Il n’y a pas que le chômage qui augmente, il y a aussi les agressions, et les radiations! Officiellement, on nous explique que les raisons sont: la crise et le manque d’emplois, pas les radiations? Car celles-ci se font en pagaille, quel meilleur moyen de réduire un peu les statistiques? Mais commençons par le nombre d’agressions:
La direction de Pôle emploi a recensé 8442 agressions en 2013, soit une augmentation de 13% sur un an. Un constat alarmant, qui préoccupe la direction et les syndicats.
Les incivilités de tous types, faites aux personnels se multiplient et touchent de plus en plus de métiers au fil des années. Aux guichets des banques, ou de la SNCF, les dérapages sont réguliers, mais ils touchent également, et en forte quantité les agents de Pôle-emploi. D’après une enquête menée par Le Parisien , la direction de l’établissement public chargé de l’emploi a enregistré 8442 agressions pour l’année 2013, soit une augmentation de 13%. C’est 68% de plus que celles recensées par l’AFB (l’Association française des banques) pour 2012. Parmi toutes les incivilités commises à Pôle-emploi, 70% sont verbales, 12% sont comportementales, et même si les agressions physiques ne représentent que 3% elles peuvent souvent se caractériser par un accès de violence assez surprenant.
Article complet sur Le Figaro
Cela monterait même jusqu’à 257% d’augmentation du nombre d’incidents dans les agences Pôle emploi d’Ile de France depuis 2011. Mais ne peut-on pas faire un lien plus crédible entre ces agressions et le nombre de radiation en hausse? Car qui dit radiation dit plus d’indemnités, ils coupent les vivres! Suivant ce que l’on peut apprendre pour le mois de juin sur Economiematin.fr:
Sur un mois, les sorties pour cessations d’inscription pour défaut d’actualisation (+0,7 %), radiations administratives* (+14,3 %) et autres cas (+3,0 %) augmentent.
Ce qui donne une augmentation de 17,3% des radiations sur l’ensemble du territoire, le nombre de radiations non-administratives (donc « autres cas ») atteint même des records, 12% pour la région Franche-Compté.
Le Pôle-emploi est une machine dont on peut douter de l’utilité si jamais on recherche un travail (ou une aide quelconque), et si la violence n’est pas une solution, elle est un des baromètres de cette société, et l’avenir s’annonce….particulièrement mouvementé!
Selon Wikipédia,le droit au travail est l’un des droits de l’homme proclamé à l’article 23 de la Déclaration des Nations unies de 1948 :
« Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. »
De même, l’article 21 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 affirme : « Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler. »
Ce droit au travail existe donc bien, mais sa portée juridique est très limitée. Par ailleurs, les difficultés économiques qui pèsent sur l’emploi en France depuis les années 1970 ont rendu ce droit encore moins effectif. Un chômeur ne pourrait guère espérer trouver un emploi en saisissant un juge sur le fondement de ce droit au travail.
Les hommes politiques, ont j’espère, retenue la leçon de la révolution Française, les hommes ne se laisserons pas mourir de faim. Selon certains sondages, les Français sont de plus en plus nombreux à recourir à des solutions de « démerdes » pour vivre et pour d’autres il reste les espoirs déçus.
Je crois même que ce droit est inscrit dans notre constitution. J’ai eu connaissance du cas d’un demandeur d’emploi qui a mené une action un peu virulente en revendiquant ce droit. Il a été trainé en justice et condamné à 6 mois de prison avec sursis, si ma mémoire ne me fait pas défaut. Le tribunal avait jugé que son action était disproportionnée car il l’avait dit un peu violemment dans une agence de PE en région parisienne, je crois.
ce serait bien que tous les demandeurs d’emploi
en colère viennent avec une pancarte avec cet article
revendiquant ce droit mais en silence, çà marquera plus et
on ne pourra rien vous reprocher.
