Étouffer l’affaire? Pourquoi faire cela?Peut-être par ce que justement, l’accident impossible qui s’est pourtant déroulé gêne car toute cette histoire n’est pas claire! Voici quelques petits détails qui peuvent se montrer gênants quand à cette histoire: Pour enquêter sur l’accident, la justice a choisi Robert Hazan, un expert ….en automobile et en sécurité routière. Mais il y a encore mieux!!! Le même jour, pour ceux qui s’en souviennent, un second train a partiellement déraillé, un convoi nucléaire de chez Areva, et toujours à cause d’une éclisse… Sauf que là, l’acte à été revendiqué. Posons-nous une question simple, combien de chances y-a-t il pour que deux trains déraillent le même jour avec pour cause une pièce qui ne saute jamais d’elle-même?
Les magistrats en charge de l’enquête sur l’accident de Brétigny demandent en vain plus de moyens pour enquêter. Impossible, selon la PJ de Versailles, cela pénaliserait l’enquête sur la disparition d’Estelle Mouzin…
Quatre mois et demi après le déraillement du train corail 3657 en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne) qui effectuait la liaison entre Paris Austerlitz et Limoges (385 passagers à bord), accident ayant causé la mort de sept personnes, l’enquête judiciaire patine. En cause, le manque de moyens humains dévolus à cette instruction ouverte le 24 juillet, soit douze jours après l’accident. Selon des documents consultés par Le Figaro, les magistrats Caroline Davroux, Aurélie Poirier et Philippe Devoucoux multiplient les demandes de renfort pour mener à bien leur enquête. En vain. À chaque fois la réponse de l’institution judiciaire et des services de police est polie mais négative.
En témoigne cette lettre du 12 septembre adressée au directeur de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles et signée des trois magistrats instructeurs: «Nous attirons à nouveau votre attention sur la nécessité d’affecter des moyens pérennes et suffisants pour assurer, dans les meilleurs conditions possibles et dans les plus brefs délais, le déroulement des investigations (…). Nous souhaitons spécifiquement la création d’une cellule composée d’enquêteurs qui se consacreraient à temps plein et exclusivement à cette enquête». Les juges ont également écrit au président du tribunal de grande instance d’Evry et au directeur central de la police judiciaire. Un bon connaisseur de ce type d’affaires approuve la demande des juges: «Tout dépend de ce que l’on veut. Si l’on veut trouver l’origine de l’accident, alors oui, il faut dégager deux enquêteurs qui travaillent exclusivement sur l’affaire pendant plusieurs mois. Mais si l’on est dans une logique d’extinction des feux, on le leur donne pas de moyens». Un point de vue partagé par plusieurs parties civiles. «Quand une affaire est jugée importante et complexe, on met les moyens. C’est une question de volonté politique», confie l’une d’elles.
Pas de renfort pour cause d’enquête sur Estelle Mouzin
Parmi toutes les réponses négatives reçues par les magistrats, celle de Philippe Bugeaud, contrôleur général, patron de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles qui a sous ses ordres 450 policiers, est la plus éloquente: «Il ne m’est pas structurellement possible de dédier excusivement des enquêteurs de ma brigade criminelle à un seul dossier (…). Cette décision aurait pour conséquence de nuire gravement à l’avancement des investigations des autres groupes dans des affaires d’homicides volontaires encore non élucidées à ce jour, telles que les affaires Estelle Mouzin (fillette de 9 ans, disparue en Seine-et-Marne en 2003, NDLR), Sabine Dumont (fillette de 9 ans disparue à Bièvres en 1987, NDLR), Christian Maréchal (le chef de la police municipale de Chambourcy assassiné en 2007, NDLR) pour n’en citer que quelques unes», écrit-il le 13 septembre.
Article complet sur Le Figaro
Les magistrats en charge de l’enquête sur l’accident de Brétigny demandent en vain plus de moyens pour enquêter. Impossible, selon la PJ de Versailles, cela pénaliserait l’enquête sur la disparition d’Estelle Mouzin…
Quatre mois et demi après le déraillement du train corail 3657 en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne) qui effectuait la liaison entre Paris Austerlitz et Limoges (385 passagers à bord), accident ayant causé la mort de sept personnes, l’enquête judiciaire patine. En cause, le manque de moyens humains dévolus à cette instruction ouverte le 24 juillet, soit douze jours après l’accident. Selon des documents consultés par Le Figaro, les magistrats Caroline Davroux, Aurélie Poirier et Philippe Devoucoux multiplient les demandes de renfort pour mener à bien leur enquête. En vain. À chaque fois la réponse de l’institution judiciaire et des services de police est polie mais négative.
