Mister Barroso, éminent margoulin européen, considère que tous les pays d’Europe devraient avoir l’euro, considérant que ceux qui n’ont pas encore l’euro empêchent les autres d’avancer, oui mais vers quoi? Vers le mur fatidique d’un krach financier? Non, vers une Europe unie dans laquelle chaque pays aura abandonné sa souveraineté nationale pour permettre à la grande institution de diriger les finances des pays concernés, une dictature financière qui porte le nom de « mise sous tutelle économique ».
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso estime qu’à terme « tous les pays de l’Union européenne devraient avoir l’euro comme monnaie ». Il a par ailleurs mis en garde contre les coûts économiques d’éventuelles scissions au sein de la zone euro.
« Appartenir à l’euro ou s’employer à y appartenir devrait définir l’UE », a-t-il souligné mercredi soir lors d’un discours prononcé à Berlin. Le Portugais a lancé un appel aux pays récalcitrants à plus d’intégration européenne, à ne pas freiner ceux qui veulent avancer dans cette voie.
« Il doit y avoir, et d’ailleurs il y a, des garde-fous pour ceux qui ne veulent pas participer au mouvement. Mais c’est une chose de ne pas participer et une toute autre chose d’empêcher les autres d’avancer », a-t-il ajouté.
« Une Union (européenne) divisée ne marchera pas », a encore dit M. Barroso, reconnaissant que le « défi (était): comment approfondir l’intégration de la zone euro sans créer de divisions avec ceux qui n’y sont pas encore (…) Il ne saurait y avoir paix et prospérité au Nord et à l’Ouest s’il n’y a pas paix et prospérité au Sud et à l’Est ».
Englué dans la crise
Face aux problèmes de la zone euro engluée dans une crise de la dette qui s’amplifie de jour en jour, certains pays, Allemagne en tête, veulent modifier les traités européens pour aller vers plus d’intégration et notamment des mécanismes plus coercitifs de contrôle des finances publiques des uns et des autres.Ces projets sont vus d’un mauvais oeil par certains membres de l’Union européenne hors de la zone euro, notamment le Royaume-Uni, viscéralement opposé à une plus profonde intégration européenne. Mais les traités européens concernent les 27 pays de l’UE, et d’éventuels changements devraient être approuvés par tous.
« L’UE dans son ensemble et la zone euro vont ensemble et ne doivent pas être divisés », a martelé M. Barroso. Une fois passée la crise actuelle, « notre objectif ne doit pas être de restaurer le statu quo ante mais d’avancer vers quelque chose de nouveau, et de meilleur », a dit M. Barroso.
Source: romandie.com
a quand un sniper « fou » qui leur fasse la peau à ces baltringues??
Barroso, van serpillière et autres merkozi…
je veux bien cotiser pour un tueur a gage si il faut!! (je ne serais sûrement pas le seul)
BARROSO ne cache pas sa
BARROSO ne cache pas toujours ses intentions:
Soit ils pillent les classes moyennes, soit c’est la faillite
mercredi 16 juin 2010
du 16 au 19 juin 2010 :
Jason Groves a écrit un grand papier dans le Daily Mail où il rapporte que Baroso commence à se poser des questions graves d’existentialisme face à des apocalypses politiques qui peuvent se déclencher en Grèce, Portugal et Espagne face à un système financier devenu exsangue :
« Democracy could ‘collapse’ in Greece, Spain and Portugal unless urgent action is taken to tackle the debt crisis, the head of the European Commission has warned. In an extraordinary briefing to trade union chiefs last week, Commission President Jose Manuel Barroso set out an ‘apocalyptic’ vision in which crisis-hit countries in southern Europe could fall victim to military coups or popular uprisings as interest rates soar and public services collapse because their governments run out of money ».
Et c’est aussi mon sentiment pour la France, que seule l’armée pourra sauver quand le système financier (distributeurs vides) finira par exploser.
Car ce jour là, je n’aimerais pas être banquier.
Trois années ne passeront pas avant que le système s’écroule, et il est déjà en train de s’écrouler par pans entiers.
« The stark warning came as it emerged that EU chiefs have begun work on an emergency bailout package for Spain which is likely to run into hundreds of billions of pounds … Mr Monks … said : ‘I had a discussion with Barroso last Friday about what can be done for Greece, Spain, Portugal and the rest and his message was blunt : “Look, if they do not carry out these austerity packages, these countries could virtually disappear in the way that we know them as democracies. They’ve got no choice, this is it.” « .
Voilà pour la reprise dont TF1 et France Info vous bassinent chaque jour.
Lire le Daily Mail en long, large, travers et même entre les lignes.
En clair, soit les gouvernements vident littéralement les poches des classes moyennes, soit ils font faillite
Super blog de Jovanovic
Bellaciao
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article103640