Le PS contribuerait-il à lutter contre le chômage….en Roumanie? Oui, puisqu’ils ne semblent pas dérangés par l’emploi de salariés roumains pour assurer la mise en place du mobilier, et le nettoyage des lieux. Ce sont 10 employés low-cost venus de Roumanie qui n’affèrent pour le bonheur du parti socialiste qui va expliquer qu’ils doivent lutter contre le chômage….des français, et ces 10 employés reviennent donc moins chers puisque s’ils sont rémunérés suivant les normes françaises, les cotisations sociales sont celles de leur pays d’origine, la Roumanie, ils reviennent donc moins chers.
Techniquement, le PS a confié ces taches à une société française comme l’a expliqué le site France Bleu à l’origine du scandale, mais cette même-société a sous-traité à une entreprise roumaine. Pour le Parti Socialiste, il n’y a ni polémique ni scandale, la loi a été respectée, point! Belle logique!
Source de l’image: Pauvrefrance.centerblog.net
À noter le petit couplet sur les travailleurs détachés en France, une paille qui ne rivalise en aucun cas avec ceux qui souhaitent travailler en étant français, puisqu’il nous est expliqué ceci: « En 2013 les salariés détachés représentaient l’équivalent de 32 000 temps plein en France. Entre 2012 et 2013 leur nombre a augmenté de 12%. En 2013, 6.010 salariés détachés ont été employés en Poitou-Charentes. On les retrouve principalement dans trois secteurs : le BTP, l’emploi temporaire, et l’hôtellerie restauration ».
Petite rectification avec cet article du quotidien Le Monde:
Le nombre de travailleurs détachés présents sur le territoire français a de nouveau fortement augmenté en 2014. Selon un bilan provisoire, qui doit être présenté à la Commission nationale de lutte contre le travail illégal, jeudi 12 février, mais dont Le Monde s’est procuré une copie, 230 000 travailleurs détachés ont été déclarés aux autorités en 2014, contre 212 600 en 2013. Les travailleurs détachés sont employés en France par des sociétés basées dans d’autres pays de l’Union européenne.
Plus d’informations sur le sujet ayant été données ici.
Et rappelons au passage cet article du blog qui expliquait un peu que non, le gouvernement (mais également les précédents) ne luttent pas contre le chômage, loin de là!
Il y a pourtant deux choses dont le gouvernement, ni aucun politique d’ailleurs, ne nous parlent: les emprunts toxiques et l’accord TISA, deux trahisons qui vont faire exploser le chômage à un niveau jamais égalé en Europe. Nous en sommes en pleine stratégie financière américaine pour bien s’emparer des multiples business en France. La première étape était d’affaiblir financièrement l’ensemble des institutions françaises, les communes et hôpitaux. Pour cela le mieux était le piège des emprunts toxiques qui ont été largement distribués.
Jugez de la perversité:
Les banques ont proposé un type d’emprunt complètement toxique puisque dangereux pour les comptes de ceux les ayant souscrit, les taux d’intérêts étant variables. Bien sûr, ce type d’emprunt à été reconnu complètement illégal, mais qu’importe, le gouvernement socialiste a fait passer une loi pour protéger les banques des éventuelles attaques devant des tribunaux, puisque la tentative de corruption du gouvernement n’a pas fonctionné. Le nombre de victimes est colossal: la quasi-totalité des hôpitaux (dont la grande majorité est proche du défaut de paiement), des communes, des services publics… Et donc, l’endettement colossal de chacun pousse à adopter des mesures d’austérités, et vlan, chômage à la clé! Et au fait, savez-vous au bénéfice de qui? Des banques américaines entre autres banques, et de la Dexia en partie privatisée par l’état français, état qui touche chaque mois sur ces emprunts.
Donc, l’ensemble est pratiquement ruiné, les mesures d’austérités se multiplient avec la complicité du gouvernement qui a protégé les banques criminelles pour le coup, comment lutter contre le chômage avec une aussi mauvaise foi? Quand aux communes, institutions et hôpitaux endettés, leur histoire ne s’arrête pas là pour autant, il reste la privatisation: l’accord TISA qui fait partie intégrante des accords de libre-échange, donc du traité transatlantique.
