Nous avons tous pu voir l’effet que cela a pu faire sur Blanche-Neige, imaginez l’effet sur nous à long terme? Le gros souci, c’est que cela ne concerne pas uniquement les pommes, mais l’ensemble de notre alimentation, une grande majorité des fruits et légumes, ainsi que l’ensemble des produits transformés. Des pesticides? Ajoutez à cela certains déchets, du sucre et du sel à outrance, des graisses plus que douteuses dont de palme, hydrogénées, et j’en passe des plus fantaisistes, ce n’est pas les pommes que nous devons sélectionner, mais l’ensemble de notre alimentation.
Après avoir mené un test dans des supermarchés de 11 pays européens, dont la Belgique, Greenpeace affirme mercredi avoir trouvé des résidus de pesticides dans 83% des pommes commercialisées par ces grandes surfaces. La moitié des pesticides détectés sont toxiques pour les organismes aquatiques, les abeilles et d’autres insectes, affirme Greenpeace, qui ajoute que l’on connaît peu l’impact potentiel de ce cocktail de pesticides sur notre santé. Greenpeace a également testé les pommes bio sans pesticide. L’organisation appelle à promouvoir leur production.
« Nous avons travaillé sur 126 échantillons: 106 issus de l’agriculture conventionnelle et 20 issus de l’agriculture biologique », détaille Greenpeace. Ces pommes ont été achetées dans 23 supermarchés différents et envoyées à des laboratoires indépendants pour y tester leur taux de pesticides.
Parmi elles, quatre pommes belges ont été testées: une issue de l’agriculture biologique et trois issues de l’agriculture conventionnelle. Ces pommes ont été achetées chez Bioplanet, Carrefour, Colruyt et Delhaize. Dans les autres pays, des pommes ont été achetées dans d’autres enseignes parfois également présentes en Belgique comme Aldi, Lidl, Albert Heijn et Spar.
« Au total, 39 substances différentes ont été répertoriées. Certains pesticides retrouvés sont très résistants et peuvent avoir des conséquences néfastes pour l’écosystème », conclut Greenpeace, qui promeut dès lors la pomme issue de l’agriculture biologique.
Article en intégralité sur 7sur7.be
L’Environmental Working Group (EWG), une ONG environnementale de Washington, publie chaque année une étude sur la contenance en résidus de pesticides de 47 fruits et légumes, basée sur 87.000 tests réalisés entre 2000 et 2009 puis en 2013 et 2014(5). Une autre étude publiée par l’association Pesticide Action Network PanEurope (fondée sur les données de l’Autorité européenne de sécurité sanitaire) souligne que la la majorité des pesticides contaminants les fruits et légumes sont des perturbateurs endocriniens néfastes pour le système hormonal. L’association en a déduit une liste des 18 fruits et légumes les plus pollués !
- Les plus affectés selon l’étude européenne : Aubergine, carotte, Laitue, chou, concombre, épinard tomate, fraise, chou-fleur, pêche, petits pois, poivre, pomme, pomme de terre, poireau, raisin.
Pas de chance, ce sont parmi les légumes les plus consommés !
La conclusion tirée par l’étude de l’EWG sur les fruits et légumes permet de mieux cerner ce phénomène (voir tableau ci-dessous) et les risques d’exposition :
- Une personne qui consomme les 12 fruits et légumes les plus contaminés ingurgiterait en moyenne 10 pesticides par jour !
- Alors que manger les 15 fruits et légumes les moins contaminés exposerait une personne à moins de 2 pesticides par jour en moyenne.
Le classement des fruits et légumes contaminés
Le classement suivant est basé sur un score global établi à partir de 6 mesures de contamination différentes. Il permet au consommateur de savoir quels fruits et légumes privilégier pour réduire le nombre de pesticides dans son alimentation.
Selon ce classement, voici les 12 fruits et légumes les plus contaminés :
- pêche, pomme, poivron, céleri, nectarine, fraises, cerises, chou frisé, laitue, raisins importés, carotte, poire.
Voici les 15 fruits et légumes les moins contaminés :
- oignon, avocat, maïs doux, ananas, mangue, asperge, petits pois, kiwi, chou, aubergine, papaye, pastèque, brocoli, tomate, patate douce.
Le palmarès 2015 du groupe de recherche sur l’environnement Environmental Working Group ne bouleverse pas celui des années précédentes.
Les fruits et légumes les plus traités – palmarès 2014
Dans la liste des “Dirty Dozen”, certains fruits ou légumes ont jusqu’à 15 résidus de pesticides différents (raisin), ou 13 (pommes).
