Anh-Dao Traxel, accuse la famille Chirac de l’avoir adopté à des fins électorales

C’est une affaire pathétique qui touche la famille Chirac, leur fille adoptive Anh-Dao Traxel accuse son « foyer français » de l’avoir adopté à des fins électorales. Pour reprendre ses propos: « J’étais considérée comme un membre de leur famille quand Bernadette et Claude avaient besoin de moi pour amadouer la communauté asiatique ou l’opinion publique« . Nous savions que les personnalités politiques pouvaient par moment manquer de scrupules, mais certaines limites sont largement dépassées avec ce genre d’histoire…

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Pour Anh-Dao Traxel, qui raconte son histoire dans un livre, la famille Chirac s’est servie d’elle afin de s’attirer la sympathie des électeurs asiatiques.

À son arrivée en France, après avoir fui le Vietnam en 1979 alors qu’elle avait tout juste 21 ans, Anh-Dao Traxel avait été recueillie par l’ancien président français, Jacques Chirac, qui était alors maire de Paris. « Ils m’ont offert un deuxième foyer », explique-t-elle en ajoutant que Bernadette Chirac lui avait alors payé des cours de français et trouvé un emploi.

Mais les choses ont changé lorsque Jacques Chirac s’est lancé dans la course à la présidentielle. « J’ai été reléguée au second plan », déplore-t-elle en affirmant qu’elle n’en voulait pas à celui qu’elle appelle toujours « son père de coeur » mais pointant la responsabilité sur Bernadette Chirac et sa fille, Claude, qui l’ont alors évincée, comme elle le raconte aujourd’hui dans un ouvrage intitulé « Chirac: une famille pas ordinaire ».

Une blessure qui ne guérit pas
« Au fond de moi, il y a une blessure qui ne guérit pas », explique-t-elle au Parisien. « Chirac est mon père de coeur. Mais aujourd’hui, je suis coupée de lui. Ses proches font barrage, et je ne comprends pas pourquoi ». Selon Anh-Dao Traxel, aujourd’hui âgée de 56 ans, son dernier contact avec l’ancien président français remonte à 2012. À l’époque, elle l’avait croisé en rue mais n’avait pas osé le saluer et pour cause: Un an plus tôt, je les avais croisés Bernadette et lui devant chez eux, à Paris. Ce jour-là, il a fait semblant de ne pas me connaître ».

Source et article complet: 7sur7.be

Certains m’ont déjà reproché d’attaquer le couple Chirac, mais j’assume le relai de l’info et l’attaque contre ceux-ci. Surtout que « la vieille » n’est pas réputée pour être un modèle de gentillesse…

4 Commentaires

  1. Alors dans le jeu des 7 familles « j’écris un livre car j’ai eu une enfance malheureuse de parent connu » …

    Je choisi : la fille (Chirac) .

  2. en même temps, elle a fait sa vie et c’est seulement maintenant qu’elle aurait perdu sa place auprès de « papa »

    qu’elle en parle?

    vrai ou faux c’est pathétique en effet,

    « papa  » ne peut plus rien répondre et si Bernadette et sa fille l’ont traitée comme elle le dit, elle n’était pas obligée d’accepter, c’était une adulte, pas une enfant;

    ce qui n’enlève rien à la faute si elle a été commise par ces dames

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