La France bientôt obligée de cultiver le maïs MON810 ?

Cela continue, les lobbys qui devraient normalement être condamnés continuent de vouloir nous imposer leur merde  produits d’avenir OGM…

(Crédit photo : Tamburix – flickr)
Pas valable. Les experts européens ont décrété que l’argumentation de la France pour interdire la culture de cette céréale n’avait pas de fondement scientifique. L’UE pourrait ordonner à Paris de lever le moratoire.

Fraîchement arrivé au ministère de l’Agriculture, Stéphane Le Foll a rappelé ce mercredi sur LCI, être « contre les organismes génétiquement modifiés ». François Hollande avait déjà pris position avant l’élection pour le maintien du moratoire qui suspend la culture du maïs MON810. « Nous ferons tout pour le maintenir », a confirmé le nouveau ministre de l’Agriculture.

Deux jours plus tôt, la Commission européenne annonçait qu’elle pourrait ordonner à la France de lever l’interdiction visant les souches de maïs génétiquement modifiées du géant américain Monsanto. L’Union européenne ne devrait cependant pas trancher avant le réunion des ministres de l’Environnement au Luxembourg le 11 juin.

La prise de position de la Commission suit un avis de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa). Lundi, celle-ci affirmait que la France n’avançait « aucune preuve scientifique démontrant un risque pour la santé humaine ou animale ou pour l’environnement ». Et que rien ne justifiait l’adoption de mesures d’urgence.

Le maïs MON810, ça s’en va et ça revient

Le statut du MON810 est complexe. Seule céréale transgénique autorisée dans l’UE, elle est disponible à la consommation en France, sous réserve d’étiquetage précis. Sa culture sur les terres françaises est, elle, bannie. Un statut étrange hérité d’incessants va-et-vient.

En novembre dernier, le Conseil d’Etat avait suspendu l’interdiction de commercialiser et de cultiver ce maïs en place depuis 2008. Comme l’Efsa, le Conseil estimait qu’un moratoire n’était pas justifié. En mars, Paris avait réussi à réintroduire un moratoire mais uniquement sur la culture de ce maïs génétiquement modifié.

Une victoire pour les opposants aux OGM remportée après un interminable bras de fer. Fin janvier, une centaine de militants anti-OGM avaient occupé les locaux de la multinationale Monsanto à Trèbes (Aude). La ministre de l’Ecologie de l’époque, Nathalie Kosciusko-Morizet, avait alors annoncé que la mise en culture de ce maïs serait interdite par une clause de sauvegarde. C’est-à-dire que vu les circonstances de doutes qui pèsent sur les risques de cet OGM, les autorités s’octroient le droit de cesser son exploitation. En mars, Bruno Le Maire, alors ministre de l’Agriculture au sein du précédent gouvernement, suit les recommandations de Nathalie Kosciusko-Morizet et introduit le moratoire. Pour lui, il s’agit d’une « mesure conservatoire » destinée à « protéger l’environnement ». Il affirme par ailleurs que cette décision a été prise « en raison de la proximité des semis ». En clair, du risque de contamination aux autres cultures.

L’OGM et la science, quinze ans de mariage

Pas de chance. Même après la mise en place du moratoire, la Commission pourrait encore faire barrage. Les nouvelles études scientifiques présentées par la France n’étant pas valides, selon elle. Mais Paris ne compte pas se laisser faire. De leur côté les autorités françaises appellent l’Efsa à renouveler ses outils statistiques. Déjà en 2009, le Haut conseil des biotechnologies (HCB) considérait les données de l’agence européenne comme obsolètes, « du fait de l’absence d’effets majeurs et/ou faute de données suffisantes et que seule l’expérimentation en champ ou en laboratoire permettrait d’obtenir ».