Une fois que l’ensemble est totalement endetté et qu’il n’y a plus d’autres choix, il y a la privatisation, seul moyen de sauver quelques meubles, et ces privatisations sont voulues et programmées avec l’aide du gouvernement et des atlantistes politiques que nous avons, cela fait partie de la « stratégie de sabotage »:
Pour obtenir facilement le consentement de l’opinion pour la privatisation des services publics, la stratégie la plus souvent utilisée consiste à organiser préalablement le sabotage des services publics, afin que leur inefficience puisse servir de prétexte à leur privatisation. Cette stratégie a été massivement appliquée dans les secteurs de la santé et de l’éducation.
Voici ce que l’on peut lire à propos de l’éducation publique dans un document de l’OCDE, l’organisation des Maîtres du Monde qui est également à l’origine de l’AMI:
« Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles et aux universités, mais il serait dangeureux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement.
Cela se fait au coup par coup, dans une école et non dans un établissement voisin, de telle sorte qu’on évite un mécontentement général de la population.«Plus dans cet article
L’accord TISA en quelques lignes:
Un groupe de 21 États négocie à huis clos un nouvel « accord commercial »(TiSA: Trade in Services Agreement ou ACS: Accord sur le commerce des services). Il comprend notamment les États-Unis, le Canada, l’Australie, le Japon,l’Union européenne ainsi que la Suisse. Ce groupe porte le nom de « Really Good Friends of Services » (ou: les vrais bons amis des services). L’intention des négociateurs est avant tout de défendre les intérêts des grands groupes d’entreprises. Selon cet accord, toutes les prestations de service, notamment celles du domaine des services publics, devraient être soumises aux obligations d’accès aux marchés mondiaux.
Pourquoi des négociations secrètes et séparées?
Les négociations ont été menées à huis clos et en dehors des structures de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Même le secrétaire général de l’OMC a été exclu des négociations sur l’accord TiSA. Au cours de ces dernières années, les pays du Sud membres de l’OMC ont fait preuve d’une plus grande assurance et ont formulé des revendications envers les pays industrialisés : si on attend d’eux qu’ils ouvrent leurs marchés aux prestations de service des pays industrialisés, ils exigent en contrepartie l’accès aux marchés des pays industrialisés pour leurs produits agricoles. Les pays du Sud posent aussi des exigences concernant la protection des brevets ou en rejetant le brevetage de gènes issus de plantes tropicales par des multinationales pharmaceutiques. Par le biais de négociations séparées, menées en dehors de l’OMC, on a tenté d’écarter les pays du Sud.
L’accord TiSA devrait être élaboré conformément aux desiderata des riches pays industrialisés, et forcer de fait tous les autres pays à appliquer ces règles.Commercialiser le monde?
Catastrophe 1 : Listes « négatives » ou listes des services à exclure. Selon l’accord TiSA, chaque État partie à l’accord doit dresser la liste de ses services qu’il souhaite soustraire aux obligations d’accès aux marchés.
Cela signifie que pour tous les services ne figurant pas sur la liste des exceptions, l’ouverture du marché est obligatoire. Une source d’énergie aujourd’hui encore inconnue serait donc inévitablement soumise à l’obligation d’accès aux marchés, et il ne serait plus possible de prévoir pour cette dernière un monopole étatique par analogie à l’électricité. D’autres types de prestations de services qui n’existent pas encore et qui, pour cette raison, ne figurent pas sur les listes des exceptions, seraient également soumis aux obligations d’accès aux marchés.Catastrophe 2 : Clause « ratchet » ou clause de « cliquet ». L’accord TiSA prévoit qu’une fois une ouverture de marché effectuée, elle est irréversible. Même si cette ouverture devait se solder par un échec complet, la possibilité d’annuler une déréglementation introduite serait exclue définitivement.
Catastrophe 3 : Clause « standstill » ou clause du statu quo. Selon l’accord TiSA, le niveau de régulation existant au moment de la signature de l’accord ne pourrait plus être relevé par la suite. Si, par exemple, un canton ne dispose pas de loi limitant les heures d’ouverture des magasins à la signature de TiSA, on ne pourrait plus restreindre au niveau légal les heures d’ouverture des magasins dans le futur.
