Disparition des abeilles : le cri d’alarme des apiculteurs

LP/JEAN-MARC NAVARRO

Et si les abeilles disparaissaient… L’hypothèse conduit les apiculteurs à pousser un véritable cri d’alarme. Selon eux, l’abeille est en danger de mort.

Des causes multiples. D’abord le frelon asiatique, cette grosse guêpe d’Asie du sud-est et qui décime les ruches. Le ministère de l’Agriculture vient de le déclarer «espèce nuisible».

Mais il faudrait que le ministère de l’Ecologie en fasse de même pour que les préfets puissent prendre des arrêtés permettant d’intervenir sur les propriétés privées afin de détruire les nids. Les OGM ensuite. Si les cultures sont pour le moment encore interdites en France, de nombreux miels d’importation en contiennent, produits avec des plantes modifiées qui n’ont fait l’objet d’aucune étude d’impact sanitaire sur l’homme. Troisième cause à l’origine de l’hécatombe, et non des moindres : les pesticides.

La France championne d’Europe des pesticides. «Avec une consommation de 70 000 à 120 000 tonnes par an, la France se classe premier pays utilisateur européen», s’insurge Henri Clément, le porte-parole de l’Unaf (Union nationale de l’apiculture française). Et le troisième mondial après les Etats-Unis et le Japon. «A terme, toute la biodiversité de notre pays est en cause, avertit Olivier Belval, président de l’Unaf. Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll vient de lancer un plan de défense de l’apiculture. Mais il est loin d’être suffisant pour contrer l’immense danger qui menace. En participant à la pollinisation, les abeilles contribuent la pluralité des organismes vivants. D’un côté, le ministre affiche l’ambition d’installer 200 à 300 apiculteurs professionnels par an. Mais de l’autre, il annonce vouloir attendre la décision de l’Union européenne pour éventuellement interdire une famille d’insecticides particulièrement nocifs sur le marché français (les néonicotinoïdes, ndlr). Pourquoi attendre ? De nombreuses études ont démontré leur dangerosité. La moitié des colonies en France a déjà été décimée depuis la mise sur le marché de ces produits. Nous courons le risque de voir à terme de nombreuses espèces végétales disparaître de façon définitive.»

Les abeilles indispensables à la biodiversité. Car si les abeilles ont besoin des plantes pour se nourrir et produire leur miel, les plantes, et donc derrière les producteurs, d’arbres fruitiers par exemple, ont besoin des abeilles pour le processus de pollinisation. Petit rappel de science nat’ : la pollinisation, c’est le processus de transport d’un grain de pollen depuis l’étamine (organe mâle d’une plante) vers les stigmates (organe femelle, de cette même plante ou d’une autre plante de la même espèce). Or le transport se fait dans 80 % des cas… par les abeilles. Sans abeille, pas de pollinisation. Sans pollinisation, pas de reproduction des plantes. Adieu le miel donc, mais adieu également le blé du pain, les fruits ou les légumes…

Certains pays obligés de polliniser à la main. «Le problème est mondial, reprend Henri Clément. Dans certaines provinces de la Chine, les abeilles ont pratiquement disparu. La pollinisation des arbres fruitiers se fait désormais à la main.» Une partie du «miel» fabriqué là-bas serait coupé avec du faux miel, fabriqué sans abeilles, à base de sucre et de maïs. Certes la France n’en est pas encore là. Mais sa production a été divisée par deux depuis la mise sur le marché de certains produits, passant de 32 000 tonnes dans les années 90, à moins de 16 000 tonnes l’année dernière.

Les chiffres

16 000 tonnes, la production de miel en 2012, soit la plus faible jamais enregistrée (elle était de 33 000 tonnes en 1995)

26 000 tonnes, la quantité importé en 2012 (contre 6 000 tonnes en 1995)

60 000, le nombre d’apiculteurs en France (selon les estimations). Ils étaient 85 000 en 1995. Après une importante érosion, leur nombre tend à remonter

1,25 millions, le nombre de ruches dans tout le pays

117 millions, le chiffre d’affaires du secteur en euros, auxquels s’ajoutent 27 millions d’euros (30 %) en productions annexes (pollen, produits dérivés…)