Selon Christophe Noisette, du site de veille citoyenne Inf’OGM, « le MON810 a été autorisé en 1998. L’Efsa a réévalué cet OGM en 2009. En 2010, elle a lancé de nouvelles lignes directrices ». Or, ce sont toujours ces données de 2009 qui servent de critères d’évaluation. De son côté, Greenpeace estime « urgent que la Commission entame la révision des procédures d’évaluation des OGM ». Pour l’association écologiste, « cet avis négatif n’a rien de surprenant venant de la part de l’Efsa qui manque clairement d’impartialité sur la question des OGM ».

« Le ping-pong d’experts est fatigant »

La législation butte sans cesse sur les publications scientifiques. En 2009 déjà, le Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (Criigen) avait établi la « toxicité » de trois maïs transgéniques, dont le MON810. En réalisant une étude sur des rats, les chercheurs avaient noté une modification des reins et du foie, les principaux organes réagissant lors d’une intoxication alimentaire chimique.

Mais la législation ne bouge pas pour autant, déplore Christophe Noisette : « Il y a un ras-le-bol des autorités françaises à voir les dossiers stagner. » Les expertises scientifiques se succèdent, avant d’être retoquées. « Les études sont toujours biaisées. Il est extrêmement difficile d’arriver à quelque chose de 100% incontestable. Il y en aura toujours un pour dire que telle étude s’attache trop ou trop peu à tel ou tel détail. Ce ping-pong d’experts est fatigant. » Donc, finalement, que sait-on aujourd’hui de la dangerosité des OGM ? Pour l’heure, le doute prévaut quant aux risques sanitaires. « Le règlement exige des risques avérés. Les doutes sérieux sur lesquels se base le moratoire sont évincés », regrette Christophe Noisette.

Dans le document proposé à la Commission européenne pour interdire le MON810, les autorités françaises demandent d’une part de « réévaluer complètement le MON810 à la lumière des nouvelles lignes directrices ». Et d’autre part réclame « dans l’attente, [de] suspendre l’autorisation de mise en culture des semences ». Confrontée à la même incertitude, l’Efsa penche, elle, pour l’autorisation de sa culture. L’UE devrait trancher le 11 juin. Christophe Noisette rappelle que « les Etats membres soutiennent habituellement les moratoires nationaux, contre l’avis de la Commission et de l’Autorité européenne de sécurité des aliments. »

Source: terraeco.net

31 Commentaires

  1. SORTONS DE L’EUROPE ! AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD!

    • C’est trop tard !

    • Ben oui, y en a plein qui auraient bien voulu…puis il y ceux qui revotent inlassablement pour les mêmes parce que papa faisait comme ça….

      • D’un autre cote on à guère le choix que de ce plier à la volonté de la masse qui gobe tout et en redemande.

        David.

        • « Pas valable. Les experts européens ont décrété que l’argumentation de la France pour interdire la culture de cette céréale n’avait pas de fondement scientifique. »

          Non mais vraiment ils faut vraiment qu’ils arrêtent ces pourris, ces fiottes, ces vendus; d’essayer de s’accaparer le vivant pour ensuite imposer ce qui pour eux est le progrès!!
          Ils marchent sur la tête si tant est qu’ils en aient une pour penser que leurs m***es synthétiques constitient le progrès!!
          C’est quoi la prochaine étape , nous interdire les plantations de graines naturelles comme aux US ?!

          Parmis les moutons, qui pense qu’une preuve scientifique tangible serait leur refus catégorique de manger leurs produits sur une bonne période et plubliquement? :-/

          Monsanto = usine Tricatel ?

          • désolé

            edit: Quel est la situation en Inde où ces rats de Monsanto sont déjà passé? Des paysans se suicident à cause de leur politique commerciale ( 200 par jour! – où semaine car le chiffre est énorme sur la durée que j’ai du mal à y croire-)

  2. Bonjour, réapprenons surtout à cultiver nous même 🙂 le changement il est là, plus nous redeviendrons indépendant et plus les lobis coulerons de même sur la non vente de leurs produits …

  3. C’est donc parce que la France n’aurait pas pu (pas voulu ?) donner des preuves scientifiques etc. ?
    Quel foutage de gueule !
    Et Monsanto a-t-il eu à fournir des preuves scientifiques ?

