L'illusion de la démocratie!

Je vais vous obliger à lire chers moutons! et quelle lecture, pas nouveau pour certains, mais quelquefois une piqure de rappel est salutaire!  ce qui est écrit n’est rien moins, que ce que nous vivons aujourd’hui en 2011………et vu les évènements, il doit y en avoir qui se sentent un peu à l’étroit dans leur pantalon!

doit on rester dans l'ignorance?

L’illusion démocratique

La démocratie a déjà cessé d’être une réalité.

Les responsables des organisations qui exercent le pouvoir réel ne sont pas élus, et le public n’est pas informé de leurs décisions.

La marge d’action des états est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n’ont été ni consultés, ni informés.

Une suspension proclamée de la démocratie n’aurait pas manqué de provoquer une révolution. C’est pourquoi il a été décidé de maintenir une démocratie de façade, et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres.

Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n’ont plus de pouvoir réel.

Et c’est bien parce qu’il n’y a plus rien à décider que les programmes politiques de « droite » et de « gauche » en sont venus à tant se ressembler dans tous les pays occidentaux.

Pour résumer, nous n’avons pas le choix du plat mais nous avons le choix de la sauce. Le plat s’appelle « nouvel esclavage », avec sauce de droite pimentée ou sauce de gauche aigre-douce.

La disparition de l’information

Depuis le début des années 90, l’information a progressivement disparu des médias destinés au grand-public.

Comme les élections, les journaux télévisés continuent d’exister, mais ils ont été vidés de leur contenu.

Un journal télévisé contient au maximum 2 à 3 minutes d’information véritable. Le reste est constitué de sujets « magazine », de reportages anecdotiques, de faits divers, de micro-trottoirs et de reality-shows sur la vie quotidienne.

Les analyses par des journalistes spécialisés, ainsi que les émissions d’information ont été presque totalement éliminés.

L’information se réduit désormais à la presse écrite, lue par une minorité de personnes.

La disparition de l’information est le signe tangible que notre régime politique a déjà changé de nature.

La stratégie de la diversion

Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

« Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux

2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3 La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.

4 La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
Exemple récent: le passage à l’Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

5 S’adresser au public comme à des enfants en bas-age
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l’Euro (« les jours euro »). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
« Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans. » (cf. « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)

6 Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7 Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. »

8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9 Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10 Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

2 Mondes, 2 Ordres, 2 Lois

Ces dernières années ont vu s’instituer une divergence
croissante entre d’un coté:
l’ordre défini par la loi
les valeurs humanistes prônées au public
et de l’autre coté:
l’ordre avéré dans la réalité
les valeurs dictées par les nécessités du pouvoir
et du profit économique.

Le premier ordre, celui officiellement proclamé,
s’applique au « monde d’en-bas »: le public, les citoyens ordinaires.
Le second ordre, celui qui régit réellement la société,
s’applique au « monde d’en-haut »: les détenteurs
du pouvoir économique et les organisations.

Des lois conçues pour ne pas être appliquées

Une application typique de ce principe est de faire voter une loi qui répond aux attentes des citoyens et qui va dans le sens de l’intérêt général: protection des libertés et des droits individuels, protection écologique, protection du consommateur, législation du travail et droits des salariés, etc…
Mais dans la pratique, les moyens financiers et humains alloués à l’application de la loi seront largement et délibérément insuffisants.

Aux uns, on accorde toujours plus de « déréglementation » et de « libéralisme ». Pour les autres, on prévoit une réglementation toujours plus abondante et contraignante.

Ainsi le citoyen ordinaire doit avoir un pot catalytique sur sa voiture, il doit passer un contrôle technique pour avoir un véhicule sûr et non-polluant. Il doit trier ses déchets.

Dans le même temps, les normes de pollution industrielle sont laxistes, les transporteurs routiers font rouler au-delà des heures réglementaires des camions polluants et dangereux, et les armateurs font circuler des poubelles flottantes sur les océans.

Le citoyen doit respecter des normes scrupuleuses pour obtenir le permis de construire de sa maison, alors que l’industriel peut enlaidir l’environnement avec ses usines ou ses hypermarchés construits au moindre coût et donc sans aucun soucis d’esthétique ou d’intégration dans l’environnement.

Le citoyen ordinaire ne doit pas non plus causer de nuisances sonores, alors que les entreprises de travaux publics peuvent empoisonner librement la vie des personnes avec le bruit de leurs machines de chantier.

