Une grande partie de la Syrie, y compris la capitale, Damas, était plongée dans l’obscurité mercredi soir, en raison d’une coupure de courant due à l’attaque d’un gazoduc par les insurgés. | REUTERS/STRINGER
Une grande partie de la Syrie, y compris Damas, la capitale, était plongée dans l’obscurité dans la soirée de mercredi 23 octobre, en raison d’une coupure de courant due à l’attaque d’un gazoduc par les insurgés.
« Une attaque terroriste contre un gazoduc qui alimente une centrale électrique dans le sud a provoqué une coupure de courant dans les provinces, et les travaux de réparation sont en cours », a expliqué le ministre de l’électricité, Emad Khamis, cité par l’agence de presse officielle SANA.
UNE BOULE DE FEU
Un journaliste de l’AFP présent à Damas a pu voir une énorme boule de feu se dégager depuis une zone près de l’aéroport international de Damas, situé à proximité de la centrale. Il a aussi confirmé la coupure de courant dans la capitale syrienne.
L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a pour sa part fait état d’une coupure de courant dans de nombreuses régions, y compris à Alep et à Homs. « Il semble que ce soit une opération de grande envergure bien planifiée », a déclaré Rami Abdel Rahmane, chef de l’OSDH. L’Observatoire a précisé que l’explosion avait été provoquée par l’artillerie rebelle, qui a touché un important gazoduc passant près de l’aéroport.
Hors sujet désolé.
Un partage en passant:
« En même temps, pourquoi se priver dans une patrie où nous consentons à notre servitude en choisissant ceux qui décident à notre place ? Quoi de plus légitime pour un dirigeant de tout mettre en œuvre pour préserver son pouvoir ! La leçon de Machiavel a bien été comprise, surtout par nos oligarques.
Ils ont promû alors l’élection comme l’outil démocratique par excellence, laissant croire ainsi qu’en sélectionnant une poignée de représentants nous participions (indirectement) au pouvoir. Ce paradoxe, qui consiste à confondre partage et délégation du pouvoir reste le plus manifeste symptôme de notre paresse citoyenne. Une paresse qui procède d’une dialectique bien spécifique : celle de la servitude volontaire. D’un coté je me crois acteur politique en choisissant mes mandataires et de l’autre je les laisse décider à ma place. Une envie de s’impliquer, mais par procuration. Un investissement, en définitive, passif qui se résume à élire des chefs dont les discours soulagent nos consciences formatées… Des consciences conditionnées dès le plus jeune âge à s’enorgueillir d’une citoyenneté spéculative paravent d’un asservissement bien concret. »
Voici un article qui concerne un pays menacé d’une guerre (atomique) il y a une poignée ….de jours
et « on » nous parle de quoi depuis sa parution:de rien
il est transparent
voyez:cette étude remonte jusque Bruxelles via n’importe qui
conclusion:….Classé ZOMBIES…on peut reprendre la sieste
C’est quoi:
le supermarché du
Diner de cons?
La sémantique manipulatoire du titre « Une attaque des rebelles » en dit long sur l’objectivité de l’auteur !
Un Attentat des terroristes »
ça le fait mieux non …
Une grande partie de la Syrie, y compris la capitale, Damas, était plongée dans l’obscurité mercredi soir, en raison d’une coupure de courant due à l’attaque d’un gazoduc par les insurgés. | REUTERS/STRINGER
Hors sujet désolé.
Un partage en passant:
« En même temps, pourquoi se priver dans une patrie où nous consentons à notre servitude en choisissant ceux qui décident à notre place ? Quoi de plus légitime pour un dirigeant de tout mettre en œuvre pour préserver son pouvoir ! La leçon de Machiavel a bien été comprise, surtout par nos oligarques.
Ils ont promû alors l’élection comme l’outil démocratique par excellence, laissant croire ainsi qu’en sélectionnant une poignée de représentants nous participions (indirectement) au pouvoir. Ce paradoxe, qui consiste à confondre partage et délégation du pouvoir reste le plus manifeste symptôme de notre paresse citoyenne. Une paresse qui procède d’une dialectique bien spécifique : celle de la servitude volontaire. D’un coté je me crois acteur politique en choisissant mes mandataires et de l’autre je les laisse décider à ma place. Une envie de s’impliquer, mais par procuration. Un investissement, en définitive, passif qui se résume à élire des chefs dont les discours soulagent nos consciences formatées… Des consciences conditionnées dès le plus jeune âge à s’enorgueillir d’une citoyenneté spéculative paravent d’un asservissement bien concret. »
Le reste ici:
http://diktacratie.com/bientot-citoyen/
slt quidam,peut etre connais tu?
http://www.youtube.com/watch?v=E3dXfgEHoB4 extrait de
http://www.youtube.com/watch?v=rczhi-yOicA
(libre de droit de diffusion ,de reproduction)
Slt Grand marabout 3.0.1 (j’aime beaucoup ton pseudo 🙂 )
Oui je connais merci. Très bonne vidéo.
A vrai dire ce texte m’y a fait pensé aussi 😉
il y a aussi un livre et un film:la société du spectacle de guy debord:
http://resistance-medias.com/2013/08/28/film-livre-la-societe-du-spectacle-73-67/
sur la même lignée,envers la consommation
Merci. Je ne connais pas, je vais regarder
1 Démonstration de plus
Voici un article qui concerne un pays menacé d’une guerre (atomique) il y a une poignée ….de jours
et « on » nous parle de quoi depuis sa parution:de rien
il est transparent
voyez:cette étude remonte jusque Bruxelles via n’importe qui
conclusion:….Classé ZOMBIES…on peut reprendre la sieste
C’est quoi:
le supermarché du
Diner de cons?
Appel au boycott, attentats etc …. tout est bon pour abattre Poutine.
Greenpeace et terroristes même combat
Attentat de Volgograd : Poutine pointe du doigt l’instrumentalisation de l’islam par des forces étrangères
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Attentat-de-Volgograd-Poutine-pointe-du-doigt-l-instrumentalisation-de-l-islam-par-des-forces-20913.html
La sémantique manipulatoire du titre « Une attaque des rebelles » en dit long sur l’objectivité de l’auteur !
Un Attentat des terroristes »
ça le fait mieux non …
Bachar al-Assad sur les méthodes et motifs de l’ingérence étrangère en Syrie
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Bachar-al-Assad-sur-les-methodes-et-motifs-de-l-ingerence-etrangere-en-Syrie-20937.html