USA : L’Etat du Wyoming vote le projet de Loi « Apocalypse »

L’apocalypse a été votée par des hommes, assez dingue non?

Cet État limitrophe au Montana, autrefois peuplé par de nombreux groupes amérindiens est situé au nord-ouest dans les Grandes Plaines. Il est aujourd’hui l’État le moins peuplé des USA et aussi le mieux géré d’Amérique du Nord. Son législateur républicain, David Miller vient d’introduire le projet de loi numéro 85: « Apocalypse ». Ceci pour préparer ses concitoyens à l’effondrement complet de l’économie et de la structure sociale américaines.
Une BAD (Base Autonome Durable) de 253 000 km2.
Waw, de quoi faire rêver les lecteurs de Piero San Giorgio !
David Miller a déclaré au Star-Tribune que :

« Les choses peuvent se dérouler rapidement, regardez la Libye, jetez un œil à l’Égypte, observez bien ces situations ».

« Nous n’aurions pas le temps de se rencontrer en tant que législateur ou même lors d’une session extraordinaire pour apporter une réponse à un tel événement. »
Bill Miller cherche à créer une force intérieure autonome de « continuité du gouvernement » qui consiste à protéger et préserver la population du Wyoming de potentielles catastrophes nationales ou internationales. Un volet spécifique du projet de loi prévoit que l’État se penchera sur la possibilité d’émettre sa propre monnaie dans le cas où le dollar américain s’effondrerait totalement.
Il a précisé que :
« Si nous continuons sur cette voie, notre société va se retrouver avec une monnaie sans valeur ».
Six autres États ont tenté un effort similaire de création monétaire de « sauvetage » ces dernières années, et aucun projet n’a abouti. Alors que le projet de loi de Miller peut sembler un peu extrême, de véritables inquiétudes pèsent sur la dévaluation catastrophique du dollar américain ces dernières années.
En 2011, le FMI prédit que l’économie chinoise dépassera celle de États-Unis dans cinq ans
Point N°6 : La défense armée
Le 2 mars dernier, le républicain Kermit Brown a proposé un amendement qui a été approuvé sur la possibilité pour le Wyoming de créer sa propre force militaire et d’acquérir des avions de combat afin de protéger son territoire dans le cas d’un effondrement total du gouvernement fédéral.
Une loi parfaitement en accord avec le point N°6 du livre « Survivre à l’effondrement économique » de Piero San Giorgio…
Miller affirme que sa priorité est le Wyoming en disant que : 

« Je ne représente pas les gens de l’Illinois ou du New Jersey, je représente la population du Wyoming. Et je veux qu’ils soient protégés contre tous les événements catastrophiques qui peuvent assaillir le reste du pays.

Les américains savent désormais où établir leur base autonome durable…

Savourez cette vidéo et vous comprendrez pourquoi David Miller tient tant à protéger cette contrée magnifique !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=dqfsorHUd2M#![/youtube]
Source: Gold-up

 

30 Commentaires

  1. Vu qu’ils ont tricotés le scénario ça ne m’étonne pas ton article…

  2. GUERRE ILLÉGALE EN LIBYE
    La procédure de destitution d’OBAMA est lancée

    Le 3 Juin 2011, la Chambre des Représentants avait adopté une résolution demandant au président de fournir une explication au peuple américain sur l’attaque de la Libye par les forces de l’OTAN. Obama avait alors affiché son total mépris pour le droit et la Constitution américaine en niant la nécessité d’obtenir l’autorisation du Congrès pour engager les Etats-Unis dans une intervention militaire en Libye, en ces termes : « Je n’ai même pas à me poser la question constitutionnelle. »
    Incapable d’obtenir après coup l’approbation du Congrès pour cette participation militaire, Obama a essayé de masquer son échec à en envoyant une lettre au président de la Chambre, John Boehner, dans laquelle il considère que l’assaut militaire aurait été « autorisé par le Conseil de sécurité des Nations Unies. »

    En élevant l’autorité des pouvoirs internationaux et des instances supranationales et au-dessus de la branche législative de son pays, Panetta et Obama avaient ainsi ouvertement déclaré qu’ils n’agissaient plus en représentants du peuple américain mais comme des exécutants d’une dictature mondiale qui a usurpé la souveraineté des États-Unis.

