Alerte ! Dans 10 ans il sera trop tard : Des nanoparticules partout !…

Allons-nous avec ces nanoparticules vers un scandale sanitaire futur en proportion duquel celui de l’amiante sera ridicule ?

Notre corps, cette merveilleuse machine possède des capacité d’adaptation étonnantes, c’est vrai. Mais dans cette époque que nous vivons, les agressions chimiques sont multiples et incessantes : air, eau, nourriture, produits d’hygiène et de beauté, fibres textiles…  Il est normal dans ce cas de voir augmenter de façon exponentielles de nombreuses maladies dont l’asthme, les allergies, et plus grave : les cancers. Le problème inquiétant des nanotechnologies est qu’elles traversent des barrières naturelles de protection du corps pour aller directement dans les organes…

Les nanoparticules sont partout et sans contrôle dans nos objets de consommation et particulièrement dans nos assiettes totalement à notre insu. Galadriel

Je mets en avant un des paragraphes parlants de l’article :

Mais, en raison de cette très petite taille, ils peuvent pénétrer dans les poumons ou dans le sang, par inhalation ou par ingestion, et franchir les barrières physiologiques protégeant l’organisme : barrière cutanée, alvéolo-capillaire (isolant les alvéoles pulmonaires des vaisseaux sanguins), hémato-encéphalique (protégeant le cerveau des agents pathogènes du sang), placentaire (séparant les circulations sanguines de la mère et du fœtus)…

Comme vous le comprendrez, l’enquête qui a été réalisée étudie seulement quelques produits particuliers mais c’est édifiant :  les connaissances sur la toxicité du matériaux employé sont plus que floues…

Explications :

A notre insu, les nanoparticules ont envahi notre environnement quotidien. Présentes dans de multiples produits de consommation courante – crèmes solaires, textiles, articles de sport, carburants, pneus, appareils électroménagers, panneaux solaires, ciments, peintures, vernis, équipements médicaux… –, elles se sont aussi introduites, subrepticement, dans nos assiettes.
Cela, sans que le consommateur en soit averti par un étiquetage spécifique, pourtant requis par la réglementation européenne. Et, surtout, sans qu’il se doute des dangers potentiels de ces substances. C’est ce que révèle une enquête de l’association Agir pour l’environnement, rendue publique mercredi 15 juin.L’association a fait analyser, par le très officiel Laboratoire national de métrologie et d’essais, rattaché au ministère de l’industrie, quatre produits des plus ordinaires : des biscuits chocolatés de la marque Lu, des chewing-gums Malabar, une conserve de blanquette de veau commercialisée par William-Saurin et un mélange d’épices pour guacamole vendu sous la marque Carrefour.Résultat des tests : tous contiennent des nanoparticules, de dioxyde de titane (TiO2) pour les trois premiers échantillons, et de dioxyde de silicium (SiO2) pour le quatrième. Des adjuvants utilisés par les industriels pour blanchir les aliments ou modifier la teinte de leurs colorants, dans le cas du premier ingrédient, et pour fixer l’humidité et empêcher l’agglomération des poudres, dans le cas du second.
Aucun étiquetage pour avertir le consommateur

Cette « cuisine nanoparticulaire » n’est pas une pratique neuve. On savait déjà que l’industrie agroalimentaire agrémente certaines de ses recettes d’une pincée de nano-éléments pour en améliorer l’aspect, la saveur, la texture ou la conservation. Mais, dénonce Agir pour l’environnement, l’ajout de ces composants à notre menu pose deux problèmes, l’un réglementaire, l’autre sanitaire.

D’après les investigations menées par l’association dans les rayons des supermarchés français, aucun produit n’est aujourd’hui étiqueté comme contenant des nanoparticules. A fortiori, aucun des quatre soumis à l’analyse.

Or, depuis décembre 2014, la réglementation européenne exige la mention « nano » sur les denrées alimentaires qui en recèlent. Une obligation dont la mise en œuvre a été retardée, mais qui aurait dû entrer en vigueur en décembre 2015, en vertu du règlement sur les « nouveaux aliments ».

