Les vaccins vont-ils tous être officiellement remis en cause avec le temps? C’est en tout cas une petite victoire pour les réfractaires à la vaccination puisqu’un tribunal lyonnais a reconnu qu’il y avait un lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la myofasciite à macrophages, « une maladie dont l’origine est imputée, chez des personnes génétiquement prédisposées, aux sels d’aluminium utilisés comme adjuvant dans la plupart des vaccins injectables par voie intramusculaire » (lire ici).
Partant de ce principe, l’on peut comprendre que ce n’est pas simplement le vaccin contre l’hépatite B mais l’ensemble des vaccins contenant de l’aluminium qui représente un danger. À quand une grande remise en cause des vaccins?
La cour administrative d’appel de Lyon a donné raison, le 4 mai, à une ancienne auxiliaire puéricultrice d’Echirolles dans l’Isère, atteinte de myofasciite à macrophages suite à des vaccins contre l’hépatite B. Cette maladie est caractérisée par une fatigue chronique, des douleurs articulaires et musculaires ainsi que des troubles cognitifs.
En arrêt maladie depuis 6 ans, la plaignante n’a jamais été payée. Réformant le jugement du tribunal administratif de Grenoble de 2014, la cour d’appel de Lyon a ordonné qu’elle perçoive ses salaires, rapporte son avocat Me Hervé Gerbi.
La plaignante, aujourd’hui âgée de 65 ans, a été vaccinée en 1993 et en 1999 dans le cadre de l’obligation vaccinale liée à son activité professionnelle. Elle a développé les symptômes de la maladie deux ans après le deuxième vaccin.La cour d’appel indique qu’il ressort du rapport d’expertise de 2011 qu’elle « présente des lésions musculaires de myofasciite à macrophages traduisant la persistance in situ, prolongée dans le temps, d’hydroxyde d’aluminium (stimulant immunitaire), des années après l’injection intramusculaire d’un vaccin contenant ce composé comme adjuvant».
Elle considère que «
le lien de causalité entre la vaccination contre l’hépatite B subie et la myofasciite à macrophages dont elle souffre, doit être considéré comme établi» et que sa maladie «doit être considérée comme imputable au service».En 2013, le tribunal administratif de Pau avait déjà donné raison à une infirmière ayant développé une myofasciite à macrophages suite à des administrations successives de vaccins obligatoires.
En 2014, l’Etat a été condamné à verser 2,4 millions d’euros à une ancienne infirmière, qui avait développé une sclérose en plaques après des vaccins contre l’hépatite B, reçus à partir de 1991.
En 2012, le Conseil d’État a reconnu un lien de cause à effet entre l’aluminium utilisé comme adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et la survenue d’une myofasciite à macrophages chez un agent de la ville de Paris.
Psychomédia avec source : Le Parisien (AFP).
Source: Psychomedia.qc.ca via Etat-du-monde-etat-d-etre.net
S’il faut passer par un tribunal pour se soigner sans danger?????
Au pharmacien faudra demander si le médicament prescrit a été juger par le tribunal innocent et avec un casier vierge et /ou condamner et s’il y a risque de récidive.
Et en plus, tu vas payer un supplément parce que tu auras posé trop de questions et pris trop de temps au pharmacien qui a autre chose à faire que de te répondre. Mais où va t-on ?!!
Très grande nouvelle, ce jugement mais il ira plus que certainement en cassation !
Pas grave, car c’est la publicité autour de l’affaire qui doit être recherchée !
Faut pas oublier que ce qui déplait est CLASSIFIER .
La justice ,le tribunal ,ceux qui protègent les élus JUGENT QUAND MÈME hahahah les médicaments,ils condamnent des substances hahahaah.
Ils savent pas que la maladie est un COMMERCE et qu’ils font du tort au commerce .
Bof
Personne au club de billard ,même DIEU n’est pas la,il préfère créer des débiles à son image ..
Depuis le temps que je fais lecture du blog (il y a longtemps ^^), vous dénoncez les méfaits des groupes pharmaceutiques, c’est léger comme victoire… Bon j’avoue, il faut 20ans de réaction pour les institutions (une carrière en gros.)
Merci pour l’information.