Pas vraiment une odeur de sainteté pour l’organisme censé protéger les animaux… Abominable!!! WWF et Greenpeace, deux organisme qui ne verront de toute manière jamais mon argent, je ne donne pas et avec raison, ils n’ont qu’à réclamer aux lobbys avec lesquels ils travaillent!
La triste vérité sur une des plus grandes associations mondiales pour la protection de la nature.Depuis des années le World Wildlife Fund (WWF) fait pression sur les autorités aux Etats-Unis, en Europe et au Canada pour mettre sur pied un énorme programme de tests sur les produits chimiques et les pesticides. WWF Animal Testing Le but de tout ce lobbying du WWF est la mise en place de ce qui risque de devenir un des plus importants programmes de vivisection de tous les temps. Le WWF a été la force motrice qui a mis le Parlement américain sous pression pour légaliser le criblage des produits chimiques en vue de rechercher leurs éventuels effets perturbateurs du système endocrinien.En outre le WWF s’est fortement impliqué avec l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) dans la création du programme de grande envergure destiné à tester les produits chimiques. Comme on le voit sur le site de la EPA: « Le WWF a investi des sommes considérables dans le ‘Endocrine Disruptor Screening and Testing Advisory Committee’ de la EPA, ce qui a permis une série d’expériences pour servir de base au programme de criblage et de tests. » Ce que le WWF et la EPA oublient de mentionner, c’est que sur les 15 plans de recherches recommandés, 10 sont des études de toxicité, qui consistent à faire mourir des animaux !
Le WWF est également occupé à mettre la pression sur les autorités en Europe pour mettre sur pied un programme de recherche du même genre basé sur des expériences sur les animaux.
Sous la pression de groupes centrés sur la protection de l’environnement, comme le WWF, la EPA veut imposer le « Endocrine Disruptor Screening Program », sans prendre le temps d’examiner convenablement les aspects pratiques et logistiques de la mise en œuvre de ce plan de recherches. Il existe déjà de très nombreuses données sur la toxicité pour beaucoup de substances chimiques que la EPA a l’intention de tester, et même sur leurs éventuels effets perturbateurs du système endocrinien.
Beaucoup d’expériences proposées par la EPA sont superflues, mal décrites et insuffisamment validées. Même si la EPA pouvait réaliser avec succès les expériences prévues, et si elle pouvait en interpréter les résultats (ce qui d’après de nombreux scientifiques est peu probable) on ne saurait toujours pas comment ces informations pourraient être exploitées pour évaluer ou diminuer les risques pour l’homme ou pour le milieu. La question des perturbateurs endocriniens n’est qu’un des aspects d’un ensemble beaucoup plus vaste.
Le WWF a joué un rôle important dans la mise sous pression de l’Union européenne pour qu’elle adapte sa politique de gestion des produits chimiques. Ce qu’on appelle le programme REACH consiste à faire retester des dizaines de milliers de substances chimiques. On estime entre 12 et 45 millions le nombre d’animaux qui seront utilisés pour des études de toxicité pour REACH. Pour se défendre le WWF dit que « en l’absence d’alternatives effectives et valides, l’usage limité d’expériences sur les animaux est nécessaire pour la protection à long terme des animaux sauvages dans la nature et des humains dans le monde entier ».
Envoyer à la mort des millions d’animaux, c’est ce qu’ils appellent faire un « usage limité » d’animaux d’expérience !
Le Dr Menache, conseiller scientifique de la Coalition Anti Vivisection (CAV) réagit avec indignation : « Il n’y a aucune excuse pour remettre à plus tard la mise en œuvre des méthodes de test modernes qui peuvent remplacer l’utilisation des animaux. Une stratégie échelonnée comportant du matériel d’origine humaine et des données humaines aura toujours des résultats supérieurs à ceux provenant d’expériences obsolètes sur les animaux.
C’est complètement dépassé d’utiliser un nombre énorme d’animaux pour ces études, dans le but de prédire ce qu’une substance fera dans le corps humain ou dans le milieu. Les différences anatomiques et physiologiques entre l’homme et l’animal sont un obstacle infranchissable. Les stratégies de tests innovantes et spécifiques à l’homme sont un grand pas en avant, tant pour l’homme que pour l’animal ».
La CAV déplore de devoir donner de la publicité à ce genre de dossiers. Notre but n’a jamais été de dénigrer d’autres organisations. Cependant nos statuts stipulent clairement que nous sommes la voix des animaux d’expérience, c’est pourquoi nous ne pouvons pas nous permettre de passer de telles informations sous silence.
La CAV proteste le 16/08/2011 de 15h à 17h chez WWF Belgique, Bd. Emile Jacqmain 90, Bruxelles!
Source : www.contrevivisection.org via terresacree.org
Greenpeace n’est pas indépendant? Sur quoi vous basez vous? Je suis un des mouton qui donne à Greenpeace et je pensai bien faire donc j’arreterai de donner à greenpeace si vous avez un argumentaire qui tient la route.
et pourquoi mettre GreenPeace a coté de WMF? vous chezcheriez pas a nous manipuler monsieur benji? Vous les cités en haut de l’article mais jamais dans l’article. Moi pas bien comprendre…
ca demande des explication
Merci
J’ai été fortement déçu par Greenpeace qui soit disant dénonce tout ce qui se fait sur la planète et pourtant, ils n’ont pratiquement rien dit ou fait en ce qui concerne la marée noire du Golfe du Mexique, et les raisons sont très simples, Greenpeace est actionnaire de BP, officiellement pour tenter d’intervenir aux conseils d’administration, cela n’explique pas leur absence pour cette catastrophe d’une ampleur phénoménale, sans compter les répercutions, empoisonnement de la population, impact sur l’environnement, pluies huileuses, etc… Et là dessus, Greenpeace n’a jamais rien dénoncé, pas pro…
Si il faut sacrifier des animaux pour sauver des vies humaines … Je vois pas trop où est le problème, puisqu’on les tue déjà pour les manger.
