Est-ce réellement une surprise? De nombreux cancers sont soignés de manière abusif, les traitements sont remis en cause, ce sont de véritables fortunes qui sont générées grâce au cancer, quant à la santé des patients…. Cela reste assez secondaire dans les faits. Il suffit de s’intéresser aux précédents articles que nous avons relayé sur le sujet pour bien s’en rendre compte. Du coup, ce scandale n’en est même pas vraiment un, juste un secret de Polichinelle qui une nouvelle fois va être étouffé…
En France, des milliers de patients atteints d’un cancer de la thyroïde ont été opérés et soumis à des traitements sévères sans que la gravité de leur cas le justifie.
Un cancer, c’est la terreur intime de chacun. Un mal qui, en dépit des progrès de la médecine, rime encore avec issue fatale. Quand il est très méchant ou détecté trop tard. Mais jusqu’où faut-il aller dans le repérage de tumeurs, qui pour certaines s’avèrent, au fil du temps et des études scientifiques, moins agressives ? Comment jauger le risque, décider d’opérer ou d’attendre et de surveiller.
Car, si tous les petits cancers ne deviennent pas gros, « les gros ont tous, par définition, commencé petits », rappelle le cancérologue Alain Toledano. Ne pas en faire assez ou risquer d’en faire trop ?
Aborder différemment la maladie
La question revient pour les cancers de la prostate, voire du sein, et désormais pour la thyroïde avec cette étude inquiétante du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC-IARC) publiée cet été dans le « New England Journal of Medicine » : les progrès de l’imagerie aidant, 560 000 personnes de 12 pays développés auraient fait l’objet ces vingt dernières années de surdiagnostic de cancer de la thyroïde. Dont 46 000 en France ! Des surdiagnostics synonymes de surtraitements pour 70 à 90 % des patients touchés par un carcinome papillaire de petite taille : opération, traitement à l’iode radioactif puis hormone de synthèse à vie pour compenser l’absence de cette glande qui régule notre organisme. D’où une qualité de vie amoindrie, comme le souligne une étude de l’association française de patients Vivre sans thyroïde. Car la France n’échappe pas au phénomène.
Sur les 10 000 cancers de la thyroïde diagnostiqués chaque année, seuls 4 000 méritent d’être traités tout de suite, selon le professeur Martin Schlumberger, endocrinologue à Gustave-Roussy (Villejuif), qui tire la sonnette d’alarme.
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En mai dernier, des chercheurs internationaux ont proposé de sortir les carcinomes papillaires de la classification des cancers pour que patients et médecins abordent différemment la maladie. Et se convainquent que parfois une surveillance active de la maladie suffit.
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J’avais un cousin qui est mort du cancer de la peau. Quand il était en fin de vie, les médecins voulait de nouveau l’opérer pour essayer une nouvelle technique sur lui, mon cousin à refuser car il en avait marre de souffrir pour rien et de servir de cobaye
De même que ma petite nièce de 11 ans, décédée il y a tout juste un an, d’une tumeur au cerveau à qui on a infligé un traitement qui me paraissait encore plus barbare que la maladie proprement dite.
Ainsi que mon père à qui il ont infligé une opération inutile 1 mois avant de mourir des suites d’un cancer généralisé et qui a fini par l’achever.
J ai un oncle qui a demandé le nom exact du medicament chimio… Il a eu des numeros de lots.
Et ensuite il a regardé droit dans les yeux le chercheur ou dr c est selon, lui a demandé de reciter le serment hypocrate(ne pas empoisonner le patient…) et lui a demande ensuite si il le ferait pour lui meme et sa famille…
Le temps qu il cherche une reponse, mon oncle s est cassé..
C etait il y a 8ans, poumons et reins touchés..l experimentateur ou dr c est selon ne lui donnait pas plus d un an sans traitement…
A quand l obligation de rajouter recherche experimentale au mot « service oncologique »???
Oui, c’est de la recherche, pas de la médecine…
Combien coûte une chimio? (enfin rapporte) La frontière est mince entre le profit et le bénéfice médicale du patient et son espérance de vie.
Je préfère mourir, à 120 ans cela va de soit. Même, avec quelques cellules, merdiques.
Dans la réalité, la décision est toujours difficile, risquée, incertaine (… c’est le moins que l’on puisse dire).