Ce principe s’applique également à d’autres restrictions, par exemple à celles limitant la vente d’alcool ou de tabac. Dans les magasins de la chaîne américaine Walmart, on peut aujourd’hui déjà acheter des armes. Cette compagnie s’imagine certainement qu’elle pourrait appliquer le même principe dans des magasins en Suisse, dans le cas d’une implantation de ses activités dans notre pays.Catastrophe 4 : Clause « future-proofing » ou clause de pérennité. Selon l’accord TiSA, toute nouvelle prestation de service qui n’est pas encore inventée aujourd’hui serait automatiquement soumise aux obligations d’accès aux marchés. Mais, les personnes vivant au 18ème siècle, pouvaient-elles prévoir que nous aurions besoin à l’avenir d’un réseau électrique étatique et que nous ferions fonctionner des services publics? Pouvons-nous déjà connaître les prestations des services publics dont nous aurons besoin dans 10 ans, 20 ans, 100 ans? Et savons-nous déjà comment nous voudrons organiser ces services: sous forme de monopoles privés ou de services placés sous la responsabilité des pouvoirs publics?
Si TISA existait déjà…
TISA en 1850 : en 1850, les réseaux d’électricité n’existaient pas encore. Si l’accord TiSA avait été signé à cette époque, il n’aurait pas été possible de construire des réseaux publics, et l’électricité aurait obligatoirement été gérée par des entreprises privées. Les lignes de chemin de fer n’existaient pas non plus en 1850. Si l’accord TiSA avait été signé cette année, les services publics actuels n’existeraient pas.
TISA en 1950 : durant les années de boom économique qui ont suivi la Deuxième guerre mondiale, il n’y avait pratiquement pas de chômage en Suisse. Dès lors, il n’est pas étonnant que notre pays ne dispose pas encore d’une assurance-chômage obligatoire dans les années 1950. Si l’accord TiSA avait été signé à cette époque, il n’aurait jamais été possible d’introduire l’assurance-chômage que nous connaissons actuellement.
TISA en 2003 : en 2004, la population du Paraguay impose par la voie d’un référendum la reprise en gestion publique du système d’approvisionnement en eau jadis privatisé, ainsi que l’ancrage dans la Constitution de l’accès à l’eau en tant que droit humain. Si TiSA avait été signé en 2003 par le Paraguay, le référendum sur l’eau n’aurait plus été possible. Des multinationales telles que Veolia Environnement ou Nestlé auraient pu imposer avec succès la privatisation du système d’approvisionnement en eau dans ce pays.
TISA en 2014 : des coups d’État militaires sont encore possibles de nos jours et, moyennant le paiement d’un pot-de-vin de quelques millions, on trouve aussi de nombreux chefs d’État corrompus prêts à signer en faveur d’une ouverture de marché. Si TiSA était en vigueur, de telles signatures ne pourraient plus être annulées, même par un nouveau gouvernement démocratique et non corrompu, élu ultérieurement. Aussi désespérées que puissent être les situations de plusieurs villes de Grèce ou de Hongrie, où l’approvisionnement en eau a été privatisé sous la pression des programmes d’économies, il ne serait plus possible de faire marche arrière et supprimer ces déréglementations si TISA était déjà appliqué.
Si TISA était déjà en vigueur maintenant… en Suisse
2021 – aucune souveraineté sur la protection des données. La Centrale de compensation AVS à Genève veut sauvegarder ses données dans une base « Cloud » externe, en fixant cependant comme condition que le serveur de données soit localisé en Suisse. Le groupe Google dépose plainte contre la Suisse: « La directive selon laquelle le serveur de données doit être localisé en Suisse représente une limitation injustifiée de l’accès au marché. »
2022 – plus de loi sur les heures d’ouverture des magasins. Dans un canton, les citoyens acceptent une initiative populaire cantonale demandant la réintroduction d’une loi sur les heures d’ouverture des magasins, bien qu’une loi similaire ait été abolie quelques années auparavant.
Le groupe Walmart dépose plainte contre la Suisse: « L’introduction d’une loi cantonale sur les heures d’ouverture des magasins constitue une élévation illégale du niveau de régulation ».Il s’agit, certes, des situations inventées, mais néanmoins réalistes dans le cas où la Suisse signait l’accord TiSA qui fait actuellement l’objet de négociations à Genève.
En France ou ailleurs, en serait-il autrement ?
Source: Stop Tafta via Sott.net
Vous l’aurez compris, la volonté du gouvernement pour lutter contre le chômage n’existe pas, et celui-ci ne peut qu’exploser. Il n’y a aucune surprise si celui-ci augmente inexorablement, c’est une volonté au nom de l’argent et du profit, dont celui des Etats-Unis principalement…
Il n’y a plus rien pour les Français ! Nos petits enfants, une fois leurs diplômes obtenus obtiennent un emploi à l’Etranger.