De même, la vente de drogue par des petits trafiquants est sévèrement réprimandée, mais les industries agro-alimentaires et pharmaceutiques ont toute la liberté d’empoisonner des populations entières avec:
– les tranquillisants et les somnifères dont l’effet d’accoutumance est similaire aux drogues dures
– les médicaments aux effets secondaires reconnus
– les pesticides répandus dans l’environnement et dans l’eau
– les produits chimiques cancérigènes présents dans l’alimentation
– les viandes frelatées et saturées en hormones, antibiotiques, et anxiolytiques
– les OGM dont l’innocuité est loin d’être prouvée

2 morales

Le citoyen ordinaire est invité à respecter la faune et la flore lorsqu’il se trouve dans un site naturel. Mais dans le même temps, des décharges industrielles illégales sont tolérées, et des sites naturels magnifiques sont saccagés pour l’exploitation forestière, ou pour des projets immobiliers ou industriels.

Le citoyen ordinaire est encouragé à la tolérance, au respect des autres. Mais pour les dirigeants économiques, la vie humaine est évaluée en dollars, et sa valeur estimée est négative pour les personnes « à la charge de la société ».

Pour résumer, il existe 2 ordres, 2 systèmes de valeurs. L’un, officiel, est destiné au bon peuple. L’autre, officieux, est destiné aux membres des classes dirigeantes.

Pour les uns, on prône le respect de la nature, le respect des autres, la tolérance, la gentillesse et la générosité.

Pour les autres, il est bien compris que la gentillesse est synonyme de bêtise, et la générosité est une preuve de naïveté. Quant au respect de la nature et des individus, ils ne doivent être pris en compte que dans les rares cas ou cela n’entre pas en contradiction avec la maximisation du profit.

Sommaire de la diversion

Médias: Garder l’attention du public adulte distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.

Enseignement: Garder le public ignorant des véritables mathématiques, de la véritable économie, de la véritable loi, et de la véritable histoire.

Spectacles: Maintenir le divertissement public en-dessous du niveau de la sixième.

Travail: Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux.

Table des stratégies

Faites ceci
Pour obtenir ceci

Garder le public ignorant
Moins d’organisation publique

Créer de la préoccupation
Moins de défenses

Attaquer la cellule familiale
Contrôle de l’éducation de la jeunesse

Donner moins de cash et plus de crédits ou d’indemnités
Plus de laisser-aller et plus de données

Conformité sociale
Simplicité de la programmation informatique

Minimiser la protestation contre les taxes
Maximum de données économiques, minimum de problèmes de contrainte

Stabiliser le consentement
Simplicité des coefficients

Etablir des conditions-cadre
Simplicité des problèmes, solution des équations différentielles

Justesse du timing
Moins de décalage et de flou dans les données

Maximiser le contrôle
Résistance minimum au contrôle

Création de situations contrôlées, manipulation de l’économie et de la société

– allouer des opportunités
– détruire des opportunités
– contrôler l’environnement économique
– contrôler la disponibilité des matières premières
– contrôler le capital
– contrôler les taux bancaires
– contrôler l’inflation de la monnaie
– contrôler la possession de la propriété
– contrôler la capacité industrielle
– contrôler la fabrication
– contrôler la disponibilité des biens de consommation
– contrôler le prix des biens de consommation
– contrôler les services, la force de travail, etc.
– contrôler les paiements à des fonctionnaires du gouvernement
– contrôler les fonctions juridiques
– contrôler les fichiers de données personnelles
– contrôler la publicité
– contrôler le contact avec les médias
– contrôler le matériel disponible pour la réception TV
– détourner l’attention des problèmes réels
– encourager les émotions
– créer le désordre, le chaos, et l’aliénation mentale
– contrôler l’élaboration de formulaires de taxes plus détaillés
– contrôler le stockage de l’information
– développer les analyses et profils psychologiques sur les individus
– contrôler les facteurs sociologiques
– contrôler les possibilités de richesse
– faire du faible une proie
– neutraliser les forces
– drainer la richesse et la substance

La structure politique d’une nation
Dépendance

La première raison pour laquelle les citoyens individuels d’un pays créent une structure politique est un désir subconscient de perpétuer la relation de dépendance de leur enfance. Exposé simplement, ils veulent un ange gardien pour éliminer tout risque de leur vie, poser un poulet sur la table de chaque dîner, habiller leurs corps, les border dans le lit le soir, et leur dire que tout ira bien quand ils se réveilleront le lendemain matin.

La demande du public est incroyable, alors l’ange gardien, le politicien, répond à l’incroyable par l’incroyable, en promettant le monde sans rien apporter. Donc, qui est le plus grand menteur? Le public ou le l’ange gardien?

Le comportement du public est dominé par la peur, la paresse, et la facilité. Ceci est la base de l’état providence en tant qu’arme stratégique, utile contre un public écoeurant.

