Anglet : « Je n’ai rien à voir avec un agriculteur classique »

Un peu d’espoir et de verdure, car oui, il y a de l’espoir de voir l’agriculture bio se populariser. De plus en plus de monde se rend bien compte que les produits génétiquement modifiés ne représentent ni une solution ni une alternative, puisque ceux-ci dont les effets sont encore peu connus requièrent de plus en plus l’utilisation de pesticides dont les effets sont bien connus: cancers, malformations, maladies… L’émission Cash Investigation sur le sujet avait donné un bon coup de pied dans la fourmilière sur le sujet.

Et non seulement le bio intéresse de plus en plus de monde, mais certains démontrent bien que non, la sagesse n’attend pas le nombre des années, puisque cette jeune agricultrice n’a que 30 ans, et un avenir devant elle, un avenir forcément bio…

À la force des bras et à seulement 30 ans, Caroline Helary vient de labourer 9 000 m² chanvre-bio-graine-culture-textile-corde-construction-isolation-huile-cannabis-sativa-indien-plante-fumer-marijuana-64de terre en pleine agglo pour en faire l’unique exploitation 100 % bio angloye.

Dans un quotidien trop huilé, elle aurait forcément associé une pincée de piment. Y aurait ajouté un bouquet d’herbes, sans doute un peu folles. Caroline Helary , 30 ans, est la seule agricultrice à cultiver des légumes certifiés bio à Anglet et à en assurer la vente directe depuis début mars. Le parcours a été semé d’embûches.

Le BTS horticole aura eu le mérite de préciser ses envies. « J’ai vite compris que l’agriculture intensive n’était pas pour moi. » Elle mijote depuis toute petite une recette de grand-mère. « J’en avais assez de ne pas avoir le choix. De nos jours, on ne sait plus ce qu’on mange. Ma façon de travailler aujourd’hui, défend la jeune femme, est aussi une façon de rappeler que la terre s’autosuffit à elle-même. »

Avec 5 000 euros en poche, elle lance, en juillet 2014, une collecte de financement participatif sur Internet. 2 500 euros de dons ont cru en elle. Et un Angloy. Son coup de fil a accéléré la concrétisation de ses ambitions. Le principal obstacle d’alors étant de trouver un terrain cultivable, à loyer modéré, sur la Côte basque… une aiguille dans une botte de foin. « Un monsieur avait un terrain en friche depuis quinze ans, rue Labordotte, dans la zone de Maignon. » 9 000 m² à loyer abordable, le girobroyeur pouvait déployer ses atouts et défricher les énormes ronciers.
Ressources en eau de pluie

Vint la construction d’une cabane, essentiellement à partir de matériaux de récupération, à l’instar du point de vente, à l’entrée de la parcelle monté de palettes aménagées. Puis l’installation des récupérateurs d’eau, seuls à alimenter les cultures et désormais capables de faire face à un mois de sécheresse, la mise en place des parcelles, l’échelonnage des cultures. « Ce n’est qu’à partir de ce moment que j’ai pu commencer à retourner l’ensemble de la terre à la main. » Pour des raisons de budget. « Je savais que ce serait difficile. Je ne m’attendais pas à un travail aussi épuisant. Seule à faire tout cela, on ne compte pas les heures. » Elle ne s’en plaint pas : « C’est une façon de défendre l’environnement. Finalement, je n’ai quasiment plus rien à voir avec un agriculteur classique. »
Des engrais naturels

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Début mars, les ventes directes ont débuté. Le mangeur découvrait carottes, salades, radis et navets nés de la toute première période de semence, en janvier. Oignons, poireaux, petits pois, haricots verts, épinards, tomates, piments et poivrons sont attendus à la prochaine récolte.

