Nous sommes horrifiés pour nos amis Japonais, une succession de désastres c’est abattu sur cette île, qui vont avoir des conséquences, au niveau humains, économique et environnemental! Le gros couac! c’est que c’était prévisible et les alertes nombreuses, le peuple Japonais est en droit de demander des comptes……….les articles associés aux liens sont en Anglais.
Revue de presse (attention : pour usage personnel seulement.
Les articles sont sous copyright)
5 novembre 1979 : le réacteur n°2 arrêté en raison d’une panne sur une pompe
17 septembre 1980 : les centrales japonaises emploient des travailleurs sans véritable formation
3 octobre 1985 : incendie sur le réacteur 1
27 août 1986 : arrêt du réacteur n°5 pour une panne de l’alimentation en eau
4 décembre 1986 : arrêt du réacteur 1 en raison d’une panne de l’air conditionné
23 avril 1987 : un tremblement de terre cause l’arrêt de trois réacteurs
22 juin 1987 : l’IAEA alerte sur les risques d’incendie
21 janvier 1988 : incendie dans le circuit d’air conditionné du réacteur 1
16 août 1988 : les mouvements anti-nucléaires japonais alertent sur les risques de vieillissement des réacteurs de Fukushima
12 décembre 1988 : arrêt du réacteur 2 pour une panne d’une soupape de vapeur
2 janvier 1989 : TEPCO ne sait toujours pas pourquoi le tremblement de terre du 22 avril 1987 a arrêté les réacteurs
30 janvier 1989 : certains employés de la centrale présentent des troubles chromosomiques
3 février 1989 : une panne sur un joint aurait pu entraîner une fusion du coeur sur le réacteur n°2
9 février 1989 : des recherches pour comprendre les accidents sur les joints des pompes
28 février 1989 : des débris de métal trouvés dans les réacteurs
20 avril 1989 : TEPCO présente des excuses publiques pour la panne d’une pompe
3 juin 1989 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une fuite d’eau
19 juin 1989 : une succession d’accidents dans les centrales japonaises
26 octobre 1989 : alerte sur le vieillissement des centrales japonaises
8 janvier 1990 : une accumulation d’accidents en 1989
23 février 1990 : arrêt du réacteur 2 en raison d’une panne sur une pompe
20 mars 1990 : la Haute-Cour de Sendai repousse une demande d’arrêt de la centrale de Fukushima
14 avril 1990 : les accidents nucléaires font douter les Japonais
28 juin 1990 : manifestation anti-nucléaire lors de l’assemblée annuelle des actionnaires de TEPCO
12 juillet 1990 : le ministère japonais déclare que le réacteur 3 est en état de marche
6 septembre 1990 : report du redémarrage du réacteur 3
11 octobre 1990 : la NSC approuve le redémarrage du réacteur 3
25 octobre 1990 : inquiétudes dans le voisinage pour le rédémarrage du réacteur 3
1 novembre 1990 : l’AEC plaide pour un développement du nucléaire
4 avril 1991 : poursuite judiciaire poru demander l’arrêt du réacteur n°3
23 mai 1991 : 23 accidents déclarés dans les centrales japonaises en 1990
29 octobre 1991 : des blocs de construction française pour la digue de Fukushima
8 juillet 1992 : arrêt du réacteur 1 à la suite d’une hausse de pression
29 septembre 1992 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une panne sur une pompe
30 septembre 1992 : arrêt du réacteur 2 à la suite d’une erreur humaine
30 septembre 1992 : plaintes contre TEPCO en raison de mauvaises informations sur les accidents
1 octobre 1992 : le Japon s’interroge sur la sécurité de ses centrales nucléaires
29 octobre 1992 : deux groupes d’anti-nucléaires déboutés de leurs poursuites judiciaires
31 octobre 1992 : un réacteur arrêté en raison d’une panne sur une pompe