J’ai suivi les points de vu Salim Laïbi sur le sujet, qui a, sans aucuns doutes possibles, quelques compétences…
Pour lui, c’est clair, la chimio, dans le meilleur des cas, c’est 5 ans de suivi. Après, c’est le grand inconnu…
Cela me fait pensez au sketch de D. sur le cancer et les spécialistes de ce d’on ignore tout… A pleurer de rire, si ce n’était tragique…
Des fois, je me dis qu’il ne suffit pas d’être aussi si triste, pour que cela s’arrête. Pisser sur les maux, cracher à leur face, les snober, les ridiculiser. Parfois, certain médecin, disent que, c’est ce qui il y a de mieux à faire…
Bonjour,
Je trouve là des propos bien excessifs. Il existe effectivement des cancers d’évolutions lente voir très lente. Il existe des milliers de formes différentes de cancer, sur un même organe vous pouvez en avoir des dizaines de types différents.
D’abord en France en dessous d’une certaine taille de tumeur on n’y touche pas, on surveille, si il y a des modifications si cela est possible une biopsie est effectuée et seulement alors un traitement est proposé.
C’est le traitement standard en oncologie. Il est bien entendu que si la personne à des signes associés de gravité il est par défaut convenu qu’il ne faut pas attendre et agir, mais cela n’est en aucun cas obligatoire d’ailleurs ont vous fait signer un consentement éclairé avant tout traitement.
Il est bien évident que des cancers pourraient être laissé en place ou traités moins agressivement, c’est pourquoi les tumeurs sont analysées pour en déterminer le type et le grade. Mais c’est bien plus complexe que cela et au final une large part des morts du cancer sont due à un traitement trop tardif.
Chacun choisi en fait et ceux qui refusent tout traitement sont très rares.
Même si l’on sait que les chimios et les irradiations peuvent réduire l’espérance de vie. Il y a des personnes soignées du cancer il y a des dizaines d’années qui atteignent des ages très élevé, il y a des centenaires en pleine forme parmi les guéris du cancer.
On ne sait pas bien déterminer l’agressivité d’un cancer sans l’analyser et pas de bol une biopsie positive peut disséminer des métastases dans tout l’organisme. Le fait d’attendre quelques semaines de trop sur un cancer un peu agressif peut rendre le diagnostique péjoratif.
Il y a des progrès à faire c’est certain, mais n’allez pas trop réclamer l’absence de traitement, certains n’attendent que cela pour faire des économies sur votre dos. Les gens qui ont du fric se payent des dépistages inabordables pour le citoyen lambda et globalement ils vivent plus vieux que la moyenne
Merci de votre témoignage, mais bon on a le droit de mourir en souriant, ou en riant
Parler de progrès en parlant du cancer, progrès mon cul, faut être raisonnable, y’a aucun progrès pour l’instant.
Bon, quoi qu’il en soit, il ne faut pas avoir peur de partir.
Si, il y a beaucoup de progrés dans la recherche sur le cancer, mais le problème est que ces recherches sont, principalement, financées par les industries pharmaceutiques vu que nos politiciens s’en désintéressent complètement.
Faire financer des recherches pour guérir les malades par un secteur commercial qui gagne beaucoup d’argent grâce aux maladies est un exemple parfait de conflits d’intérêt !
Le médecin est, probablement, le seul à pratiquer une profession ou l’on perd son client lorsque celui ci est satisfait !
A noter que l’on retrouve le même mode d’action dans le progrès technologique ou l’on nous dit souvent qu’après chaque guerre la technologie fait un bond en avant du fait des recherches en matière de défense.
Raisonnement parfaitement absurde uniquement fait pour dédouaner les faiseurs de guerre !
L’industrie pharmaceutique n’a aucun intérêt à nous guérir mais nous soigner oh que oui.
Guérir, c’est connaître la cause. Y peuvent continuer à faire des recherches à la con zont pas fini de chercher. S’attaquer aux causes, c’est trop dur et ça paye pas.
Mais si, ils ont fait des progrés et même des énormes !!!
…Il y en a de plus en plus.
docteur,je viens vous parce que j’ai
le cancer du bras droit..
http://www.youtube.com/watch?v=fSf2w23NYOA
Déjà, la grande majorité des oncologues éviteraient la chimio s’ils avaient un cancer. Je crois que cela se passe de commentaires, non ?
Ensuite, les biopsies sont invasives par définition. Le cerveau la prend pour une attaque à l’intégrité (de son territoire, c’est comme cela qu’on dit en décodage). Donc il va réagir. Il a créé une masse pour compenser un manque. Manque de quoi ? Là aussi il faut le chercher par le décodage ou d’autres méthodes analytiques ou la lecture des mémoires du corps.
Bien sûr, s’il y a ablation avant que le conflit soit réglé, c’est encore pire. Le cerveau va créer une autre masse pour rétablir l’équilibre, du moins ce que son programme de survie appelle « équilibre ».
Quant aux creux, ils sont découverts souvent quand ils commencent à se reboucher car là, ça fait mal. Et quand ça fait mal on consulte.
