Japon! Fukushima leak 30 ans d'accidents et de mensonges à la centrale nucléaire de Fukushima

Nous sommes horrifiés pour nos amis Japonais, une succession de désastres c’est abattu sur cette île, qui vont avoir des conséquences, au niveau humains, économique et environnemental! Le gros couac! c’est que c’était prévisible et les alertes nombreuses, le peuple Japonais est en droit de demander des comptes……….les articles associés aux liens sont en Anglais.


Revue de presse (attention : pour usage personnel seulement.
Les articles sont sous copyright)

5 novembre 1979 : le réacteur n°2 arrêté en raison d’une panne sur une pompe

17 septembre 1980 : les centrales japonaises emploient des travailleurs sans véritable formation

3 octobre 1985 : incendie sur le réacteur 1

27 août 1986 : arrêt du réacteur n°5 pour une panne de l’alimentation en eau

4 décembre 1986 : arrêt du réacteur 1 en raison d’une panne de l’air conditionné

23 avril 1987 : un tremblement de terre cause l’arrêt de trois réacteurs

22 juin 1987 : l’IAEA alerte sur les risques d’incendie

21 janvier 1988 : incendie dans le circuit d’air conditionné du réacteur 1

16 août 1988 : les mouvements anti-nucléaires japonais alertent sur les risques de vieillissement des réacteurs de Fukushima

12 décembre 1988 : arrêt du réacteur 2 pour une panne d’une soupape de vapeur

2 janvier 1989 : TEPCO ne sait toujours pas pourquoi le tremblement de terre du 22 avril 1987 a arrêté les réacteurs

30 janvier 1989 : certains employés de la centrale présentent des troubles chromosomiques

3 février 1989 : une panne sur un joint aurait pu entraîner une fusion du coeur sur le réacteur n°2

9 février 1989 : des recherches pour comprendre les accidents sur les joints des pompes

28 février 1989 : des débris de métal trouvés dans les réacteurs

20 avril 1989 : TEPCO présente des excuses publiques pour la panne d’une pompe

3 juin 1989 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une fuite d’eau

19 juin 1989 : une succession d’accidents dans les centrales japonaises

20 octobre 1989 : les mesures de sécurité dans les centrales japonaises « sont à même de prévenir un accident grave »

26 octobre 1989 : alerte sur le vieillissement des centrales japonaises

30 novembre 1989 : l’AEC déclare que malgré les accidents, le Japon n’abandonnera pas l’énergie nucléaire.

8 janvier 1990 : une accumulation d’accidents en 1989

23 février 1990 : arrêt du réacteur 2 en raison d’une panne sur une pompe

20 mars 1990 : la Haute-Cour de Sendai repousse une demande d’arrêt de la centrale de Fukushima

29 mars 1990 : La Haute-Cour de Sendai déclare que les centrales sont bien conçues et ne peuvent pas causer de catastrophes

14 avril 1990 : les accidents nucléaires font douter les Japonais

28 juin 1990 : manifestation anti-nucléaire lors de l’assemblée annuelle des actionnaires de TEPCO

12 juillet 1990 : le ministère japonais déclare que le réacteur 3 est en état de marche

9 août 1990 : TEPCO attend la remise en marche du réacteur 3 en raison d’une forte demande d’électricité,

6 septembre 1990 : report du redémarrage du réacteur 3

11 octobre 1990 : la NSC approuve le redémarrage du réacteur 3

23 octobre 1990 : « les ingénieurs japonais estiment que leurs centrales sont virtuellement à l’abri des tremblements de terre »

25 octobre 1990 : inquiétudes dans le voisinage pour le rédémarrage du réacteur 3

1 novembre 1990 : l’AEC plaide pour un développement du nucléaire

4 avril 1991 : poursuite judiciaire poru demander l’arrêt du réacteur n°3

23 mai 1991 : 23 accidents déclarés dans les centrales japonaises en 1990

29 octobre 1991 : des blocs de construction française pour la digue de Fukushima

8 juillet 1992 : arrêt du réacteur 1 à la suite d’une hausse de pression

29 septembre 1992 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une panne sur une pompe