    Lors de la dernière audience de la Commission de la défense du Sénat, le 7 mars 2012, le secrétaire à la Défense Léon Panetta et le chef d’état-major, le général Dempsey, ont effrontément admis que leur autorité ne vient pas de la Constitution des États-Unis, mais que les Etats-Unis sont au service de l’Organisation des Nations Unies et de l’OTAN, auprès desquels ils prennent leurs ordres, même si le peuple américain n’a aucun contrôle démocratique sur ces organismes internationaux

    Lors de cette session, le sénateur Jeff a interpellé Léon Panetta : « Nous passons notre temps à nous inquiéter de l’ONU, de la Ligue arabe, de l’OTAN et trop peu de temps, à mon avis, à nous soucier des représentants élus des États-Unis. Allez-vous à l’avenir consulter le Congrès des États-Unis ?  »

    Le secrétaire à la Défense a répondu : « Vous savez, notre objectif serait d’obtenir les permissions internationales (ndlr : d’attaquer des états souverains). Et puis, nous viendrons au Congrès vous informer et déterminer la meilleure façon d’obtenir – ou non – les permissions du Congrès que nous voulons. »

    Cette affirmation du secrétaire à la Défense selon laquelle l’Organisation des Nations Unies et l’OTAN auraient l’autorité suprême sur les actions de l’armée des États-Unis a amené le député Walter Jones à présenter la résolution suivante :

    112e CONGRES, 2ème Session – H. CON. RES. 107
    Exprimant le sentiment du Congrès selon lequel l’utilisation de la force militaire offensive par un président sans autorisation préalable et claire d’une loi du Congrès constitue un délit et un crime passible de destitution, en vertu de l’article II, section 4 de la Constitution.

    LA CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS, le 7 mars 2012
    M. JONES a présenté la résolution suivante concurrente qui a été renvoyée à la commission juridique

    Résolution simultanée

    Exprimant le sentiment du Congrès que l’utilisation de la force militaire offensive par un président sans autorisation préalable et claire d’une loi du Congrès constitue un crime passible de destitution et un délit en vertu de l’article II, section 4 de la Constitution.

    Alors que la pierre angulaire de la République consacre la compétence exclusive du Congrès à déclarer la guerre conformément à l’article I, section 8, l’article 11 de la Constitution : Maintenant, donc, que soit résolu par la Chambre des représentants (et concordante au Sénat), que c’est le sens du Congrès qui, sauf en cas de réponse à une attaque réelle ou imminente contre le territoire des États-Unis, l’usage de la force militaire offensive par un président sans l’accord préalable et sans une autorisation claire d’une loi du Congrès viole le pouvoir exclusif du Congrès de déclarer la guerre conformément à l’article I, section 8, l’article 11 de la Constitution et constitue donc un délit et un crime passible de destitution en vertu de l’article II, section 4 de la Constitution.

    http://www.decapactu.com/spip/article.php3?id_article=666

  3. autre source pour le lancement de la procédure de destitution d’Obama !
    http://www.solidariteetprogres.org/Un-membre-du-Congres-americain-menace-Obama-de-destitution_08674

