Plus c’est gros, plus ça passe, mais lui c’est trop, et excusez-moi, mais c’est d’une autre gravité que Bichou et Bidou achetant leur téléphone portable-bis à Nice, pour jouer aux caïds de quartier. Anders Fogh Rasmussen n’est pas de ce genre.
C’est un Monsieur très bien, très propre sur lui, un grand ami de la démocratie, et il en pleurnichait hier des couplets ravissants devant l’institut Brookings, un centre de réflexion de Washington : « Il n’y a pas de moyens rapides et aisés pour tenir tête aux tyrans du monde. Parce que nos démocraties débattent, délibèrent et pèsent les choix avant de prendre des décisions. Parce que la transparence nous est chère et que nous poursuivons des choix légitimes et parce que nous utilisons la force non en priorité mais en dernier ressort ».
Que c’est beau… mais tout le problème est que ce gentil poupon est le boss de l’OTAN, la vitrine militaire de la CIA, le porte de voix de l’impérialisme US, les dirigeants de ce petit pays de 260 millions d’habitants qui veut dominer une planète de 6 milliards d’habitants. Rendez déjà ce que vous avez volé aux Indiens, et ça sera bien.
Pas de moyens rapides pour tenir tête aux tyrans… De la part de la plus grande bande de braqueurs internationaux, qui sèment la terreur et font couler le sang sur toute la planète pour contrôle du pétrole et marchés financiers : le Vietnam, l’Amérique du Sud et ces mirlitons fascistes, et puis l’Afghanistan l’Irak, la Libye, la Syrie…
A Kiev et depuis longtemps, ce gang de malfaiteurs OTAN-US-CIA a tout fait pour pourrir la situation, manipulant les groupes fascistes armés, devenus la « garde nationale » et formant les militaires au NATO Defense , pour ne connaitre qu’un ennemi : la Russie.
Pour cet homme aux mains couvertes de sang, le référendum de Crimée est « un signal d’alarme pour la communauté euro-atlantique, pour l’Otan et pour tous ceux qui sont engagés dans la défense d’une Europe entière, libre et en paix ». Une Europe « entière, libre et en paix »… à partir du moment où elle se plie aux désidératas US et aux plans crapuleux de la mère Nuland.
On ne sait plus si la Russie est un partenaire ou un « adversaire », s’est encore interrogé Anders Fogh Rasmussen.
Eh bien, il y une chose dont on est sûr : la France s’est vendue pour zéro à l’OTAN, par une décision de Sarko en 2008, que Hollande, premier secrétaire du PS avait contesté à l’assemblée nationale par une motion de censure. Depuis, cet instable maladif fait le beau à l’OTAN, ce QG de la destruction du droit des peuples.
Source lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr via les brindherbes
Bonjour,
Eux, n’ont pas de face !
Mais nous ?
Serions-nous un peu abrutis et dociles.
Ou…beaucoup ?
Re,
Il y a un truc que les ME doivent comprendre, quand 1 mouton emprunte de l’argent, s’il ne rembourse pas en temps et en heure, les huissiers débarquent.
Eux, quand ils empruntent (souvent)sans aucune intention de rembourser, ils envoient l’armée effacer le créancier, tout comme les voyous (qui ont tout compris) qui flinguent leurs créanciers.
C’est là qu’il faut comprendre que le système est 2 vitesses(schématiquement), dominant/dominé.
Bref, une meilleure copie que celle d’Athènes, où, seulement les défenseurs de la cité avaient le droit de voter et de décider(vieillards-femmes-enfants exclues) ainsi que les esclaves 10 fois plus nombreux, mais eux aussi exclus.
La démocratie est une aberration que l’on nous a fait gober depuis trop longtemps, (parce que sa pseudo-théorie permet de mieux nous endormir), elle permet de faire croire que tous les humains sont égaux.
Mais c’est faux !
Il faut bien comprendre que les humains sont divisé en groupes dominant/dominé, dont celui auquel nous appartenons, n’a aucune influence sur celui qui nous domine.
Mais en réalité, la notion d’égalité qui serait sous-jacente dans la notion de démocratie, fonctionne uniquement à l’intérieur du sous-groupe, mais pas entre les groupes.
Entre les groupes ce qui fonctionne est la notion de dominant/dominé.
Alors ?
Il n’y a rien de bon à attendre du baratin de ces « démocrates », que de l’enfumage.
Pour preuve (pour reprendre la technique d’un troll), nous pouvons voter/choisir notre maître que parmi les candidats proposés.
Exit, le référendum d’initiative populaire.
Exit, la possibilité d’introduire de nouvelles règles.