Au moins là, c’est déjà plus utile.
Mais bon dénonçons … dénonçons … puisque c’est ce que fais ce site.
Il y a une différence entre nourriture et expérimentation, les animaux utilisés pour tester les produits ne sont pas mangés, ni les rats, lapins, chats, chiens, qui souffrent, faut pas l’oublier cela! Maintenant, ces attardés complets peuvent faire cela sur des résidus placentaires bien plus fiables que les animaux, pourtant… 👿 👿 👿
N’importe qui peut écrire n’importe quoi. Vous, moi, Greenpeace, tout le monde.
Si Greenpeace ou le WWF font de telles entorses à leur principes fondateurs, des entorses que dis-je, le radical opposé de la raison de leur existence, alors je peux être un schtroumpf et vous une endive dans une casserole.
D’ailleurs, les modalités de fonctionnement de ces deux organismes ne sont pas pareils. Les associer dans un même article ressemble à une attaque viscérale. Allergie aux écolos?
Cet article m’évoque l’esprit « rentre-dedans » à tout prix. On commence par dénoncer de vraies injustices et pour finir on tire sur tout et tout le monde. Comme un besoin compulsif de dénoncer, de casser.
« Greenpeace est actionnaire de BP »… ben voyons. Et BHL sponsorise Dieudonné?
Ce blog comporte des articles infiniment meilleurs et sérieux.
Il y a des sources, suffit de vérifier, tout est vérifiable ici…..
Si vous considérez tout le monde comme une source d’information fiable, je comprend mieux.
Perso, voici l’email que j’ai reçu du WWF Suisse, de Pierrette Rey (coordonnées plus bas):
Le WWF déplore que « Coalition Anti-Vivisection » suggère que le WWF puisse défendre l’expérimentation animale. Le WWF se bat depuis déjà 50 ans pour protéger les espèces vulnérables de plantes et d’animaux de notre planète. Nous voulons construire un monde où les hommes et la nature vivent en harmonie. Soutenir l’expérimentation animale ne cadre donc pas du tout avec notre travail.
« Coalition Anti-Vivisection » se rapporte sur son site web à un débat qui s’est déroulé il y a presque 10 ans aux Etats-Unis. A cette époque, le Sénat travaillait à une loi qui devait empêcher que des produits chimiques dangereux ne soient relâchés dans notre environnement. Ces produits chimiques sont particulièrement dangereux et ont vraisemblablement une influence sur le système endocrinien; ils agissent sur la régulation hormonale ou restent dans le corps des hommes et des animaux et semblent liés à diverses maladies comme le cancer. En Europe, une loi REACH est en vigueur depuis juin 2007 qui régule la surveillance de ces produits chimiques.
Le WWF n’a jamais investi d’argent ou de temps dans des recherches concernant le fonctionnement de ces produits chimiques, qui à fortiori utilisent l’expérimentation animale. Mais notre organisation a souligné la nécessité de faire des recherches sur les produits susceptibles d’avoir une influence sur notre système endocrinien. Car les risques de ces produits pour les plantes, les animaux et les hommes ne sont pas prévisibles. Pensez par exemple à la possibilité qu’une espèce n’engendre plus que des petits du même sexe suite à l’influence d’un produit déterminé sur la régulation hormonale. Cette situation met la survie même de l’espèce en danger.
Il y a presque 10 ans, en gardant un œil sur les études concernées, le WWF a formulé des conditions dans lesquelles les tests doivent être réalisés:
· Toutes les études doivent se faire sans utiliser l’expérimentation animale
· Le WWF demande aux autorités et aux entreprises de limiter au maximum l’utilisation de ces produits chimiques à l’avenir et de travailler à un futur dans lequel ces produits ne seront plus du tout nécessaires.
· Les entreprises et les autorités doivent rendre les résultats des tests publics et les partager. De cette manière, nous évitons que le même test soit réalisé en double.
Le WWF exclut donc l’utilisation d’animaux de laboratoire dans tous les cas. Selon nous, une seule exception à cette ligne directrice est envisageable: lorsque des vies humaines sont en jeux et qu’elles ne peuvent être sauvées d’aucune autre façon. Le WWF trouve terrible d’en arriver là. La mort d’animaux de laboratoire ne peut être que la dernière solution si tous les autres moyens ont été tentés et ne semblent pas fonctionner.
Le WWF travaille à la protection de la nature à deux niveaux. D’un côté, en protégeant les habitats les plus importants pour les plantes et les animaux. De l’autre, nous nous attaquons aux menaces en travaillant avec les citoyens, les autorités et les entreprises pour trouver des solutions pour une utilisation responsable et durable des ressources naturelles. Dans les deux scénarios, nous ne voyons aucune place pour les expérimentations animales. C’était déjà le cas il y a presque 10 ans et ça l’est toujours aujourd’hui. »
Pierrette Rey
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