La plupart des gens veulent être capable de soumettre et/ou de tuer d’autres êtres humains qui dérangent leurs vies quotidiennes mais ils ne veulent pas avoir à affronter les problèmes moraux et religieux qu’un tel acte de leur part pourrait engendrer.

Par conséquent, ils assignent le salle travail aux autres (incluant leurs propres enfants) comme pour garder le sang hors de leurs mains. Ils s’extasient sur le sauvetage d’animaux par des humains et puis s’assoient devant un délicieux hamburger dans un taudis repeint en blanc en bas de la rue et hors de vue. Mais encore plus hypocrite, ils paient des taxes pour financer une association professionnelle d’hommes célèbres collectivement appelés politiciens, et puis se plaignent de la corruption dans le gouvernement.

Résumé

Le peuple mandate les politiciens afin que le peuple puisse:

1) obtenir la sécurité sans avoir à l’organiser.

2) obtenir l’action sans avoir à y réfléchir.

3) infliger le vol, les blessures, et la mort à d’autres sans avoir à contempler la vie et la mort.

4) éviter la responsabilité pour leurs propres intentions

5) obtenir les bénéfices de la réalité et de la science sans s’exercer eux-mêmes à la discipline d’affronter ou d’apprendre l’une ou l’autre de ces choses.

Il donne aux politiciens le pouvoir de créer et de diriger une machine de guerre pour:

1) pourvoir à la survie de la nation/utérus.

2) empêcher l’empiétement de quoi que ce soit sur la nation/utérus

3) détruire les ennemis qui menacent la nation/utérus.

4) détruire ceux des citoyens de leur propre pays qui ne se conforment pas au respect de la stabilité de la nation/utérus.

La guerre sociale est déclarée

Une nouvelle guerre mondiale a commencé. C’est une guerre sociale et intérieure, une guerre d’élimination menée par les élites dirigeantes contre une population devenue trop nombreuse et inutilement coûteuse.

Cette guerre se caractérise par l’instauration d’un nouvel esclavage appelé « libéralisme », et simultanément, par l’accroissement de la répression contre le citoyen ordinaire afin d’obtenir sa soumission.

La guerre des riches contre les pauvres

La « lutte des classes » prônée par Karl Marx était celle des pauvres contre les riches, des exploités contre les exploiteurs. Depuis 20 ans, la lutte des classes s’est inversée. C’est désormais une guerre des riches contre les pauvres. Son but est d’effacer un siècle de progrès social en occident, de décupler les profits des entreprises, et de permettre un enrichissement sans précédent des élites dirigeantes au détriment de la population ordinaire devenue une simple ressource à exploiter.

Mais cette guerre sociale vise également des objectifs plus vastes et à plus long-terme…

La « solution finale »

Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé. Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie. L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction des allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

La population en excès pourra aussi être éliminée par des épidémies (dissémination délibérée de virus dans l’air, l’eau ou l’alimentation industrielle) et par des guerres.

Enfin, les Maitres du Monde ont décidé qu’il n’était plus possible de laisser la population procréer librement.

La fin de la démocratie

Dans tous les pays occidentaux, la « sécurité » sert actuellement de prétexte à une augmentation de la répression, et à un recul sans précédent de la démocratie.

La fin de la démocratie, le renforcement de la répression, et l’instauration d’un état policier sont les compléments indispensables du libéralisme économique, afin de prévenir les réactions violentes (vols, pillages, émeutes…) qui seront inévitablement causées par la raréfaction des ressources et par la masse grandissante des pauvres et des exclus (vols, pillages, émeutes…), et aussi pour renforcer la soumission et la résignation de la population, et éviter une révolte contre le travail de sabotage et de « démolition sociale » mené par les gouvernements et les multinationales.

La soumission au nouvel ordre économique a été facilitée par un abrutissement préalable de la population grâce aux médias, par l’affaiblissement du sens critique grâce à la propagande et au conditionnement, par un mode de vie qui ne laisse ni temps ni énergie pour la réflexion, et enfin par l’attaque des énergies individuelles (laideur des environnements urbanisés, stress, pollution chimique et électromagnétique, alimentation frelatée, somnifères, tranquillisants, effets secondaires des médicaments).

Il y a une guerre des classes, c’est un fait. Mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner. »

Warren Buffet, milliardaire américain, 1ère fortune mondiale en 2008

L’expérience de la grenouille
par Olivier Clerc
« Imaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite. L’eau se chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue de nager. La température commence à grimper. L’eau est chaude. C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille; ça la fatigue un peu mais elle ne s’affole pas pour autant. L’eau est maintenant vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle est aussi affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température de l’eau va ainsi monter jusqu’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir, sans jamais s’être extraite de la marmite.