10 novembre 1992 : arrêt du réacteur 1à la suite d’une panne sur le moteur d’une valve
7 avril 1993 : TEPCO projette de construire deux nouveaux réacteurs
10 mai 1993 : poursuites judiciaires après la mort d’un travailleur de la centrale
20 juin 1994 : l’ANRE demande une enquête sur l’accident de mai
1 août 1994 : reconnaissance d’irradiation pour deux travailleurs de la centrale
22 août 1994 : TEPCO espère pouvoir construire deux nouveaux réacteurs
14 septembre 1995 : un tremblement de terre accélère la réaction nucléaire sur trois réacteurs
27 novembre 1995 : arrêt du réacteur 6 en raison de pressions anormales
1 mai 1996 : une « pléthore d’accidents » à Fukushima
30 septembre 1996 : construction du réacteur n°8
24 octobre 1996 : TEPCO achète des machines anglaises pour réparer ses enceintes de confinement
27 novembre 1996 : retard dans le redémarrage de réacteurs à la suite de la découverte de fissures
12 décembre 1996 TEPCO demande l’autorisation de construire deux nouveaux réacteurs
20 décembre 1996 : des actionnaires de TEPCO déboutés d’une demande d’arrêt de la centrale
17 janvier 1997 : petit incendie au réacteur n°2
21 janvier 1997 : délai dans le redémarrage d’un réacteur après la découverte de fuites
29 avril 1997 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une fuite de gaz radioactif
30 avril 1997 : le réacteur n°2 restera arrêté jusqu’à une date non précisée
7 mai 1997 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’une baisse du liquide réfrigérant
20 mai 1997 : redémarrage envisagé du réacteur n°2
9 juin 1997 : fuite radioactive sur le réacteur n°1
12 juin 1997 : forte augmentation des accidents dans les centrales japonaises
14 octobre 1997 : fissure découverte sur une canalisation
5 décembre 1997 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une panne
20 janvier 1998 : TEPCO envisage de remplacer 144 barres de contrôle en raison de malfaçons
24 janvier 1998 : les résidents vivant autour de la centrale s’inquiètent de l’utilisation du plutonium
30 juillet 1998 : arrêt du réacteur n°6 à la suite d’une fuite de vapeur
18 août 1998 : TEPCO demande aux autorités locales l’autorisation d’utiliser du plutonium (MOX)
26 août 1998 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une panne
2 novembre 1998 : la préfecture de Fukushima accepte l’usage du MOX
25 janvier 1999 : incendie sur le réacteur n°1
8 février 1999 : TEPCO déclare que son plus vieux réacteur (28 ans) peut encore fonctionner 32 ans
27 avril 1999 : le Japon envisage de développer son nucléaire civil
28 juin 1999 : des groupes anti-nucléaires demandent au Japon de renoncer au traitement du plutonium
30 juin 1999 : La France va envoyer du MOX au Japon
16 juillet 1999 : deuxième chargement de MOX français pour le Japon
10 septembre 1999 : arrivée attendue du MOX français à Fukushima
28 septembre 1999 : manifestations au Japon contre l’arrivée du MOX français
8 octobre 1999 : fuites radioactives dans un dépôt de déchets de la centrale de Fukushima
1 janvier 2000 : le « bug de l’an 2000″ frappe quelques équipements dans les centrales japonaises
10 janvier 2000 : TEPCO repousse ses projets d’utilisation du MOX dans le réacteur n°3
21 juillet 2000 : arrêt d’un réacteur après une fuite consécutive à un tremblement de terre
24 juillet 2000 : fermeture du réacteur n°2 en raison d’une fuite de pétrole dans une turbine
25 juillet 2000 : un troisième réacteur fermé en raison d’une augmentation anormale de l’iode