3 Mds d’€, le chiffre d’affaire réalisé grâce à la pollinisation des abeilles

26 000 tonnes de miel produit en France chaque année

4,5 euros, le prix moyen du kilo de miel chez le producteur

Source: Le Parisien

37 Commentaires

  1. j’entends beaucoup parler , à juste titre, des produits chimiques, ou autres saloperies genre gaucho, cruiser etc…et les chemtrails, ils y seraient pas pour BEAUCOUP ?…

    • Il y a les pesticides, mais aussi la monoculture : en montagne ou en ville (sans déconner), la diversité des plantes garantit aux abeilles une alimentation et une récolte étalée sur une longue période et sans pesticides. Mais quand elles sont entourées de champs de maïs (ou autre monoculture intensive), non seulement elles ont les pesticides, mais en plus la période de floraison est beaucoup plus courte.

      • Et les pratiques des apiculteurs??ne pourraient on pas en parler? c’est à l’identique que dans l’élévage ovins et bovins sans compter les produits chimiques pour soi-disants eradiquer le Varroa, les types de ruches dites productives , dites ruches à cadres avec ‘don’ de cire chimiques et j’en passe…
        je suis apiculteur naturel…30 ruches…je n’ai pas de cadres dans mes PETITES ruches (warré), je ne donne pas de cire, elles la construisent elles-memes (besoin impérieux pour leur cycle naturel) -soi dit en passant, le fait de leur donner des cirés pré alveolées est une grosse MERDE consumeriste..ces préalveoles sont 1mm plus grandes que les alveoles naturelles.Pourquoi? pour avoir plus de rendements..-…Pas de produits chimiques dans mes ruches, j’ai du varroa mais mes petites gerent depuis des années et j’en ai de moins en moins voire plus du tout dans certaines de mes ruches..le frelon? elles gerent merveilleusement bien…Certains frelons sont choppés par une trentaine d’abeilles et chauffent à 43°C..Certraines meurent et le frelon meure a coup sur, je les voit faire..Je n’ouvre jamais mes ruches, condition indispensable pour ne pas casser un eco-systeme fragile tous les deux jours..mes ruches sont en foret.
        Bilan=> je n’ai pas de pertes..AUCUNE depuis 5 ans.
        Les apiculteurs devraient balayer devant leurs portes avant tout. Simplement, il faut QUE CA RAPPORTE..Si cela rapporte pas assez c’est de la faute de quelqu’un…FORCEMENT.
        QUI MIEUX QUE L’ABEILLE SAIT CE QUI EST BON POUR ELLE..l’homme croit que c’est lui avec son complexe de superiorité…Bouffon qu’il est..
        Les abeilles en ont raz le jabot de vos gueules…j’ai rarement vu des etres aussi intelligents, beaucoup plus doué que l’homme moderne..notez que leurs alveoles sont construites au NOMBRE D’OR!!!!!!!!!!
        L’apiculture ne devrait pas etre professionnel..C’est dit.
        Le rapport au fric detruit tout..
        L’agriculture moderne est une GROSSE MERDE tout autant que l’apiculture moderne avec ses grosses ruches à cadres..
        Les abeilles en ont raz le jabot, elles se cassent…

        • ben putain (pardon Benji)!!! là tu m’épates…tu soulèves un drôle de lièvre…t’es dans quel coin ?

          • Bretagne.
            Et pour info, pour respecter le cycle naturel des mes petites, je ne recolte que 10 kg tous les 2 ANS…AHH ca peut choquer..mais c’est ainsi..j’ai un roulement de 2-3 ans pour recolter sur mes ruches..C’est la clef pour laisser l’abeille et son essaim evoluer lentement en harmonie avec son environnement..Demandez aux apiculteurs ce qu’ils donnent a leurs abeilles pour hiverner..la majorité vont vous dire du sucre..donc de la MERDE…ne pas s’etonner des maladies et autres morts hivernales…ils prennent un max de miel et leur redonnent du sucre pour l’hiver…le seul miel acceptable est le miel toute fleurs recolté en Septembre/Octobre, récolté avec parcimonie et si doute il y a , leur laisser tout leur tresor..De plus,Le miel monofloral dit de printemps est une GAJEURE..ce miel est indispensable pour les abeilles car il contient toute la pharmacopée et autres oligoelements pour survivre..il faut leur laisser mais personne ne le fait..Alors ne pas s’etonner….L’apiculture moderne est un cache misere de merde..Qu’ils ne viennent pas pleurer, ils se comportent comme les agriculteurs modernes.

            • Salut Slaine !