En témoigne cette lettre du 12 septembre adressée au directeur de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles et signée des trois magistrats instructeurs: «Nous attirons à nouveau votre attention sur la nécessité d’affecter des moyens pérennes et suffisants pour assurer, dans les meilleurs conditions possibles et dans les plus brefs délais, le déroulement des investigations (…). Nous souhaitons spécifiquement la création d’une cellule composée d’enquêteurs qui se consacreraient à temps plein et exclusivement à cette enquête». Les juges ont également écrit au président du tribunal de grande instance d’Evry et au directeur central de la police judiciaire. Un bon connaisseur de ce type d’affaires approuve la demande des juges: «Tout dépend de ce que l’on veut. Si l’on veut trouver l’origine de l’accident, alors oui, il faut dégager deux enquêteurs qui travaillent exclusivement sur l’affaire pendant plusieurs mois. Mais si l’on est dans une logique d’extinction des feux, on le leur donne pas de moyens». Un point de vue partagé par plusieurs parties civiles. «Quand une affaire est jugée importante et complexe, on met les moyens. C’est une question de volonté politique», confie l’une d’elles.
Pas de renfort pour cause d’enquête sur Estelle Mouzin
Parmi toutes les réponses négatives reçues par les magistrats, celle de Philippe Bugeaud, contrôleur général, patron de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles qui a sous ses ordres 450 policiers, est la plus éloquente: «Il ne m’est pas structurellement possible de dédier excusivement des enquêteurs de ma brigade criminelle à un seul dossier (…). Cette décision aurait pour conséquence de nuire gravement à l’avancement des investigations des autres groupes dans des affaires d’homicides volontaires encore non élucidées à ce jour, telles que les affaires Estelle Mouzin (fillette de 9 ans, disparue en Seine-et-Marne en 2003, NDLR), Sabine Dumont (fillette de 9 ans disparue à Bièvres en 1987, NDLR), Christian Maréchal (le chef de la police municipale de Chambourcy assassiné en 2007, NDLR) pour n’en citer que quelques unes», écrit-il le 13 septembre.
ce monde pue le menssonge ouais c’est pas clair tout çà
enfin on commence à en avoir l’habitude
Si le gouvernement veut étouffer l’affaire plutôt que de mettre cette histoire sur le dos de fanatiques extremistes de tout bord (gauche, droite ou islamiste) comme ils savent le faire, c’est d’une, parce que ce serait plutôt compliqué cette fois-ci car ils n’étaient pas au courant avant que ça n’arrive, et de deux parce qu’étouffer l’affaire c’est mieux lorsqu’il s’agit d’un acte terroriste orchestré par les gens qui tirent les ficelles, pour sans doute faire accélérer mister hollande dans ses réformes.
Il n’y a pas que l’attaque sur nos banques ou sur notre dette que ces gens là peuvent utiliser, mais comme ils le font partout ailleurs, il y a les attentats.
L’Allemagne a eut comme menace, une forte de baisse de l’euro pour la pousser à créer un SMIC, un euro faible plombera à grande vitesse le marcher Allemand alors qu’un SMIC permet de faire ça en douceur avec une augmentation progressive du chomage, Hollande lui, à gouter aux attentats pour qu’il se bouge le cul.
« Ils » ont peur qu’on découvre que RFF (Réseaux Ferrés de France) sous-traitait le travail à une boîte d’intérim albanaise, avec la bénédiction de la CGT ? Ou une autre magouille du même tonneau ?
Cela me rappelle cette affaire de chantage fait par un groupe qui avait placé des engins explosifs sous certaines voies ferrées.
Pour accréditer le sérieux de leur menace, ils avaient révélés l’emplacement d’un de ces explosifs, et depuis plus rien sur cette affaire.
Y a-t-il eu rançon de verser ?
Si oui, l’augmentation de la fiscalité ayant démunie ces maîtres chanteur, les voilà de retour pour une augmentation sensible de leurs revenus…
Quant à L’Etat, c’est comme pour les otages libérés soi-disant sans versement de rançon…
Dormez tranquille braves gens, doit se traduire par : putain ! y a urgence, nous sommes dans la merde.