    Joli retournement de responsabilité, qui prouve et illustre parfaitement le mensonge tel qu’il veut se répandre.

    Le même pour le nucléaire, et aïe donc.

    Vous reprendrez bien une petite tasse d’Agent Orange ?

  4. Obliger de rien du tout!

  5. Tiens, dernièrement qqn m’a dit :

    « Ca va aller mieux maintenant avec Hollande parce qu’il y a plus d’écolos au pouvoir!!! Il va interdire l’exploitation du gaz de schiste!! »

    Et bien on va voir ce que les écolos ont ds le pantalon pour le gaz de schiste et pour les OGM…!

  6. Il est ou le géant vert ?
    Quand il était la, c’était pas tant le bordel!
    Ok je connais la sortie

  7. C’est quoi ce truc? mais on nous prends pour qui?? On enmerd….. la commission européenne ! On n’en veux pas de leur saloperies! Le fauchage d’ogm devrait donner droit à la légion d’honneur… On la donne bien pour moins que ça……
    Vive le jardinage et Kokopelli, le purin d’orties et F..k Monsanto et tout les politiciens et lobbys qui se remplissent les poches au passage!

    GRRRRRRRR!!!!!!

    Par toutatis!!

    comment ça je dois rester poli, mais je suis poli!! lol

    • Il existe des milliers de variété de plante originales et elle sont toutes en passe d’être brevetées, alors quand je vois des posts du genre retour à la nature et compagnie ça me fait doucement rigoler.

      Toutes les graines du commerce et j’écris bien « TOUTES » sont sous copyright.

      Hormis les chanceux qui peuvent avoir accès à des semences (des vraies) on sera toujours soumis au dictat des seeder.

      David.

  8. C’est d’la planète qu’ont va sortir

  9. en ce moment l’Inde nous demande de retourner à l’ensemencement ordinaire pour préserver le peuple de la famine et que les pesticide «  »mime si il ne s’agit plus du rond up » » » » sont dangereux pour agriculteur et les animaux domestiques ,donc dangereux pour le consommateur même si ce n’est plus le rond up

    • C’est du commerce et rien d’autre, il suffit de connaitre un peu le « codex » pour savoir et comprendre quel est le but ultime de tout ceci…

      David.

  10. juste

    un des but du nouvel ordre mondial exterminer, affaiblir , une majeur partie de la population et ce par tous les moyens
    diriger par les sionistes on ne peut rien y faire sauf s’en remettre a allah ( dieu ) et attendre le jugement dernier en faisant le bien, en etudiant le coran on se rend compte que nous somme dans cette fin des temps et que tous les signes majeur et mineures presque tous sont deja apparu donc personnelement cela ne me fait pas peur sachant que de toutes manieres ce qui nous arrive un livre saint nommé coran et qui est le dernier rappel de dieu pour l’humanité me’ouvre les yeux sur ce qui ce passe aujjourd’hui

    en voici un

    salm’aleykum ( que la paix soit avec vous )

  11. Les gens de l’EFSA ne doivent pas vivre sur la même planète que nous, alors que des recherches scientifiques ont confirmé l’implication des OGM dans certaines malformations congénitales notamment au niveau des reins, de l’appareil génital… J’avais vu ça dans un documentaire italien il y a quelques années. Le dr Bernard Herzog dans son livre « le transgénique » dit que ces plantes ogm sont impliquées dans les maladies pulmonaires, l’asthme les allergies les bronchites chroniques, qu’elles détruisent tout l’éco-système de la terre, que les nombreuses mutations humaines observées en ex URSS et en chine ont été étouffées pour des raisons politiques ou financières….

    • Non mais faut les comprendre, ces gens, ces terroristes sont formés à la contestation scientifique du 50% +1 avant de « daigner » (avec vraiment du dégoût pour eux) faire des contre expertises (tout aussi expertes que les premières expertises ^^)

      Le crime contre l’humanité prend tous sont sens avec ces escrocs ( et que fait la CPI ? Rien, elle n’à pas été crée pour eux et c’est dégueulasse!)