30 septembre 1992 : arrêt du réacteur 2 à la suite d’une erreur humaine

30 septembre 1992 : plaintes contre TEPCO en raison de mauvaises informations sur les accidents

1 octobre 1992 : le Japon s’interroge sur la sécurité de ses centrales nucléaires

29 octobre 1992 : deux groupes d’anti-nucléaires déboutés de leurs poursuites judiciaires

31 octobre 1992 : un réacteur arrêté en raison d’une panne sur une pompe

5 novembre 1992 : la Cour suprême décide que les tribunaux ne peuvent pas juger les questions de sécurité nucléaire

10 novembre 1992 : arrêt du réacteur 1à la suite d’une panne sur le moteur d’une valve

7 avril 1993 : TEPCO projette de construire deux nouveaux réacteurs

10 mai 1993 : poursuites judiciaires après la mort d’un travailleur de la centrale

20 juin 1994 : l’ANRE demande une enquête sur l’accident de mai

1 août 1994 : reconnaissance d’irradiation pour deux travailleurs de la centrale

22 août 1994 : TEPCO espère pouvoir construire deux nouveaux réacteurs

14 septembre 1995 : un tremblement de terre accélère la réaction nucléaire sur trois réacteurs

27 novembre 1995 : arrêt du réacteur 6 en raison de pressions anormales

1 mai 1996 : une « pléthore d’accidents » à Fukushima

30 septembre 1996 : construction du réacteur n°8

24 octobre 1996 : TEPCO achète des machines anglaises pour réparer ses enceintes de confinement

27 novembre 1996 : retard dans le redémarrage de réacteurs à la suite de la découverte de fissures

12 décembre 1996 TEPCO demande l’autorisation de construire deux nouveaux réacteurs

20 décembre 1996 : des actionnaires de TEPCO déboutés d’une demande d’arrêt de la centrale

17 janvier 1997 : petit incendie au réacteur n°2

21 janvier 1997 : délai dans le redémarrage d’un réacteur après la découverte de fuites

29 avril 1997 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une fuite de gaz radioactif

30 avril 1997 : le réacteur n°2 restera arrêté jusqu’à une date non précisée

7 mai 1997 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’une baisse du liquide réfrigérant

20 mai 1997 : redémarrage envisagé du réacteur n°2

9 juin 1997 : fuite radioactive sur le réacteur n°1

12 juin 1997 : forte augmentation des accidents dans les centrales japonaises

14 octobre 1997 : fissure découverte sur une canalisation

5 décembre 1997 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une panne

20 janvier 1998 : TEPCO envisage de remplacer 144 barres de contrôle en raison de malfaçons

24 janvier 1998 : les résidents vivant autour de la centrale s’inquiètent de l’utilisation du plutonium

30 juillet 1998 : arrêt du réacteur n°6 à la suite d’une fuite de vapeur

18 août 1998 : TEPCO demande aux autorités locales l’autorisation d’utiliser du plutonium (MOX)

26 août 1998 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une panne

2 novembre 1998 : la préfecture de Fukushima accepte l’usage du MOX

6 décembre 1998 : 75% des résidents de la centrale de Kashiwazaki-Kariwa sont opposés à l’usage du MOX

25 janvier 1999 : incendie sur le réacteur n°1

8 février 1999 : TEPCO déclare que son plus vieux réacteur (28 ans) peut encore fonctionner 32 ans

27 avril 1999 : le Japon envisage de développer son nucléaire civil

28 juin 1999 : des groupes anti-nucléaires demandent au Japon de renoncer au traitement du plutonium

30 juin 1999 : La France va envoyer du MOX au Japon

16 juillet 1999 : deuxième chargement de MOX français pour le Japon

10 septembre 1999 : arrivée attendue du MOX français à Fukushima

28 septembre 1999 : manifestations au Japon contre l’arrivée du MOX français

8 octobre 1999 : fuites radioactives dans un dépôt de déchets de la centrale de Fukushima

