On ne peut être plus clair, et nous pourrions même aller plus loin: et si ces élections avaient été truquées? Car reconnaissons-le, Angela Merkel ne pouvait pas perdre au nom de l’Europe qu’elle défend et du poids politique qu’elle représente dans l’Union Européenne, elle ne pouvait pas perdre pour les USA et le pacte transatlantique. Serait-ce si impossible que cela qu’il y ait eu quelques irrégularités au niveau de ces élections? Cela ne serait pas la première fois, souvenez-vous de l’élection de cet abruti-psychopathe pantin complet de Georges W. Bush, élu alors qu’il avait perdu, fallait le faire ça quand même!
Des experts russes indiquent une inadéquation partielle des élections en Allemagne par rapport aux standards électoraux du Conseil de l’Europe et de l’OSCE. De l’avis des politologues, la législation électorale de la RFA a besoin d’améliorations considérables.
A la différence des pays de l’espace postsoviétique, en RFA, il n’existe pas d’institut d’observation publique, et en conséquence, tous ceux qui ont voulu suivre le déroulement du scrutin n’ont pas pu le faire. Durant la campagne électorale, tous les candidats n’ont pas eu accès aux médias. Les débats télévisés n’ont opposé que deux candidats de deux principaux partis politiques. Sur le bulletin de vote ne figuraient que 34 des 67 partis. Et de nombreux candidats ignorent toujours les raisons pour lesquelles ils ont été rayés de la liste des bulletins de vote. La législation allemande ne prévoit pas de raisons nettement formulées empêchant un candidat de se présenter à des élections. Le financement des campagnes électorales est occulte, considère Igor Borissov, ancien membre de la Commission électorale centrale de Russie, membre du Conseil pour le développement de la société civile et les droits de l’Homme auprès du président de la Russie.
« Le système de financement des campagnes électorales des candidats et des partis n’est pas transparent. Les électeurs apprennent les sources de financement de tel ou tel autre parti seulement après la publication des comptes-rendus financiers annuels des formations politiques. Même le nouveau mouvement, créé au printemps, l’AfD (Alternative für Deutschland) ne révèle pas les sources de son financement. Il est donc assez problématique pour l’électeur de faire un choix délibéré. Quand il prend la décision, l’électeur ignore la ligne économique soutenue par un parti. »
Les experts notent également la croissance du nombre d’électeurs qui ont voté avant le scrutin par correspondance. Si en 2009 il y en avait 20 %, cette fois ils étaient déjà près de 25 %. Des moyens de vote alternatifs doivent être une exception et non une règle, considèrent les politologues russes.
Source: La voix de la Russie
Qui croit encore aux élections et au fait que le peuple a son mot à dire ?
Sourions pendant qu’on le peut encore :
– L’arme absolue du pouvoir, dans ce magnifique système démocratique, c’est le suffrage universel. C’est-à-dire quand la majorité décide pour les andouilles qu’ont le malheur d’être en moins grand nombre. Si la majorité passe son temps à regarder des feuilletons débiles en se goinfrant de chips et de pop-corn, on voit le tableau ! Pas trop difficile, dans ce cas-là, de lui faire faire ce qu’on a envie, à la majorité…
Mikhaïl W. Ramseier, Pulpa negra
-Votez aujourd’hui, regrettez-le demain.
-Votez con ! vous n’avez pas le choix.
Charlie Hebdo.
– Le fait de pouvoir élire librement des maîtres ne supprime ni les maîtres ni les esclaves.
Herbert Marcuse.
Source : http://fra.anarchopedia.org/Citations_sur_les_%C3%A9lections_et_le_sp%C3%A9ctacle
+ 100 000 Article 35 :0D
Nous pourrions également citer la Lettre d’Elisée Reclus :
« Clarens, Vaud, 26 septembre 1885.
Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit de suffrage.
Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.
Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.
Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres.
L’ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu’il était avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.
N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.
Je vous salue de tout cœur, compagnons. »
ou l’appel à la Grève du vote d’Octave Mirbeau :
« Une chose m’étonne prodigieusement — j’oserai dire qu’elle me stupéfie — c’est qu’à l’heure scientifique où j’écris, après les innombrables. expériences, après les scandales journaliers, il puisse exister encore dans notre chère France (comme ils disent à la Commission du budget) un électeur, un seul électeur, cet animal irrationnel, inorganique, hallucinant, qui consente à se déranger de ses affaires, de ses rêves ou de ses plaisirs, pour voter en faveur de quelqu’un ou de quelque chose. Quand on réfléchit un seul instant, ce surprenant phénomène n’est-il pas fait pour dérouter les philosophies les plus subtiles et confondre la raison?
