Est ce que la taille des espèces dont la notre, est soumise à la quantité de nourriture disponible? la question est posée..
Quand la planète se réchauffe, les animaux et les plantes deviennent plus petits : ce phénomène s’est déjà produit il y a 55 millions d’années lorsque la température de la Terre avait augmenté de 6°C.Le réchauffement climatique actuel, qui se déroule à un rythme encore plus important qu’à l’époque, va ainsi engendrer les mêmes effets.
Mais comment cela s’explique-t-il ? Et quelles en sont les conséquences ?
Il y a 55,8 millions d’années, lors du passage Paléocène-Eocène, la Terre connut une période de réchauffement climatique exceptionnelle : les températures grimpèrent en effet alors en moyenne de quelque 6°C, et ce, pendant 20 000 ans.
Les glaces fondirent et le niveau des océans augmenta. Mais il se produisit un autre phénomène peu connu : certaines espèces animales rapetissèrent !
Les araignées, les guêpes, les fourmis, et les scarabées, par exemple, perdirent entre 50 et 75 % de leur taille. Quant aux mammifères comme les écureuils et les rats, ils rétrécirent de 40 %.
Aussi, les travaux de chercheurs de l’Université de Singapour publiés mi-octobre dans la revue scientifique américaine Nature Climate Change prédisent une nouvelle ère de rapetissement avec le réchauffement actuel.
Les effets pourraient être plus importants, étant donné le rythme plus soutenu de ces bouleversements climatiques. Et ils commenceraient à se faire sentir : sur 85 espèces animales étudiées, une quarantaine, parmi lesquelles les tortues, les lézards, ou encore les mouettes, sont devenues plus petits au cours des vingt dernières années !
Comment expliquer un tel phénomène ?« Nous ne connaissons pas encore les mécanismes exacts, ou pourquoi certains organismes rapetissent pendant que d’autres ne sont pas affectés », indiquent les scientifiques.
Toutefois, il existe une hypothèse : on sait qu’une hausse d’un degré de la température de l’air réduit la taille des pousses et des fruits de 3 à 17 %.
Que le réchauffement accroît le risque de sécheresse, et donc celui de disparition des végétaux. Et que l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère acidifie les océans, ce qui ralentit la croissance des planctons et des algues.
Ainsi, on peut penser que les animaux terrestres et marins réduisent leur taille pour s’adapter à celle de leur nourriture…
Quelle conséquence pour l’Homme ?« Tant que nous ne comprenons pas mieux les mécanismes à l’œuvre, nous risquons de faire face à des conséquences négatives que nous ne pouvons pas encore quantifier », s’inquiètent les chercheurs.
« Dans le pire des cas, la taille des animaux et des plantes diminueraient tellement que cela aurait un grave impact sur la sécurité alimentaire » de l’Homme !
La mise en garde est sérieuse : rappelons que la population mondiale augmente à un rythme effréné… tout comme la concentration de dioxyde de carbone dans l’atmosphère…
Une exception : les oiseaux californiensOn l’a vu, tous les animaux ne sont pas affectés par ce phénomène. Et certains suivraient même la tendance inverse : ils grossiraient !
C’est en tout cas le constat de chercheurs de San Francisco qui ont observé une augmentation de la taille des oiseaux de l’Etat de Californie depuis 1971.
Deux pistes sont avancées pour tenter de donner une explication : un changement d’habitude alimentaire des volatiles (causé par le réchauffement), ou un accroissement de la réserve en graisses pour faire face aux événements climatiques extrêmes (dont la fréquence s’accélère).
Auteur : Yann Cohignac
Source : www.developpementdurable.com partagé avec Sos-Planète
Etude sans fondements.
Et surement cautionné par le GIEC, qui ne sait plus quoi inventer pour justifier son existence. Sur quoi pourraient-ils se baser, alors qu’il n’existe aucun fossile permettant d’étayer cette thèse et de comparer les tailles de toutes espèces.
De plus, une étude dernièrement menée sur la croissance de production de grains des céréales, a mis en avant inopinément, l’effet inverse de ce rapetissement, que du contraire elles grandissent, et ce fut constaté aussi pour d’autres espèces vivantes. Et là c’est la diminution de l’attraction terrestre qui fut mis en cause.
Alors, les scientifiques pondant ces rapports, devraient accorder leur violons, avant d’alarmer le monde.
N.B. : Il a bel et bien existé des cas de gigantisme, il y a de ça bien plus que 20 000 ans, mais ils s’éteignirent subitement, de cause inconnue. Même de nos jours, il y a de ces cas, ce n’est pas pour autant que ce doit être un généralité.
Les climato-sceptiques ne remettent pas en cause le réchauffement général, mais les causes anthropiques de ce dernier. Donc pour le coup je ne vois pas trop l’intérêt d’écrire : « Et surement cautionné par le GIEC … »
Mais quand on lis dans cet article : » … on sait qu’une hausse d’un degré de la température de l’air réduit la taille des pousses et des fruits de 3 à 17 %. » on peut se poser des questions sur le sérieux, au moins du compte-rendu. Sans autres précisions cette affirmation est ridicule.