- Pommes – Fraises – Céleri – Épinards – Nectarines – Concombres – Myrtilles – Laitue – Pèches – Petits pois – Pommes de terre – Piments – Poivrons – Raisin – Tomates cerises
Les moins traités
Les “Clean fifteen” sont les fruits ou légumes présentant de moindres doses de pesticides Selon l’EWG, la plupart de ces végétaux ne présentaient pas de traces de pesticides, ou alors très peu.
- Ananas – Asperges – Aubergines – Avocat – Champignons – Chou – Chou-fleur – Maïs doux – Oignons – Mangue – Papaye – Kiwi – Pamplemousse – Melon – Patates douces –
Article en intégralité+conséquences sur l’organisme des pesticides sur Consoglobe
Alors, comment faire pour échapper aux pesticides? Soit en achetant des produits bios, ce qui est initialement la meilleure solution, sinon en réduisant le nombre de pesticides au maximum, en lavant les fruits et légumes avant utilisation, avec de l’eau mélangé à du vinaigre, c’est encore mieux.
Nettoyez votre espace de travail : les surfaces de comptoir, les couteaux et les planches à découper que vous envisagez d’utiliser doivent d’abord être nettoyés. Lavez-vous aussi les mains avec du savon.
Éviter d’entreposer vos fruits et légumes : achetez des produits cultivés localement et accordez-vous 5 jours pour les consommer.
Lavez-les au bon moment : évitez de laver vos fruits et légumes dans le but de les manger plus tard, car cela ne fait qu’accélérer la croissance des bactéries et le processus de dégradation. Lavez-les lorsque vous êtes prêt à les consommer.
Rincez à grande eau : la meilleure façon de réduire le nombre de microorganismes sur un produit, c’est de le laver à grande eau (l’eau doit être plus froide que le produit d’environ 10 degrés). Frottez énergiquement la surface du fruit (ou légume) pour en débarrasser les saletés et les germes. Vous n’avez besoin d’aucun produit chimique pour y arriver.
Procédez de la bonne manière : chaque type de produit exige une méthode de lavage particulière.
Source: Plaisir Santé
Quand à l’épluchage, ce n’est pas la solution miracle, malheureusement…
Des études montrent que souvent les pesticides se concentrent dans ou sur la peau. De fait, peler ses fruits ou légumes non bio peut ôter en partie les résidus de pesticides. Cependant, se pose la question des pesticides systémiques qui pénètrent au cœur de la plante. En effet dans ce cas, une étude a montré que le pelage de concombres traités avec du thiométon ne permettait pas d’éliminer la présence du pesticide (Sheikhorgan et al, 1994).
A noter en outre que lorsqu’on pèle un fruit ou un légume, on se prive alors des vitamines contenues dans la peau.
De plus certains fruits et légumes ne se pèlent pas ? Dans ce cas comment fait-on pour les fraises, les framboises ou les salades ? ( étude faites sur ces questions)Source et article en intégralité sur Menustoxiques.fr
Miam !
Mangez des pommes !!
Au moins 5 fruits et légumes par jour !!!
Les pesticides sont aussi dans les fruits et légumes, alors les laver et peler ne résoud rien.
C’est vrai que les produits chimiques se retrouvent aussi à l’intérieur du végétal. Mais il y en a quand même pas mal en surface donc : « laver et peler résout uniquement le problème en surface ».
… Je sais que je suis pointilleux…
bonjour a tous
nouveau sur ce site et heureux d’être ici !!!
Norman Walker ( né 1886 mort 1985)le ‘pape’ américain des jus de fruits et de légumes par extracteur de jus explique dans ses livres une affinité importante des pesticides pour les fibres.
Même si il recommande une alimentation bio, les extracteurs seraient une piste intéressante car la majorité des pesticides resterait dans les fibres et les jus riches en minéraux etc en auraient un minimum
Les extracteurs sont chers, en moyenne 350 euros mais j’en ai trouvé un sur amazon à 140 euros dont je suis très content
il ne faut pas oublier que la methode entre autre anti cancer du dr Gerson est basé sur les jus de légumes et fruits frais par éxtracteur
a vous de voir ………………
Je me souviens de l’époque « bénie » ou je faisais les saisons.
Après une semaine de cueillette des pommes (au rendement hein, c’était pas un boulot de feignasse) on avait les mains rongées par les produits chimiques.