« Je ne m’attendais pas à un travail aussi épuisant »

Ici, les carottes sont biscornues. Les salades farfelus, les radis rabougris et les navets petits, parfois. Entre les rangs, les herbes poussent en bataille. « Pour que les coccinelles s’y nichent et mangent les nuisibles. » Carottes et poireaux poussent les uns à côté des autres. « L’odeur fait fuir les nuisibles. Je n’ai jamais eu d’attaques. Je touche du bois. » Le retour aux astuces d’antan devra faire face à l’effet du temps, s’inscrire dans la durée.
Source et suite (dont sur abonnement) Sudouest.fr

Et pour rester dans le sujet, ainsi que pour les intéressés, il existe une méthode de culture qui évite de labourer le sol, qui va à l’encontre de la méthode utilisée plus haut par Caroline Helary, mais cela doit également dépendre de la superficie du terrain car utiliser un paillage sur un terrain de 9000m2 ne doit pas non plus être la meilleure solution de prime abord…

Pour ceux qui ne connaissent pas, petite introduction à la méthode Soltner:

L’auteur : Dominique SoltnerGuide nouveau jardinage

Introduction

Apres 40 ans de pratique culturale traditionnelle, c’est-à-dire à coup de bèche et de binette, Dominique Soltner découvre l’efficacité du paillage contre la levée des herbes et l’assèchement de la terre ; en plantant des haies bocagères.

Il passe rapidement du plastique noir au paillage biodégradable, qui favorise l’installation d’une flore spontanée.

Il réalise que sous le paillage la terre est ameublie, il devient alors évident d’y planter des légumes.

Des légumes au pied des haies, c’est une bonne idée. Mais importer le paillage biodégradable au jardin potager c’est encore mieux.

Parallèlement du côté de l’agriculture, on expérimente les TCS c’est-à-dire les technique culturale simplifié, pour plusieurs raisons.

  • Faires des économies sur le carburant
  • Parce que la faune du sol fait mieux que la charrue
  • Parce que les outils le labour provoque l’érosion su sol.

Pourquoi ne pas adapter ces techniques au jardin !!

Ne plus travailler le sol : moi ça me tente bien ! Sourire

Encore bon nombre de jardinier croient qu’il faut retourner la terre, pour que les racines des plantes puissent y pénétrer. De plus la terre étant sans protection, elle se durci en surface sous l’effet de la pluie et du soleil.

Pourtant si l’on est attentif, on remarque que sous un tas de feuille qui est resté en place tout l’hiver la terre est bien meuble et grumeleuse. Et bien sûr il ne reste aucune plante ni racine. La surface du sol a été consommée par les habitants du sol.

Allez-vous balader en forêt, soulevez un peu les feuilles et voyer comme la terre est belle.

On peut conclure que la faune du sol travaille à nous rendre la tâche plus facile, alors pourquoi ne pas en profiter ?

Chapitre 1 – Le jardinage sur Mulch.

Il s’agit de couvrir la terre de tous les végétaux qui vous passe par la main. Des lors la terre sera protégé contre la pluie et le dessèchement. Vous pourrez ranger vos outils, désherbant et fertilisant.

 

Débuter un potager sans travailler le sol.

Même si votre jardin et couvert d’herbe, pas besoin de sortir des gros outils pour préparer votre future potager. Des septembres couvrez les futures planches de culture d’un épais mulch avec ce que vous trouvez, de la paille, du foin, des feuilles, bref du végétal. Pour faciliter la décomposition des herbes et adventice, vous pouvez passer la tondeuse ou la débrousailleuse et laisser les déchets sur place.

La faune va travailler tous l’hiver.

Autant vous dire qu’un épais mulch offre un habitat confortable a bon nombre de bestiole durant tous l’hiver. Tous ce petit monde va travailler pour nous, pendant que l’on boit du vin chaux devant la cheminée. Au printemps la terre sera suffisamment souple pour que l’on puisse planter nos premiers choux. La force des racines est suffisante pour faire éclater le béton, alors ne vous tracasser pas, elles se planteront sans problème dans la terre.

Tout se repique sur le mulch.

Rien de plus facile que de repiquer vos salades et choux dans le paillage. Les graines des fameuses mauvaises herbes ne lèveront pas.

Dans cette partie du chapitre, on voit concrètement comment mettre en place les salades les choux. Comment installer les pieds de tomates sur les supports durables.

La mise en place des pommes de terre sur mulch est particulièrement intéressante. On voit aussi la culture sous plastique noir et feutre synthétique.

