La Chine a réalisé des constructions d’agglomérations dans le monde entier, même au Groenland. Des images satellitaires étonnantes montrent les villes fantômes chinoises.
Pourquoi avoir construit des villes pour des personnes qui n’y ont jamais aménagé ? Si ces villes fantômes sont destinées à être habitées par des millions de gens, pourquoi les construire dans des endroits déserts à travers le monde, y compris au milieu de l’Angola et de l’Afrique ?
Voir le diaporama: la Chine mystérieux «villes fantômes»Le Daily Mail, au Royaume-Uni, a publié un article sur les villes fantômes chinoises, qui ont été construites à l’intérieur des terres, souvent dans des zones inhabitées et désolées. Si toute ces constructions étaient réalisées pour des raisons strictement commerciales, n’aurait-on pas préféré la magnifique côte angolaise, endroit de villégiature autrement plus agréable que ces régions éloignée?
Publique China International Trust & Investment Corporation (CITIC) a construit une ville en Angola et l’a appelé « la Nouvelle Cité de Kilamba ». Selon Louise Redvers, de la BBC, c’est un agglomérat résidentiel de 750 immeubles de huit étages, une douzaine d’écoles et plus de 100 magasins !
Des images satellitaires étonnantes montrent certaines de ces villes « fantômes ».
Il se pourrait que la chine construise des «villes refuge» dans ce qu’ils considèrent comme des lieux sûrs, après un cataclysme (déplacement des pôles, effondrement de plaques, montée rapide des océans…) ? Peut-être que la Chine sait quelque chose de ce que l’avenir nous réserve, et a déjà pris les mesures qui s’imposent.
Même si la raison d’être de ces villes n’est pas expliquée par la Chine, Google ne montre pas seulement des complexes de logements, mais les villes entières ! Les images montrent des villes tentaculaires, où les routes sont étrangement vides, dans des régions reculées de la Chine. Des bâtiments élaborés et des espaces publics déserts, à l’exception de quelques véhicules du gouvernement près des bureaux des autorités. Selon certaines estimations, le nombre de logements vides seraient de l’ordre de 64 millions.
Il y aurait une probalitité d’élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 pieds, de Hangzhou, au sud, le long de la côte du Vietnam. Il est intéressant de noter qu’aucune des villes fantômes n’est située dans la zone sud de la Chine, où la côte risque de s’enfoncer dans le cadre du naufrage de la plaque tectonique indonésienne.Hangzhou est sur une ligne de rupture, la plaque eurasienne est tiré vers le bas, sous la plaque indo-australienne. Il s’agit d’une ligne active au niveau de la création des gouffres ces derniers temps, à partir du point où l’Himalaya pousse vers la Chine, aussi loin qu’au sud des provinces du Guangxi et du Guangdong, qui sont situées le long des côtes, dans les régions actives.Ces villes fantômes évitent la « ceinture des gouffres », qui s’étend de l’Est de Himalaya à la côte, et représente une bande de terre qui s’incline, tirée vers le bas. Des villes fantômes sont également en cours de construction dans les terres, à l’écart de ce qui va être inondé après l’éventuelle catastrophe, dans les provinces éloignées de l’Inde […]
Alors quel est le but de ces villes fantômes, construites dans les terres, et non dans les zones côtières? Est-ce que la Chine envisage de délocaliser ses citoyens des côtes, ainsi que des provinces du sud et de l’ouest, près de l’Inde?
Tirez vos propres conclusions !
Il me semble avoir lu quelque part que la ville construite en Angola l’a été en échange de juteux contrats dans le pays : ils devaient créer des logements pour avoir l’autorisation d’exploiter les ressources… mais ces logements sont trop chers à l’achat pour les gens qui devaient y loger.
Le prix pour que personne ne puisse acheter.
C’est visiblement des abris de retrait d’urgence,je ne vois pas autre chose ?
L’Angola fait effectivement l’objet d’échanges ressources contre logements trop chers
Les constructions plus impressionnantes encore de centaines de milliers de logements au nord de gangzhou ( pôle industriel électrique et électronique ) situé au sud proche de l’océan viennent contredire cette thèse
En ce qui concerne l’Angola, si ils sont malins ils profiteront de l’éclatement de la bulle immobilière pour racheter les logements à vil prix ou les nationaliser en même temps que les ressources. Je vois mal la Chine déclarer la guerre à un pays africain alors qu’elle serait en pleine tourmente financière 🙂
la vérité est plus terre à terre : la Chine doit son essort économique à ses grands travaux, à l’exemple des Etats Unis et de l’Allemagne dans les années 30 pour relancer l’économie.
Le problème est que les Chinois misaient sur le commerce extérieur pour prendre le relais et ainsi ils pourraient stopper ces travaux.
Leur balance commerciale est plombée par les taux de change, le coût des matières premières ainsique la baisse de la demande pour cause de crise économique.
La dessus ajoutez une bulle immobilière qui fait que les investisseurs chinois tendent à se détourner de l’industrie au profit de la spéculation et vous avez l’explication.
La Chine se voit aujourd’hui contrainte de continuer ces grands travaux, quitte à ce que ces villes soient vides, faute de quoi le chateau de cartes s’effondre.
Je pense que cela va arriver et que ça n’est qu’une question de temps.
En tout cas si cela se produit la Chine devar faire face à de gros boulversement politiques.
Cette politique à commencéen 1989, tout le monde se souvient des évènements de Tian’anmen.
On nous a présenté ça comme une exigence de démocratie.
La vérité est que la Chine avait entamé la libéralisation de son économie qui a provoqué une forte inflation et c’est contre cela que les étudiants manifestaient prinicipalement.
Il dénonçaient également la corruption et le népotisme, en fait ils entrevoyaient ce que la Chine est devenue.
Bravo vous avez parfaitement résumé la situation !!!!
Effectivement ça n’a strictement rien a voir avec une possibilité de catastrophe naturelle.
En général, c’est une histoire de gros sous. Et un état officiellement en butte à des problèmes de corruption à tous les étages n’est pas en mesure de préparer les infrastructures nécessaires à la gestion d’une catastrophe naturelle majeure, vu la perte de leadership du gouvernement central …
ça ce tiens.
Je confirme complètement l’analyse de Nevenoe. Un ami français vivant à Pékin me résumait la situation en comparant l’économie chinoise à un train chargé à bloc avalant une pente redoutable. Si le train s’arrête au milieu de la pente il redescend et c’est le crash, il est donc condamné à grimper sans fin et cela jusqu’à ce que le carburant soit disponible pour alimenter la machine. Le carburant c’est le commerce extérieur, si celui ci ralentit;
c’est la catastrophe en chine.
Et puis moins de 8,5 % de croissance ça ne marche plus et la Chine vient juste de passer sous les 8,5 …
Le minimum est 10 et l’idéal 12 % : ils en sont très loin.
Ca va faire encore plus mal.
Une bulle immobilière à l’espagnole ? Ca promet une belle gueule de bois …
La crise espagnole en video (6 minutes)
http://www.youtube.com/watch?v=S6eTuKRKDrw
slt tout le monde, moi je pense perso que ils investissent leur dollars, les pays africains les utilisent encore, quand il dévaluera, ils auront des immeubles à la place et repartir sur du neuf en cas de crise.
mieux vaut ça que tout perdre!
ils ont acheté tellement de bons au trésor en dollars que en cas de chute des états unis ils partent avec, des villes c’est plus facile a refourguer que des dettes