Un des exploitants m’avait d’ailleurs expliqué que jamais il ne mangerait une pomme de son verger, et qu’il y mettait 17 saloperies différentes.
Selon ses termes, il faut « enlever 2cm sous la peau et 2cm autour du trognon, donc il ne reste plus de pomme, éventuellement une chips ».
Près de 20 ans plus tard, je doute que les choses se soient améliorées…
Pffft comment ça peut arriver ça? Une machine défectueuse?…
Auchan rappelle des merguez contenant du fil de fer
La chaîne a procédé au rappel d’un lot en raison de la présence possible de fil de fer de 1 à 10 millimètres de diamètre, prévient 60 millions de consommateurs. Ce métal risque de provoquer des blessures ou un étouffement.
Merguez vendues les 15 et 16 octobre
Il s’agit des paquets de marque Auchan contenant 6, 12 et 20 merguez. Ils portent tous l’estampille sanitaire FR 51.649.002 CE. Ils ont été mis en rayon les jeudi 15 et vendredi 16 octobre 2015. Tout le lot concerné a été retiré depuis mais si vous en avez acheté avant son retrait, vous êtes invité à ne surtout pas les consommer et à les rapporter en magasin pour vous les faire rembourser.
http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2015/10/auchan-rappelle-des-merguez-contenant-du-fil-de-fer.html
Pour tout renseignement, vous pouvez contacter le service après vente Auchan au numéro non surtaxé suivant : 0.359.305.930.
Sans cesse Auchan rappelle des produits, c’est presque devenu banal ! avec le risque énorme que peu de gens soient au courant de ces rappels !
@ Veresheep :Cela m’a été dit une fois aussi par un producteur mais lui met près de 40 produits différents. Aussi quand je vois une maman, dans un super marché donner une pomme à son gosse assis sur le caddy, juste après – et dans le meilleur des cas – l’avoir essuyé sur sa manche, je bondis d’indignation. je suis intervenue plus d’une fois au sujet des pommes et aussi du raisin, surtout l’Italia qui est un vrai poison sous son air si séduisant !
Parmi celles et ceux qui travaillent au « cul » des pommiers, qui les traitent plus de 30 fois, de la floraison à la cueillette, se trouvent tristement quelques cas de personnes atteintes de cancer et j’en avais croisé deux en Dordogne, tout près de LANOUAILLE, qui souffraient de graves troubles respiratoires. Ils en sont morts en très peu de temps.
Me souviens également de ces deux enfants de 7 et 14 ans qui jouaient à cache-cache dans l’exploitation des pommes de leurs parents et qui se sont retrouvés enfermés dans un immense hangar à pommes. Ce n’est pas la fraîcheur du bâtiment qui les a tués mais le gaz propulsé pour la conservation des pommes !!! Je n’ai jamais plus mangé de pommes après cette info.
Qui dit conservation dit que la pomme n’arrive pas dans votre assiette quelques jours après avoir été cueillie.
Au risque de me faire huer je confirme qu’il arrive à ce que certains producteurs de pommes gardent celles-ci de longs mois dans ces « putains » de hangars TOXIQUES !!!
Les pommes se conservent dans un cellier pendant plusieurs mois en hiver, même sans aucun traitement.
Cela sera presque la même chose sur le « bio » qui est plus une marque qu’autre chose. On en trouvera surement un peu moins mais un nombre important.
Même en cultivant chez soi, on est pollué aussi, on a juste la garantie que certains produits n’y seront pas ou en infime quantité mais nous ne leurrons pas : tout est pollué (air, eau, terre)
Aucune information sur les risques liés aux cocktails de pesticides
L’ONG dévoile la liste des 39 ( !) pesticides ou métabolites trouvés, avec le détail magasin par magasin. Tous sont autorisés par l’Union européenne. Mais comme le souligne Greenpeace, « il existe des incertitudes et des imprécisions importantes quant aux différents risques potentiellement encourus ». L’ONG ajoute : « il est particulièrement préoccupant de constater que les données disponibles sont insuffisantes concernant les propriétés cancérigènes, mutagènes ou susceptibles d’induire une perturbation endocrinienne de nombreux pesticides détectés dans les pommes analysées. »
Même avertissement concernant le « cocktail » réalisé en mélangeant ces pesticides, comme c’est souvent le cas dans les lots étudiés : aucune information sur les risques environnementaux ou sur la santé n’est disponible. Ce qui met en évidence « les dysfonctionnements graves et persistants de la réglementation », souligne Greenpeace.
http://www.consoglobe.com/pommes-pesticides-cg