Où est-il le Balzac qui nous donnera la physiologie de l’électeur moderne? Et le Charcot qui nous expliquera l’anatomie et les mentalités de cet incurable dément? Nous l’attendons.
Je comprends qu’un escroc trouve toujours des actionnaires,
la Censure des défenseurs, l’Opéra-Comique des dilettanti, le Constitutionnel des abonnés, M. Carnot des peintres qui célèbrent sa triomphale et rigide entrée dans une cité languedocienne; je comprends M. Chantavoine s’obstinant à chercher des rimes; je comprends tout. Mais qu’un député, ou un sénateur, ou un président de République, ou n’importe lequel, parmi tous les étranges farceurs qui réclament une fonction élective, quelle qu’elle soit, trouve un électeur, c’est-à-dire l’être irrêvé, le martyr improbable, qui vous nourrit de son pain, vous vêt de sa laine, vous engraisse de sa chair, vous enrichit de son argent, avec la seule perspective de recevoir, en échange de ces prodigalités, des coups de trique sur la nuque, des coups de pied au derrière, quand ce n’est pas des coups de fusil dans la poitrine, en vérité, cela dépasse les notions déjà pas mal pessimistes que je m’étais faites jusqu’ici de la sottise humaine, en général, et de la sottise française en particulier, notre chère et immortelle sottise, ô chauvin!
Il est bien entendu que je parle ici de l’électeur averti,
convaincu, de l’électeur théoricien, de celui qui s’imagine, le pauvre diable, faire acte de citoyen libre, étaler sa souveraineté, exprimer ses opinions, imposer — ô folie admirable et déconcertante — des programmes politiques et des revendications sociales; et non point de électeur « qui la connaît » et qui s’en moque, de celui qui ne voit dans « les résultats de sa toute puissance » qu’une rigolade à la charcuterie monarchiste, ou une ribote au vin républicain. Sa souveraineté à celui-là, c’est de se pocharder aux frais du suffrage universel. Il est dans le vrai, car cela seul lui importe, et il n’a cure du reste. Il sait ce qu’il fait.
Mais les autres?
Ah! oui, les autres! Les sérieux, les austères, les peuple souverain, ceux-là qui sentent une ivresse les gagner lorsqu’ils se regardent et se disent : « Je suis électeur! Rien ne se fait que par moi ».
Je suis la base de la société moderne. Par ma volonté, Floquet fait des lois auxquelles sont astreints trente-six millions d’hommes, et Baudry d’Asson aussi et Pierre Alype également. » Comment y en a-t-il encore de cet acabit? Comment, si entêtés, si orgueilleux, si paradoxaux qu’ils soient, n’ont-ils pas été, depuis longtemps, découragés et honteux de leur oeuvre? Comment peut-il arriver qu’il se rencontre quelque part, même dans le fond des landes perdues de la Bretagne, même dans les inaccessibles cavernes des Cévennes et des Pyrénées, un bonhomme assez stupide, assez déraisonnable, assez aveugle à ce qui se voit, assez sourd à ce qui se dit, pour voter bleu, blanc ou rouge, sans que rien l’y oblige, sans qu’on le paye ou sans qu’on le soûle?
À quel sentiment baroque, à quelle mystérieuse suggestion
peut bien obéir ce bipède pensant, doué d’une volonté, à ce
qu’on prétend, et qui s’en va, fier de son droit, assuré qu’il accomplit un devoir, déposer dans une boîte électorale quelconque, un quelconque bulletin, peu importe le nom qu’il ait écrit dessus?… Qu’est-ce qu’il doit bien se dire, en dedans de soi, qui justifie ou seulement qui explique cet acte extravagant? Qu’est ce qu’il espère? Car enfin, pour consentir à se donner des maîtres avides qui le grugent et qui l’assomment, il faut qu’il se dise et qu’il espère quelque chose d’extraordinaire que nous ne soupçonnons pas. Il faut que, par de puissantes déviations cérébrales, les idées de député correspondent en lui à des idées de science, de justice, de dévouement, de travail et de probité; il faut que dans les noms seuls de Barbe et de Baïhaut, non moins que dans ceux de Rouvier et de Wilson, il découvre une magie spéciale et qu’il voie, au travers d’un mirage, fleurir et s’épanouir dans Vergoin et dans Hubbard des promesses de bonheur futur et de soulagement immédiat. Et c’est cela qui est véritablement effrayant. Rien ne lui sert de leçon, ni les comédies les plus burlesques, ni les plus sinistres tragédies.