              Je suis entrain de créer un début de maraîchage en permaculture… avec bcp de fleurs et associations !

              Je prévois d’acheter une ruche que je n’aimerais pas exploiter… juste leurs donner une vie meilleure et une vie meilleure à mes futures tomates, melons, pastèques, courges, etc….

              Aurais-tu des conseils à me partager ?

              Merci d’avance :-)¨

              Z.

          • et je tiens a signaler que les grosses ruches a cadres ont été inventé pour l’homme, pas pour l’abeille..pour sa commodité personnelle..
            Donc il y a deja ERREUR.
            L’homme se sert et utilise les autres etres vivants comme bon lui semble.
            Bilan=> il est temps de payer, il y a de la monnaie a rendre et la nature commence a s’en charger..Enfin , il serait temps, dirais-je……

            • Les scandales sont en continue pour nos amis les animaux….
              Reçu aujourd’hui:
              Le scandale des macaques destinés à l’expérimentation animale (Camarles , Espagne): Nouvelle investigation d’Animal Equality
              Photos : http://www.flickr.com/photos/igualdadanimal/sets/72157629665857555/show/

              · Site Internet : http://www.experimentationanimale.org/
              [1] Base de données de l’Accord sur le Commerce International d’Espèces Menacées de la Faune et la Flore Silvestre. Consulté le 9 février 2013

              [2] Investigation au sein de Covance, Münster (Allemagne), réalisée par BUAV: http://www.buav.org/our-campaigns/primate-campaign/buav-primate-trade-investigations/poisoning-for-profit

              [3] Investigation au sein de Covance, Vienne, Virginie (États-Unis), réalisée par PETA :

              http://www.peta.org/features/covance-incs-cruel-animal-experimentation.aspx/

              [4] Rapport sur les statistiques d’animaux utilisés pour l’expérimentation et d’autres fins scientifiques, 2010, Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et de l’Environnement :

              http://www.magrama.gob.es/es/ganaderia/temas/produccion-y-mercados-ganaderos/Espa%C3%B1a_2010_tcm7-198562.pdf

              • C’est une torture qui manquait à leur palmarès, voilà un oubli réparé!
                Bande de tarés!

                http://www.internationalnews.fr/article-33420684.html

                Les joyeuses fêtes espagnoles :

                JANVIER :
                Manganèses Polvorosa (Castilla/Leon) : Une Chèvre vivante est jetée du haut du clocher de
                l’église.

                FÉVRIER :
                Villanueva de la Vera (Extramadura) : Monté par le villageois le plus gros et le plus lourd, l’Ane
                traverse la ville en titubant sous les coups assenés par la foule hystérique, jusqu’à ce qu’il tombe.
                On lui allume alors des pétards dans les oreilles et on le matraque violemment.
                Robledo de Chavella (Madrid) : Des Écureuils, des Pigeons, des Chiots et des Chatons enfermés
                dans des pots d’argile sont suspendus à des poteaux. Les jeunes gens lancent contre eux de
                grosses pierres pour briser et blesser ou tuer les Animaux avant qu’ils ne s’écrasent sur le sol.

                MARS :
                Salas de los Infantes (Castilla/Leon) : Poulets et Dindons sont tués à coups de bâtons par des
                jeunes aux yeux bandés, au milieu des hurlements de la foule surexcitée.

                AVRIL :
                Tordesillas (Castilla/Leon) : Persécution d’un Taureau par une centaine d’hommes à Cheval qui le
                lardent de coups de lance. Un prix (Lanza de Oro) est remis par le maire de la ville à celui qui, sitôt le
                Taureau à terre, lui coupe à vif les testicules.

                MAI :
                Benavente (Zamora) : Plusieurs Taureaux sont lentement étranglés au milieu des huées par une
                corde attachée à leur cou et tirée par 300 hommes.

                JUIN :
                Coria (Caceres) : La foule poursuit des Taureaux à travers les rues en leur lançant des
                fléchettes et en visant les yeux. Lorsque les Animaux s’effondrent, blessés, lacérés aveuglés, ils
                sont châtrés, mutilés et poignardés à mort. Les participants s’enduisent du sang des Taureaux dont
                ils exhibent les testicules à travers la ville.