Doivent ainsi être signalés à l’acheteur les produits dans lesquels sont incorporés des nanomatériaux « présentant une ou plusieurs dimensions de l’ordre de 100 nanomètres [milliardièmes de mètres] ou moins », mais aussi « des agrégats qui peuvent avoir une taille supérieure (…) mais qui conservent des propriétés typiques de la nano-échelle ».

Toxicité encore mal connue

Généralement retenu dans les règlements sur les nanomatériaux, le seuil de 100 nanomètres n’a en réalité pas de fondement scientifique absolu. En tout état de cause, il est franchi dans les quatre échantillons expertisés.

Tous contiennent des nanoparticules dont la taille est inférieure à 100 nanomètres, dans des proportions variables : 2,5 % du total des particules pour les chewing-gums, 12 % pour les biscuits chocolatés, 16 % pour la blanquette de veau et… 100 % pour le mélange d’épices. Tous auraient donc dû être étiquetés. Même si les nanoparticules ne se retrouvent dans ces denrées qu’à l’état de traces, de l’ordre du millième, voire du cent millième du produit fini.

Surtout, la toxicité des nanomatériaux, pour la santé et pour l’environnement, est encore très mal connue. Leurs dimensions lilliputiennes – un nanomètre est environ 50 000 fois plus fin qu’un cheveu – leur confèrent des propriétés physiques, chimiques ou biologiques hors du commun, qu’il s’agisse de résistance, d’élasticité, de conductivité ou de réactivité.

Mais, en raison de cette très petite taille, ils peuvent pénétrer dans les poumons ou dans le sang, par inhalation ou par ingestion, et franchir les barrières physiologiques protégeant l’organisme : barrière cutanée, alvéolo-capillaire (isolant les alvéoles pulmonaires des vaisseaux sanguins), hémato-encéphalique (protégeant le cerveau des agents pathogènes du sang), placentaire (séparant les circulations sanguines de la mère et du fœtus)…

« Dans dix ans, il sera trop tard »

LIRE LA SUITE…

Un article de Pierre Le Hir pour Le-Monde relayé par LesBrind’Herbes

Et comme si ça ne suffisait pas, perturbateurs endocriniens : tollé contre Bruxelles,
L’annonce, mercredi 15 juin, de sa proposition finale de réglementation des perturbateurs endocriniens a surpris tout le monde. Mais elle a surtout laissé abasourdis la plupart des acteurs impliqués dans cette saga politico-technique. Abasourdis voire accablés. Car en offrant un traitement d’exception à cette famille de polluants chimiques, la Commission exige un niveau de preuves d’effets nocifs très difficile à atteindre. Impossible, estiment même certains…/…
Constituants d’une multitude d’objets de consommation – plastiques, cosmétiques, peintures, etc. – et contaminant l’environnement, ils sont soupçonnés de contribuer à l’augmentation de nombreuses maladies : infertilité, certains cancers, développement du cerveau, etc…./…

Pour aller plus loin un thriller scientifique, Les Nanomonstres de Lydie Alamazani.

Humanitaire, eau potable, le scandale en Cisjordanie (article de 2015 de nos amis lesBrind’Herbes, un scandale dont on entend plus parler)

12 Commentaires

  1. Bonjour Voltigeur et à vous.
    Il est déjà trop tard… Pourquoi parler de décennie.
    Les anciens disaient que la France avait 20 ans de retard sur le reste du monde ( sous-entendu, les US).
    Bref, que faire de plus?
    Les insurgés restent des terroristes, les blogueurs des délinquants, les chômeurs des feignasses, les RSA une variable.