Voilà pourtant de longs siècles que le monde dure, que les
sociétés se déroulent et se succèdent, pareilles les unes aux autres, qu’un fait unique domine toutes les histoires : la protection aux grands, l’écrasement aux petits. Il ne peut arriver à comprendre qu’il n’a qu’une raison d’être historique, c’est de payer pour un tas de choses dont il ne jouira jamais, et de mourir pour des combinaisons politiques qui ne le regardent point.
Que lui importe que ce soit Pierre ou Jean qui lui demande
son argent et qui lui prenne la vie, puisqu’il est obligé de se dépouiller de l’un, et de donner l’autre? Eh bien! non. Entre ses voleurs et ses bourreaux, il a des préférences, et il vote pour les plus rapaces et les plus féroces. Il a voté hier, il votera demain, il votera toujours. Les montons vont à l’abattoir. Ils ne se disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui les mangera.
Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons,
l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des Révolutions pour conquérir ce droit.
Ô bon électeur, inexprimable imbécile, pauvre hère, si, au lieu de se laisser prendre aux rengaines absurdes que te débitent, chaque matin, pour un sou, les journaux grands ou petits, bleus ou noirs, blancs ou rouges, et qui sont payés pour avoir ta peau; si, au lieu de croire aux chimériques flatteries dont on caresse ta vanité, dont on entoure ta lamentable souveraineté en guenilles, si, au lieu de t’arrêter, éternel badaud, devant les lourdes duperies des programmes; si tu lisais parfois, au coin de ton feu, Schopenhauer et Max Nordau, deux philosophes qui en savent long sur tes maîtres et sur toi, peut-être apprendrais-tu des choses étonnantes et utiles. Peut-être aussi, après les avoir lus, serais-tu moins empressé à revêtir ton air grave et ta belle redingote, à courir ensuite vers les urnes homicides où, quelque nom que tu mettes, tu mets d’avance le nom de ton plus mortel ennemi. Ils te diraient, en connaisseurs d’humanité, que la politique est un abominable mensonge, que tout y est à l’envers du bon sens, de la justice et du droit, et que tu n’as rien à y voir, toi dont le compte est réglé au grand livre des destinées humaines.
Rêve après cela, si tu veux, des paradis de lumières et de parfums, des fraternités impossibles, des bonheurs irréels. C’est bon de rêver, et cela calme la souffrance. Mais ne mêle jamais l’homme à ton rêve, car là où est l’homme, là est la douleur, la haine et le meurtre. Surtout, souviens-toi que l’homme qui sollicite tes suffrages est, de ce fait, un malhonnête homme, parce qu’en échange de la situation et de la fortune où tu le pousses, il te promet un tas de choses merveilleuses qu’il ne te donnera pas et qu’il n’est pas, d’ailleurs, en son pouvoir de te donner.
L’homme que tu élèves ne représente ni ta misère, ni tes aspirations, ni rien de toi ; il ne représente que ses propres passions et ses propres intérêts, lesquels sont contraires aux tiens. Pour te réconforter et ranimer des espérances qui seraient vite déçues, ne va pas t’imaginer que le spectacle navrant auquel tu assistes aujourd’hui est particulier à une époque ou à un régime, et que cela passera. Toutes les époques se valent, et aussi tous les régimes, c’est-à-dire qu’ils ne valent rien. Donc, rentre chez toi, bonhomme, et fais la grève du suffrage universel. Tu n’as rien à perdre, je t’en réponds; et cela pourra t’amuser quelque temps. Sur le seuil de ta porte, fermée aux quémandeurs d’aumônes politiques, tu regarderas défiler la bagarre, en fumant silencieusement ta pipe.
Et s’il existe, en un endroit ignoré, un honnête homme
capable de te gouverner et de t’aimer, ne le regrette pas. Il serait trop jaloux de sa dignité pour se mêler à la lutte fangeuse des partis, trop fier pour tenir de toi un mandat que tu n’accordes jamais qu’à l’audace cynique, à l’insulte et au mensonge.
Je te l’ai dit, bonhomme, rentre chez toi et fais la grève.
1898″
Élisée Reclus.
La majorité ne passe son temps à regarder QUE des feuilletons débiles, il regarde aussi les 3 ou 4 candidats que les grandes chaînes de télévision veulent lui imposer.
La majorité ne vote pas pour un programme ou des idées mais pour un parti politique, ou contre un autre ou pour celui qui a une bonne tête.
Le vote blanc n’est toujours pas reconnu (en France). Ainsi quand les résultats donnent 26% des voix pour le candidat A, 24% des voix pour le candidat B et 50% de votes blancs, on retient le candidat A alors que la majorité (la démocratie) déclare ouvertement ne vouloir aucun des deux candidats.