                JUILLET :
                Pozuelo (Avila) : A minuit, de jeunes Espagnols chassent des Taureaux à travers les rues de la ville.
                Lorsqu’ils atteignent l’arène, ils les battent jusqu’à l’épuisement total.
                Dénia (Alicante) : Des jeunes, munis de bâtons, dirigent les Taureaux vers les plages où ils les
                martyrisent et les battent.
                Carpio del Tajo (Castilla-La Mancha) : Des cavaliers s’efforcent d’arracher au passage, la tête des
                Oies vivantes attachées à une corde tendue à travers la place du marché.

                AOÛT :
                Torrelavaga (Cantabria) : Un Porc enduit de graisse est poursuivi à travers les rues de la ville par
                une foule qui se jette sur lui. L’Animal finit par mourir, écrasé sous le poids des poursuivants.
                San Sébastian de la Reyes (Madrid) : Des nains torturent et mutilent des Taurillons pendant des
                heures pour «divertir les enfants» : Lorsque les Animaux lardés de coups de poignards tombent et
                agonisent, les nains dansent sur leurs flancs pour le plus grand plaisir des bambins.

                SEPTEMBRE :
                Ciruelas, Cifuentes (Madrid) : De jeunes Vaches sont poursuivies en tracteurs jusqu’à
                l’écrasement délibéré.
                Peincîa (Vizcaya) : Des Canards sont jetés à la mer et poursuivis par des nageurs (qui les
                démembrent vivants). Ces nageurs sont la plupart du temps des enfants.
                Lequeito (Vizcaya) : Des Oies sont suspendues par une patte à une corde tendue entre les mâts
                de deux bateaux.Des barques naviguent entre ces derniers et leurs passagers s’amusent à arracher
                la tête des Oies vivantes.
                Puebla de Fanais (Valencia) : «El Toro del Puego» Les cornes des Taureaux sont enduites de
                goudron et enveloppées de linges imbibés de pétrole puis enflammées. Tous les habitants les
                frappent au passage et leur lancent des briques et des bouteilles du haut des balcons. Ils meurent
                lentement, dans d’atroces souffrances.
                Algete (Madrid) : À la fin des corridas d’amateurs, on coupe à vif les testicules des Taureaux
                épuisés tombés à terre, mais encore bien vivants.
                Candas (Asturias) : Les Taureaux sont martyrisés sur les plages. S’ils ne se noient pas, ils sont
                achevés à coups de couteaux.
                Budias (Giiadalajara) : La foule charcute les Taureaux à coups de lance ou les bat à l’aide de
                poteaux. LesAnimaux, dont les pattes sont cassées, doivent souvent être abattus.

                OCTOBRE :
                Fuenlabrade (Madrid) : Quatre Animaux sont tués chaque jour, aussi bien des Taureaux que des
                Vaches. Poignardés, lacérés par la foule tout au long de la journée sous un soleil brûlant, des tiges
                acérées enfoncées dans tous leurs orifices, les Animaux se vident lentement de leur sang.

                NOVEMBRE :
                Igea (La Rioja) : On brise les membres à de jeunes Veaux puis on les jette dans le vide, du haut
                d’une plate-forme.
                Salas de los Infantes (Burgos) : De jeunes Coqs sont pendus par les pattes et battus à mort.
                Cette activité a encore lieu bien qu’elle soit interdite par les autorités. La dernière fois qu’elle fut
                organisée, la ville fut frappée d’une amende.

                DÉCEMBRE :
                . Notilla del Palancar (Cuenca) : Au cours d’un des spectacles de cette fête, des Poules sont
                lapidées à mort.
                ET SUR TOUT LE TERRITOIRE DE L’ESPAGNE,
                TOUTE L’ANNEE : LES CORRIDAS
                VIVA ESPAGNA (A VOMIR)

            • je faisais pareil !!
              non seulement y’a les pesticides , le frelon mais y’a les propriétaires qui retirent tout pour ensuite leur donner du sucre trafiqué a l’hiver ! apres ils s’etonnent que les ruches crèvent !! que les abeilles n’ont plus de defenses !!

        • +1
          Je partage.
          Je suis aussi en Warré, néanmoins à l’observation la pression de l’asiatique est intense … et je suis parfois assaillie par le doute.
          Mais « La diligente abeille n’a pas de temps pour la tristesse. » alors nous non plus. 🙂

          • Hello Natacha!!