  4. Question de droit et de laïcité
    Le drapeau européen serait-il illégal, selon le Droit… européen ?

    http://www.decapactu.com/spip/article.php3?id_article=538

  5. La finance mondiale : Le modèle Shylock
    Par Adrian Salbuchi*
    Une séance de remue-méninges grecque doit certainement sonner à peu près comme ceci : Défaut ! Dégradation ! Echange d’obligation ! Faillite de la BCE ! Des mesures d’austérité ! Les Recettes du FMI ! Des émeutes ! L’Euro qui s’effondre ! Payez !…
    Quelqu’un peut-il donner un sens à tout cela ??
    Essayons … Parce que c’est une question qui consiste à relier les points … correctement !
    Tout d’abord, les “crises” des dettes souveraines explosent, puis s’effondrent pour finalement “ressusciter” en plus grand et en plus gros selon un modèle : appelons-le « Le modèle Shylock » en référence au méprisable usurier de William Shakespeare.
    Dans “Le Marchand de Venise” Shylock prêtait de l’argent à Antonio, un marchand vénitien, en exigeant qu’il signe un engagement de mise en gage d’une livre de sa chair comme garantie …
    Les modèles sont ordonnés par des représentations cohérentes et séquentielles des systèmes complexes. Comme une feuille de route, les modèles peuvent nous guider du point « A » au point « B » de sorte que nous ne nous égarons pas. Lorsque vous comprenez comment un modèle fonctionne, le système complexe qu’il représente devient prévisible.
    Une comédie d’erreurs
    Dans mon article sur la Grèce du 23 Février pour Russia Today, j’ai souligné que les crises de dettes souveraines ne sont pas le résultat de la malchance, du pire des jugements ou d’une coïncidence. Depuis plus d’un quart de siècle, nous avons vu le même spectacle mis en scène, encore et encore, avec peu de variation. Grèce, Argentine, Espagne, Italie, Portugal, Brésil, Mexique, Irlande, Islande, Russie, Tigres asiatiques … tous auraient “bêtement” trop emprunté aux banquiers privés seulement avant de « découvrir » qu’ils ne pouvaient pas les rembourser.
    Symétriquement, le même groupe de puissantes méga-banques mondiales aurait trop prêté à ces pays avant de « découvrir » qu’ils ne pouvaient pas récupérer ces prêts.
    Une comédie d’erreurs dans lequel les gouvernements et les banquiers sont soit très stupides ou bien… Ne se feraient-ils pas discrètement des clins d’œil, les uns aux autres, pour se tailler la chair, kilo après kilo ?
    S’il vous plaît, quelqu’un peut-il nettoyer nos sales draps…
    Les banquiers et les politiciens font étranges compagnons de lit. Invariablement, de leurs comédies d’erreurs ils n’obtiennent que du linge sale. Lorsque cela se produit, les banquiers savent qu’ils ne peuvent pas aller frapper aux portes des palais présidentiels sans que les ministres des finances et les parlements ne crient « Payez, ou débrouillez-vous ! »
    Les farces de la « démocratie » et de la « souveraineté nationale » doivent être maintenues coûte que coûte. C’est à ce moment que les “organismes publics multilatéraux” contrôlés par les banquiers entrent sur scène – le FMI, la BCE, la Banque mondiale !
    Voilà ce que ça donne (Silence, on tourne) :
    « Après tout, la Grèce, vous êtes un membre de la BCE de sorte que vous devez obéir à leurs ordres ! »(même ceux écrits en allemand).
    « Et vous, l’Argentine, vous êtes un membre du FMI alors arrêtez de gémir et faites vos devoirs ! »
    Docteur, j’ai de la fièvre …
    Tels de modernes sorciers guérisseurs de la finance, les analystes du marché et les agences de notation nous disent pourquoi les marchés boursiers montent et descendent comme la fièvre d’un patient. Les devises partent à la hausse, puis les devises retombent, comme dans un casino ou comme des montagnes russes ; les taux obligataires des dettes souveraines passent dans la catégorie supérieure puis plongent vers la dégradation, selon le bon vouloir des Pied Pipers, de Standards & Poors, de Fitch, de Moody, du Financial Times et du Wall Street Journal … Et ces oracles qui font la pluie et le beau temps sont payés par les méga-banquiers.
    Peu importe que ce qu’ils annoncent relève de la vérité révélée. Alors, que dire, si en 2008 ils ont surévalué AIG, Lehman Brothers, Merrill Lynch, Fannie Mae notés “AA”, voire “AAA” juste avant qu’ils ne sombrent dans le néant ?
    En parfaite synchronisation, ils dégradent la Grèce et l’Argentine, l’Espagne et l’Italie, l’Irlande et l’Islande, les forçant à payer des intérêts plus élevés pour ces méga-banquiers.
    Je veux mon obligation !
    Lorsque Shylock l’usurier se préparait à couper une livre de chair plus proche du coeur d’Antonio, il répète comme un perroquet “je veux mon obligation !” en agitant son contrat légal, formellement exécutoire en vertu des lois de Venise.
    Vous ne comprendrez jamais l’état d’esprit d’un usurier si vous croyez que Shylock aurait prêté de l’argent à Antonio afin de le récupérer. Oh, non ! Shylock n’a misé que sur l’éventualité de ne PAS le récupérer !
    Vous, riches, voyez comme ces créanciers souverains qui ne peuvent pas rembourser leurs prêts chantent une douce musique aux oreilles des banquiers ! A quoi sert un créancier souverain qui peut et qui va effectivement rembourser un prêt ? Cela sape l’essence même de l’usure ! Il déjoue le parasitisme forcé des banquiers usuriers d’avoir à travailler pour trouver de nouvelles victimes de prêter tout cet argent pour …
    Jésus ! Vous ne vous attendiez tout de même pas à voir un banquier travailler !?!?
    Un banquier d’affaires prospère sur le refinancement de la dette, il l’amasse année après année, de façon exponentielle grâce à la bulle des intérêts accumulés…
    Quand un pays ne peut pas payer ses dettes, nos Banksters, modernes Shylock, réclament leur « livre de chair » : c’est le contrôle total du pays, transformé en une colonie financière des Maîtres du Pouvoir Mondial, qui imposent leurs frères de la Commission trilatérale dans les postes clés du pouvoir : Papademos, Monti, Cavallo, Geithner …
    Récupérer ses 3.000 ducats n’a jamais été l’objectif de Shylock. Non, Monsieur ! Il voulait seulement sa livre de chair. Le prêt et l’obligation étaient tout simplement le mécanisme pour arriver à cette chair. Le modèle de Shylock consistait à endetter légalement Antonio en vertu des lois de Venise, de sorte que ces lois seraient alors appliquées, peu importe l’indignation due à l’immoralité de l’exécution de la garantie : une livre de chair.
    Le pire cauchemar des banquiers !
    Quelle est la pire chose qui puisse arriver à Goldman Sachs, JP Morgan, Rockefeller et Rothschild qui gèrent le modèle Shylock ? Si un pays souverain – Argentine, Grèce, Espagne, Brésil, Italie – se retournait pour dire : « Hé ! Combien avez-vous dit que je vous devait ? 200 000 000 000 ? Pas de panique ! Venez chercher votre chèque lundi matin … »
    Si cela se produisait, les banquiers seraient confrontés à deux problèmes très graves :
    Problème Un (un incident technique) :
    Où trouver un autre troupeau de moutons à qui imposer 200 milliards de dettes inutiles – voire fictives – en dollars et à intérêts usuraires ?
    Problème Deux (un attelage politique) :
    Ils perdraient le contrôle de la Grèce, ou de l’Argentine, de l’Espagne, de l’Irlande ou de l’Italie juste au moment où ils avaient pris le contrôle de leurs ressources et de leurs gouvernements ; le spectacle doit donc continuer parce que si un gouvernement venait à faire quelque chose d’aussi « stupide », que de devenir souverain, ce que tous les banquiers auraient à faire serait de crier « Non, non ! Rappelez-vous : vous nous devez des Zillions de ’dettes souveraines’ que vous ne pouvez pas rembourser. »
    « Si vous faites quelque chose d’aussi stupide que de passer en priorité les intérêts de votre peuple nationaux, nous vous rayons de la carte financière mondiale, nos médias du monde entier vont vous détruire ; nous allons vous envoyer les dégradations de S & P et Fitch ! »
    « Attention : nous pouvons littéralement mettre le feu à votre pays ! »
    Oui, quand un pays ne doit finalement rien aux banquiers, c’est là que ce pays est vraiment libre ! Ne vous méprenez pas : la vraie souveraineté nationale, l’indépendance et la liberté sont les plus grands ennemis des maîtres mondiaux des puissances d’argent.
    Le système financier mondial actuel fonctionne selon “Le modèle Shylock” : il devra faire de grands efforts pour se tailler une livre de chair …
    Tous les bons médecins savent qu’établir un bon diagnostic est le préalable indispensable à toute guérison.
    http://www.decapactu.com/spip/article.php3?id_article=665