    La technologie est hors-sol, comme les oligarques.
    La révolution est en route, pas forcement la notre.
    La malveillance est une guerre, le 1er sinistre l’a dit. On est en guerre contre « nos instances ». C’est voulu.
    Par contre, hollande a repris ses Kilos ^^

    • Bonjour Jadis, je ne parle de rien, je relaie l’info. Pour m’intéresser au sujet, je suis scandalisée chaque jours d’avantage par cette population qui ne voit rien, achète toujours plus, sans se préoccuper de rien d’autre.
      Produits chimiques, adjuvants, nanotech, irradiation, fermes industrielles, bétail traité etc…..
      Je m’interroge…

      • Tant pis pour ceux qui ne s’informent pas, ceux-là seront sélectionnés pour leur manque de conscience, d’ailleurs c’est à cause de gens qui ne s’informent pas et qui acceptent ce qu’on leur sert sans réfléchir qu’il y a des produits chimiques, adjuvants, nanotech, irradiation, fermes industrielles, bétail traité etc…car aujourd’hui plus personne ne peut nier le lien entre les dérives d’une certaine forme d’alimentation industrielle et l’augmentation significative de certains cancers et maladies cardiovasculaires et comme le disait Coluche: Il suffirait que ça ne s’achète pas pour que ça ne se vende plus. Il avait bien raison.

        Aujourd’hui à peine une minorité de gens choisissent de manger bio ou local et font attention à ce que les grands commerces leurs proposes. Chaque année en France, la malbouffe provoque trois fois plus de morts que le tabac et cinquante fois plus que les accidents de la route. Elle est en partie responsable de 30 % de nos cancers, de nos 500 000 insuffisants cardiaques, de 2 millions de diabétiques et de 8 millions d’obèses. Effarant. En un demi-siècle, le contenu de notre assiette s’est radicalement transformé. Aujourd’hui, 80 % des aliments que nous avalons sont industriels. Souvent trop gras, trop sucrés, trop salés et bourrés de chimie.

        http://www.gauchemip.org/spip.php?article8955

      • Coucou voltigeur, (je doute que tu aies ma réponse), il manque une option sur le blog, il faudrait une option pour voir les interventions du membre. Possible qu’elle soit déjà présente . ^^

        Je ne parle pas de toi voltigeur, mais de l’article. Tu partages l’information 😉
        De toi à moi, la population est pour la peine de mort et ils votent encore, les bougres.
        Le consommateur n’est que résultante.
        Bises à toi et salutation à vous. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  2. Pour finir, l’article n’explique toujours pas ce que sont les nanoparticules. Ou bien je n’ai rien compris.
    On en revient toujours là, comme tu le dis, le Veilleur: manger bio, local, et donc faire sa cuisine. Voire manger végétarien (la viande étant nocive, même bio, et trop consommatrice en surface et en eau).
    Faire ses produits de soin, éviter les vêtements type Déca*thlon. Même si j’aime bien ce magasin, les vêtements anti-transpiration et autres… ça ne me semble pas sain.

    • @Biquette
      Pour info, Roger Lenglet a écrit un livre « les nanotoxiques » et vous pourrez trouver des interviews de lui sur le net. Il explique très bien ce que sont les nanoparticules et comment elles peuvent interagir sur notre corps.

  3. Dans la situation actuelle, que pouvons-nous y faire ?

    Hormis dénoncer, râler, pétitionner, envoyer des courriers et mails à nos Zélu(e)s, et pisser dans des violons pour faire de la musique…

    Sur ce sujet, ainsi que sur tous les sujets graves qui nous concernent, nous ne pourrons rien y faire, n’y changer quoique ce soit, TANT que NOUS n’aurons pas pris le pouvoir.

    CQFD https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

    NOUS, PAR NOUS, POUR NOUS ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

  4. Que pensez de l’argent colloïdal alors? (Puisque là ce sont des nanoparticules)

    • Tapes « argent colloidal » dans la barre de recherche des ME et tu sauras

      • Il faut BIEN se renseigner sur les NANO PARTICULES et justement RIEN aux INFOS et difficile de relayer des conférences sur le sujet (c’est limite une conspiration)
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

        • Personnellement l’argent colloidal, ainsi que d’autres produits naturels, m’ont permis de mettre carpette des infections nosocomiales contractées pendant des opérations chirurgicales lourdes; et pour ceux qui hésitent encore, il n’y a aucuns effets secondaires négatifs.

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