    • Ben, ça fait partie du plan de réduction de la population… il n’y a que le peuple qui en mangera de leur merde… et les animaux…

  12. Le « transgénique » généralisé est une farce
    par le Pr Bernard HERZOG
    Je souris quand je vois certains frapper des mains et applaudir en disant : bravo la « Science », bravo pour sa découverte d’une nouveauté merveilleuse. Ne soyons pas simplistes1 ! J’applaudis moi aussi si cela peut permettre à l’espèce humaine, à l’homme, d’êtr emieux lui-même. Mais cela me révolte quand je perçois que cela va l’induire dans un « esclavagisme » plus important qu’on ne puisse l’imaginer. Nous avons tous applaudi lorsque, dans nos cours d’histoire, on nous a enseigné que,suite à la Révolution, l’homme était libre et qu’il naissait libre. Cela ne faisait d’ailleurs que reprendre un thème religieux fort ancien. Mais on continuait quand même le commerce d’une population noire, entre autres. Et les négriers ne s’en plaignaient pas. Eh bien, comme le montre brillamment Jeremy Rifkin2 dans son étude du processus à l’oeuvre aux USA depuis vingt ans, nous nous retrouvons dans une semblable position : nous allons devoir nous battre contre des négriers de nouvelle espèce.

    Lorsque la maladie de Creutzfeldt-Jacob, dite de la « vache folle », a été rendue publique, une large population bovine était déjà touchée, mais on a évité de noter que tout ce qui était nourri aux mêmes produits, c’est-à-dire la population porcine, ovine, les volailles et même les poissons de culture n’étaient pas indemnes. Certes, rapidement les autorités politiques et sanitaires ont imposé des réglementations, précisant qu’il fallait éviter de manger tel ou tel morceau, tels ou tels abats. Mais réfléchissons un peu. Une vache contaminée, elle l’est aussi bien, même si c’est à un degré autre, dans la cervelle que dans son jarret ou que dans son lait. Le lait est une protéine. Mais si nos experts l’avaient annoncé brutalement toute l’économie agricole et le commerce agro-alimentaire se seraient effondrés. Cela aurait provoqué une révolte civile. Alors, on préfère voir cette maladie se développer et se muter sur quelques vingt voire quarante ans pour ne pas effrayer la population. Eh bien, nous sommes déjà en pleine révolte génétique sans trop nous en apercevoir. Nos champs sont en train d’être mutés. On aura des herbes mutées, des fleurs mutées, des fleurs hybrides. Déjà les paysans ne peuvent pas ensemencer ce qu’ils veulent car les semences hybrides interdisent le recopiage et le réensemencement. Et ces produits peuvent être nocifs car ils sont « non naturels », c’est-à-dire non en harmonie avec l’ensemble de ce qui constitue la vie. On n’a pas pris la peine et le temps de s’en préoccuper. (Il faudrait aussi parler du respect de la biodiversité mais également du respect des pays du tiers-monde largement détenteurs de ce patrimoine don tl’Occident s’empare par brevetage interposé.)3

    Côtoyant de près des responsables du domaine de la santé, j’entends dans les couloirs des propos peu rassurantssur les cancers, les sidas et autres maladies auto-immunes qui se développent et prennent des formes inattendues. Certes, nous pouvons en prendre notre parti et crever la bouche pleine. Mais n’est-il pas plus sage et réaliste d’attirer vertement l’attention sur ce qui est en train de se jouer pour que cela ne se joue pas dans notre dos ? A ce régime qu’en sera-t-il des dépenses de santé et de leur prise en charge ? Vous vous plaignez de verser trop d’écus à la Sécurité sociale et en même temps vous craignez qu’elle ne disparaisse. Elle peut effectivement cesser, un jour ou l’autre, pour cause de faillite. Eh bien, c’est tout un processus de vie en société qui est en débâcle et qu ipeut nous mener, les uns et les autres, à la faillite de nous-mêmes aussi. La solution n’est pas de faire des manifestations pour ce qui est en ruine.