    • Nous vivons une ère, pendant le dernier siècle, une gouvernance de la crise, par la crise et pour la crise depuis l’avènement du capitalisme sauvage et de plus en plus prédateur.
      Les mécanismes qui mènent aux grandes guerres sont relativement simple car ils se basent sur un schéma, une succession de situation tragique :
      Crise (arnaque) financière -> Ponction Argent Public -> Tension Sociale -> Colère Populaire -> él(R)ection Oligarchique d’extrémiste ou de personne qui se radicalise -> Tension entre Nation -> Guerre Mondiale.
      Crise de 1907 (la panique des banquiers)-> Première guerre mondiale
      Crise de 1929 (la Grande Dépression)-> Deuxième guerre mondiale
      Crise de 2008 (la crise de Subprime)-> Troisième guerre mondiale (pas sûr, grâce à internet)
      Pour dire NON à la Troisième guerre mondiale il est impérative de dire NON à l’él(R)ection Oligarchique pour dire NON à la Colère Populaire pour dire NON aux Tensions  Sociales pour dire NON aux Ponctions de l’Argent Public et enfin pour dire PLUS JAMAIS aux Crises (arnaques) financières.
      S’il y a eu la 1er et 2eme guerre mondiale c’est parce que les gens n’avaient pas INTERNET autrement dit une autre source d’information, une source alternative à la propagande mensongère qui ont embringué des millions et des millions de personnes. Les gens ont suivis le premier connard bonimenteur qui se montrait à eux. Les allemands qui ont voté pour Hitler avaient voté pour des belles promesses de pleine emploi, de croissance et de prospérité certainement pas pour la guerre.
      Qui veut les guerres, ce sont les élites.
      Qui fait la guerre, c’est le peuple sur des mensonges.
      Le chômeurs quand il est trop nombreux et il est tentant pour une élite de le transformer en chair à canon et ainsi de se débarrasser de lui.
      Nous sommes tous de la future chair à canon en puissance pour nos chères élites dégénérées, immoraux et amorales.

