Un gaz à effet de serre 7.000 fois plus polluant que le CO2 détecté dans l’atmosphère…(Mise à jour 18h00)

 Mise à jour sur l’article déposé par Voltigeur, hier et qui ne faisait que relayer un article circulant dans toute la Presse, tant nationale, qu’internationale

Lundi, des chercheurs de l’Université de Toronto qui ont annoncé avoir détecté un nouveau gaz à effet de serre hautement résistant dans l’atmosphère. Le perfluorotributylamine  (PFTBA) est un gaz artificiel, utilisé notamment dans la fabrication d’équipements électriques et électroniques. Selon les analyses des chercheurs de Toronto, le PFTBA a l’effet radiatif le plus puissant de tous les gaz que l’on retrouve dans l’atmosphère.

Un impact de loin supérieur au CO2

Le PFTBA n’a pas été répertorié jusqu’à présent dans la famille des gaz à effet de serre persistant, dont est notamment issu le dioxyde de carbone (CO2), mais en comparaison, sur une période de cent ans, son impact sur le réchauffement climatique est de loin supérieur au CO2, avancent ces chercheurs.

Le même effet que 7.100 molécules de CO2

Une seule molécule de PFTBA dans l’atmosphère a le même effet que 7.100 molécules de CO2, remarque notamment Cora Young, une chimiste de l’Université de Toronto.

Aucun agent capable de l’éliminer

De plus, ce gaz a une très longue durée de vie dans la basse atmosphère avant de se dissiper dans les couches les plus élevées et on ne connaît aucun agent capable de l’éliminer, affirment les cinq scientifiques responsables de cette étude.

Ils préconisent une étude plus approfondie

D’après cette étude publiée dans la revue Geophysical Research Letters, le PFTBA s’inscrirait dans une nouvelle classe de gaz effet de serre persistants. Ils préconisent une étude plus approfondie pour établir leur impact réel sur le climat.

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Suspecte qu’est cette déclaration ! Voici pourquoi :

Selon l’article, « Ce gaz a une très longue durée de vie dans la basse atmosphère avant de se dissiper dans les couches les plus élevées … » ensuite « D’après cette étude publiée dans la revue Geophysical Research Letters, le PFTBA s’inscrirait dans une nouvelle classe de gaz effet de serre persistants.« et, « on ne connaît aucun agent capable de l’éliminer »

– Durée de vie très longue Dans une telle déclaration pourquoi n’y a-t-il pas suffisamment de preuve et plus encore une durée de vie de ce gaz, même approximative ?

– Persistance Alors que ce gaz reste cantonné dans la basse atmosphère où il a peu d’incidence sur le climat, il se dissipe dans la haute, où il n’a plus d’action sur le climat.

– Aucun agent capable de l’éliminer Pourquoi, puisqu’il se dissipe de lui-même.

Trop de controverses dans cette déclaration pour qu’elle soit entièrement honnête et impartial.

Il semble que les pro du réchauffement anthropique ne savent plus quoi trouver pour justifier leur errance face à la montée de preuves de plus en plus évidentes que le phénomène ait une origine plus naturelle qu’humaine. Visiblement, ils ont trouvé un nouveau créneau à responsabiliser, la technologie électronique (hausse de prix et rendre inaccessible).

Ne perdez surtout pas de vue que le réchauffement est un « business ». Il a été instauré pour vous faire « peur » et vous « contraindre » à investir et a payer du « vert » et du « durable » qui, il faut bien se rendre à l’évidence, reste hors prix, et n’est pas toujours moins polluant.

Je n’ai jamais dit non plus que nous n’y avons pas contribué, mais pas du tout dans les proportions qu’on s’évertue à nous imposer de croire !!

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Plus encore suspecte avec cette précision importante (sujet de la mise à jour) :

Elle m’a été apportée dans un commentaire sur mon blog et émanerait selon les dires de l’auteur, d’un chimiste. Suite à cela, j’ai eu confirmation des propos ci-après, ce qui signifie clairement que cette annonce venant de prétendus chercheurs de l’Université de Toronto, est fausse. Preuve supplémentaire (s’il en fallait encore) de tous les mensonges qu’on nous sert à propos de GES :

« La perfluorotributylamine, (nom féminin comme pour toutes les autres amines) n’est pas un gaz. C’est un liquide doté d’un point d’ébullition élevé (180 °C environ). C’est un liquide lourd : densité : 1,883. Il n’a donc aucune tendance à s’évaporer, sauf en le chauffant très fort, on ne voit pas très bien où en est l’utilité. Mais, si on arrive à le faire passer à l’état de vapeur, il ne pourra jamais s’élever dans l’atmosphère du fait de sa masse molaire : 671 g qui fait qu’il est 23 fois plus lourd que l’air !

On peut donc être tout à fait tranquille : ce produit ne deviendra jamais un gaz à effet de serre important, même avec un pouvoir 7000 fois plus élevé que celui du CO2. »

2 Commentaires

  1. pour survivre homosapiens destructor à besoin : d’une eau pure, une terre non polluée, de l’air sain et du bon vieux soleil….se sont les éléments vitaux….tout va très bien madame la marquise…..

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