C’est une séquence que vous risquez de ne pas voir à la télévision, les accrochages entre les journalistes et les forces de l’ordre durant le passage au tribunal.
[youtube width= »640″ height= »460″]https://www.youtube.com/watch?v=ykpNFzByBT0[/youtube]
Oh, v’la ti donc pas que les pauvres choux de l’AFP se font repousser, à leur grande surprise, là où ils n’ont jamais eu le droit d’entrer (dans une salle de tribunal, dirait-on…). Et ils sont colères, dites donc!
Habituellement serviles envers notre gouvernement, approbateurs de toutes les folies nationales et internationales de cette dernière année, les voila métamorphosés! Quand çà ne leur rapporte plus, rester soumis c’est ennuyeux. Voilà donc qu’ils nous jouent les persécutés! Heureusement que je ne suis pas flic parce-qu’il y en a plusieurs qui s’en seraient pris une bonne!
la journaliste a admis avoir mordu « légèrement » un policier….
Bizarrement, les chiens de garde sont un peu moins enragés pour défendre leur « liberté d’informer » devant les rencontres du Bilderberg ou du Siècle…
Sûrement un hasard.
[ N’y voyez aucune défense de Le Pen, c’est un politichien, donc une ordure au même titre que tous les autres. ]
La fille qui mord, le bobo à lunettes roses, les insultes : le journalisme moderne
Le policier alpha à la fin qui en pousse un.
j’suis bien le dernier à defendre les fliccs mais d’après les images ils ont pas de grands tords sur ce coup
V’la la vidéo qui a été bloquée…
On la voit toujours sur Youtube.
En fond, on entend un journaliste dire aux flics « vous allez être virés c’est sur Youtube ! »
Soit il est complètement mégalo de s’imaginer qu’une bousculade pour maintenir l’ordre faite sur des journalistes est le crime de lèse majesté, soit il est complètement hors du temps de s’imaginer que les flics vont leur faire des courbettes comme ils sont habitués d’en recevoir de la part des politiques qui se servent d’eux quand ça les arrange.
Bref, le journaliste est quelqu’un qui ne sait pas dans quel monde il vit et c’est pourtant lui qui s’octroie le droit unique de nous informer