l’eau adepte de montcalm je suis passé a l’eau vrac osmoze inverse au magasin bio 2.25e les 9litres (mont roucrous médicament dedans)
pour les protéines il en faut juste un peu (0.8g par kg)même pour du sport intensif par contre il faut manger assez de gras et tu ne perdra aucun muscle tu va en prendre
orné un humain sans gras ces mort même sec tu a x% de gras exemple bruce lee 6 ou 8%
dépasser 200g de viande dans un repas est rejeter dans les toilettes si on mange d’autre aliment il y en a encore plus
ses pour sa qu’il multiplie les prise de protéine en petite quantité dans la journée pour en absorber plus (sa ressemble a l’anneau gastrique et les gens qui mange x fois par jour pour déjouer l’anneau)
peut être non t’il pas comprit pourquoi le corps a mit cette barrière -riens,organe-
pour l’eau j’avais lu qu’il faut une faiblement minéraliser car les minéraux empêche les cellules de se nettoyer en les saturent , si je me rappel bien il y a une histoire de minéraux organique ,inorganique
il ne faut pas oublier que les aliments se transforme suivant leur préparation puis se transforme dans le corps
et les bactéries on un rôle cruciale
que sa soi une pâte a crêpe ou une choucroute etc on la laisse reposer pour que les bactéries travail et rendent les aliments plus assimilable (plus tout en faite) l’inverse de la nourriture industriel
pour les oeufs les boxeurs en Thailande les enterres pour qu’il fermente (travail de bactérie) et mange les poussin mort fermenter hyper nutritif d’après eux
se dont je suis sur ces que les choses non amélioré par les bactéries sont moins bonne pour nous
les bactéries sa devrait parler a RES vu son palmarés