    Manifestons en actes, par nos manières de vivre, pour seulement conserver nous-mêmes et les nôtres en bonne santé

    Le « transgénique » généralisé est donc une farce, qui risque d’être pour nous et nos successeurs une mauvaise farce. Il n’a jamais été demandé parles consommateurs, il lui est imposé. En même temps qu’une approche technique, c’est une approche anthropologique et économique que nous devons conduire. Même si on ne nous le dit guère, n’oublions pas que les enjeux sont aussi économiques, politiques, planétaires, bien sûr ; les enjeux sont financiers, sanitaires, etc. Par nos manières de vivre, c’est nous, collectivement, qui créons nos problèmes. Alors c’est à nous de les résoudre. Prenons un autre exemple. Dans la presse, on commence à avoir des échos d’un nouveau problème, celui de la résistance aux antibiotiques4. Dans nombre d’élevages forcés on utilise les antibiotiques, on inclut dans tel maïs un gène de résistance à tel antibiotique. A quoi donc jouons-nous ?

    Nous sommes tous des « mutés » ou mutants

    Mais, vous-mêmes, dès que vous avez un petit bobo,vous vous précipitez chez votre médecin et, de façon répétitive, vous consommez des antibiotiques. Or les antibiotiques sont faits pour constituer une frappe contre des maux résistants, mais une frappe rapide .Sinon vous devenez inondés d’antibiotiques, votre corps devient hyper-résistant. Ce qui veut dire que vous êtes « mutés » ou mutants. Vous devenez insensiblement des hommes et des femmes génétiquement modifiés et cela peut vous mener sur des chemins inattendus et peu désirables. Oh, ne vous imaginez pas avec trois yeux ou avec quelques bras en plus !

    Ce sur quoi je veux attirer l’attention, c’est sur les interéchanges constitutifs5 de notre vie corporelle, c’est sur les mutations géniques que nous pouvons provoquer en nous, en usant et abusant inconsidérément. Quand nos terres seront inondées d’une nouvelle génération végétale hyper-résistante, nous aurons aussi des bactéries et des virus hyper-résistants à tout traitement. Alors il sera un peu tard pour prier et pour vous réfugier dans les temples si des pans entiers de populations disparaissent. Les historiens parleront de l’épidémie de peste nouvelle. Déjà des cas de nouvelles « pestes » existent et deredoutables ennemis apparaissent puisque nos connaissances actuellesne permettent plus de les combattre6. On a beau avoir découvert quelques gènes, quelques centaines de gènes, nous trouverons, chaque jour, de nouvelles parités de gènes, de nouveaux modes de fonctionnement.Nous ne connaissons pratiquement pas leurs répercussions.Plutôt que de passer notre temps à exploiter de façon juteuse quelques bribes de découvertes permettant de modifier les vivants, ne faudrait-il pas investir pour connaître en profondeur le système génétique, ses modes d’action et d’intercommunication ? L’optique actuellement dominante nous transforme en apprentis sorciers et, par ce chemin, nous allons apprendre à être des sorciers apprentis. Gare aux dégâts si nous nous obstinons à vivre idiots au lieu de poser des choix de manière de vivre.

    Pr Bernard HERZOG

    Extrait du livre le Transgénique : les premiers signes d’une catastrophe, 304 pages, 125 F, livre disponible chez l’association Arabel, 36, rue du Dr-Paul-Michaud, 44230St-Sébastien-sur-Loire.

  13. pavay césar!

  14. De l’eau au moulin des moutons : un article paru dans Le Figaro hier 25 mai « les OGM ont perdu la guerre contre les mauvaises herbes ». Le retour du boomerang. Monsanto en est à distribuer de l’herbicide gratuitement ! de quoi arranger les choses sans doute.

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