2 août 2000 : arrêt du réacteur n°6 en raison de la rupture d’une canalisation, abîmée lors du dernier tremblement de terre
30 septembre 2000 : chronologie des principaux accidents nucléaires au Japon
31 octobre 2000 : Fukushima devrait être la première centrale à utiliser du MOX
9 février 2001 : TEPCO persiste à vouloir construire de nouveaux réacteurs
26 février 2001 : le gouverneur de Fukushima refuse d’autoriser l’utilisation de MOX
2 avril 2001 TEPCO reporte l’utilisation du MOX dans ses centrales
3 avril 2001 : un maire demande des comptes au gouverneur de Fukushima qui a interdit l’usage du MOX
15 mai 2001 : arrêt planifié du réacteur n°6 après la découverte de fuites radioactives
24 août 2001 : le METI ordonne la vérification de 28 réacteurs
30 août 2001 : installation de quatre barres de liaisons pour réparer une fissure sur le réacteur 3
1 novembre 2001 : arrêt automatique du réacteur n°2 pour des raisons inconnues
17 juin 2002 : la préfecture de Fukishima envisage d’augmenter la taxe nucléaire à 13,5%
21 juin 2002 : le ministre de l’Economie est opposé à l’augmentation de la taxe nucléaire
4 juillet 2002 : accord de l’assemblée préfectorale pour la hausse de la taxe nucléaire
10 août 2002 : inquiétudes sur la résistance des centrales en cas de tremblement de terre
22 août 2002 : fissures découvertes dans certaines canalisations
29 août 2002 : TEPCO a dissimulé plusieurs accidents nucléaires depuis les années 80
30 août 2002 : les falsifications de TEPCO remettent en question la sécurité nucléaire
31 août 2002 : certaines fuites ont été négligées par des employés de TEPCO
2 septembre 2002 : nouvelles révélations sur les falsifications de TEPCO
2 septembre 2002 : arrêt prévu de quatre réacteurs utilisant des pièces endommagées
2 septembre 2002 : les réacteurs suspects continueront à fonctionner
3 septembre 2002 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une fuite radioactive.
4 septembre 2002 : fuite de gaz radioactif : cent fois la dose normale
4 septembre 2002 : TEPCO gèle la construction de quatre nouveaux réacteurs
6 septembre 2002 : TEPCO a camouflé des fissures importantes pendant quatre ans
13 septembre 2002 : TEPCO a falsifié des enregistrements vidéo
16 septembre 2002 : TEPCO a utilisé des pièces non autorisées dans un réacteur
26 septembre 2002 : nombreuses fissures découvertes sur le réacteur n°3
30 septembre 2002 : le gouverneur de Fukushima retire son accord pour l’utilisation de plutonium
4 octobre 2002 : de nouvelles fissures découvertes sur le réacteur n°2
11 octobre 2002 : un cinquième réacteur va être arrêté pour rechercher d’éventuelles fissures
14 octobre 2002 : découverte de nouvelles fuites sur le réacteur n°4
25 octobre 2002 : arrêt d’un réacteur sur ordre des autorités
25 octobre 2002 : de nouvelles falsifications découvertes à Fukushima
1 novembre 2002 : TEPCO retarde la construction de nouveaux réacteurs
19 novembre 2002 : les Japonais doutent de leur industrie nucléaire
11 décembre 2002 : publication du rapport sur les falsifications de TEPCO
26 décembre 2002 : le gouvernement accepte l’augmentation de la taxe nucléaire dans la préféceture du Fukushima
15 janvier 2003 : la préfecture de Fukushima ne sait pas si TEPCO va relancer ses réacteurs
16 janvier 2003 : de nouvelles fissures découvertes sur deux réacteurs
10 février 2003 : TEPCO envisage de redémarrer trois réacteurs fin mars
14 février 2003 : TEPCO envisage d’arrêter tous ses réacteurs en avril pour des vérifications de sécurité
18 février 2003 : TEPCO est incapable de préciser la date de redémarrage de ses réacteurs