A ceux qui ne cesse de crier « on s’est battu pour obtenir le droit de vote », je leur répond que moi et ceux de ma « jeune » génération n’étaient pas là pour ce battre et je constate que cette même génération ne combat pas pour faire valoir leurs droits bafoués.
De plus, et là je ne parle pas uniquement de ma génération, si l’on s’est effectivement battu, ce n’était pas pour obtenir le droit de vote (le droit d’ouvrir sa gueule) mais pour que ce vote soit entendu. Faire passer un candidat alors que la majorité a voté contre, faire voter un traiter européen alors que le peuple a refusé cette mesure à 51% des voix, ce n’est pas de la démocratie et ce n’est pas pour ça que « nous » nous sommes battus.
Il est vrai que cette réélection fait bien les affaires de certains intérêts… Mais on peut y voir aussi une réponse russe aux « réserves » émises par d’autres (les mêmes ?) au sujet de l’élection de Poutine ?
Poutine est quand même très apprécié . Merkel pas du tout hormis par les riches . faut pas oublier qu’en Allemagne près de la moitié des gens crèvent la dalle a être payer un euro de l’heure . je doute que ces gens la l’aime. Et a la limite je préfère un poutine qui triche.
Quelqu’un sait quel était le taux de participation à cette élection?
Environ 70 %.
Désolé mais pour l’instant tu trouve le taux des voix 41,5% des voix mais comme toujours même sur german.ruvr.ru tu ne trouve pas le nombre de votant ni le nombre d’électeurs enregistrés.
Ils cachent le taux d’abstention.
Thierry92 : Sans doute as-tu raison. Mes sources ne sont pas assez alternatives pour être honnêtes. 🙂
Il y a une forte baisse de participation, surtout chez ceux qui ne croient plus à grand-chose.
http://www.blogapares.com/allemagne-misere-video/
« Ils cachent le taux d’abstention ». Pas pour longtemps je pense, et quand il sortira, ils diront non pas x% d’abstention mais x% de fainéants qui n’ont pas pris la peine d’aller voter (c’est la réaction générale des Français quand sortent les résultats). Et ça ne tiens toujours pas compte des votes blancs. On préfèrera, comptabiliser les abstentions que les votes blancs.
70%, 41%… quelqu’un sait de quoi on parle précisément ?
Ces pourcentages correspondent à quoi : population totale, population en âge de voter, population inscrite sur les listes d’électeurs, population étant aller voter, population ayant voté « non blanc » ?
De toute façon, le monde entier parle de l’Allemagne et tout le monde (ou presque) fait son apologie. Les Allemands doivent certainement se sentir confiants et valorisés par toute cette médiatisation. La situation politico-économique à travers la planète tiens en partie du bon déroulement des négociations de l’Allemagne avec le reste du monde. La chancelière sortante dirige un bon nombre des discussions avec une main de fer et sait imposer une bonne partie de ses décisions. J’imagine mal les Allemands faire un choix différent pour le prochain mandat d’autant que le choix semble très limité à partir du moment ou seuls 2 candidats sont massivement médiatisés.
C’est l’hôpital qui se moque de la charité !!
il y avait des « machines » à voter ?? si oui ! c’est mort !!
Moi, citoyen français, je mets en doute la transparence des élections françaises.
Qu’est qu’on peut en avoir à foutre que des pseudos russes experts de je ne sais quoi, mettent en doute des élections allemandes….
« Nan mais allo quoi! »
vous inquiétez pas le 3 eme Reich est en marche .préparez vous a apprendre a marcher au pas de l’oie .
Ils n’attendent pas plutôt la mise en place du IV ème ???
Toutes les élections sont au mieux orientées par la propagande constante des serveurs de soupe des merdias au pire clairement truquées.
Quant on voit ce que regarde comme abrutissement (télé réalité, foot, émission purement publicitaire et propagandistes, série d’une nullité affligeante) une grande partie de la population il n’y a pas à forcer pour leur faire croire n’importe quoi.
Et même avec ça l’abstention est de loin le premier « parti » d’Europe.
Hé oui ! Culpabiliser les « mauvais citoyens » qui ne vont pas voter…
La mort de la démocratie élective.
C’est la porte ouverte à toutes les peurs…
Votez !
Ou faîtes la Grève du vote pour réclamer le tirage au sort.
Mais faîtes le savoir…
Sinon, le « parti » de l’abstention, ce sont des pécheurs à la ligne => de mauvais citoyens…