Il faut du courage pour reprendre son pouvoir et refuser un traitement. Disons un traitement de la médecine dite conventionnelle. Pour cela, il faut travailler sur notre peur de mourir, sachant que, même avec un traitement de ce genre, l’espérance de survie n’est effectivement que de 5 ans. Sauf forces de la nature, et super moral puisqu’on sait que le moral a une énorme influence dans la maladie.
Donc, mourir pour mourir, … sauf qu’on espère toujours… Normal !
Mais il ne faut pas oublier qu’il existe aussi pléthore de médecines douces, souvent très efficaces, et il faut pouvoir se tourner vers des substances parfois interdites en France. A voir par exemple http://beljanski.org/francais/
Bref, cela demande de se prendre véritablement en charge.
Mon protocole (non mais pour qui je me prends ? ) serait:
– décodage biologique ou autre méthode permettant de trouver le conflit d’origine (régressions, Bio Textus, testing musculaire, sophrologie…)
– revoir complètement l’alimentation (végétarienne et bio) avec si possible périodes de jeûn, surveillées
– s’entourer de personnes joyeuses et voir des films gais, avoir des activités valorisantes et productives
– savoir que de nombreux cancers guérissent tous seuls et que plus ils sont tardifs (personnes âgées), plus longtemps ils mettent à se développer. On a le temps de mourir avant !
– travailler sur ses manques, ses peurs, méditer…
– savoir que, de toute façon, quand le programme doit s’arrêter, il s’arrête.
– avoir un suivi pour éviter/diminuer la souffrance, car elle est inutile et contre-productive au moral…
@Biquette
Vous n’avez pas tort lorsque vous évoquez les cancers qui guérissent seuls, disons plutôt qu’en permanence des cancers apparaissent et sont battus par le système immunitaire, vous avez aussi raison en invoquant une bonne hygiène de vie.
Sinon, il y a des composantes génétiques dans le cancer de mème si vous rencontrez certaines substances ou certains virus ou bactéries qui sans conséquence pour l’un sera désastreux pour un autre. Idem, pour les traitements naturels, si certains de vos gènes ne fonctionne pas ou mal avec ces substances, en interagissant avec certaines enzyme du foie ils peuvent vous tuer tout aussi sûrement qu’ils ne vous apporteront rien ou auront un effet positif. Il y a des différences inter individuels qui ne sont pas maitrisé.
Malheureusement, il n’existe rien de miraculeux qui marche pour tout le monde, tout au plus pour une fraction des individus, et pour d’autres cela peut être nocif. d’où de plus en plus de traitements individualisés
A te lire, j’en arrive a penser que c’est l’agression qui déclenche la réaction !
Or si le corps n’a jamais connu d’agression d’un certain type ( à un niveau inférieur d’intensité ) il ne produira pas de réaction !
C’est bien compliqué, la vie !
Mais au fait, à quoi sert’ elle ?
Totoche, pour moi, la génétique n’existe simplement pas, du moins dans la forme qu’on lui donne.
Lorsqu’un ancêtre a subi un gros traumatisme (sous les conditions découvertes par Hamer), il déclenche un cancer, pour rester dans le sujet. Mais ce traumatisme, s’il n’est pas réglé au fond, va se transmettre de génération en génération, justement par les gènes. Elles sont transmetteurs à ce niveau-là.
Exemple: pendant la guerre, un grand-père a été trahi par un membre de sa famille. Il en déclenche un cancer de l’intestin (vécu de crasse, de sal…rie). Il a ensuite des enfants. Il va transmettre ce choc émotionnel à ses enfants (on ne transmet que ce qu’on porte en soi, pour le meilleur et pour le pire).
Dans toute la descendance, il y aura des cancers du côlon (ou de l’appareil digestif). Pas systématiquement chez tous les membres de la famille, mais tous seront considérés comme à risque. Surtout – mais pas obligatoirement – si d’autres chocs du même genre étaient subi par d’autres personnes. Car lorsqu’il y a choc, on en retire un ressenti et une croyance: il faut se méfier de… par exemple. Sans parole, la transmission se fait.
Voilà pour moi ce qu’est la génétique. Régler le problème d’origine, c’est une priorité.
Pour ce qui est des méthodes douces, il me parait évident qu’il faut un suivi par un ou des thérapeutes ouverts et pas jaloux les uns des autres. Se sentir épaulé est très important. Mais pas pris en charge. Même malade, il vaut mieux éviter de confier son pouvoir à d’autres, si on le peut.