La France est occupée et l’OTAN est déjà chez nous avec ses alliés les plus sûrs que j’éviterais de nommer ici.
Salut SURICATE et tous,
Je t’invite à sortir de cet égrégore captieux. Les alliés les plus sûrs sont ceux unis par des desseins sains, par l’Amour…
Ceux optant pour la cupidité (etc.) sont en réalité les plus faibles. Colosse aux pieds d’argile, si fragile…
« Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l’entraide et la solidarité visant à un but commun : l’épanouissement de chacun dans le respect des différences. » ( Françoise Dolto )
Françoise Dolto. Cela, elle aurait du commencer par donner une éducation digne de ce nom à son gosse, au lieu de s’occuper de celle des autres.
…Certes très réducteur, mais au combien vrai .
Mare des donneurs(es) de conseils qui dans la vrai vie font tout l’inverse.
Et moi je connais une république criminelle d’ ********s faisant partie de l’OTAN que j’éviterais de nommer ici et ayant pour citoyens des veaux votant toujours pour les mêmes connards. C’est à ces ********* de politicards de merde, ces patrons voyous, ces pourritures abjectes de financiers cravateux qu’il faut s’en prendre et pas à ces gens. J’ai moi-même travaillé à l’étranger, à Londres pour être plus précis et j’ai fréquenté ces gens là, je ne leur en veut pas du tout, je sais maintenant comment ça se passe, se sont d’abord des victimes du système, la société qui les embauchent les envoient en mission pour quelques semaines ou quelques mois vers d’autres pays pour des salaires de misères et s’ils sont pas contents c’est la porte directe, on ne leur demande pas leur avis. Alors au lieu de nous parler de l’OTAN tu ferais mieux de combattre le bon combat à savoir la finance ********* internationale (esclavagiste et multiculturaliste) responsable de tous nos maux et cessez de faire l’idiot en regardant le doigt au lieu de regarder la lune.
**Modération**
La vulgarité dans les propos n’apporte rien.
Ces gens là ne ratent pas une seul bourde, et en plus ils s’enfoncent en disant que la loi a été respectée.
Et les principes ?
enfin…heureusement, les plugs n’ont pas d’épines !
Ils ont voulu une Europe unie pourquoi ne donnent-ils pas maintenant un salaire équivalent à tout les pays d’Europe.
Quand on pense qu’un Roumain gagne pour 4 mois de travail en Allemagne ou en France l’équivalent d’une année de salaire dans son pays, on comprend qu’il est plus intéressant pour eux de venir chez nous.
Quant à nous, qui veut de nos produits sortis d’usines trop cher ? personne ! et pour créer de l’emploi les entreprises doivent trouver de la demande, or la concurrence économique dans le monde ne manque pas.
En France une minorité de bobo veulent un train de vie luxueux mais à cause de ça, nos entreprises ne peuvent plus se permettre le luxe d’embaucher un salarié Français Sicard à 3.000 euros brut par mois.
Alors l’état acquiesce sur l’embauche des travailleurs étrangers pour ne pas perdre le peu d’entreprises qui entretiennent encore ce système de nanti goulu qui ne cherchent pas à sortir la France de l’impasse.
Putain c’est vraiment des bras cassés les mecs !!!
Oh les nazes, se faire pécho sur un scandale comme ça !!!
Ils sont mauvais jusqu’à la moelle !!!
Bêtes, malhonnêtes et alors là c’est une évidence: de la quintessence de guignols !!!!!!
« lutte contre le chômage »
oui ,
ils ont bien déclarés la guerre aux salariés,aux chômeurs
et dans cette chaine de misère,tous les prolétaires sont attendus,afin que le statut de politicien soit vendu comme un grand cru,tant attendu
Le chômage à baissé de 0,1 % depuis juillet et le gouvernement s’en félicite. Mais de qui se moque-t-on ! A quand « le nombre de radiation » provisoire ou définitive chaque mois, sans compter que juillet août c’est la période des travaux saisonnier d’été et qu’en septembre rebelote, le chômage aura augmenté de plus belle comme chaque années.
Pas dit qu’il ne continue pas à baisser.
200 agents de contrôles vont entrer en jeu.
Si chacun d’eux radient par exemple 3 personnes/jour…
on dit 22 jours ouvrables * 3 radiés * 200 contrôleurs = 13200 chômeurs en moins/mois.