La culture des poireaux et des fraises est aussi passé en revue.

Et les engrais vert.

Cette culture a pour vocation d’améliorer le sol, elle peut faire suite à une culture qui a découvert le sol. Le couvert végétal est bénéfique pour plusieurs raison

· Il couvre rapidement le sol

· Les racines fissurent le sol

· Leur décomposition entretiens la vie du sol

· Il apporte des éléments nutritifs pour les autres cultures

· Leur floraison attire de nombreux insecte.

Et bien sûr on enfouie pas les engrais vert, on les couche et on laisse la nature faire. Pour accélérer un peu les choses, on peut recouvrir de paillage.

Comment je sème dans le mulch ?

Pour les grosses graines et bulbe pas de problème, il suffit de percer le mulch et d’y enfoncer la graine. Quelques graines comme les haricots et pois nécessitent que l’on écarte un peu le mulch le temps qu’elles lèvent. Une fois qu’elles sont suffisamment développées, on peut refermer le mulch.

Reste un problème ! Comment semer les graines plus fine ?

Chapitre 2 – le jardinage sur compost vert.

Dans ce chapitre on apprend à utiliser le compost pour faire des semis direct. Le compost produit par les plates-formes est suffisamment disponible et bon marché pour être utilisé dans cette méthode.

Le recyclage des déchets vert.

Vous avez surement contribué à la fabrication de ce compost en apportant vos déchets vert à la déchèterie. Depuis 2002 ces déchets doivent être compostés. C’est une mine d’or pour le jardinier. Vous pouvez vous demander si le résultat de la plateforme de compostage près de chez vous est propre à la culture de vos légumes. Le mieux est l’aller visite le site et de discuter avec les responsables. Je l’ai fait, voilà ce que je pense de la plate-forme de compostage du smedar près de chez moi.

L’utilisation du compost contre le sarclage.

Bref, le compost est un allier précieux du jardinier fainéant, à condition de bien l’utiliser. Il ne faut pas mélanger le compost a la terre, mais simplement l’étaler sur la terre, pour privé les graines en dessous de lumière.

De plus pour assurer une bonne levée, il faut protéger vos graines par un filet, et assurer une humidité constante.

Cette méthode est idéale pour les semis de mâche de carottes, de radis, de salades et de condimentaires.

Pourquoi les stations de compostage nous préconisent de mélanger le compost ?

Il faut éviter d’utiliser le compost pur en jardinière. Il est nécessaire de le mélanger à 1/3 de terre du jardin et 1/3 de sable. Ce mélange constitue un terreau. En pleine terre, la couche de compost qui couvre superficiellement la terre, laisse la plante planter ses racines dans la terre juste en dessous. Le compost est là pour empêcher la levée des graines non désirées.

Conserver le compost en surface.

Apres quelques temps, les plantes non souhaité ou si vous préféré les mauvaises herbes vont finir par coloniser votre compost. Pour repartir sur un composte propre sans avoir à sortir les outils de jardins, il suffit de la recouvrir d’une bâche de plastique noir durant 1 a 3 mois. On peut aussi utiliser un épais mulch pour arriver au même résultat. Une fois les herbes digérées par la terre, il suffit d’un coup de râteau pour retrouver son compost propre.

Combien de compost pour mon potager ?

Il faut compter 3cm d’épaisseur pour recouvrir votre terre soit environ 15kg par m2. Il faut compter en 15ene d’euro pour un tonne de compost vendu en vrac. Je vous assure que vous n’allez pas vous ruiner !

Chapitre 3 – des explications et des variantes.

Dans ce chapitre, on va comprendre ce qu’est l’humus et un jardin vivant. Mais aussi comprendre pourquoi le mulch rend les jardins fertiles.

L’humus.

Une terre riche en humus est dite stable, elle résiste aux pluies en conservant l’aspect grumeleux de la terre. L’humus est une partie de la matière organique du sol qui provient d’organismes végétaux et animaux

L’ensemble de cette matière organique va subir des transformations par les insectes, les champignons et les bactéries pour se minéraliser en partie et se transformer en humus.