1 janvier 2000 : le « bug de l’an 2000″ frappe quelques équipements dans les centrales japonaises

10 janvier 2000 : TEPCO repousse ses projets d’utilisation du MOX dans le réacteur n°3

21 juillet 2000 : arrêt d’un réacteur après une fuite consécutive à un tremblement de terre

24 juillet 2000 : fermeture du réacteur n°2 en raison d’une fuite de pétrole dans une turbine

24 juillet 2000 : le gouvernement japonais reconnaît l’inquiétude du public en raison des récents accidents nucléaires

25 juillet 2000 : un troisième réacteur fermé en raison d’une augmentation anormale de l’iode

2 août 2000 : arrêt du réacteur n°6 en raison de la rupture d’une canalisation, abîmée lors du dernier tremblement de terre

30 septembre 2000 : chronologie des principaux accidents nucléaires au Japon

31 octobre 2000 : Fukushima devrait être la première centrale à utiliser du MOX

9 février 2001 : TEPCO persiste à vouloir construire de nouveaux réacteurs

26 février 2001 : le gouverneur de Fukushima refuse d’autoriser l’utilisation de MOX

26 février 2001 : TEPCO annonce un gel de ses constructions de nouveaux réacteurs. Colère des collectivités locales

26 mars 2001 : les anti-nuclaires déboutés de leurs poursuites judiciaires visant à interdire l’usage du MOX

2 avril 2001 TEPCO reporte l’utilisation du MOX dans ses centrales

3 avril 2001 : un maire demande des comptes au gouverneur de Fukushima qui a interdit l’usage du MOX

15 mai 2001 : arrêt planifié du réacteur n°6 après la découverte de fuites radioactives

24 août 2001 : le METI ordonne la vérification de 28 réacteurs

30 août 2001 : installation de quatre barres de liaisons pour réparer une fissure sur le réacteur 3

1 novembre 2001 : arrêt automatique du réacteur n°2 pour des raisons inconnues

17 juin 2002 : la préfecture de Fukishima envisage d’augmenter la taxe nucléaire à 13,5%

21 juin 2002 : le ministre de l’Economie est opposé à l’augmentation de la taxe nucléaire

4 juillet 2002 : accord de l’assemblée préfectorale pour la hausse de la taxe nucléaire

10 août 2002 : inquiétudes sur la résistance des centrales en cas de tremblement de terre

22 août 2002 : fissures découvertes dans certaines canalisations

29 août 2002 : TEPCO a dissimulé plusieurs accidents nucléaires depuis les années 80

30 août 2002 : les falsifications de TEPCO remettent en question la sécurité nucléaire

31 août 2002 : certaines fuites ont été négligées par des employés de TEPCO

2 septembre 2002 : nouvelles révélations sur les falsifications de TEPCO

2 septembre 2002 : arrêt prévu de quatre réacteurs utilisant des pièces endommagées

2 septembre 2002 : les réacteurs suspects continueront à fonctionner

3 septembre 2002 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une fuite radioactive.

4 septembre 2002 : fuite de gaz radioactif : cent fois la dose normale

4 septembre 2002 : TEPCO gèle la construction de quatre nouveaux réacteurs

6 septembre 2002 : TEPCO a camouflé des fissures importantes pendant quatre ans

13 septembre 2002 : TEPCO a falsifié des enregistrements vidéo

16 septembre 2002 : TEPCO a utilisé des pièces non autorisées dans un réacteur

26 septembre 2002 : nombreuses fissures découvertes sur le réacteur n°3

30 septembre 2002 : le gouverneur de Fukushima retire son accord pour l’utilisation de plutonium

4 octobre 2002 : de nouvelles fissures découvertes sur le réacteur n°2

11 octobre 2002 : un cinquième réacteur va être arrêté pour rechercher d’éventuelles fissures

