Vu le prix qu’ils sont payés pour pondre des directives, il faudrait peut être leur rappeler, que quand on ne respecte pas la vie, c’est la porte ouverte à toutes les dérives….ceux qui aiment les animaux, savent les souffrances endurées pour la mise au point d’un produit de beauté, ou d’autres produits de consommation courante, dont les médicaments. Un animal quel qu’il soit ne réagit pas comme un humain, les exemples sont nombreux en la matière, ne serait ce que pour certains médicaments, sans effets indésirables pour eux, et dangereux pour les humains, ou encore pire les faux rapports pour faire mettre sur le marché un produit dangereux, qui aura coûté la vie à nombre d’animaux avant de « découvrir » qu’il est délétère pour l’humain.
Tentative de violation d’une législation européenne innovante par un subterfuge idéologique.
Dans l’émission Ce soir ou jamais du 31 mars, Frédéric Taddéï animait un débat dévolu au statut de l’animal dans nos sociétés.
Il y était question de souffrance animale, de vivisection et de nos habitudes alimentaires.
Le choix de la programmation n’est pas anodin.
Les scandales sanitaires récurrents, l’incidence croissante des cancers spécifique au mode de vie des pays dits développés, décrédibilisent une réglementation technocratique fondée exclusivement sur le sacrifice « religieux » de quantités d’espèces animales.
En effet, cette réglementation purement arbitraire, comme l’a si bien démontré l’enquête approfondie de la journaliste Marie-Monique Robin dans le documentaire Notre poison quotidien : produits chimiques dans les aliments, n’a qu’un objectif : délivrer le sésame autorisant la mise sur le marché d’un agent chimique par une agence de santé gouvernementale ou fédérale.
Non au recul de la loi sur les cosmétiques
En 2013, plus aucun cosmétique ou produit d’hygiène testé sur les animaux ne pourra être commercialisé en Europe.
C’est en tout cas ce que prévoyait la Directive européenne sur les cosmétiques. Alors que l’expérimentation animale pour les produits finis est interdite dans l’UE depuis 2009, ce délai supplémentaire devait permettre le développement de méthodes alternatives à trois types de tests échappant à la loi – toxicité de doses répétées, toxicité pour la reproduction, toxico-cinétique – et entrant dans la mise au point de nombreux produits de beauté.
Or, suite au rapport d’un groupe de chercheurs, la Commission européenne est prête à reculer la date de mise en application de la Directive, faisant ainsi fi des règles votées par son propre Parlement.
Pour dire NON à ce report, qui implique la mise sur le marché européen de nouveaux produits cosmétiques testés sur les animaux, signez la pétition.
Encore dix ans de souffrances et de tortures
Sur la recommandation des scientifiques, la Commission accorderait en effet aux laboratoires un délai supplémentaire de 10 ans !
Au prétexte que les méthodes substitutives à ces trois tests ne seraient pas prêtes avant.
Si la Commission entérine cette position, des millions d’animaux continueront à souffrir, à être torturés et à mourir pour la fabrication d’une crème antiride ou d’un shampoing.
Parallèlement, les firmes cosmétiques et les laboratoires poursuivront leur macabre commerce engrangeant des bénéfices toujours plus élevés.
La voix des lobbys contre l’éthique
Reculer la date de fin de ces trois tests sur animaux est non seulement contraire à l’éthique à laquelle aspire une majorité d’Européens mais aussi contre-productif.
Augmenter le délai n’accélèrera en rien la mise au point de méthodes alternatives.
Seule la perspective de ne pouvoir bientôt plus vendre leurs produits nous paraît être un moteur suffisant pour contraindre firmes cosmétiques et laboratoires à recourir à des systèmes d’expérimentation plus fiables, plus économiques et plus respectueux du vivant.
En quelques années, de nombreux tests de toxicité basés sur des méthodes ne détruisant aucune vie ont déjà vu le jour.
Une position indéfendable et hors la loi.
Après l’adoption d’une Directive pour le moins décevante en termes d’éthique et de progrès, une première entrave à la loi avec la sortie de son périmètre de deux autres tests sur animaux, cette nouvelle atteinte à la Directive cosmétiques est inacceptable.
One Voice, représentant pour la France de la Coalition européenne pour la fin de l’expérimentation animale, appelle tous les citoyens d’Europe à dire un Non définitif à l’expérimentation animale sur leur territoire et les invite à rappeler les instances européennes au respect de la loi plutôt qu’aux diktats financiers.
Les citoyens européens ont le pouvoir de dire Non
En signant notre pétition, et en la faisant signer autour de vous, faites entendre votre refus de la cruauté.
Vous agirez ainsi pour le devenir d’un monde plus éthique, plus paisible et plus respectueux de tout être vivant. Les animaux y ont droit aussi.
Rappelons que chaque année, plus de 12 millions d’entre eux, dont des chiens, des chats et des primates, sont sacrifiés au nom de notre « bien-être ».
Auteur One Voice
source Agoravox et terresacree.org
En ne respectant pas l ‘ animal, on ne respecte pas la vie donc soi – meme. Nous cassons l ‘ harmonie de l ‘ amour source energetique du tout dans lequel nous vivons.
Cela ne signifie pas qu ‘ il faut etre absolument vegetarien , tout depend de la facon dont les animaux sont traites.
Mis à part les élevages intensifs, sources de stress et de maladies (d’où l’emploi massif de médicaments) qui sont ingérés par ceux qui mangent de la viande, et c’est un autre malheureux débat, il est surtout question de l’emploi des animaux pour des tests d’innocuité, sur des produits de consommation courantes tels les cosmétiques, les lessives et produits d’entretien, les médicaments, qui torturent et tuent des millions d’animaux par an, sans que l’on soit certains de l’utilité de ces tests, puisqu’il existe des alternatives qui sont ignorées, et des accidents à la pelle, des produits inoffensif pour les animaux, sont toxiques pour l’humain.
L’homme se prend pour Dieu, il oublie qu’il est au sommet de la chaine, la chute risque de faire très mal….d’ailleurs nous en avons un avant gout, les premiers prédateurs sont les hommes qui ont oubliés leurs racines, et qu’ils dépendent de ce qu’ils sont en train de détruire sans état d’âme. Le point de non retour est très proche, quand il n’y aura plus rien de consommable car trop pollué, il ne nous restera plus qu’à disparaitre…:(
Après avoir regardé un enregistrement sur l’élevage intensif
j’ai immédiatement cessé de manger de la viande refusant de me faire complice de
leur cruauté et….. m’en porte bien
<bienvenue au club Michèle! je ne me porte pas mal non plus 😉