Et combien font semblant de l’ignorer? Ca coûte le minimum et ça rapporte le maximum…. :no:
La marque de lingerie Victoria’s Secret espérait se donner une image militante en lançant en 2007 une ligne de produits équitables fabriqués en Afrique, « Burkina fashion ». Raté ! Une vaste enquête menée par le journaliste de Bloomberg, Cam Simpson, révèle que la célèbre « marque aux Anges » fait travailler des enfants dans des champs de coton africains pourtant certifiés bio et équitables. Le journaliste raconte ainsi le quotidien de Clarisse Kambire, 13 ans, exploitée dans l’un des champs de coton burkinabés qui fournissent Victoria’s Secret. Battue par ses employeurs lorsqu’elle ne travaille pas assez rapidement, la jeune fille décrit un quotidien de souffrances pour récolter le coton qui servira à fabriquer « ces culottes zébrées, vendues 8,50 $ dans la boutique Victoria’s Secret de la Water Tower Place de Chicago ».
Ce n’est évidemment pas une exception : de nombreuses marques emploient dans leurs usines des enfants. Mais la découverte de Cam Simpson dénonce surtout le processus de contrôle de Fairtrade International, l’organisme certificateur du commerce équitable. L’organisation a publié un communiqué sur son site Internet, en réponse à l’article de Bloomberg. Déplorant les découvertes de l’enquête, l’organisation affirme qu’« aucun système de certification ne peut garantir à 100 % qu’il n’y a pas de travail des enfants ».
La marque américaine, elle, a réagi en répliquant que ses standards interdisent formellement le travail d’enfants et qu’elle « était en ferme négociation avec les personnes concernées pour examiner cette affaire de près. »
Source: Bigbrowser.blog.leMonde
Nevenoë18 novembre 2011 à 20 h 28 min
j’imagine que c’est toujours à hurler de rire.
Attention, cette information est fausse ! je connais personnellement un des encadreurs du programme « coton bio » incriminé ici, qui cherchent en ce moment à contrecarrer cette fausse information.
les enquêteurs se sont fait passer pour des gens voulantr apporter de l’aide aux producteurs de coton, ce qui a biaisé leurs informations. Vers Gaoua, les champs dans lesquels des enfants « ouvriers en location » ont été identifiés, ne sont PAS des champs appartenants aux producteurs certifiés. il s »agit d’une grossière erreur qui discrédite ce programme « bio-équitable », qui rappelons le tente de démontrer qu’au Burkina Faso, on a pas besoin du coton OGM. a moins que se ne soit pas une erreur, et bel et bien une opération de communication piour DISCREDITER le coton bio….. ce qui arrangerait bien Monsanto.
Roland Hammel
Ecocentre Bobo-Dioulaso
Bobo-Dioulasso
Burkina Faso
rhammel@snvworld.org
Fut un temps où plein de grandes surfaces ont été épinglées sur ce sujet..
Par exemple les tapis fabriqués en Inde par les enfants, En 2003, St Macloud ne faisait pas confiance
au « label » et envoyait ses négociants sur place.
On connait l’histoire des ballons de foot, des « baskets », et autres articles de sport….
Lis ce PDF, en espérant que la situation pour ces enfants ait changé depuis…..
Esclavage
Dans certains pays, le travail des enfants frise
l’esclavage. Dans les briqueteries du Bangladesh,
par exemple, ils travaillent jusqu’à douze heures
par jour dès leur plus jeune âge. Peu rémunérés,
ils aident leurs parents à racheter leur dette au
patron.
Des enfants sont exploités pour fabriquer les
chaussures de sport de marques très
populaires…
Où ? En Chine, en Indonésie et au Vietnam. Les
compagnies qui emploie des enfants refusent
l’inspection de ses manufactures par des enquêteurs
indépendants. Le salaire des Vietnamiennes qui
travaillent chez une des plus célèbres compagnies de
chaussures de sport est d’environ 2 $ par jour. Au
Vietnam, il en coûte au moins 2,10$ par jour pour trois
petits repas. Cette compagnie vaut plusieurs milliards
de dollars et paie des célébrités du sport plus de 20
millions de dollars pour annoncer ses produits.
Enfants vendus
En Allemagne, 300 000 enfants de travailleurs
immigrés d’origine turque sont les victimes d’une
exploitation inacceptable. Âgés de 9 à 14 ans, ils
sont littéralement vendus à des employeurs turcs
qui eux-mêmes les font travailler soit aux halles,
soit dans les hôtels ou dans les entreprises de
nettoyage de bureaux. Les plus jeunes doivent se
contenter d’une rémunération sous forme de
nourriture.
VOIR LE PDF
Ben oui…c’est pas étonnant venant des humains, si???
Moi ça ne m’étonne pas .. y a du fric à faire, alors tout est permis!!!
mais, vous ne lisez pas les commentaires ou quoi ? je vous informe du biais de l’enquête et des intérêts cachés de ce discrédit lancé sur le bio et l’équitable;;;;
OUPS sorry RAHAN je n’avais effectivement pas lu ton com!!!
Et bien tant mieux si cet article est faux…et mon com s’applique dès lors à ceux qui essaient de discréditer le bio qui ne valent pas mieux que ceux qui font travailler des gosses comme des esclaves ….
Ce n’est ni la première, ni la dernière fois qu’on essaie de discréditer le bio et le commerce équitable!!
MERCI POUR L’INFO j’espère qu’elle est exacte…