14 octobre 2002 : découverte de nouvelles fuites sur le réacteur n°4

25 octobre 2002 : arrêt d’un réacteur sur ordre des autorités

25 octobre 2002 : de nouvelles falsifications découvertes à Fukushima

1 novembre 2002 : TEPCO retarde la construction de nouveaux réacteurs

11 novembre 2002 : la préfecture de Fukushima retarde l’application de l’augmentation de sa taxe nucléaire

19 novembre 2002 : les Japonais doutent de leur industrie nucléaire

11 décembre 2002 : publication du rapport sur les falsifications de TEPCO

26 décembre 2002 : le gouvernement accepte l’augmentation de la taxe nucléaire dans la préféceture du Fukushima

15 janvier 2003 : la préfecture de Fukushima ne sait pas si TEPCO va relancer ses réacteurs

16 janvier 2003 : de nouvelles fissures découvertes sur deux réacteurs

10 février 2003 : TEPCO envisage de redémarrer trois réacteurs fin mars

14 février 2003 : TEPCO envisage d’arrêter tous ses réacteurs en avril pour des vérifications de sécurité

18 février 2003 : TEPCO est incapable de préciser la date de redémarrage de ses réacteurs

24 février 2003 : le gouvernement impose à TEPCO d’améliorer ses procédures de sécurité

6 mars 2003 : craintes de pénurie d’électricité en raison de la fermeture de 17 réacteurs

11 mars 2003 : le gouvernement autorise, sous conditions, le rédémarrage des réacteurs

12 mars 2003 : TEPCO publie son plan de remise en état de ses réacteurs

14 avril 2003 : l’arrêt de tous les réacteurs de TEPCO fait craindre des coupures d’électricité

29 mai 2003 : TEPCO attend l’autorisation de redémarrer son réacteur n°6

16 juin 2003 : découverte d’une pièce manquante sur le réacteur n°3

10 juillet 2003 : le gouverneur de Fukushima autorise le redémarrage du réacteur n°6

18 août 2003 : redémarrage du réacteur n°3

25 septembre 2003 : un travailleur de la centrale exposé à des radiations

26 septembre 2003 : inquiétudes sur la résistance des centrales nucléaires après un important tremblement de terre

18 novembre 2003 : l’IEA recommande au Japon de restaurer la confiance du public dans l’industrie nucléaire

27 janvier 2004 : fuite d’eau sur le réacteur n°6

4 mars 2004 : la méfiance du public retarde le redémarrage des centrales nucléaires

17 mars 2004 : redémarrage du réacteur n°4

3 juin 2004 : le centre de stockage de déchets radioactifs reprend ses activités

29 juin 2004 : TEPCO va redémarrer trois de ses réacteurs et souhaite y utiliser du plutonium

5 août 2004 : arrêt du réacteur n°3 en raison de « problèmes techniques »

6 août 2004 : redémarrage du réacteur n°2

9 août 2004 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une fuite d’eau

17 août 2004 : explosion sur une conduite de vapeur

26 août 2004 : redémarrage du réacteur n°2

27 septembre 2004 : les centrales japonaises devront fermer en 2016 si elles ne peuvent pas recycler leurs déchets

29 septembre 2004 : arrêt du réacteur n°2 pour « problèmes techniques »

6 octobre 2004 : érosion anormale des conduites d’eau sur le réacteur n°1

7 octobre 2004 : le gouvernement assure que l’érosion des conduites d’eau ne pose pas de problèmes

14 octobre 2004 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une panne sur une pompe

18 octobre 2004 : report du redémarrage du réacteur n°4 en raison d’un problème sur le circuit de refroidissement

20 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°5

20 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°4 après réparations

28 octobre 2004 : arrêt du réacteur n°4 en raison de la panne d’une valve

29 octobre 2004 : redémarrage du réacteur n°2

2 novembre 2004 : redémarrage du réacteur n°4

4 novembre 2004 : redémarrage du réacteur n°6

30 novembre 2004 : enquête du gouvernement de Fukushima sur le réacteur n°1

8 décembre 2004 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une fuite d’eau radioactive