  6. pourquoi et comment saborder le prochain vote

    est-ce une bonne idée?
    explications avec ce lien:

    http://www.micheldogna.fr/

  7. En voilà qui ont des élus locaux lucides et responsables. Ca fait envie …

  8. Il est malin, voila comment on exploite la peur, il veux devenir le roi d’un petit état car il ne peut être celui de l’ensemble.

    • Ah bon?? Et comment fait-on quand on veut être prévoyant sans être taxé de manipulateur intéressé? Tu m’expliques? C un peu facile, de toujours voir des complots partout ! Stop !
       
      Tu ne crois pas qu’il y a des raisons et d’être inquiet et de prendre des mesures?
      Il te faut quoi? La chute d’une météorite sur ta maison?

  9. Faudrait peut-être sérieusement penser à voter un projet de loi « Apocalypse » en France aussi!! :umbrella: Question de se mettre à l’abri!

  10. Bien d’accord avec toi!!

  11. Quel que soit la réalité future des prévisions de ce gouverneur, je trouve que nous ne pouvons que le féliciter de l’attention qu’il porte à l’état qui lui est confié; Si on avait les mêmes à la maison, on ne serait peut-être pas entrain de nous demander s’il faut voter ou pas !

  12. Hello,

    Wyoming, l’état où se situe Yellowstone, serait-ce un hasard ?

  13. Bonjour, Eagle !
    Oupsss ! Excellente remarque ! Je regarde de temps en temps les activités volcaniques et l’on parlait l’année passée du réveil du magma sous ce super volcan.
    Qu’en pense le spécialiste ?

    • Hello Delaude,

      Il n’y a rien de très alarmant chez ce vieux grincheux, il tousse toujours de temps à autre, ainsi qu’un petit accès de fier sporadique. Aussi quelques soupirs et pas encore de râle annonciateur de la fin … du monde.
      Ceci-dit, sa voisine, San Andreas, vient régulièrement lui donner un coup de pied au popotin, histoire de le sortir de son état léthargique. Comme l’ours qui hiberne, il lui en faut bien plus, pour le réveiller.

      • C’est pas plutôt du côté de l’Oregon, qu’il y a gonflement des poches magmatiques depuis quelques années ? Rien d’alarmant, mais bon.

        • Hello Maverick,

          Tu m’aurait dit l’Idaho, à la rigueur, mais l’Oregon c’est plutôt la façade Pacific et la continuité de la faille de San Andreas vers le nord et ses fractionnements divers.

  14. Si l’état du Wyoming veut véritablement se protéger et assurer sa survie qu’il commence déjà par virer le gouvernement fédéral qui l’a transformé en quelques décennies en l’une des plus grosses concentration de Minuteman du pays. Contrairement à une idée reçue et largement répendue, en cas d’attaque nucléaire, les premières cibles ne seraient pas les villes mais les armes nucléaires elles mêmes.
    Si j’étais américain et si l’impensable devait se produire j’aimerais être n’importe où sauf à Cheyenne!
    Pour ceux qui veulent aller plus loin dans la question je leur recommande ce docu-fiction remarquable et toujours d’actualité tourné dans les années 80 car tout y est dit: FIRST STRIKE
    http://www.youtube.com/watch?v=jlPEBROvR9w
     

  15. La question est pertinente mais je ne vois pas trop l’intérêt de faire pêter seul des bombes EMP dans la haute atmosphère aux seules fins de neutraliser les communications de ceux qui se trouvent en dessous! Ces bombes n’ont de finalité que par rapport à une attaque thermo-nucléaire…
    Une chose est sûr elles font partie des scenarios d’attaque ou de représaille de nos militaires. Les séries TV « the day after » et Jericho » l’illustrent très bien…. 

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