La médecine dite « traditionnelle » si elle apporte des réponses à de nombreux maux, ses solutions sont généralement chimiques, avec les effets secondaires que l’on peut rencontrer à la clé. Il y a pourtant d’autres approches possibles de la médecine ainsi que d’autres manières de soigner, en réduisant les effets secondaires, lorsqu’il y en a.
Une des alternatives à la médecine classique est l’éliopathie, mais cette pratique est relativement peu connue en France du fait qu’il s’agit d’une médecine non-conventionnelle manuelle qui s’inscrirait dans la tradition des rebouteux. C’est en adoptant un regard différent sur le mal ressenti par le patient que cette médecine se base, elle ne va pas se focaliser sur la zone posant problème, mais sur le corps dans son intégralité ainsi que sur son fonctionnement.
Plus précisément, la médecine telle que nous la connaissons va s’intéresser à la partie du corps posant problème, quitte à utiliser une batterie d’examens pour affiner le diagnostic, sans prendre en considération que l’origine du problème peut se situer dans une autre partie de l’organisme. C’est pour cette raison qu’il y a tant de spécialités en médecine, celle-ci est subdivisée en fonction des parties du corps, tel médecin pour s’occuper du coeur, un autre pour la tête, un troisième pour les poumons, encore un pour s’occuper de tout ce qui est rhumatisme, un énième pour les l’appareil digestif, etc… C’est l’approche analytique du corps humain.
Face à cela, vous avez le diagnostic étiopathique, qui ne se limite pas à la seule partie atteinte, elle tente d’identifier l’origine de la perturbation et de comprendre ce qui l’a causée. Le corps humain doit être vu dans son ensemble, chaque partie, chaque organe fonctionnant en interaction avec le reste de l’organisme. Cette manière d’identifier les troubles porte le nom d’approche systémique du corps humain.
Comme l’explique l’Institut Français d’Etiopathie: « cela permet à l’étiopathe d’identifier l’origine des symptômes, et dans une majorité de cas, car les pathologies provocant des atteintes irréversibles sont heureusement rares, d’appliquer le geste pertinent qui supprimera leur cause« .
Au final, la résolution des problème se fait via des massages, sachant que l’étiopathe ne se sert jamais d’aucun appareil, qu’il ne prescrit pas de médicaments, ses outils sont ses mains, dans la tradition de la chirurgie non instrumentale. C’est avant tout une méthode de soin naturelle, un avantage indéniable.
Il est intéressant de voir qu’avec l’étiopathie, nombre de maux peuvent être soulagés avec des massages spécifiques, et non grâce à la chimie, et que suivant le problème, s’auto-médiquer est toujours possible. À noter tout de même qu’il s’agit d’une approche différente de la médecine, qu’elle ne remplace pas la médecine classique, mais qu’elle la complète.
Même si sa méthode lui permet de repousser sans cesse les limites de son champ d’investigation, l’Étiopathie circonscrit en permanence son champ d’intervention.
Fidèle aux principes de rigueur et de transparence qu’elle s’est elle-même fixés, l’Étiopathie réservera toujours ses interventions à un nombre précis de pathologies, parfaitement décrites et accessibles, et dont le nombre progresse encore grâce à la recherche fondamentale et au développement de sa méthode.
Vouée aux pathologies fonctionnelles, elle intervient en particulier là où les thérapies médicamenteuses peuvent s’avérer surdimensionnées, voire porteuses de dommages collatéraux tels qu’effets secondaires, accoutumances, inefficacité, etc.
L’Étiopathie ne saurait guérir les maladies dégénératives, ni soigner les graves affections microbiennes qui nécessiteront toujours des antibiotiques, et encore moins se substituer à la chirurgie, dont elle reste la modeste illustration non instrumentale. Dans tous ces cas, un étiopathe réoriente immédiatement son patient vers le médecin compétent.
Néanmoins, dans certains cas bien précis, elle peut aussi intervenir de façon complémentaire pour les maladies qui sortent de son domaine d’application (diabète, cancer, hypertension, dépression), et qui relèvent d’un traitement substitutif ou palliatif. Cela une concerne une minorité de cas, et le médecin traitant en est informé.
Source: Etiopathie.com
Pour en savoir un peu plus sur le sujet, voici 20 minutes d’explications pour ceux qui sont intéressés:
Vous pourrez trouver plus d’informations sur le sujet à ces adresses:
c’est sûr qu’en ne massant que les parties, on ne va pas soigner grand chose…
Une partie de la notoriété de la méthode vient du fait que l’ancien président Nicolas Sarkozy y avait recours !