24 février 2003 : le gouvernement impose à TEPCO d’améliorer ses procédures de sécurité
6 mars 2003 : craintes de pénurie d’électricité en raison de la fermeture de 17 réacteurs
11 mars 2003 : le gouvernement autorise, sous conditions, le rédémarrage des réacteurs
12 mars 2003 : TEPCO publie son plan de remise en état de ses réacteurs
14 avril 2003 : l’arrêt de tous les réacteurs de TEPCO fait craindre des coupures d’électricité
29 mai 2003 : TEPCO attend l’autorisation de redémarrer son réacteur n°6
16 juin 2003 : découverte d’une pièce manquante sur le réacteur n°3
10 juillet 2003 : le gouverneur de Fukushima autorise le redémarrage du réacteur n°6
18 août 2003 : redémarrage du réacteur n°3
25 septembre 2003 : un travailleur de la centrale exposé à des radiations
27 janvier 2004 : fuite d’eau sur le réacteur n°6
4 mars 2004 : la méfiance du public retarde le redémarrage des centrales nucléaires
17 mars 2004 : redémarrage du réacteur n°4
3 juin 2004 : le centre de stockage de déchets radioactifs reprend ses activités
29 juin 2004 : TEPCO va redémarrer trois de ses réacteurs et souhaite y utiliser du plutonium
5 août 2004 : arrêt du réacteur n°3 en raison de « problèmes techniques »
6 août 2004 : redémarrage du réacteur n°2
9 août 2004 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une fuite d’eau
17 août 2004 : explosion sur une conduite de vapeur
26 août 2004 : redémarrage du réacteur n°2
29 septembre 2004 : arrêt du réacteur n°2 pour « problèmes techniques »
6 octobre 2004 : érosion anormale des conduites d’eau sur le réacteur n°1
7 octobre 2004 : le gouvernement assure que l’érosion des conduites d’eau ne pose pas de problèmes
14 octobre 2004 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une panne sur une pompe
20 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°5
20 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°4 après réparations
28 octobre 2004 : arrêt du réacteur n°4 en raison de la panne d’une valve
29 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°2
2 novembre 2004 : redémarrage du réacteur n°4
4 novembre 2004 : redémarrage du réacteur n°6
30 novembre 2004 : enquête du gouvernement de Fukushima sur le réacteur n°1
8 décembre 2004 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une fuite d’eau radioactive
17 décembre 2004 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une fuite d’eau
7 janvier 2005 : arrêt de tous les réacteurs en raison d’une fuite d’eau radioactive
9 février 2005 : redémarrage des six réacteurs
14 février 2005 : le réacteur n°3 ne redémarrera qu’en mars
22 février 2005 : redémarrage du réacteur n°2
17 mars 2005 : le réacteur n°3 ne peut être redémarré en raison d’une panne sur une pompe
18 mars 2005 : arrêt du réacteur N°3 en raison d’une panne sur une pompe à eau
21 avril 2005 : redémarrage du réacteur n°1
26 mai 2005 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’un « problème technique »
3 juin 2005 : redémarrage du réacteur n°1
11 août 2005 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une fuite radioactive
17 août 2005 : un tremblement de terre occasionne une fuite d’eau radioactive
22 août 2005 : arrêt du réacteur n°5 à la suite d’un problème sur le circuit de refroidissement
16 septembre 2005 : arrêt du réacteur n°1 pour réparer une pompe
10 octobre 2005 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une panne sur une pompe
12 décembre 2005 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une fuite d’eau
21 décembre 2005 : réduction de l’activité du réacteur n°2 à la suite de « problèmes techniques »