Ajoutez à ça les nouveaux modes de calculs en jeu depuis 2 mois et le chômage va baisser si tout ne se délite pas plus…
Ajoutez à ça une bonne dose de propagande de statistique bidons et on est bon…
Je signale qu’il y a 450 000 offres sur pôle-emploi.fr et la plupart sont bidons parmi celles proposées par les sites dits partenaires.
le blème, c’est que les « citoyens » votent pour ces blaireaux
http://www.youtube.com/watch?v=QPPbIY9eqpA
bonjour les ME, quand je lis ce torchon, qui est déjà saturé de leurs crasses, et qu’un acrobate qui porte le nom d’une danse, sous fifre d’un fromage à pâte mole,j’ ai parfois envie d’essayer d’être végétarien. Petite histoire qui hélas se répète.J’ai travaillé en Allemagne ,je suis ,soudeur,j’avais à l’époque un taux horaire de 17,50 mark de l’heure, je vous passe mes qualifications(nucléaire gaz pétole etc etc pour les pros se reconnaîtrons de ce blabla).Pour en venir à: »Des soudeurs yougoslaves à valeurs égales étaient payer à… environ 6 dm en plus ils étaient facturés comme nous .C’est dire que la boite qui s’en servait comme esclaves se gavaientt,de plus le logement… et les horaires, société yougoslaves chefs et le reste allemand discipline serrée et j’en passe .Voila ce que des enfoirés appliques sans vergogne hier aujourd’hui mais demain AIE rien n’a changé , si ce n’est qu’il y aura toujours de rêveurs qui voteront l’illusion mais cela quand ils ont le manche à balaie dans le derrière ce sont les premiers à crier que ça fait mal, bien sur ça n’engage que moi. A plus le ME
Petite suite d’images
Moi,je suis ecoeure quand je lis un tel rapport:
Les pouvoirs d’une dictature qui ne se cachent plus.
Coeuré (BCE): le « projet irréversible » de la zone euro démontré par la crise grecque
AFP le 27/08/2015 à 18:09
La crise grecque a démontré que « la zone euro était un projet irréversible », a estimé jeudi Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, défendant l’utilisation du Mécanisme européen de stabilité (MES) comme fondation à un « Trésor de la zone euro ».
« La zone euro est un projet irréversible, pas simplement un système de taux de change fixe. Cette affirmation est d’autant plus nécessaire que les récentes négociations avec la Grèce ont laissé échapper de sa lampe le mauvais génie d’une sortie de la zone euro (même temporaire) », a estimé M. Coeuré, selon le texte de son discours devant les ambassadeurs réunis à Paris publié par la banque centrale européenne.
« Nous devons utiliser la confiance dans la monnaie unique pour construire des institutions qui renforceront la cohésion de notre union politique et économique », a indiqué M. Coeuré aux diplomates.
Cette « cohésion » revenant à davantage de « décisions partagées », donc d’abandons de souveraineté, rend nécessaire l’enrichissement du cadre institutionnel actuel « pour achever l’Union économique et monétaire dans les domaines financiers, budgétaires et économiques », a-t-il poursuivi.
Depuis sa création, l’Union européenne voit deux courants s’affronter à chacune des crises qui la secoue: les partisans de l’intergouvernementalité où les principales décisions sont prises au niveau national et ceux du fédéralisme, qui abandonne davantage les prérogatives des Etats à une institution supérieure, responsable devant le parlement européen.
Pour gagner en efficacité, M. Coeuré suggère de s’appuyer sur une institution déjà existante, le MES, pare-feu financier de la zone euro, opérationnel depuis octobre 2012.
Insistant sur son « impressionnante réussite », M. Coeuré anticipe qu’il pourrait servir de fondation à un « Trésor de la zone euro », à condition de le placer sous l’égide des traités européens et sous le contrôle du Parlement.
Fonctionnant comme un outil capable de collecter de l’argent dans les différents Etats pour le reverser aux pays rencontrant des difficultés financières, avec également la capacité d’investir – qui n’a pas encore été utilisée -, le MES participe déjà aux négociations par exemple avec la Grèce.
M. Coeuré y voit la possible base institutionnelle à la création d’une union budgétaire, chapeautée par un « ministre des Finances de la zone euro ».