ces « ateliers bidons » comme vous le dites, sauf erreur de ma part je crois qu’ils sont subventionnés par l’Etat…
« les hommes politiques, ont j’espere, retenue la lecon de la revolution Francaise »
Mais arretez donc avec votre revolution francaise. Comme si cette revolution etait par le peuple et pour le peuple. Qui finalement en profite de cette « revolution »? les politiques. Alors, se demander si ils ont retenu la lecon de la rf est ridicule puisqu’ils en vivent de la rf et grassement en plus…
Pôle emploi est juste l’institution qui sert d’exutoire aux différents pouvoirs. Cet organisme a été créé pour cristalliser les mécontentements pour éviter que la population s’en prenne aux véritables responsables du chômage de masse. Effectivement, il n’a aucune utilité publique sinon celle-là et celle de mettre en place les plans du MEDEF pour instituer le chômage de masse. La souffrance des demandeurs d’emploi et des employés de PE est la même. Un problème déplacé est un problème règlé, c’est la doctrine de tous les pouvoirs concernant la politique de l’emploi. Ce gouvernement et le MEDEF n’ont aucune volonté de donner du travail à nos compatriotes, c’est tout le contraire qui est recherché….
» La souffrance des demandeurs d’emploi et des employés de PE est la même. »
—>
Baratin typique d’agent du pole emploi !
La réalité, c’est que vos syndicats, n’ont JAMAIS trouvé à redire, sur les différentes mesures de flicage des chômeurs, prises au fil du temps et des différents gouvernements, de gauche comme de droite. Au contraire, ils ont toujours réclamé et réclament encore, d’avantage d’effectifs pour mieux le faire !
Nos syndicats non c’est sûr, ils roulent pour eux, pour éviter de se retrouver en agence au contact du public. Ils sont comme tous les syndicats à la botte du patron. Il n’empêche que la souffrance des employés de PE est réelle puisque tout comme france telecom, les suicides y sont nombreux et de ça on ne parle pas non plus. Je ne connais pas beaucoup de conseillers qui n’ont pas envie d’aider les demandeurs d’emploi. C’est d’ailleurs pour ça qu’ils ont été recrutés, pour leur empathie mais tout comme les demandeurs d’emploi, ils ont été bernés et souffrent et ça ce n’est pas du baratin, crois-moi !
Depuis près de 3 ans à Pôle emploi, j’ai constaté les faits suivants :
– convocation pour vous demander si vous avez trouvé quelque chose, voire tenter de vous culpabiliser de ne pas avoir trouver un poste. Aucune assistance réelle.
– les conseillers n’ont plus le temps d’accompagner les chômeurs (confidence reçue d’une conseillère)
– tentative de vous inscrire à des ateliers bidons où vous regardez les mouches au plafond, dont le contenu est indigent. Ces ateliers sont censés avoir été sollicités par le chômeur mais dans les faits on tente de vous les imposer avec un courrier. Je me suis fait avoir au 1er atelier qui a duré 4 mois pour rien mais j’ai refusé fermement le 2éme prévu cette fois-ci sur 9 mois. Je soupçonne ces ateliers de faire sortir les chômeurs des statistiques le temps du stage, ce dernier étant certainement payé très cher avec nos deniers. Après tout, personne ne sait ce qui se passe dans la base de données de Pôle emploi ( sauf les administrateurs) : on se rappellera les sorties inexpliquées imputées à un opérateur téléphonique.
Je soupçonne que beaucoup d’annonces sur le site sont des propositions bidons ou farfelues du genre un CDI pour garder un chien 2 heures par semaines ou des annonces qui traînent bizarrement longtemps.
Il faut bien admettre que face à 6 millions de chômeurs, Pôle emploi ne peut rien faire.
Pôle emploi ne sert qu’à entretenir l’illusion :
– qu’il reste de l’emploi en France
– que l’état aide les chômeurs
– qu’il suffit de chercher pour trouver un emploi.
En conclusion : Pôle emploi ne sert à rien sinon à dépenser de l’argent inutilement et entretenir l’illusion du vivier d’emplois auprès d’une population crédule.
Oui tout juste ce que tu écris.
