Tout n’est que mensonge lorsqu’un gouvernement déclare que Bachar Al Assad a utilisé du gaz sarin sur ses opposants. Bien sur, l’ONU déclare qu’il n’y a pas moyen de savoir exactement QUI en a utilisé contre l’autre camp, plus pratique que de charger les rebelles soutenus par des élites, qu’ils soient américaines, européennes ou autres.
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Le président de la commission d’enquête de l’ONU sur la Syrie a réaffirmé vendredi qu’il ne pouvait pas dire avec certitude qui avait utilisé des armes chimiques en Syrie, malgré les accusations de Washington contre Damas.
Interrogé par des journalistes sur ces accusations, Paulo Pinheiro a refusé de « commenter les déclarations ou décisions de gouvernements ». « Nous ne sommes pas capables de dire qui a utilisé des agents ou des armes chimiques, et nous sommes très préoccupés par la chaîne de détention », c’est-à-dire le parcours des armes jusqu’à leur découverte, a-t-il indiqué.
Dans son dernier rapport devant le Conseil des droits de l’Homme, la commission avait dénoncé l’usage d’agents chimiques à au moins quatre occasions en Syrie, mais sans pouvoir « identifier la nature de ces agents chimiques, les systèmes d’armes employés, ni qui les a utilisés ». Selon M. Pinheiro, les pays occidentaux qui accusent le régime de Damas n’ont pas fait part de leurs informations à la commission et seuls les experts de l’ONU, menés par Ake Sellstrom, pourront trouver éventuellement des preuves en allant sur place, ce qu’ils n’ont pas pu faire jusqu’ici.
M. Pinheiro, qui a rencontré vendredi à huis clos des membres du Conseil de sécurité, a aussi rejeté l’option militaire: « la fourniture d’armes engage la responsabilité de ceux qui les livrent car les gens qui les reçoivent pourraient commettre des crimes de guerre ». « Il faut un nouvel élan diplomatique, pas un nouvel élan militaire », a-t-il souligné en appelant le Conseil à accélérer la tenue de la Conférence de Genève. « La Syrie est en chute libre », a-t-il insisté. L’opposition syrienne a affirmé vendredi avoir reçu de l’étranger de nouvelles armes modernes susceptibles de « changer le cours de la bataille ».
Source: 7sur7.be
… « la fourniture d’armes engage la responsabilité de ceux qui les livrent car les gens qui les reçoivent pourraient commettre des crimes de guerre ».
Les nouvelles armes Modernes NE TUENT PAS ….Ce sera juste de l’incinération….
Il ne faut pas dire tuer mais prélever, comme les gentils chasseurs. Depuis la guerre « chirurgicale » en Irak, les conflits armés sont devenus proprets et utiles.
on vois les chirurgiens en action ,ils enlèvent les organes cœur etc et se font filmer.
hahaah,compte clôturé..
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