L’humification est un processus lent de minéralisation des matières organiques. Le principal constituant est la lignine.

L’apport régulier de mulch et de compost maintient un taux élevé d’humus dans le jardin.

L’action du mulch végétal.

L’installation d’un mulch végétal remplie les 5 fonctions suivantes.

  • Le travail du sol.
  • Conservateur du sol.
  • Economiseur d’eau.
  • Fertilisant.
  • Désherbant.

La culture sur mulch permanant vise à préparer la terre pour les cultures à venir. Selon les couvertures utilisées, les 5 fonctions seront remplies. Les engrais vert, la paille, le foin, les feuilles mortes sont les plus couramment utilisées. Le bois déchiqueté ou BRF s’impose de plus en plus mais son action bénéfique est plus lente.

La culture sur mulch et compost se complète.

L’idéal est d’assurer un roulement entre les planche de culture, des fraichement paillé, d’autre au paillage vieilli permettant le repiquage des légumes et enfin les planches en culture. Seulement le mulch ne permet pas le semis des graines fines. C’est pour cette raison que l’on prépare des planches de culture sur compost, afin de préparer les semis.

La fertilisation du potager.

La première source de fertilisation du jardin est le retour à la terre de ce qui vient de la terre. Bien sûr on ne porte plus rien à la déchèterie. Tous retourne au jardin. Les feuilles sont d’une grande richesse pour fertiliser le jardin car les arbres vont chercher leurs ressources très profondément. Il suffit de regarder les forets pour comprendre que les feuilles participent à la richesse de ce milieu.

Peut-on se passer des engrais ?

Les jardins et potager sont des concentré de fertilité. On y apporte la fertilité des milieux alentours. Entre le compost, le fumier, le mulch, les cendres de bois et le BRF. Il faut être un peu patient, contrairement au engrais chimique soluble, les engrais naturel sont à un plus lent a se libérer. Mais en termes de qualité et de quantité la fertilité de nos potagers est largement assurée.

Choisissons des jardins vivant.

Les jardins traditionnels avec la terre à nu sont des déserts de vie. La terre exposée aux intempéries n’offre pas de refuge à la faune.

Les jardins sur mulch totalement couvert sont riches d’une faune très varié. Dans le sol la vie s’active et a l’extérieur aussi.

Même si on attire les ennemies du potager comme les limaces. Pas de panique, très rapidement les prédateurs tels que les carabes vont s’installer et contribuer à lutter contre les limaces.

Les auxiliaires du jardin.

Le mulch et le compost est un habitat favorable aussi pour les parasites, mais la force d’un jardin équilibré c’est de savoir aussi s’entourer d’amis. Les auxiliaires du jardin sont nombreux et l’on a tout intérêt de les attirer et à faire en sorte qu’ils s’installent sur notre terrain.

A quoi bon composter.

Dès que l’on cultive sur du mulch et de compost, il devient inutile de stocker les déchets verts en tas. La stimulation de la vie du sol sera bien meilleure si l’on repend nos résidus directement sur le sol. Cette technique supprime le pénible travaille de l’aération du tas de compost. Néanmoins cette pratique de compostage traditionnel reste intéressante si l’on ne cultive pas de potager.

Comment ne pas travailler le sol de mon jardin s’il est argileux.

La préparation d’une terre difficile demande du temps, il faut passer par l’étape de la culture de graminée dont les racines seront capables de fendre la terre argileuse. Pour finir, on recouvrira ces graminées d’un épais mulch pour détruire complètement le feuillage et les racines. Il faut compter 18 mois de préparation.

 

Source, suite et références du livre sur mon-potager-en-carre.fr

14 Commentaires

  1. En comptabilisant les commentaires attachés à cet article, je constate tristement que tout ce qui touche à la terre, la nature ou l’agriculture intéresse bien moins les Moutons que d’autres sujets « mainstream », anxiogènes et sources de dissensions, qui tournent trop souvent autour de l’argent, de la violence ou encore de la politique, pour ne citer que ceux-la.