Ben oui, c’est l’évidence même mais bon, « pôle emploi » donne déjà du travail a ses fonctionnaires, tout n’est pas mauvais dans cette combine !
Erreur, il n y a pas de fonctionnaires chez pôle emploi. Contrats privés pour la majorité et quelques contrats de contractuels de l’état. Désinformation, quand tu nous tiens…
En principe si tu cherches à écraser une abeille avec ta main elle te pique avant de mourir et ça te dissuade de recommencer…
Alors radiations… agressions…
En somme, il suffit de pousser les gens a distribuer des tartes et les statistiques s’arrangent d’elles mêmes !
L’illusion tombe, depuis toujours on nous enseigne que si l’on ne travaille pas à l’école, on aura pas de travail, ce conditionnement de quelques décennies à fait son temps.
Savez vous que pôle emploi vous propose des annonces de ménages à domicile avec l’obligation d’avoir le bac et tenue correcte exigée, c’est ça l’avenir que l’on propose au jeune bachelier ?
Le bac ne suffit plus aujourd’hui à trouver un travail car les patrons exiges d’avoir de l’expériences dans le domaine en questions.
Les métiers de l’artisanat sont désormais les métiers qui recrutent le plus, nous voilà au retour des valeurs du savoir faire ancestral. Autrefois un simple certificat d’études et un peu d’expérience sur le terrain ouvraient les portes sur n’importe quel métier, pourquoi pas aujourd’hui, a-t-on besoin de plus ?
Cette situation n’est pas l’apanage de Pôle-Emploi, elle prévaut désormais à tous les niveaux des ex-services publics (hôpitaux, énergie, communications…) et résulte de la volonté délibérée de désintégration sociale des tenants de l’ultralibéralisme : saper tous les instruments qui entravent leur croisade d’asservissement des peuples.
Elle n’est, dans le cas précis de Pôle-Emploi, que la conséquence logique d’une dynamique initiée par le pouvoir politico-économique depuis plus de dix ans, accentuant la pression sur la variable d’ajustement systémique qu’est le chômage, pour dissoudre les articles trop protecteurs du code du travail : fusion ASSEDIC/ANPE dans le cadre des impérieuses économies budgétaires, assortie d’une chasse aux fonctionnaires et de la privatisation des missions de suivi des chômeurs (se soldant par la création d’une pléthore d’officines de formation plus ou moins bidon – des études montrant que les résultats effectifs de ces dernières étaient bien en deçà de ceux des agents de l’ANPE tout en étant beaucoup plus onéreuses, l’argent public ainsi détourné n’étant pas perdu pour tout le monde) doublées d’une destruction délibérée de centaines de milliers d’emplois (vive la délocalisation et les « plans sociaux » – appellation novlangagière des plans de licenciement).
Actuellement, qu’ils en soient ou non conscients, les agents de Pôle-Emploi font office de boucliers humains (leurres et boucs émissaires désignés pour jouer le rôle de garde-chiourmes de la paix sociale) de fait entre le pouvoir et des chômeurs de plus en plus excédés. Comment est-il possible de suivre plus de 150 dossiers, de répondre aux demandes des sans-emploi, sachant que l’offre se raréfie de jour en jour et s’apparente de plus en plus à une nouvelle forme d’esclavage ?
Pour rappel, les décisions de radiation se prennent à l’échelon des directions et non des simples conseillers…
Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt
nota : étant moi-même sans emploi, j’admets qu’il m’arrive de me laisser gagner par une certaine colère difficile à maîtriser ; aussi ferais-je une suggestion aux personnels d’accueil des PE : installez des jeux de fléchettes dans les espaces d’attente et servez-vous des photos des vrais coupables pour tenir lieu de cible.
Faux !
Pole emploi n’est pas un service public comme les autres. C’est le porte voix de la propagande croissantophile. Qu’elle soit libérale, sociale, verte ou je ne sais quoi, … peu importe, ça finit toujours par le flicage des chômeurs !