La médecine conventionnelle soigne le mal mais se moque du patient ! d’où le fait qu’il y a nombre de gens toujours patraques quand ce n’est pas vraiment malades et de plus en plus. (c’est d’ailleurs ce qui fait la fortune des médecins et des labos !)
Elle ignore totalement le psychisme d’une part, et la façon de vivre de l’autre. Si vous avez des douleurs stomacales votre toubib vous donnera quelque chose pour les faire passer, d’accord, mais si de votre côté vous n’ingérez que des aliments, par exemple acidifiants, ou si vous vivez à cent à l’heure toujours stressé, idem, ce n’est pas pris en compte, même si provisoirement ce qu’on vous aura prescrit fera passer pendant quelques jours vos douleurs elle resurgiront dès que le remède sera stoppé, et vous aurez soit un ulcère, ce qui serait encore le moindre mal, soit un cancer, ce qui est pire . Ce n’est qu’un exemple mais qui montre bien à quel point on en est arrivé avec cette façon de soigner, et je ne parle même pas de ces remèdes qui sont largement distribués à tours de bras à tout le monde mis dans le même panier ! or chaque individu est différent de son voisin, ça tout le monde le sait non ? mais pas la médecine allopathique !
Ne connaissant pas l’étiopathie je ne peux en parler mais d’après ce que j’ai lu plus haut, je trouve qu’elle va dans le bon sens, l’individu n’étant pas une série de pièces détachées, mais un tout qui comprend le corps, l’âme et l’esprit, on ne peut soigner l’un sans s’occuper des deux autres.
Mon ex belle-mère, m’y avait envoyé alors que je souffrais du dos depuis 1 mois et demi suite un mauvais coup que j’avais reçu lors d’une compète de full contact ! …déjà lui il a tout de suite vu sur les radios (alors que ni le radiologue, ni le généraliste ne l’avais vu) que j’avais une côte cassé au niveau du dos ! …2 séances plus tard j’avais plus mal, il avait tout décontracturé le bordel !
Mon ex belle-mère elle y allait pour un problème de nuque raide et douloureuse, il lui a dit qu’il fallait qu’elle règle le conflit qu’elle avait avec son mari, si elle voulait que ça rentre dans l’ordre; …et effectivement c’était avant tout dû à ça !
Il m’avait aussi dit que mes piercings me causeraient à terme de problèmes physiques, à cause des liens avec les points d’acuponctures, et que les conflits avec les autres (famille notamment) pouvait être la cause de blessures ultérieurs car ça fragilise, a un impact direct sur le physique (musculo-squelettique).
Du coup pour ton problème Benji, y’a surement une cause du genre qui fait que ton épaule ne se soigne pas !
@benji: si tu cherches une éthiopate près de chez nous, il y a :
http://www.pagesjaunes.fr/pros/04177209
elle est classée dans les ostéo, mais je sais qu’elle est étio à la base…
« Plus précisément, la médecine telle que nous la connaissons va s’intéresser à la partie du corps posant problème, quitte à utiliser une batterie d’examens pour affiner le diagnostic, sans prendre en considération que l’origine du problème peut se situer dans une autre partie de l’organisme. »
Y’a que moi que ça choque ?
Tu la sort d’où ton affirmation ?
J’ai quand même poursuivi la lecture par principe mais cette seule phrase décrédibilise tout ce que tu peux dire après.
Je m’explique : tu pars d’une affirmation (les médecins spécialiste se focalisent exclusivement sur la zone qui la concerne) et tu base ton raisonnement la dessus. Sauf que ton affirmation est fausse et je la démonte par un simple contre-exemple :
La dernière fois que j’ai été chez le medecin pour un probleme de mal de tête, il m’a envoyé vers l’ophtalmo qui m’a lui même recommandé de consulter un podologue …
Ce sont des spécialistes, ils connaissent très bien une partie du corps. Ca ne les empêche pas d’avoir fait 5 ans de médecine générale.
Et ces medecins ne préscrivent pas nécessairement de thérapies médicamenteuses.
Les intentions de l’auteur sont louables, l’article sans intérêt. La seule chose qui en ressort c’est une forme de contestation random d’un système établie. Pourquoi pas, mais sans rigueur dans la démonstration vous préchez uniquement les convaincus.