Code de la Santé Publique
Article L1111-4
Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des
préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses
choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre tout traitement met sa vie en danger,
le médecin doit tout mettre en oeuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Il peut
faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa
décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. Le médecin
sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à
l’article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne
peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l’article
L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
Lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, la limitation ou l’arrêt de traitement
susceptible de mettre sa vie en danger ne peut être réalisé sans avoir respecté la procédure collégiale
définie par le code de déontologie médicale et sans que la personne de confiance prévue à l’article
L. 1111-6 ou la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de
la personne, aient été consultés. La décision motivée de limitation ou d’arrêt de traitement est
inscrite dans le dossier médical.
Le consentement du mineur ou du majeur sous tutelle doit être systématiquement recherché s’il est
apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision. Dans le cas où le refus d’un traitement par la
personne titulaire de l’autorité parentale ou par le tuteur risque d’entraîner des conséquences graves
pour la santé du mineur ou du majeur sous tutelle, le médecin délivre les soins indispensables.
L’examen d’une personne malade dans le cadre d’un enseignement clinique requiert son
consentement préalable. Les étudiants qui reçoivent cet enseignement doivent être au préalable
informés de la nécessité de respecter les droits des malades énoncés au présent titre.
Les dispositions du présent article s’appliquent sans préjudice des dispositions particulières relatives
au consentement de la personne pour certaines catégories de soins ou d’interventions.
Malheureusement ce n’est pas toujours le cas. J’ai eu l’exemple ce soir même d’un récit par une personne âgée dont le fils est mort d’un cancer. Un jour, la poche qui a enveloppé un produit destiné au malade, est tombé de la blouse de l’infirmière. Il était inscrit: produit expérimental ! Personne n’était informé !
Comme je l’ai déja dit.
ILS NE GUÉRISSENT PAS,ils soignent.(le + longtemps possible,de la naissance à la MORT)
En + ils créent des maladies (SIDA et autres )
En Psychologie IDEM,troubles de l’attention ETC ETC.
Bref,en Bonne santé t’est terroriste.
En gros c’est ça RTB. Je laisse de côté les « vrais » toubibs.
D’ailleurs, soigner peut s’écrire aussi: soi nier ou encore nier le soi. N’oublions pas que nous sommes des numéros de dossiers, des patients. Un patient patiente et se la ferme.
Quand on nie le soi, on ne prend pas en compte la globalité de la personne. On voit une maladie et on tente de la faire disparaître des écrans radars. Point.
D’où mon approche holistique, qu’on peut aisément adapter à chaque personne selon son ressenti, son vécu, ses capacités, …
OUEP
Guérir est suicidaire pour les médecins et les Usines pharmas,une rente protégée par le Numerus clausus.(Limité le nombre prédateurs)
Bien sur,il existe des gens qui guérissent, sont considérés comme hors la loi.
je pensais au prof Joyeux et à d’autres qui sont interdits de pratique.
ouche…
désolé de cette ajoute qui aurais du faire partie du poste avant,2 en 1 ,bof.
C’est un sujet assez délicat et il n’y a aucune vraie bonne solution mais un mélange de solutions possible.
La chimio oui dans certains cas (mais de la vieille chimio celle dont on sait qu’elle marche, pas des produits expérimentaux qui doivent être utilisé en dernier recours et encore si on le veut vraiment). par exemple chimio + jeûne avant/après + régime adapté après chimio+ psychologie+prières.
Et surtout une solution dans laquelle on croit dans ses chances de guérisons.
Vous me faites bien rigoler avec vos faux toubibs, vos complots et vos refus de traitement…
On en reparle le jour où vous serez concernés, OK ?
Perso, un lymphome à 29 ans. Une maladie dont je serai morte quelques dizaines d’années plus tôt, mais que les médecins et la chimio savent très bien guérir aujourd’hui.
Sur les conseils de gens bien intentionnés, j’ai consulté un homéopathe pendant l’année de ma maladie, pour « m’aider à supporter le traitement ». Il m’a fait poireauter une heure dans sa salle d’attente, alors qu’il était seul dans son bureau (il rangeait ses papiers ?). Ca ne m’a pas « aidé », ca m’a bien gonflé et je me suis frittée avec lui…
Bref, chimio, radio, 20 années et 2 enfants plus tard, je suis toujours là. Heureusement qu’internet n’était que balbutiant, et que je n’ai pu lire vos inepties à ce moment là….
Merci de vos informations vécues.
Êtes vous encore sous traitement svp ?
C’est juste une question sans arrières pensées ,il y a parmi les rebouteux d’authentiques scélérats comme chez les diplômés assujettis aux lobbying pharmaceutique.
non. Le traitement a duré quelques mois (chimio 6 mois, radio : 5 semaines). Depuis plus rien. des contrôles les premières années. Je suis guérie.
Et c’est pas grâce à des rebouteux, mais bien grâce à la chimie, aux médecins et aux sciences « dures ».