Il a également souligné que la finalisation de l’union bancaire était essentielle à court terme, avec notamment la mise en place progressive de la garantie des dépôts en Europe, accompagnée de réformes séparant « une fois pour toutes » la solvabilité des banques de celle des Etats.
Dans la construction d’un projet économique commun et intégré, M. Coeuré a cité les mots-clés « productivité » et « taux d’emploi », des concepts positifs, et non pas « compétitivité ». « Les pays participants ne soutiendront pas la croissance de la zone euro en convoitant les parts de marché de leur voisin », a-t-il estimé.
A quelle especes d’Europeens appartenez vous???
-les europhiles qui ne comprennent rien ou en ont perdus le fil ou sont complices.
-Les euros….fosse..sceptiques qui se contentent seulement de critiquer en n’apportant surtout pas la solution simple.
-Les europhobes allergiques sans savoir mais ayant la bonne intuition.
Et enfin les souverainistes qui ont tout compris et veulent utiliser la cle no 50 cachee dans le traite de Lisbonne pour une sortie unilaterale de cette Europe mortifere.
On peut etre dans l’UE sans etre dans l’Euro mais pas son contraire
Contrairement a ce que pretend ce monsieur ecoeurant on peut sortir de l’Euro en sortant au prealable de l’UE et pas sans ni son contraire.
Bof,tant que les gens se laisseront appelés/pucés, CHÔMEURS,INACTIFS,SANS EMPLOIS,et qu’ils feront la file aux distributeurs pour revendiquer le DROIT au travail ??hahah.
Il y en a qui votent ,oui,oui.
Bien le bonjour à ton pote ..
J’ajoute qu’être traité d’inactif est une INSULTE .
Et oser encore le terme PS en est une autre!
Alexis Tsipras ,la baudruche au service de l’oligarchie s’est degonflee.
La presidente de la cour supreme de Grece nommee 1ere ministre par interim.
La comedie continue…..
http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/08/27/grece-la-presidente-de-la-cour-supreme-nommee-premiere-ministre-de-transition_4738617_3214.html
Hehehheeh les moutons ,c’est cela que vous voulez pour la France??
Prenez vos vraies responsabilites et cessez de vouloir fuir le systeme il vous rattrapera tot ou tard.
Arretez de gemir a longueur de commentaires insipides car vous ne faites que vous gargariser avec vos propes mots de soi-disant dissidents qui rouspetent avec chacun sa petite solution dans son petit coin.
C’est pitoyable et desolant!!!
Savez vous que vous faites le jeu du systeme que vous ne cessez pourtant pas de critiquer.???
Un peu de courage affrontez le…..
il existe pourtant une solution qui meriterait tout votre interet.
Mais vous preferez la fuir en la tournant en derision……alors que la derision et la deraison sont de votre cote.
Vous croyez savoir ou pretendez savoir mais, en fait ,vous ne savez montrer que des capacites d’analyse indeniables mais vous manquez, par contre, cruellement d’esprit de synthese afin d’en conclure,qu’elle est la meilleure action a mener.
Toute autre option que la sortie del’UE,EURO,OTAN ne sont qu’illusion de solution.
Souhaitez vous continuer a faire le jeu du systeme????
Sur terre ,il n’existe aucun lieu qui puisse echapper au controle du N.O.M….oui,oui,….alors commencons ensemble par gravir la 1ere marche qui est la sortie de l’UE.
Entièrement d’accord avec toi !
Exigeons la convocation d’une Assemblée Constituante issue d’un Tirage au Sort !
Changeons de Constitution, réformons nos Institutions en intégrant le Tirage au Sort et le Mandat Unique à Vie.
Et nous serons en situation de sortir de l’Europe, de l’Euro, et de se poser en modèle mondiale.
oui faisons le ,
soyons unis et nous changeront les choses.
le NOM nous laissera faire ,
il n’y aura aucune pression.
il suffit de dire non et l’histoire est réglé.
tous au bureau de vote ,
nous sommes 777000 moutons éveillé contre 60 millions d’endormi qui regarde tf1 and co.
donc nous avons nos chance ,
si nous sommes utopistes…
Tiens? Je ne voie pas de commentaire d’un certain mouton pourtant très prompt d’habitude a venir défendre le PS.
hahaha
lorsqu’un socialo viendra sonner à ma porte avant les élections, hahahah, il sera tres tres bien reçu!!!!
je lui dirais que j’irai voté pour un roumain plutot que pour un socialo^^
LOL