17 décembre 2004 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une fuite d’eau

17 décembre 2004 : TEPCO va arrêter tous ses réacteurs pour chercher l’origine d’une fuite d’eau radioactive

7 janvier 2005 : arrêt de tous les réacteurs en raison d’une fuite d’eau radioactive

9 février 2005 : redémarrage des six réacteurs

14 février 2005 : le réacteur n°3 ne redémarrera qu’en mars

22 février 2005 : redémarrage du réacteur n°2

17 mars 2005 : le réacteur n°3 ne peut être redémarré en raison d’une panne sur une pompe

18 mars 2005 : arrêt du réacteur N°3 en raison d’une panne sur une pompe à eau

21 avril 2005 : redémarrage du réacteur n°1

26 mai 2005 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’un « problème technique »

3 juin 2005 : redémarrage du réacteur n°1

11 août 2005 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une fuite radioactive

17 août 2005 : un tremblement de terre occasionne une fuite d’eau radioactive

22 août 2005 : arrêt du réacteur n°5 à la suite d’un problème sur le circuit de refroidissement

16 septembre 2005 : arrêt du réacteur n°1 pour réparer une pompe

10 octobre 2005 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une panne sur une pompe

12 décembre 2005 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une fuite d’eau

21 décembre 2005 : réduction de l’activité du réacteur n°2 à la suite de « problèmes techniques »

19 janvier 2006 : découverte de fissures sur les barres de contrôle du réacteur n°6

6 février 2006 : Toshiba a falsifié les données d’un compteur du réacteur n°6

20 février 2006 : arrêt du réacteur n°3 en raison d’une fuite sur une pompe

17 mars 2006 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une panne sur une pompe

28 avril 2006 : les procédures de sécurité en cas de tremblement de terre doivent être améliorées

15 mai 2006 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une fuite d’huile

18 mai 2006 : des informations confidentielles sur la sécurité de la centrale ont été diffusées par erreur sur Internet

22 mai 2006 : fuite radioactive sur le réacteur n°4

23 mai 2006 : arrêt d’un réacteur à la suite d’une fuite de vapeur radioactive

30 mai 2006 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une fuite de vapeur radioactive

12 juin 2006 : arrêt du réacteur n°3 pour réparation

22 juin 2006 : arrêt du réacteur n°1 en raison d’une fuite de vapeur radioactive

24 juillet 2006 : fuite d’eau radioactive sur le réacteur n°1

1 août 2006 : l’entreprise qui a construit la centrale n°2 poursuivie pour corruption

11 août 2006 : fuite de vapeur radioactive

29 septembre 2006 : arrêt du réacteur n°4 pour réparations

6 novembre 2006 : arrêt du réacteur n°5 à la suite d’une panne

5 décembre 2006 : TEPCO découvre de nouvelles falsifications de données dans les rapports de ses centrales

17 janvier 2007 : arrêt du réacteur n°2 en raison de « problèmes »

1 février 2007 : nouvelles révélations sur les falsifications de données

18 février 2007 : arrêt du réacteur n°4 en raison d’une radioactivité excessive

1 mars 2007 : découverte de nouvelles falsification dans les centrales de TEPCO

1 mars 2007 : la découverte des falsifications de TEPCO ne devraient pas gêner le fonctionnement de ses centrales

12 mars 2007 : TEPCO a dissimulé un arrêt d’urgence d’un de ses réacteurs en 1998

20 mars 2007 : TEPCO a dissimulé que des barres de contrôle sont tombées des réacteurs en 1993 et 2000

22 mars 2007 : les compagnies qui gèrent les centrales nucléaires ne communiquent pas entre elles

22 mars 2007 : TEPCO a dissimulé des accidents critiques en 1978 et 1999

5 avril 2007 : les entreprises qui gèrent le nucléaire japonais ont commis plus de 10 000 infractions

20 avril 2007 : le gouvernement demande des vérifications plus strictes

27 avril 2007 : alerte sur l’air conditionné sur les réacteurs n°2 et 4

14 juin 2007 : arrêt du réacteur n°3 en raison d’une fuite d’eau

16 juillet 2007 :  » Les centrales nucléaires japonaises conçues pour résister aux pires séismes »