            Tes ruches, elles sont dans ton jardin?
            Je pense que tu avais dit ne jamais les ouvrir et que tout se passait bien.
            Qu’as tu autour de chez toi? Des forets, des cultures, des prés?
            Je pense à en mettre une dans mon jardin…

            • Bidule : Les ruches sont dans le jardin. Il y a des bois, des prairies, des forêts autour de chez nous … et aussi des champs cultivés de merdes pas loin.
              Je le répète, je partage complètement le point de vue de Slaine, avec les mêmes résultats et un miel toutes fleurs … Le meilleur !
              C’est un émerveillement sans cesse renouvelé !
              Aujourd’hui, elles butinaient dur 😉

        • Bonjour,

          Vous parlez de « complexe de supériorité », et malheureusement, c’est bien le cas de la majorité des humains et sinon de tous les apiculteurs. En effet, les apiculteurs s’approprient le travail des abeilles, leur volent leur miel… Sans compter le décapitage de tête du mâle lors de l’insémination, de la coupe des ailes de la reine et des nombreuses abeilles mortes.
          Je vois pas comment on peut les respecter en faisant de l’apiculture vu que c’est l’apiculteur qui décide des droits et devoirs de l’abeille.

          Je préfère conseiller de manger bio ou de faire des ruches de sauvegarde pour les abeilles sauvages.

          Enfin, l’élevage d’abeilles domestiques nuit à la biodiversité.
          http://www.vegactu.com/sante-2/3-raisons-de-ne-pas-manger-de-miel-1248/

          Quant aux scandales pour les animaux, ça se passe tous les jours dans les élevages et abattoirs en plus des labos, des cirques, des zoos, centres équestres…
          Les campagnes de la BUAV me font sourire quand je sais que cette organisation autorise pour son label, des tests sur tissus animaux et sur animaux dont on ne connaît pas la sensibilité.

          Devenez vegan si vous voulez aider les animaux ;), on change le monde en commençant par changer soi-même.

          • Salut Vegan !

            Est-ce qu’il existe à qqpart dans le monde des animaux tués sans souffrances pour être mangés ensuite ?

            Je dis cela parceque je suis convaincu que nous mangeons ce que les animaux ont ressentis avant leur « magnifique » fin de vie….

            ABE
            A+
            Z.

          • Au faite merci !
            Je ne connaissais pas ce mot : http://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9ganisme

            Encore une question bête: Même si on ne sait pas si c’est l’oeuf ou la poulette qui est apparu en 1er, que ce passe-t-il si on ne ramasse pas les oeufs ?

            Ils pourrissent ?

            Elles les mangent ?

    • A propos des abeilles, quelqu’un peut-il me dire à qui il faut signaler les nids de frelon??

      Et faut-il les signaler pour les détruire ou pas?
      Si ce ne sont pas des asiatiques, il n’ y a pas de raison de les détruire je présume mais comment le savoir?

  2. Les ondes ne sont ils pas aussi un facteur ? (antenne mobile, wifi, …)

  3. *** ALORS, ENCORE UN TRUC GÉNIAL!
    Moi, je pensais que, vu le problème que posent les frelons asiatiques, il existait un organisme (pompiers ou autre) qui était chargé de les détruire gratuitement!

    QUE NENNI !!
    En général, pour faire détruire un nid de frelons qui est dans un bois par exemple, il faut payer!!!

    S’il est chez votre voisin et que celui-ci ne veut pas payer pour le faire détruire, ou bien vous payez à sa place ou bien vous vivez avec le nid près de chez-vous!
    Voilà comment ça fonctionne:

    « Une entreprise privée prend entre 85 et 150 € et les pompiers se déplacent pour environ 80€ à condition qu’aucune entreprise privée soit disponible. Ils n’interviennent gratuitement qu’en cas d’urgence, c’est-à-dire sur le domaine public si les frelons menacent le public, ou dans un lieu privé s’ils le rendent inhabitable. »

    • exact, j’ai appris cela il y a peu, c’est encore une preuve que nous sommes gouvernés par des merdes, et le mot est faible.

      laisser détruire la nature, pour cela ils sont tres fort!

      tout est fait en dépit du bon sens.

  4. p’etre un truc..du vrai,

    ré-enchantons la terre,doublé d’une jeune artiste,qui je l’espere ne se fais pas enflez par qui vous savez..

    http://youtu.be/M5uyjYzSHPw

    http://www.dailymotion.com/video/xnbki7_birdy-people-help-the-people_music

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