Ne vous en déplaise, je maintiens ce que j’ai dit.
Quant au flicage, rassurez-vous, il est tout autant (sinon plus efficacement) assuré par la surveillance généralisée des échanges électroniques et les systèmes recourant aux cartes à puce (cartes de crédit, cartes vitales, cartes de fidélité).
Pôle Emploi : jackpot, un chômeur touche par erreur 812 millions d’euros.
http://www.legorafi.fr/2013/07/10/pole-emploi-le-chomeur-ayant-touche-par-erreur-812-millions-deuros-reste-toujours-introuvable/
Ca en fait, au moins, un de moins dans la file !
Demandeurs d’emplois hahahahahahahahahahahah
des sous hommes mendiants et heureux de servitudes.
hahahahahaahah.
Sans se rendre compte de cette idiotie ils mendient l’esclavage .
Le Gorafi, c’est pas le Figaro … Les infos sont aussi bidon, mais elles ont l’avantage d’être loufoques 🙂
Il a disparu de la circulation mais comment s’est-il arrangé pour que l’argent le suive étant donné l’énorme somme ? Les banques donnent toutes nos informations, il n’y a plus de secret bancaire … Il a bien fallut qu’il sorte l’argent de la France. Et ça aussi sans laisser de traces ? Balaise le mec !
Chômeur :
A droite = fainéant qu’on doit remettre au travail en lui coupant ses allocs, pour l’obliger à prendre le premier boulot précaire et sous payé venu !
A gauche = désœuvré qu’on doit réinsérer avec un boulot précaire et payé par l’Etat, en le menaçant de lui couper ses allocs !
Si vous voyez une différence, merci d’adresser votre candidature à Popole Emploi !
sur la musique de « ma bohème »
ça donnerai :
le chromageeeeee! ça voulait dire on travaille pas!
le chômage le chômage
les commentaires sont riches de vécu et de réalité,inutile d’en rajouter,je vais être grossier avec ces bons à rien
le casino pole emploi est truqué comme le reste du numéro des saltimbanques politicards
Un vagabond court sur les Champs-Elysées,
Il fuit la police car il n’a pas de papiers,
Enfin si, mais pas ceux qu’il faudrait,
Des flics banalisés l’ont surpris,
Quand il voulait les évités,
D’abord bien distancés,
Ils sont maintenant tout près,
Franklin D. Roosevelt se montre a lui,
Alors qu’il sentait la prison le gagner,
Le voilà par miracle à Iena,
Il meurt de chaud, encore un peu essoufflé,
Tout en avançant repensant à tout cela,
Finalement ça lui fait froid dans le dos,
Lorsqu’ils s’engouffre dans le palais de Tokyo,
Finit de cogiter, il entame une prière,
Pour sa liberté, remercie la terre,
Puis emporté ailleurs, il oublie la misère,
Laisse partir ses frayeurs, et découvre un havre de cerfs…
Et dans ce calme apaisant,
une douce voix se répand :
« Des choix il n’y en a pas que deux,
Le consensus peux mener au harem,
Tu crois à ce que tu veux,
Mais ça commence à poser un problème,
À partir du moment où tu cherches à rassembler pour imposer,
Qui sommes nous derrière ces grande idées..?
L’unité aussi divise pour mieux régner,
Et l’on se dirige parfois vers l’œdème,
Tu observes tous les mouvements de la vie,
Mais refuses de voir la mort figée,
Le désert, le sable, la nuit,
Les nappes de mémoires fractales,
Qui lévitent dans le néant,
Pour enfin ressentir la passion multilatérale,
Nécessaire au présent,
L’amour réciproque idéal,
Ou la force et le consentement,
Toutes les formes peuvent advenir,
Tu es ici pour certaines raisons,
Mais y a t il toujours une réponse pour une question?
Ce que tu glorifies ne peut s’obtenir,
Pour le meilleur et pour le pire,
Que tu l’acceptes ou non,
Qui possède l’avenir?
Qui est la première?
Qui est le premier?
Qui est dernière?