19 août 2007 : craintes sur la résistance des centrales japonaises en cas de tremblement de terre

21 août 2007 : le gouvernement autorise TEPCO a retarder les vérifications de sécurité sur son réacteur n°3

20 septembre 2007 : fuites radioactives à la suite d’un tremblement de terre de magnitude 6.8

4 octobre 2007 : TEPCO améliore sa communication à la suite du tremblement de terre

12 octobre 2007 : arrêt du réacteur n°2 en raison d’une panne sur l’échangeur

24 mars 2008 : TEPCO demande au gouvernement de prolonger de 10 ans l’exploitation du réacteur n°4, qui fonctionne depuis 29 ans

31 mars 2008 : les centrales nucléaires doit être prêtes à affronter des tremblements de terre plus importants

10 avril 2008 : TEPCO envisage une croissance de 1% annuel jusqu’en 2017. Projet de construction de deux nouveaux réacteurs à Fukushima

25 mai 2008 : un travailleur de la centrale, atteint d’un cancer consécutif à une irradiation, débouté de sa demande d’indemnisation

4 juin 2008 : des mineurs employés pour effectuer des inspections de centrales nucléaires

4 juin 2008 : redémarrage du réacteur n°5, arrêté à la suite de « problèmes techniques »

10 juin 2008 : arrêt du réacteur n°5 en raison d’une panne de turbine

14 juin 2008 : fuite radioactive à la suite d’un tremblement de terre

11 juillet 2008 : ralentissement du réacteur n°5 pour réparation

18 juillet 2008 : le gouvernement autorise TEPCO à repousser les opérations de maintenance sur le réacteur n°3

20 juillet 2008 : une longue liste de procès contre les centrales nucléaires au Japon

6 août 2008 : arrêt du réacteur n°3 pour « réparations »

21 octobre 2008 : des officiels français participent à un exercice d’alerte sur le réacteur n°3

17 février 2009 : création de 7 centres de crise à proximité des centrales nucléaires

24 février 2009 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’un « problème technique »

10 mars 2009 : l’utilisation de plutonium pourrait enfin être d’actualité

6 août 2009 : arrêt du réacteur n°3 à la suite de la découverte d’une « anomalie »

23 novembre 2009 : quel avenir pour le nucléaire au Japon ?

16 février 2010 : la préfecture de Fukushima est disposée à accepter l’utilisation du plutonium

28 février 2010 : les centrales japonaises n’ont pas souffert du tsunami

3 mars 2010 : arrêt du réacteur n°6 en raison d’une canalisation défectueuse

2 juin 2010 : arrêt du réacteur n°1 à la suite d’une panne du circuit de refroidissement

13 juin 2010 : le tremblement de terre n’a pas affecté la centrale

17 juin 2010 : arrêt du réacteur n°2 à la suite d’une « anomalie »

9 août 2010 : introduction d’un recours judiciaire pour interdire l’usage du plutonium

18 août 2010 : le réacteur n°1 doit être arrêté à la suite de la découverte d’une fuite radioactive

23 août 2010 : l’énergie nucléaire est une opportunité pour le Japon

14 septembre 2010 : le réacteur n°3 va être redémarré et utilisera du MOX pour le première fois

16 septembre 2010 : TEPCO souhaite augmenter la part du nucléaire et des énergies renouvelables

18 septembre 2010 : démarrage de l’exploitation du MOX

25 octobre 2010 : Areva estime que l’utilisation de MOX ne présente pas de danger pour les populations

5 novembre 2010 : arrêt d’urgence du réacteur n°5 en raison de « problèmes »

13 décembre 2010 : projets et difficultés de TEPCO

24 décembre 2010 : redémarrage du réacteur n°5, arrêté à la suite d’une panne sur une pompe

12 janvier 2011 : TEPCO décide d’allonger de trois mois le délai entre deux inspections du réacteur n°3, pour produire davantage

