Peut-on parler de tout en France ou enquêter sur l’Islam dans déclencher systématiquement une polémique? Non, car cela peut pousser à la stigmatisation d’une religion qui déjà est au cœur de l’actualité. Mais enquêter en tentant d’éviter les amalgames trop souvent entretenus par les médias et nos politique, est-ce de la stigmatisation ou de l’information? Car le problème en France au sujet de l’Islam, c’est que le public NE DOIT PAS être informé, bien au contraire. L’amalgame est volontairement entretenu pour permettre la mise en place d’un Islam radical voulu et financé par le Qatar et l’Arabie Saoudite avec la complicité de nos politiques, chose que nous avons déjà expliqué en détail dans cet article. Et tout cela pour quoi? Pour des raisons électoralistes ou de gros contrats.
Comment voulez-vous que les frères musulmans puissent avoir pignon sur rue dans un pays qui prétend lutter contre la pratique rigoriste de l’Islam? Comment condamner le terrorisme sans pour autant condamner les pays qui le financent?
Avec l’émission « Dossier tabou », la polémique est donc lancée, divers médias ont même crié à l’islamophobie, quant à son présentateur, il est victime d’appels au meurtre sur internet.
Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire dans ce pays qui revendique une pseudo-liberté de la presse… Pourtant, comme Bernard de la Villardière le dit lui-même: «Si on n’aborde plus les sujets qui posent problème, on n’est plus en démocratie».
Ce n’est pas une nouveauté, depuis très longtemps déjà sur le blog nous avons pris parti de dénoncer les amalgames quels qu’ils soient, et de défendre les musulmans qui sont inévitablement assimilés aux islamistes et terroristes, ce n’est pas aujourd’hui que nous allons changer notre manière de faire. Maintenant, si certains crient au scandale, demandons-nous à qui cela sert réellement? Certains ont besoin de ces polémiques comme les mouvements antiracistes ou antifas pour justifier leur existence, d’autres ne souhaitent tout simplement pas que les pays impliqués dans l’Islam en France soient directement cités, et n’oubliez pas la chasse aux électeurs…
comme Bernard de la Villardière le dit lui-même: «Si on n’aborde plus les sujets qui posent problème, on n’est plus en démocratie»
pauvre bernard ,il se reveille
petit cabot..aux ordres
Au moins lui se réveille !
Il n’est jamais trop tard …
cette émission était juste programmé pour faire face
à la lucet sur rance2,avec son dossier « bygmalion pour les couillons »
faut être naïf pour pas le comprendre
tard ou jamais ,ça ne changera rien à la donne,pour les uns et les autres
J avoue que j avais du mal avec la meche….
Puis j ai tapé delavillardiere et pedophilie…
Comme Lucet , il y a eu certainement allegence ensuite…
Un grand salut Romain Nevénoé.
Pour un éveillé combien d’endormis??? On est pas sorti de l’auberge….
Ce qu’il y a aussi c’est qu’en principe les journalistes sont sensé se montrer critique envers la politique et le pouvoir et être le baromètre du peuple. Ils doivent même pouvoir influencer sur les décisions grâce à des enquêtes d’investigations pour montrer les possibles irrégularités. Or c’est tout l’inverse qui se passe dorénavant, ils couvrent les élites et leur sert de couverture et porte voix de la propagande c’est assez écœurant.
Les journalistes sont devenu des pu##s, des suceurs de queue de l’élite….
Akasha.
Même si c’est vrai, c’est pas poli quand-même…
Bonjour les moutons.
Akasha, » encore un siècle de journalisme et tous les mots pueront. » F. Nietzsche.
Non c’est vrai que c’est pas très poli, mais ce qu’ils font est bien pire et cause plus de tord qu’un gros mot.
Au fait ce n’est jamais que son cœur qui parle, c’est une passionnée (sourires).
Orné