Qui est dernier? »
Il se réveille sur l’île Saint Louis, et dans ses mains il tient un papier,
Sur lequel on peut lire des choses qu’il a écrit, mais il a tout oublié…
« Hey! Petit homme, pourquoi tu m’regardes mal,
Hey! Petite femme, pourquoi tu me toises,
Ok, j’ai une sale gueule et j’ai la dalle, mais je ne suis pas tes préjugés,
Ni le masque que tu croises, pourquoi tu me donnes l’impression d’être une merde,
Alors que je ne t’ai rien demander, parfois les baffes se perdent,
Heureusement que je me pose, et prends le temps de faire la part des choses,
Parce que la violence me guette, et la bêtise aussi,
Si je devais faire la fête, vous seriez tous sous extasie,
Si je devais être un guerrier, l’univers aurait déjà explosé,
Si je devais faire l’amour, la terre se surpeuplerait,
Si je devais faire la paix, d’abord j’me bourre,
Après j’m’immole devant des caméras, et j’laisse un message : « faites comme moi »,
Ce serait ma mentalité, si je devais rivaliser ; tous vous dévaliser,
Mais ce que je dois faire, ce que je dois être, c’est d’extraire, des lettres,
Cogiter avec l’esprit critique, j’peux pas écrire tout ce qui me passe par la tête,
J’dois faire le trie et apprendre par la pratique, à quoi sert d’imprimer des kilomètres,
Si le plus important m’échappe, tout le reste passe à la trappe,
Et faire du bien aux gens, passe avant gagner de l’argent… »
Mais pourquoi ai je écris cela se dit il,
J’ai dû me laisser aller, pfff… Quel imbécile!
Au même moment un vieil homme,
Qui passait avec une bouteille de rhum,
Ce tourne vers notre personnage,
Et lui tient à peu près ce langage :
« Nous sommes originaux,
Comme l’exception qui infirme la règle,
Les cas particuliers qu’on appel anormaux,
Qu’on zap et qu’on relègue,
Aux niveaux inférieurs,
Nous même, nos frères & sœurs,
Mais ce qui nous constitue,
Dépasse les langages que nous concevons,
Remplace nos impasses par des rues,
Surpasse nos sens, notre interprétation,
Terrasse les concepts humains,
Efface nos représentations du divin,
Nous sommes dépassés et nous dépassons,
Entre les travaux et les jeux,
L’humour et le sérieux,
Sauf que sur cette planète bleue,
Sans eau nous trépassons,
Nous écrivons des tas de choses,
Sur lesquelles nous nous basons,
Mais nous sommes métamorphose,
Et le papillon n’est pas notre blason,
Car l’anthropomorphisme sert la dictature,
Ceux que l’on nomme Soleil nous caricaturent,
Pareil & différents, divers & variés,
Par le temps, nous sommes reliés & séparés,
Tu remets à plus tard ce qui devait être accompli plus tôt,
Sans le savoir tu mélanges des morceaux,
Prends garde à ce que tu fais,
Et a ce que tu es en train de manipuler,
Sans perdre le sujet,
On reconnait un arbre à ses fruits,
Oui, et toi mon cher ami, tu es un antihéros… »
À peine eut il finit de prononcer cette tirade,
Qu’il repartait déjà entre deux rasades,
Laissant perplexe le vagabond,
A son présent furibond…
Ses pensées retrouvent son papier,
Dont il relit mécaniquement,
Les derniers mots oubliés,
En fait, finalement,
Sans argent,
Pas de bon temps,
Pas d’amis, pas de vie,
Dans cette vulgaire dystopie,
L’âme vaut moins que les outils,
Pas d’eau ni de nourriture saines,
Pas de transport ni de maison,
Pas de famille ni de raison,
Autant se jeter dans la Seine,
Plutôt que d’être esclave,
Autant vendre son âme à la haine,
Plutôt que survivre dans une cave,
Alors il se tourne vers le ciel,
Et implore la paix éternelle,
Car il espère encore,
Être sans or…