7 février 2011 : la NISA autorise TEPCO à utiliser le réacteur n°1 (40 ans) pendant 10 ans de plus

7 mars 2011 : les projets de TEPCO pour augmenter la production nucléaire

9 mars 2011 : à suite du tremblement de terre, TEPCO « confirme » que la centrale de Fukushima n’a pas été endommagée

11 mars 2011 : une « anomalie » signalée sur les réacteurs 1 et 2

11 mars 2011 : l’IAEA déclare que les réacteurs ont été arrêtés en toute sécurité lors du tremblement de terre

11 mars 2011 : état d’urgence déclaré à Fukushima

source http://fukushimaleaks.wordpress.com/

Un Commentaire

  1. J’avais laissé le lien sur le blog car si je ne me trompe pas, ce n’est pas un usage personnel que de mettre la liste complète ici…Non?

  2. Les articles sont consultables sur le site source, ce ne sont que les titres! s’il y a réclamation on supprimera! mais je crois qu’il faut le faire savoir, sinon on sera encore endormis avec leur belles paroles.
    Au moins tout le monde pourra réfléchir, et sera d’accord ou pas, pour continuer avec ces énergies dangereuses!

  3. Commentaire trouvé sur : mecanopolis.org
    J’avais déjà trouvé la même annotation « calcul » sur un autre Site.
    Mecanopolis dans rubrique ARCHIVES au haut, a un long texte « sur le JAPON ».

    2011.03.19 – 22:51, par Pikpuss :
    Curieux hasard : 11.O9.01
    + 11.03.11
    ___________
    = 22.12.12

    Et si le projet H A A R P y était pour quelque chose….
    Ceux qui nous dirigent sont des maîtres occultes…alors on peut tout imaginer.
    ——————————————————————————————
    **SPREAD THE TRUTH aussi, s’interroge…. HAARP – JAPON ?
    On ne change plus rien quand le Mal est fait !

  4. http://www.crashdebug.fr

    SURA : Le HAARP Russe.
    Tout à fait similaire à l’installation Américaine. Elle lui est, par ailleurs, antérieure de plus de 10 ans :
    L’installation d’excitation ionosphérique de Sura, située près de la petite ville de Vasilsursk à environ 100 km à l’est de Nijni Novgorod en RUSSIE, est un laboratoire de Recherche ionosphère. Sura est capable de rayonner sur environ 190 MW, de puissance apparente rayonnée (ERP), en ondes courtes.
    Cette installation est exploitée par l’Institut de recherche radiophysiques NIRFI à Nijni-Novgorod.
    L’installation de la SURA a été commandée en 1981.
    Grâce à cette installation, les Chercheurs RUSSES ont atteint des résultats intéressants concernant le comportement extrême de la ionosphère et ont découvert l’effet de génération de fréquences à faible émission dus à la modulation de la ionosphère en cours [1].
    Au début, la plupart du temps, le département soviétique de la Défense a repoussé du pied l’annonce du projet.
    Le Système Américain de d’excitation ionosphérique HAARP est similaire à l’installation de la SURA.
    Le projet HAARP a commencé en 1993.
    La chambre d’un émetteur à l’installation de SURA.

    Informations techniques
    La gamme de fréquence de l’installation d’excitation est de 4,5 à 9,3 MHz.
    L’installation se compose de trois émetteurs de radiodiffusion de 250 kW et d’une antenne dipôle-tableau croisé de 144 Kw avec des dimensions de 300 m x 300 m.
    Ceci au milieu de la gamme de fréquence de (4,5 à 9,3 MHz) avec un gain maximum qui est atteint au zénith a environ 260 (~ 24 dB) , l’ERP de l’installation est de 190 MW (~ 83 dBW).
    LIENS :
    http://sura.nirfi.sci-nnov.ru/Photogalery/Photogalery.html – pictures of the facility

    http://sura.nirfi.sci-nnov.ru/indexe.html – further information in RUSSIA