Cette expérience peu recommandable est riche d’enseignements. Elle montre que lorsqu’un changement négatif s’effectue de manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps pas de réaction, pas d’opposition, pas de révolte. »

Quelques citations à méditer…

« En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »

Franklin D. Roosevelt
Président des Etats Unis de 1932 à 1945

« Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité. »

Nicholas Murray Butler
Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations)

« Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau. »

Benjamin Disraeli
Premier Ministre Britannique de 1874 à 1880

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller
Président et fondateur du Groupe de Bilderberg et de la Commission Trilatérale. Président du CFR (, Council on Foreign Relations).
Propos tenus à la rénion du Groupe de Bilderberg à Baden Baden en 1991

Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n’était. »

Winston Churchill
Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955

L’ennemi numéro 1 de tout État est l’homme qui est capable de penser par lui-même sans considération de la pensée unique. Presque inévitablement il parviendra alors à la conclusion que l’État sous lequel il vit est malhonnête, insensé et insupportable, ainsi, si cet homme est idéaliste il voudra le changer. S’il ne l’est pas, il témoignera suffisamment de sa découverte pour générer la révolte des idéalistes contre l’État. »

Vous pouvez lire aussi cet auteur américain, libre penseur et journaliste:
Henry Louis Mencken
Journaliste, écrivain et libre penseur, l’un des écrivains américains les plus influents du 20e siècle (1880-1956)

Article source sur sity.net

Un Commentaire

  1. INFORMATION LANCEMENT PETITION

    Pour en finir avec « l’illusion démocratique »

    Réforme de la loi de 1995 de Financement public des partis politiques

    « Sachant que la Démocratie peut se polluer comme l’air du temps, on ne peut éviter de se poser la question de savoir, lorsqu’un Peuple reconquiert, dans l’allégresse, ses libertés nées du respect de ses principes, pourquoi et comment il les avait perdues ? »

    Un constat alarmant est que les Français, qu’ils soient de droite ou de gauche, n’ont plus confiance dans leurs représentants!

    La loi de 1995 de financement public des partis politique, créée pour supprimer la corruption (?) est le principal moteur de la déliquescence actuelle de la vie politique en France. Sa réforme est essentielle et urgente pour redonner une nouvelle chance à l’expression de la démocratie, en ramenant les citoyens vers les urnes, et assainir la vie politique dont chacun peut regretter le dévoiement qui va en s’amplifiant.

    Cette réforme doit faciliter l’émergence de nouvelles compétences, permettre d’accélérer le processus de la parité hommes femmes mais également d’élargir la diversité de la représentation socio professionnelle des élus en y associant une dose de proportionnelle.

    Elle doit permettre de recréer entre les citoyens et leurs représentants le climat de confiance qui est indispensable pour entreprendre toute action.

    A la veille d’ une échéance grave pour l’avenir de notre Pays, l’association Blanc C’est exprimé lance une Pétition pour en finir avec « l’Illusion de la Démocratie. »

    Cette dernière a été en effet confisquée au Peuple par les deux partis majoritaires. Il faut redonner vie à l’expression de la démocratie en donnant la possibilité aux citoyens d’avoir un véritable choix.

    La loi de 1995 de financement public des partis, permet en effet aux partis politiques de se moquer du taux des abstentions aux élections!

    Ce sont en effet les impôts de tous les contribuables y compris ceux des… abstentionnistes qui les financent

    La réforme souhaitée ne sera jamais le fait du volontarisme des politiques.

    Aussi, malgré eux et les partis, Blanc C’est exprimé appelle les citoyens à stopper la spirale de l’érosion de l’expression de la Démocratie en France, qui est porteuse de la Liberté, en exigeant la réforme de la loi de 1995 de Financement public des partis politiques

    Attendre est prendre le risque d’être contraints d’avoir à la reconquérir, un jour, dans la rue !

    Cette information peut être relayée si affinités

    Voir étude complète sur le site:
    http://www.blanccestexprime.asso.fr/ Rubrique Finances publiques Cliquez ici

    Pétition en ligne :
    http://www.mesopinions.com/Reforme-de-la-loi-de-1995-financement-public-des-partis-politiques-petition-petitions-121a0cb0b1c4317edcb1adbbc73de9a0.html

    Saint-Brieuc le 7 février 2011 2

    Gérard GAUTIER
    Ancien Conseiller Régional de Bretagne Président Mouvement « BLANC C’EST EXPRIME »
    B.P. 330 22003 Saint – Brieuc cedex 1 Téléphone ! 02.96.33.50.34
    SITE : http://www.blanccestexprime.asso.fr COURRIEL : blanccestexprime@wanadoo.fr