19 janvier 2006 : découverte de fissures sur les barres de contrôle du réacteur n°6
6 février 2006 : Toshiba a falsifié les données d’un compteur du réacteur n°6
20 février 2006 : arrêt du réacteur n°3 en raison d’une fuite sur une pompe
17 mars 2006 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une panne sur une pompe
28 avril 2006 : les procédures de sécurité en cas de tremblement de terre doivent être améliorées
15 mai 2006 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une fuite d’huile
22 mai 2006 : fuite radioactive sur le réacteur n°4
23 mai 2006 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une fuite de vapeur radioactive
30 mai 2006 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une fuite de vapeur radioactive
12 juin 2006 : arrêt du réacteur n°3 pour réparation
22 juin 2006 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’une fuite de vapeur radioactive
24 juillet 2006 : fuite d’eau radioactive sur le réacteur n°1
1 août 2006 : l’entreprise qui a construit la centrale n°2 poursuivie pour corruption
11 août 2006 : fuite de vapeur radioactive
29 septembre 2006 : arrêt du réacteur n°4 pour réparations
6 novembre 2006 : arrêt du réacteur n°5 à la suite d’une panne
17 janvier 2007 : arrêt du réacteur n°2 en raison de « problèmes »
1 février 2007 : nouvelles révélations sur les falsifications de données
18 février 2007 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une radioactivité excessive
1 mars 2007 : découverte de nouvelles falsification dans les centrales de TEPCO
12 mars 2007 : TEPCO a dissimulé un arrêt d’urgence d’un de ses réacteurs en 1998
22 mars 2007 : les compagnies qui gèrent les centrales nucléaires ne communiquent pas entre elles
22 mars 2007 : TEPCO a dissimulé des accidents critiques en 1978 et 1999
20 avril 2007 : le gouvernement demande des vérifications plus strictes
27 avril 2007 : alerte sur l’air conditionné sur les réacteurs n°2 et 4
14 juin 2007 : arrêt du réacteur n°3 en raison d’une fuite d’eau
16 juillet 2007 : » Les centrales nucléaires japonaises conçues pour résister aux pires séismes »
19 août 2007 : craintes sur la résistance des centrales japonaises en cas de tremblement de terre
20 septembre 2007 : fuites radioactives à la suite d’un tremblement de terre de magnitude 6.8
4 octobre 2007 : TEPCO améliore sa communication à la suite du tremblement de terre
12 octobre 2007 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une panne sur l’échangeur
4 juin 2008 : des mineurs employés pour effectuer des inspections de centrales nucléaires
4 juin 2008 : redémarrage du réacteur n°5, arrêté à la suite de « problèmes techniques »
10 juin 2008 : arrêt du réacteur n°5 en raison d’une panne de turbine
14 juin 2008 : fuite radioactive à la suite d’un tremblement de terre
11 juillet 2008 : ralentissement du réacteur n°5 pour réparation
20 juillet 2008 : une longue liste de procès contre les centrales nucléaires au Japon
6 août 2008 : arrêt du réacteur n°3 pour « réparations »
21 octobre 2008 : des officiels français participent à un exercice d’alerte sur le réacteur n°3
17 février 2009 : création de 7 centres de crise à proximité des centrales nucléaires
24 février 2009 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’un « problème technique »
10 mars 2009 : l’utilisation de plutonium pourrait enfin être d’actualité
6 août 2009 : arrêt du réacteur n°3 à la suite de la découverte d’une « anomalie »
23 novembre 2009 : quel avenir pour le nucléaire au Japon ?