    Pourtant, l’avenir de notre espèce dépend prioritairement des décisions que nous allons prendre aujourd’hui pour préserver notre petite planète, et non des futilités qui encombrent les esprits et risquent de mener l’homme à sa perte a force de palabres stériles. Nous, Moutons soit disant Enragés et éveillés, ne devrions-nous pas prendre un peu de distance avec cette actualité nauséabonde que nous déroulons jour après jour à la manière d’une vis sans fin, et nous focaliser un peu plus sur l’avenir, en semant les graines d’un futur plus serein, afin que grâce à notre action les nouvelles générations puissent espérer récolter autre chose que la peur et la misère ?

    M.G.

    • La morbidité, le catastrophisme, la mort c’est « vendeur », et pendant ce temps là, on oublie les vraies valeurs, la vie, l’avenir des enfants, la terre qui est détruite au nom du fric. les poisons, etc.. Tu as raison Mouton Grain, semer les graines du futur, encore faudrait il qu’ils y croient au futur, pour envisager des solutions. Prendre des décisions drastiques pour changer les choses! les assiettes sont encore trop pleines.. 🙁

      • Quoi qu’il en soit nous seront bientôt fixés, le vent est sérieusement en train de tourner et les assiettes risquent de se vider plus vite qu’on ne le pense …

        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif M.G.

        • Je pense qu’il n’y a que ça pour faire bouger, quoi que.. si on regarde la Grèce, les pauvres sont au bout du rouleau, mais ils subissent encore et encore….

          • Effectivement, surprenant le stoïcisme des Grecs ! J’ai vraiment du mal à imaginer le degré d’humiliation qu’une collectivité peut subir avant de réagir. J’imagine simplement que plus la pression grimpe, plus violente sera l’implosion. Pour ma part, je ne vais pas attendre que la France rejoigne la Grèce, je vais œuvrer à mon échelle et faire ma part du colibri …

            M.G.

            • Ce que nous sommes tout de même, un certain nombre à faire, car faire bouger la masse c’est carrément herculéen, autant œuvrer avec nos réseaux persos, nous avons la chance d’avoir constitués de bons contacts. 🙂 🙂

              • En parlant de contact, comme je le disais à Benji par mail, je vais certainement sillonner un peu le territoire avant la fin de l’année, donc je passerais peut-être te faire un petit coucou, si tu le veux bien. Dans tous les cas, je te tiendrais au courant …

                M.G.

              • C’est divertissant cette période ou vivre c’est voter.
                Perso,me suis très rarement emmerder dans cette dimension assez rigolote.
                Bien sur j’ai honte de percevoir l’environnement sans hurler,mais j’y suis pour rien et cela me rassure.
                Chacun de nous perçoit cela différemment et c’est cela qui est sublime.
                Imaginez une existence sans hochets ,rien que vivre ,c’est dingue et sans intérêt,du bol qu’il existe (pour nos perceptions ridicules)le malheur;la misère,des voleurs etc (bref UN GOUVERNEMENT)
                La vie prend une dimension qui donne envie à revenir (pour certains,pas moi).
                Hollywood c’est ici,le Paradis c’est chiant comme Guantánamo .
                https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

                • Quelle poésie… 🙂

                • Permettez moi d’ajouter que ceux qui vivent (je rigole)pour prendre soins de nous les bestioles sont des largués en survies sans aucunes espèce d’importance .
                  Oui,je sais les CHEMTRAILS et autres dysfonctionnements apparents sont des leurres ,ridicules tellement évident que la perte de cette bestiole (sois disant humaine)conne et ridicule (j’en fait partie par manque d’ADN) n’influence en RIEN cette perception ridicule d’UNIVERS car s’il existe un Univers c’est certainement pas pour NOUS OK,vous pigez??
                  https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

  2. texte vers image

    je ne suis pas marchand de barbelés, mais …

    • Sois pas CHIANT et sert toi de ton cul pour penser si t’as rien d’autre.
      Tu est très négatif par moment ,je plains tes commanditaires,tu est capable de mieux faire quand meme…
      Tu désires la déception du blog et la perte de ton job?
      allez ressaisis toi svp
      https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

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