16 février 2010 : la préfecture de Fukushima est disposée à accepter l’utilisation du plutonium
28 février 2010 : les centrales japonaises n’ont pas souffert du tsunami
3 mars 2010 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une canalisation défectueuse
2 juin 2010 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une panne du circuit de refroidissement
13 juin 2010 : le tremblement de terre n’a pas affecté la centrale
17 juin 2010 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une « anomalie »
9 août 2010 : introduction d’un recours judiciaire pour interdire l’usage du plutonium
18 août 2010 : le réacteur n°1 doit être arrêté à la suite de la découverte d’une fuite radioactive
23 août 2010 : l’énergie nucléaire est une opportunité pour le Japon
14 septembre 2010 : le réacteur n°3 va être redémarré et utilisera du MOX pour le première fois
16 septembre 2010 : TEPCO souhaite augmenter la part du nucléaire et des énergies renouvelables
18 septembre 2010 : démarrage de l’exploitation du MOX
5 novembre 2010 : arrêt d’urgence du réacteur n°5 en raison de « problèmes »
13 décembre 2010 : projets et difficultés de TEPCO
24 décembre 2010 : redémarrage du réacteur n°5, arrêté à la suite d’une panne sur une pompe
7 février 2011 : la NISA autorise TEPCO à utiliser le réacteur n°1 (40 ans) pendant 10 ans de plus
7 mars 2011 : les projets de TEPCO pour augmenter la production nucléaire
11 mars 2011 : une « anomalie » signalée sur les réacteurs 1 et 2
J’avais laissé le lien sur le blog car si je ne me trompe pas, ce n’est pas un usage personnel que de mettre la liste complète ici…Non?
Les articles sont consultables sur le site source, ce ne sont que les titres! s’il y a réclamation on supprimera! mais je crois qu’il faut le faire savoir, sinon on sera encore endormis avec leur belles paroles.
Au moins tout le monde pourra réfléchir, et sera d’accord ou pas, pour continuer avec ces énergies dangereuses!
Commentaire trouvé sur : mecanopolis.org
J’avais déjà trouvé la même annotation « calcul » sur un autre Site.
Mecanopolis dans rubrique ARCHIVES au haut, a un long texte « sur le JAPON ».
2011.03.19 – 22:51, par Pikpuss :
Curieux hasard : 11.O9.01
+ 11.03.11
___________
= 22.12.12
Et si le projet H A A R P y était pour quelque chose….
Ceux qui nous dirigent sont des maîtres occultes…alors on peut tout imaginer.
——————————————————————————————
**SPREAD THE TRUTH aussi, s’interroge…. HAARP – JAPON ?
On ne change plus rien quand le Mal est fait !
De toute manière nous ne le saurons jamais….
http://www.crashdebug.fr
SURA : Le HAARP Russe.
Tout à fait similaire à l’installation Américaine. Elle lui est, par ailleurs, antérieure de plus de 10 ans :
L’installation d’excitation ionosphérique de Sura, située près de la petite ville de Vasilsursk à environ 100 km à l’est de Nijni Novgorod en RUSSIE, est un laboratoire de Recherche ionosphère. Sura est capable de rayonner sur environ 190 MW, de puissance apparente rayonnée (ERP), en ondes courtes.
Cette installation est exploitée par l’Institut de recherche radiophysiques NIRFI à Nijni-Novgorod.
L’installation de la SURA a été commandée en 1981.
Grâce à cette installation, les Chercheurs RUSSES ont atteint des résultats intéressants concernant le comportement extrême de la ionosphère et ont découvert l’effet de génération de fréquences à faible émission dus à la modulation de la ionosphère en cours [1].
Au début, la plupart du temps, le département soviétique de la Défense a repoussé du pied l’annonce du projet.
Le Système Américain de d’excitation ionosphérique HAARP est similaire à l’installation de la SURA.
Le projet HAARP a commencé en 1993.
La chambre d’un émetteur à l’installation de SURA.
Informations techniques
La gamme de fréquence de l’installation d’excitation est de 4,5 à 9,3 MHz.
L’installation se compose de trois émetteurs de radiodiffusion de 250 kW et d’une antenne dipôle-tableau croisé de 144 Kw avec des dimensions de 300 m x 300 m.
Ceci au milieu de la gamme de fréquence de (4,5 à 9,3 MHz) avec un gain maximum qui est atteint au zénith a environ 260 (~ 24 dB) , l’ERP de l’installation est de 190 MW (~ 83 dBW).
LIENS :
http://sura.nirfi.sci-nnov.ru/Photogalery/Photogalery.html – pictures of the facility
http://sura.nirfi.sci-nnov.ru/indexe.html – further information in RUSSIA